Attentat de Amélie Nothomb
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Moyenne des notes : (basée sur 34 avis)
Cote pondérée : (1 192ème position).
Visites : 17 942 (depuis Novembre 2007)
le bossu de notre dame... il est pas con
Ben personne avait jamais dit qu'il etait con... mais bon...
En gros, Amelie se la joue à la Quasimodo, et de là elle dénonce les préjugés, la société.
En ce qui me concerne, je suis époustouflée en voyant les vérités qui émanent de cette jeune belge.
Quasimodo vit donc de très peu de choses - sa seule relation humaine, son amour : une jeune fille l'égalant presque par son intelligence, et tous deux constatent l'idiotie ou les absurdites qui truffent notre monde bien aimé...
Tout cela est très subtil. On peut cependant s'étonner et être décu des événements finaux du roman - mais je n'en dirai pas plus, u'll see !
Les éditions
-
Attentat [Texte imprimé], roman Amélie Nothomb
de Nothomb, Amélie
Albin Michel
ISBN : 9782226093745 ; 14,00 € ; 21/08/1997 ; 206 p. ; Broché -
Attentat [Texte imprimé], roman Amélie Nothomb
de Nothomb, Amélie
le Livre de poche / Le Livre de poche.
ISBN : 9782253146889 ; 6,40 € ; 07/11/2001 ; 152 p. ; Poche
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Les critiques éclairs (33)
» Enregistrez-vous pour publier une critique éclair!
Pas folichon
Critique de Sundernono (Nice, Inscrit le 21 février 2011, 41 ans) - 23 mars 2023
Ce roman souffre aussi de la comparaison avec ma lecture précédente, un classique parlant lui aussi d’amour, mais avec infiniment plus de classe et de style : l’amour au temps du choléra.
Il y a plusieurs classes d'écart entre un Gabriel Garcia Marquez maître de son art et notre Amélie Nothomb, talentueuse certes, mais loin de son meilleur niveau.
Une lecture vite lue et qui sera très certainement vite oubliée.
Dommage…
Je déteste les histoires d'amour, mais ...
Critique de Catinus (Liège, Inscrit le 28 février 2003, 73 ans) - 22 mars 2018
Well ! Cela confirme ce que je sais depuis plus de soixante ans : je suis allergique grave à toutes les histoires d’amour. Oublions donc le scénario d’Amélie. Heureusement, il reste des merveilles : trois pages d’éloge sur une des plus grandes découvertes de ces 100 dernières année : les boules Quies ; une dizaine de pages sur les beautés du Japon, sans oublier quelques jolies sentences ici et là. Ce qui est déjà très bien pour un roman.
Extraits :
- Il y eut un temps où être puceau à vingt-neuf ans constituait un acte de foi. Aujourd’hui, personne ne pourrait y voir autre chose qu’une pathologie inavouable due à de sérieux troubles de la personnalité.
- Ainsi la neige sanglote quand elle fond.
- Il faut vivre avec son temps. Au Moyen-Âge, je ne serais pas parti au loin sans enfermer ma bien-aimée dans sa tour ou dans une ceinture de chasteté, au XIX è siècle je lui aurais acheté une camisole de force. A présent, au nom de la sotte liberté individuelle, on ne peut plus recourir à ces procédés sages et sûrs. Si l’on veut contrôler les gens à distance, on doit le bombarder de télécommunications.
- Ce bélître de bellâtre
- Dieu appartient à celui qui y croit.
Volontairement dégoûtant
Critique de Callisthene (Cagnes/mer, Inscrit le 12 juin 2014, 37 ans) - 14 juin 2014
Il reste l'un des romans d'A. Nothomb que j'ai le moins aimé, c'est peu dire...
Attentat, un livre mal emballé.
Critique de Zhrf (, Inscrite le 18 novembre 2013, 28 ans) - 18 novembre 2013
Ensuite, pour certaines parties, la longueur est injustifiée. Par exemple, les fax qu'Epiphane envoie, durant son voyage, à Ethel deviennent incompréhensibles. Plusieurs sont écrits le même jour et l'un après l'autre.
Le livre se finit de manière inattendue, la fin est aussi surprenante que titre. Après l'avoir lu, on se dit que celle-ci embellit l'histoire.
Ce roman réunit plusieurs sentiments: la tristesse, le mépris, le dégoût, la joie et pour terminer le choc.
pour les moins de 20 ans...
Critique de Bebmadrid (Palma de Mallorca, Inscrit le 29 novembre 2007, 45 ans) - 4 juillet 2010
Je me souviens l'avoir apprécié... Cette histoire du type laid, très laid, très, très laid m'avait plu.
8 ans plus tard, je propose la lecture de ce livre à un groupe d'élèves adultes car j'étais persuadé qu'il allait leur plaire ( détail important: je ne l'avais pas eu l'occasion de le relire).
Et là, c'est la catastrophe ! J'arrive dans la salle de classe et les élèves, furieux, me jettent le livre au visage ( au sens figuré!).
Ne comprenant pas leur réaction, j'entreprends de relire ce livre afin d'essayer de comprendre leur réaction. Et je les ai compris... Quelle horreur !
C'est bien simple, Amélie Nothomb ne sait faire que deux choses:
1- étaler sa culture tout au long du livre afin que ses lecteurs se rendent bien compte qu'elle sait beaucoup de choses ( mais la plupart du temps, ce déballage de culture est gratuit et ne vient pas à propos, "out of the blue" comme disent les anglophones!)
2- Elle prend un malin plaisir à provoquer et choquer telle une adolescente boutonneuse qui en veut au monde entier et prend un malin plaisir à martyriser ses parents. Pour ça, elle utilise des personnages très vilains, très méchants, très bizarres afin que ses lecteurs disent "Wow, elle est folle Amélie Nothomb mais on l'adore parce qu'elle est folle"!
C'est comme ça que ça marche depuis près de 15 ans maintenant !
Amélie Nothomb est devenu un produit marketing bien ficelé, bien formaté qui va sur les plateaux de télé pour vendre ses livres formatés comme elle et qui prend un air mystérieux pour que les journalistes la prennent un peu au sérieux. Et tous les ans, ses plus fidèles fans attendent avec impatience leur petite dose de "bizarrerie" made in Nothomb et de provocation facile qui maintenant ne choque plus personne puisqu'on y est tous habitués...
Entre beauté et laideur.
Critique de Megh (, Inscrite le 22 février 2010, 30 ans) - 22 février 2010
Le final m'a surprise mais je ne le voyais pas finir autrement. Une histoire d'amour entre Epiphane et Ethel qui vivent heureux jusqu'à la fin des jours aurait été originale mais celle-ci me plaît mieux. En bref, l'histoire est originale et je conseille ce livre à tous !
Évanescent
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 21 septembre 2008
Histoire d'amour absurde ou critique d'un roman absurde
Critique de Une Critique (, Inscrite le 4 décembre 2007, 34 ans) - 4 décembre 2007
Un très bon moment!
Critique de Gabri (, Inscrite le 28 juillet 2006, 38 ans) - 19 septembre 2007
Parangon de laideur et parangon de beauté
Critique de Matthias1992 (, Inscrit le 27 août 2007, 32 ans) - 30 août 2007
Y transparaît clairement une critique d'une société qui voue un culte à l'apparence et juge de la beauté selon des critères superficiels, mais également un amour impossible, mis en valeur par la dernière phrase du livre ("Il n'y a pas d'amour impossible").
Cet amour, c'est celui que ressent Epiphane Otos, sorte de Quasimodo contemporain, pour Ethel, parangon de beauté et de charme.
L'homme, conscient d'être très laid, le garde muet pendant longtemps, puis, ne pouvant plus supporter de rester silencieux, le fait part à sa bien-aimée.
Là vient tout le tragique de l'histoire: l'amour que lui porte Epiphane ainsi la façon dont celui-ci l'exprime correspondent à l'idéal et à l'absolu que se faisait Ethel. Celle-ci ne peut cependant l'accepter, à cause de la laideur du personnage.
Nothomb simpose avec ce livre relativement bref comme un des écrivains contemporains incontournables.
écoeurant de vérité
Critique de Soleada (, Inscrite le 21 janvier 2007, 35 ans) - 11 juin 2007
De l'importance d'être beau
Critique de Oxymore (Nantes, Inscrit le 25 mars 2005, 52 ans) - 31 octobre 2006
Objet étonnant d'une agence de modèles, Epiphane va faire la rencontre d'une comédienne attirée par sa laideur; la suite est une descente vers un destin pathétique et un tableau noir de ce thème très moderne: le culte de la beauté et la mise au ban de la laideur.
Beauté et laideur
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 1 novembre 2005
marion1209
Critique de Marion1209 (Mandelieu, Inscrite le 6 mai 2005, 39 ans) - 11 septembre 2005
Un bon moment!!
Laid, en dedans comme en dehors!
Critique de Boudha (Beloeil, Qc, Inscrit le 9 novembre 2004, 67 ans) - 28 juillet 2005
Mais quelle écriture! Le personnage me rappelle Ignatus dans « La Conjuration des Imbéciles » (Amélie, as-tu lu ça?). Ce livre ne serait rien si le tout n'était pas soutenu par des textes hors du commun.
Nothomb nous fait rire de par l'orthodoxie et le non-conformisme d'Épiphane dit Quasimodo. Notre homme, d'un physique à faire vomir, rejette la chirurgie esthétique ou l'isolement. Il redéfinit les critères de la beauté et ceux de la laideur. Il y a pire que la laideur, il y a ceux qui ne sont laids qu'à moitié, affirme-t-il! En guise de parade, Épiphane développe sa propre philosophie appuyée par de grandes théories tordues, toujours à son avantage bien sûr. Il aborde les gens de front, souvent avec cynisme. Ses commentaires lors de son séjour au Japon ou au sujet des artistes peintres sont hilarants, surtout parce teintés d'un fond de vérité.
Il s'agit d'un essai sur la beauté. Le sujet est abordé de façon originale, en employant des mots si bien agencés que pour un instant l'absurde devient vérité. L'écrivaine se moque un peu de Quasimodo et de Cyrano, ces hommes hideux qui, de par leur « beauté intérieure », ensorcellent de très belles femmes, jamais des laiderons dotés de « beautés intérieures ».
On comprend aussi qu'elle s'attaque à ceux qui croient qu'une très belle femme est nécessairement futile et qu'un bellâtre nage dans le superficiel. Il arrive souvent qu'une affreuse enveloppe corporelle dissimule un « intérieur » tout aussi répugnant.
Beau travail Amélie!
Beauté et Laideur
Critique de Neithan (, Inscrit le 19 juin 2005, 37 ans) - 9 juillet 2005
Bien sûr, Amélie Nothomb possède un style et une façon très particulière de traiter ses différents sujets, mélant complexité, humour noir, cynisme, mais le problème est qu'elle y arrive de façon très irrégulière selon ses livres...
Je me rappelle pourtant d'un passage qui avait su attirer mon attention à l'époque, la scène où le personnage principal imagine sa bien-aimée se faire piétiner par un taureau en furie... Beauté et Violence se mélangent ici, et c'était, je me rappelle, très bien écrit, même si je ne me souviens plus du context exact...
Hélas ce passage savoureux n'a pas suffi à me faire apprécier l'oeuvre dans son intégralité...
"et tant de hideur a quelque chose de drôle"
Critique de Ice-like-eyes (nantes, Inscrite le 26 mars 2005, 40 ans) - 3 juin 2005
Ce roman est très drôle et cruel à la fois ! Je l'adore ! Moi personnellement, il m'a fait penser au clip "Sans logique" de Mylène Farmer.
Attentat à la laideur
Critique de G. (Rambouillet, Inscrit le 14 décembre 2004, 49 ans) - 30 janvier 2005
Amélie Nothomb touche du doigt ce que la société tente de mettre au rebut, en plaçant, côte à côte, la beauté et la laideur, représentées par des êtres, pour voir si jamais elles fusionnent.
Une des questions posées par ce roman peut intéresser ceux qui, comme moi, estiment qu'elle n'est pas assez posée par les autres romans, à savoir: Comment peut bien réagir un esthète hideux, conscient comme jamais d'être touché par la disgrâce, lorsqu'une beauté touchée par la grâce le regarde sans sciller, comme pour la première fois en suscitant en lui des sentiments amoureux inédits dans cette vie tenue pour monstrueuse, en raison du regard de la société ? Son regard est-il monstrueux ? Ou bien, juste lucide ? Quasimodo est la bête, certes... Mais qui ne l'est pas ? La beauté étant subjective, on est tous le quasimodo de quelqu'un. Pour ma part, certaines attitudes me répugnent davantage qu'un nez disproportionné ou un corps énigmatique; et on se sent soi-même parfois assez monstrueux. Alors, comme tout un chacun, au contact de la belle, la bête se transforme, du moins son propre regard sur la vie... Jusqu'à un certain point. Son regard est critique, puis amoureusement subjugué par ce qui se dénote du reste, par ce qui sort du lot, en un mot par l'extraordinaire.
Alors, doté d'un goût certain, on peut s'écrier: pas bête, la bête! Quoiqu'au final, somme toute assez bestiale...
Dilemme entre beauté et bonté
Critique de Corinne.Ors (Golfe Juan, Inscrite le 17 novembre 2004, 47 ans) - 14 janvier 2005
Cependant, Amélie Nothomb parvient dans son ouvrage à dépasser ce lieu commun, et à souligner très justement ce dilemme entre beauté et bonté. Vaut-il mieux être beau et bête ? Vaut-il mieux être une bête mais belle intérieurement ? Les caractères des personnages Epiphane Otos et Ethel révèlent par leurs propos que quoiqu'on en dise, la beauté est dans notre société préférée à la bonté, même par les personnes laides extérieurement. C'est une belle leçon que nous recevons, nous lecteurs, qui essayons toujours dans nos discours de prouver le contraire. Serait ce la laideur de la société qui nous pousse à préférer la beauté extérieure pour mieux révêr ?
En outre, le style est dynamique et criant de vérité.
Ce livre me donne réellement envie de découvrir les autres livres de l'auteur et de me replonger dans son univers atypique.
La Belle et la Bête façon Nothomb
Critique de Kreen78 (Limours, Inscrite le 11 septembre 2004, 46 ans) - 13 décembre 2004
Ce livre est intéressant du début à la fin, sans vraie longueur. Il fait partie de mes préférés de l’auteur.
Excellent!
Critique de Violet (, Inscrite le 16 novembre 2004, 47 ans) - 17 novembre 2004
Un thème recurent, certes. Mais un roman que j'ai trouvé génialissime.
Cette opposition Beauté - Laideur, ce doigt pointé sur les hics de notre société ... Ce que cette Société provoque aussi. Car c'est la Société qui rend le personnage aussi ... comment dire ... machiavélique presque.
bien écrit, agréable à lire ... Bref du Nothomb tout simplement! :)
En surface
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 17 octobre 2004
Comme les autres Nothomb : génial, fou et sublime
Critique de Le petit K.V.Q. (Paris, Inscrit le 8 juillet 2004, 31 ans) - 22 août 2004
L'étoile et le ver luisant
Critique de Banco (Cergy, Inscrit le 6 août 2004, 42 ans) - 11 août 2004
Personne n'embauche un monstre de laideur s'il peut s'en passer. Epiphane Otos n'était donc employé par personne. Mais sa hideuse oisiveté lui laissait le temps de cultiver sa beauté intérieure propre à habiter son corps de Quasimodo. Et comme Quasimodo, Epiphane n'éprouve aucun désir de jouer le jeu de la beauté intérieure et s'éprend de la sublime Ethel. Pour elle, il devient meme le paradoxal mannequin vedette d'une agence de tops models sans perdre de vue son objectif de séduction…
Depuis Notre-Dame de Paris et Cyrano de Bergerac, la vérité exigeait qu'on dénonce le mensonge hypocrite de la beauté intérieure. Amélie Nothomb s'y attelle ici avec maestria. De cette version intelligente et originale du fascinant thème de la confrontation entre la belle et le monstre face à l'enjeu de l'amour et de la reproduction ressort une idée maîtresse : en amour, l'apparence physique prime et la promotion de la beauté intérieure n'est qu'un jeu de dupes si Quasimodo préfère la sublime Esméralda à un laideron édenté. Mais l'élément central du roman n'est pas le rapport amoureux. Attentat est un roman sur le grand thème nothombien, un roman voué à la célébration saphique de la beauté féminine à laquelle s'oppose l'indépassable laideur masculine. Ce thème fondateur de l'écriture nothombienne malmène toutefois le roman : après quelques pages étincelantes sur Epiphane, l'amorce du mécanisme de l'intrigue assagit le style et l'écriture, cantonnant Attentat dans le très bon roman, un roman d'où surgisse quelques phrases au surréalisme enchanteur telles "La plupart des hommes décharnés ressemblent à des vélos, ce qui est joli".
Au-delà du réel
Critique de Miriandel (Paris, Inscrit le 4 juillet 2004, 63 ans) - 21 juillet 2004
Je n'aurais pas posté de critique éclair, tant ce qui a déjà été écrit est exact, si l'aspect crédibilité de Nothomb n'était tant sujet à caution.
Elle prétend se situer dans le réel - et toute l'histoire d'attentat est relatée sans que le héros montre le moindre signe de folie - et parsème pourtant son livre d'invraisemblances. Ces invraisemblances, dont la fin, qui est pour le moins baroque, m'avaient déjà poussé à écrire que l'expérience de la vie - terreau du romancier - ne participe pas exclusivement du "vécu", chez Nothomb, et que j'y sens un peu trop l'expérience piochée dans les livres.
Rien de rédhibitoire, juste une gêne, comme son étalage - un peu vaniteux - de culture. Il ne me semble pas judicieux, par exemple, de balancer dans le texte une référence à Costals comme si le lecteur de Nothomb était censé avoir lu et compris Montherlant. C'est agaçant.
Quoi qu'il en soit, je m'arrête ici aux détails, et il faut rendre à César ce qui lui appartient, Attentat est fin, spirituel, enjoué, subtil et vraiment très plaisant à lire.
Encore !
Une situation que l'on vit bien souvent...
Critique de Zenith_ (Bruxelles, Inscrite le 28 janvier 2001, 43 ans) - 15 mars 2003
Toutefois, cette trame ressemble à de nombreuses situations par lesquelles nous sommes probablement tous passés. L'amitié, la complicité, ne se soucient pas du tout de la beauté physique. Mais dès le moment où il s'agit de faire un couple, de créer un ensemble qui sera vu et jugé par le monde, là, on se débine. Il est difficile d'imaginer à quel point Epiphane pouvait être laid. Mais pour ma part, je trouve très logique que ce soit cette fin précise qu'ait choisi l'auteur.
il n'y a pas plus réel
Critique de Luciole (Senlisse, Inscrite le 5 octobre 2002, 37 ans) - 19 octobre 2002
On rêve toutes d'un admirateur aussi attentionné qu'Epiphane mais est-ce qu'on l'accepterait ou pas malgré sa laideur excessive qui fait de lui une star...
Rien de neuf à l'horizon !
Critique de Otbest (Bruxelles, Inscrit le 28 mai 2001, 68 ans) - 26 mai 2002
La beauté cachée des laids
Critique de Lucien (, Inscrit le 13 mars 2001, 69 ans) - 22 mars 2002
Tu as mal lu ma critique éclair Tophiv! ;op
Critique de Virgile (Spy, Inscrit le 12 février 2001, 45 ans) - 2 février 2002
Il n'empêche que ce n'est vraiment pas ce roman que je conseillerais à quelqu'un qui voudrait découvrir Nothomb, "hygiène de l'assassin" ou "stupeur et
tremblements" me paraîtraient bien plus appropriés.
Tu as mal lu ma critique, Virgile !
Critique de Tophiv (Reignier (Fr), Inscrit le 13 juillet 2001, 49 ans) - 1 février 2002
Mais comme je l'ai déjà écrit "je trouve que cette fin cadre bien avec la férocité générale du livre et son aspect de conte".
Par contre, je suis assez d'accord avec toi pour dire qu'Amélie Nothomb tourne un peu en rond au niveau de ces thèmes!
Une fin logique!
Critique de Virgile (Spy, Inscrit le 12 février 2001, 45 ans) - 7 août 2001
Ce roman n'est pas mauvais, il rejouira sans doute les inconditionnels de Nothomb mais certains pourraient néanmoins reprocher un manque de renouvellement des thèmes de cet auteur.
Amélie reste égale à elle même, à la longue ca peut devenir un peu lassant...
Féroce
Critique de Tophiv (Reignier (Fr), Inscrit le 13 juillet 2001, 49 ans) - 20 juillet 2001
Attentat est un livre très intéressant qui souligne bien les paradoxes et les travers de notre société. Je suis d'accord avec Aure pour dire que la fin peut laisser perplexe. Dans la vrai vie, la réaction d'Ether aurait certainement été autre (idem pour la scène finale), mais je trouve que cette fin cadre beaucoup mieux avec la férocité générale du livre et son aspect de conte.
Forums: Attentat
Il n'y a pas encore de discussion autour de "Attentat".