La Règle de quatre de Ian Caldwell, Dustin Thomason (Co-auteur)
(The rule of four)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone , Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 25 avis)
Cote pondérée : (27 322ème position).
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Autres codes
Il fallait s’y attendre. L’engouement pour le polar ésotérico-religieux engendré par le succès du « Da Vinci Code » a accouché d’un premier émule, ce best-seller, pondu par deux jeunes auteurs américains à peine sortis de l’université, diplôme en poche.
Au centre de ce livre, un autre livre, « Le Songe de Poliphile », un ouvrage ancien extrêmement complexe dont le texte dissimule un code cryptique et secret. Ceux qui peuvent en percer le mystère se voient automatiquement riches d’une information précieuse ; l’emplacement d’une crypte contenant un trésor fabuleux vieux de 500 ans.
Situé sur le campus de Princeton, le roman présente les recherches d’un groupe d’étudiants déterminés à trouver la clé. Aussi, celle des hommes qui par le passé ont combattu pour chaque bribe de renseignement. Cet aspect du récit est intéressant. L’admiration pour la période de la renaissance italienne de la part des auteurs est contagieuse et nous met en appétit pour apprendre sur l’histoire de l’art et les mœurs de l’époque.
Toutefois, pour se rendre aux passages de l’intrigue relatant la vie tumultueuse de l’homme derrière « Le Songe de Poliphile », il faut se taper de longs chapitres ennuyeux sur la vie académique de collège, les rivalités infantiles entre les personnages et les amourettes insignifiantes de notre narrateur obnubilé.
L’écriture est plus fine que celle de « Da Vinci Code » et le propos plus érudit. Par contre, on ne retrouve pas la fougue et le style accrocheur de Brown qui rendait la lecture de son thriller si haletante. Finalement, la comparaison est boiteuse. Je dirais que « La Règle de quatre » s’apparente plutôt à « Club Dumas » de Pérez-Reverte, en raison de sa révérence pour les livres anciens.
C’est un roman rempli de bonnes idées, parfois fascinant. Mais je n’ai pu m’empêcher de penser qu’il aurait bénéficié grandement de l’œil d’un éditeur moins indulgent.
Les éditions
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La règle de quatre [Texte imprimé] Ian Caldwell et Dustin Thomason trad. de l'anglais (États-Unis) par Hélène Le Beau et François Thibaux
de Caldwell, Ian Thomason, Dustin Le Beau, Hélène (Traducteur) Thibaux, François (Traducteur)
M. Lafon / HORS COLLECTION
ISBN : 9782749902029 ; 1,16 € ; 03/02/2005 ; 368 p. ; Broché -
La règle de quatre [Texte imprimé] Ian Caldwell, Dustin Thomason traduit de l'anglais (États-Unis) par Hélène Le Beau et François Thibaux
de Caldwell, Ian Thomason, Dustin Le Beau, Hélène (Traducteur) Thibaux, François (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253114499 ; 2,97 € ; 10/05/2006 ; 446 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (24)
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Une sacrée déception
Critique de Laurent63 (AMBERT, Inscrit le 15 avril 2005, 50 ans) - 28 décembre 2011
Victime de sa quatrième de couverture
Critique de SkylarBlue (, Inscrite le 16 novembre 2010, 34 ans) - 16 novembre 2010
L'intrigue est certes un peu longue à démarrer mais est hautement plus vraisemblable que celle du Da Vinci Code et a la judicieuse idée de ne pas se finir en eau de boudin, ce qui évite d'être laissé sur sa faim.
Les énigmes tiennent la route et j'apprécie le scénario bien ficelé avec des aboutissants à la grande majorité des idées.
Le style est polyvalent, même pour les non initiés à la littérature de la renaissance, et les passages historiques sont bienvenus. J'ai apprécié les alternances entre passages historiques, intrigue policière dans le présent, et souvenirs du narrateur. On en tire une prose enrichissante, intéressante, attractive qui empêche de sombrer dans l'ennui. L'ambiance est bien imposée, avec des descriptions courtes mais concises et parlantes.
Une prose pas du tout racoleuse ni suffisante, qui fait défaut à Dan Brown, qui pour le coup se prend pour Eco, sans cependant en avoir ni le style, ni l'érudition. La Règle de Quatre est particulièrement consistante si elle est comparée au Da Vinci Code de ce point de vue.
Les personnages sont attachants et leur personnalité fait avancer le récit, ce qui n'est pas toujours le cas, et même si c'est parfois un peu évident.
C'est sûr, c'est plus pour les jeunes en mal d'un roman à portée didactique que pour les amateurs de grande littérature, mais c'est un bon polar philosophique avec de belles envolées ( passage de la boîte de Pandore et de la perspective dans le miroir ) qui se laisse lire et même relire avec toujours autant de plaisir.
Alors "si Eco et Brown s'étaient unis pour faire un roman, ils auraient écrit la règle de quatre", je suis d'accord si on considère la moyenne de leur talent, Eco le tirant vers le haut et Brown le plombant vers le bas.
J'ai tendance à penser qu'Eco a plus réussi que Brown dans ce cas.
C'est juste dommage de vouloir faire la promotion d'un livre en le comparant aux histoires d'un scribouillard qui peut volontiers se passer de quatrièmes de couvertures qui ne sont pas les siennes, au risque de rebuter un lecteur averti sur le loustic d'un bon roman n'ayant rien à voir, mais ayant hérité d'une quatrième peu flatteuse...
Arnaque à la 4ème de couverture!!!
Critique de Aurèl29 (, Inscrit le 16 novembre 2009, 40 ans) - 16 novembre 2009
Sinon pour le fond je dirai qu'il vaut mieux lire "La règle de 4" avant le "Da Vinci code". L'inverse reviendrait à s'ennuyer...c'est ce qu'il m'est arrivé...
Décevant
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 20 mai 2009
Faiblard mais délassant
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 30 mai 2008
Dans " La règle de quatre", le mystère et l'ésotérisme peuvent apparaître comme étant les clés du récit, or celui-ci est avant tout dédié à la vie universitaire, les joies du campus et des clubs étudiants. Le tout raconté de matière plutôt potache, genre Beverly Hills 90210. Les filles sont belles, les étudiants brillants, les clubs des paradis et tout va bien dans le meilleur des mondes universitaires.
Peu d'intérêt sur ce point, si ce n'est se plonger dans une certaine nostalgie, celle de ses propres études universitaires. Lointaine et heureuse période...
Revenons donc à la partie qui a fait sensation, celle consacrée à l'Hypnerotomachia ou Le Songe de Poliphile. Un ouvrage que je vous invite plutôt à découvrir via le livre de Bruno Rives "Aldo Manuzio" (voir commentaire sur le site), parce qu'ici, il lui est à peine rendu hommage. Caldwell et Thomason balayent rapidement l'ampleur du savoir encyclopédique contenu dans ce recueil, tout comme ses merveilles typographiques. Dommage, parce que c'est vraiment un livre qui mérite d'être exploité autrement, mais bon, d'un autre côté, si ça a pu familiariser des gens avec la Renaissance, Savonarole et Colonna, c'est toujours ça de pris, surtout si ça se fait en douceur et facilement.
Ouvrage léger donc, à mes yeux, qui détend et donne, je l'espère, envie de creuser davantage la période évoque. Avec un bon point: il me semble que les auteurs ne se prennent pas au sérieux comme a pu le faire Dan Brown et qu'ils savent qu'ils ne proposent pas ici la vérité. Ils le disent et en sourient. Plutôt sympathique, donc!
Une bonne idée... gâchée
Critique de Lisa86 (, Inscrite le 18 octobre 2007, 38 ans) - 1 janvier 2008
Encore une fois, l'idée de départ aurait mérité mieux, bien mieux, qu'une prose sans rythme et alambiquée où les (presque) rebondissements résonnent à la manière d'un hoquet chaotique.
Pour l'Hypnerotomachia et Savonarole
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 7 février 2007
Pour m’avoir appris l’existence de ce vieux grimoire que je ne connaissais pas, je ne regrette pas ma lecture. Ce qui m’étonne, c’est qu’ils se soient mis à deux pour écrire ça… Enfin, c’est un roman qui se passe à Princeton et qui met en scène quatre étudiants partageant la même résidence. Ça me rappelle vaguement « Le Maître des Illusions » de Donna Tartt mais en beaucoup moins bon. Dommage car l’idée de départ était bonne mais les auteurs n’ont pas réussi à rendre le tout passionnant. C’est un livre moyen au niveau de l’action et de l’intrigue. Rien à dire de plus. Ah oui, on y parle aussi de Savonarole ce qui m’a donné le goût d’en apprendre plus sur ce singulier personnage. Voilà !
Victime du marketing ?
Critique de Manu_C (, Inscrit le 19 août 2004, 55 ans) - 1 septembre 2006
L’intrigue autour des énigmes cachées dans le Songe de Poliphile n’est qu’un prétexte pour dépeindre les relations entre un petit cercle d’étudiants et quelques représentants de la génération antérieure (dont la caractéristique principale est de s’être cassée les dents sur ces énigmes pendant une vie entière). Il est vrai que les personnages sont inégaux dans le traitement et que la construction du livre est un peu chaotique. Comme de nombreuses critiques éclair le soulignent, la deuxième partie accélère le rythme en mettant l’accent sur les révélations du contenu caché de l’ouvrage et un dérapage dans les relations des intervenants qui va jusqu’aux meurtres ; le tout donne une impression de déséquilibre qui n’est, cependant, pas rédhibitoire.
Oubliez Fitzgerald, Brown et Eco (tous les trois cités bien à tort) et ouvrez ce livre comme un divertissement sans prétentions, vous pourrez alors passer un bon moment sans que ce soit inoubliable.
A tout prendre, je préfère conseiller ce livre plutôt que Da Vinci Code où l’ennui vient de l’abus de clichés ; je trouve, ici, l’imbrication des deux histoires à cinq siècles d’intervalle beaucoup plus intelligemment traitée.
Règle : cinq étoiles – 4 = une étoile
Critique de Ketchupy (Bourges, Inscrit le 29 avril 2006, 44 ans) - 30 juillet 2006
C’est lent, long, surtout les retours dans le passé qui m’ont beaucoup ennuyé, sans rebondissement et pas très mystérieux. Une fois (enfin) achevé ce roman, je n’ai pas pu répondre à une question : qu’est-ce que la règle de quatre ?? (mais peut-être que l’explication a été donnée pendant que je pensais à autre chose…)
Mais de nombreux lecteurs n’ont (heureusement !) pas cette opinion puisque le roman a été réédité et a reçu, il me semble, un prix des lecteurs.
Une histoire facile et tirée par les cheveux
Critique de Ald_bzh (Brest, Inscrite le 11 janvier 2005, 46 ans) - 6 juillet 2006
La Règle de quatre
Critique de PHENIX007 (, Inscrit le 9 avril 2006, 66 ans) - 10 avril 2006
Une fumisterie
Critique de Palawan (, Inscrit le 19 mars 2006, 77 ans) - 26 mars 2006
Rien, rien, rien dans les 360 pages ! J'aurai pu m'arrêter bien avant, mais j'ai voulu aller jusqu'au bout. Pour rien. Les souterrains de Princeton et des pseudo-chercheurs pour un mystère. Bien mince. Le style : plat, aucune envolée. Pauvreté?
La 4ème de couverture est une fumisterie honteuse. D'ailleurs je vais carrément aller le rendre à l'éditeur.
Pas prétentieux
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 23 mars 2006
La construction de la "Règle de quatre" a davantage privilégié le fond que la forme, ne se gaussant pas d'une soit disant vérité. Ici, on sait ce qu'on lit: un roman. Sans battage média. Sans la prétention de vouloir nous faire avaler quelconque couleuvre. Juste nous faire plaisir. Les ados ne sont pas boutonneux, leur psychologie est simple mais vraisemblable et sans chichis, ce sont des gens "comme tout le monde". Pas comme dans le Da Vinci.
La forme a peut-être aidé: j'ai suivi la "Règle de quatre" en livre audio. A petites doses, sur la longueur, une écoute quotidienne dans la voiture, en parallèle.
Lire, c'est, aussi, se distraire et sans être berné. J'ai donc apprécié le voyage.
ou comment surfer sur la vague
Critique de Erwan (, Inscrit le 12 décembre 2005, 51 ans) - 20 mars 2006
En fait non, ce n'est pas intéressant du tout. Prenez quelques adolescents encore un peu boutonneux, ajoutez un livre au nom imprononçable, puis une école à la Harry Potter et pour finir une énigme tirée par les cheveux. Vous obtenez un livre incompréhensible, qui n'a de mérite que de tromper le lecteur quant à la qualité de l'ouvrage.
A quand les 7 nains qui cherchent le Graal, chassés par Fredie mais sauvés par Zorro.
Ni Dan Brown, ni Umberto Eco
Critique de Mimac (, Inscrit le 3 mars 2006, 78 ans) - 18 mars 2006
Ce récit s'emmêle entre la recherche des mystères, et même de l'énigme d'un livre ancien, et la vie d'un campus d'étudiants américains. Même si l'histoire est intéressante, elle a du mal à nous captiver. Il m'a fallu attendre le dernier tiers du livre pour être enfin pris par le l'intrigue.
Dommage, car le propos est original, ce qui en fait un ouvrage tout à fait acceptable.
On nous ment ?!
Critique de Sparkling Nova (Paris, Inscrite le 6 juillet 2005, 41 ans) - 6 mars 2006
Le problème, c'est la promesse d'un "thriller ésotérique". Parce que "La règle de 4", c'est avant tout une histoire de passion et d'amitié.
Certes, tout s'articule autour d'un message caché dans un ouvrage fascinant, certes il y a des traîtres, des rebondissements, des manipulations, etc. mais la comparaison s'arrête là. Ici, c'est l'ésotérisme qui sert de prétexte aux relations entre les personnages, et non l'inverse.
Alors forcément, on est un peu déçu.
Bref, c'est un bon livre... mais pas un bon thriller ésotérique.
faut pas trop pousser!
Critique de Prouprette (Lyon, Inscrite le 5 février 2006, 40 ans) - 28 février 2006
Comme le dit une critique précédente, je me suis un peu ennuyée les 3/4 du livre. Ensuite l'enquête devient un peu plus construite, on voit enfin où l'auteur veut en venir, mais rien de comparable à Dan Brown!
Un archéothriller cérébral
Critique de Nothingman (Marche-en- Famenne, Inscrit le 21 août 2002, 44 ans) - 1 février 2006
Certes, on se doute bien que les énigmes contenues dans ce roman, et décryptées par les quatre étudiants, sont issues de l'imaginaire des deux auteurs, il n'empêche que l'on a envie d'y croire, tellement c'est passionnant, tellement cela semble plausible. Très bonne idée, en tous cas, que de partir de l'"Hypnerotomachia Poliphili", réputé pour être l'un des plus beaux livres imprimés au monde, comme l'un des plus troublants.
Quand on lit "La règle de quatre", on pense au "Nom de la rose" de Umberto Eco. Où la passion dévorante d'une œuvre ancestrale conduisait aussi les protagonistes à se déchirer et à commettre l'irréparable. On peut penser également à Dan Brown, avec la résolution d'énigmes ésotériques. Mais au contraire de l'auteur du "Da Vinci Code", les auteurs mettent ici plus l'accent sur la psychologie de leurs personnages et sur les ambiances que sur l'action. "La règle de quatre" est un roman qui prend son temps – parfois avec lourdeur – mais qui se veut néanmoins plus cérébral que chez Brown. Mais plus qu'à ces deux auteurs, ce roman m'a fait résolument songer à l'atmosphère lourde et prenante du "Maître des illusions" de Donna Tartt, où là aussi des étudiants tentaient de lutter contre des forces qui les dépassaient au sein d'un campus universitaire.
Plutôt pas mal!
Critique de Manumanu55 (Bruxelles, Inscrit le 17 février 2005, 45 ans) - 11 janvier 2006
Autour des histoires de la Renaissance, une belle mise en scène des personnages, fort sympathiques chacun dans leur style.
A lire!
La règle de quoi ???
Critique de Nem Aronnax (, Inscrit le 21 mars 2005, 50 ans) - 26 décembre 2005
Je trouve regrettable cette façon répétée qu'ont les éditeurs à nous faire passer des vessies pour des lanternes à grand renfort de publicités, de présentoirs originaux et de couvertures mystico-mystérieuses.....
La règle de 4 n'est pas un mauvais roman en soi. Il surfe, comme tant d'autres, sur la vague du succès du Code Da Vinci ou encore d'Anges & Démons..... Mais la où le célèbre ouvrage de Dan Brown bouscule nos croyances et nos certitudes, la Règle de quatre ne fait qu'éveiller un sentiment de trop peu. "Comment ? C'est déjà fini ? Ah bon !"???
Alors que le Code Da Vinci nous apprend quantité de choses (vraies et fausses, méfiez-vous !) sur l'histoire de la religion catholique et sur son évolution, la règle de quatre ne nous apprend...... strictement rien ! Elle n'éveille même pas la curiosité, cette envie d'approfondir, d'aller voir derrière ce qui se cache.
Et, comme par hasard, la Règle de Quatre bénéficie, au même titre que le code Da Vinci, de son petit livre explicatif sur le "comment comprendre ce que vous n'avez pas compris quand il n'y avait rien à comprendre...."
Cet avis est strictement personnel, mais élever au rang de chef d'oeuvre un livre qui ne sort du lot que par son titre et la pub faite à sa sortie....... Merci MM les éditeurs !! A force d'appliquer à la littérature les techniques publicitaires du cinéma, vous finissez par nous faire acheter des livres qui n'en valent pas la peine, tout comme on va au cinéma voir un navet annoncé comme le film de l'année....
Quand laisserez-vous enfin le public décider de ce qui est bon pour lui ?
Un bon livre mais ...
Critique de King Arthur (, Inscrit le 26 octobre 2005, 44 ans) - 26 octobre 2005
Il faut parfois lire des passages extrêmement longs avant d'arriver à un chapitre un peu plus passionnant concernant la recherche du secret du "songe de Polyphile".
A lire tout de même si on est un fan du genre.
Personnellement je n'ai absolument pas lu le Da Vinci Code mais vu que tout le monde dit que les deux livres se ressemblent, je n'ai pas trop envie de lire le Da Vinci Code.
Da Colonna Code
Critique de Jean Meurtrier (Tilff, Inscrit le 19 janvier 2005, 49 ans) - 22 août 2005
J'ai attaqué ce livre comme un polar, avec l'impatience que cela implique. En fait, je le considère maintenant plutôt comme un roman, assez bien écrit, contenant quelques énigmes et une intrigue sommaire. A mon humble avis, c'est le troisième tiers du récit, plus dramatique, se terminant sur un assez long épilogue, qui sort définitivement du style polar... et qui sauve le livre par la même occasion, en donnant un sens à ces longs intermèdes et un peu de profondeur aux personnages.
Je suis déçu du cas que les auteurs font du "Songe de Poliphile". Il s'agit d'une oeuvre clé de la renaissance pour son contenu artistique et son intérêt nostalgique pour l'antiquité. Ce livre a inspiré un grand nombre d'artistes et, aujourd'hui encore il fait l'objet d'une attention particulière dans mon cours d'histoire de l'architecture. Dans la "Règle de 4", on le réduit à un simple code, dont la lecture immédiate sans les clés ad hoc n'a aucun sens.
Même si c'est un peu forcé, je vais accorder un 4, parce que c'est la règle...
Bonne énigme mais problème de rythme
Critique de Christof13 (, Inscrit le 28 juillet 2004, 45 ans) - 16 août 2005
Dommage car le fond de l'histoire et l'énigme sont très passionnants et n'ont rien à envier à d'autres classiques du genre.
Encore et toujours des énigmes
Critique de Kedavra (, Inscrit le 15 mai 2005, 41 ans) - 18 mai 2005
S'il fallait le comparer à Dan Brown c'est surtout sur le style d'écriture que LA REGLE DE QUATRE sort son épingle du jeu. Incomparablement mieux écrit, ceux qui aiment la bonne prose apprécieront.
En revanche le suspens est moins au rendez vous malgré une intrigue très prenante et un dénouement moins prévisible qui laisse place à l'imagination.
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