Survivre avec les loups de Misha Defonseca, Vera Lee
Survivre avec les loups de Misha Defonseca, Vera Lee
( Misha : a mémoire of the Holocauste years)
( Misha : a mémoire of the Holocauste years)
Catégorie(s) : Littérature => Francophone , Littérature => Biographies, chroniques et correspondances
Critiqué par Toundra, le 19 février 2005
(Paris, Inscrite le 16 février 2005, 34 ans)
Critiqué par Toundra, le 19 février 2005
(Paris, Inscrite le 16 février 2005, 34 ans)
La note : 
Moyenne des notes :
(basée sur 13 avis)
Cote pondérée : (3 089ème position).
Discussion(s) : 2 (Voir »)
Visites : 8 387 (depuis Novembre 2007)
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Enfant-Sauvage
« Maman a dû voyager avec moi dans son ventre puisque je suis née en Belgique. Elle est comme un morceau de lumière dans un décor triste. »
Mischke a sept ans. Elle habite Bruxelles, elle est juive. En 1940, les Allemands envahissent la Belgique…
Elle vit ses premières années avec « Un fantôme de bonheur », enfermée dans un appartement sombre, avec un cheval de bois. Elle s’invente des mondes, regarde le pas des passants par le soupirail. Ses parents sont sans cesse sur le qui-vive, anxieux ; ils se cachent.
Et puis un jour, c’est une dame en noir qui vient la chercher à la sortie de l’école. En passant devant sa rue, elle a juste le temps de voir les camions et les soldats… Elle essaye de les rejoindre, mais on la retient. Elle est emmenée dans une famille catholique qui la cache ; mais elle est maltraitée, on lui vole ses maigres affaires…
Elle va trouver un peu de réconfort chez Grand-Père, qui habite à la ferme. Il l’initie aux travaux. C’est lui qui apprend à la fillette que ses parents sont à l’est ; il lui montre sur une carte, puis lui offre une boussole…
Quelques mois plus tard, elle s’enfuit de la maison. Vers l’est. Elle va parcourir en trois ans plus de 3 400 Km, traverser la moitié de l’Europe jusqu’aux Monts Oural. Elle va supporter la faim et le froid, voler pour se vêtir, pour se nourrir. Elle va tuer, pleurer, errer…
Elle ne sentira heureuse qu’avec les meutes de loups de la Forêt-Noire, les seuls animaux sachant aimer, loin de la guerre, du sang et des enfants morts.
Ce récit n’est pas inventé : l’auteur raconte sa propre histoire.
J’ai lu ce livre pour la première fois à 8 ans. Je n’ai pas tout compris, beaucoup de choses m’ont échappées. Je l’ai relu par la suite, deux fois, en étant plus âgée, pour faire une présentation en classe et aidée d’un professeur. Depuis, je ne veux pas me replonger dedans. Il est trop dur.
Je ne peux rien dire de plus : sauf qu’il faut le lire en étant grave, dans le silence de la lumière diffuse.
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Les éditions
-
Survivre avec les loups [Texte imprimé], de la Belgique à l'Ukraine, une enfant juive à travers l'Europe nazie, 1941-1944 Misha Defonseca avec la collab. de Vera Lee adapt. française de Marie-Thérèse Cuny
de Defonseca, Misha Lee, Vera (Collaborateur) Cuny, Marie-Thérèse (Traducteur)
Pocket / Presses pocket (Paris).
ISBN : 9782266086080 ; 5,49 € ; 04/10/1999 ; 235 p. ; Poche -
Survivre avec les loups [Texte imprimé], de la Belgique à l'Ukraine, une enfant juive à travers l'Europe nazie, 1941-1944 Misha Defonseca avec la collab. de Vera Lee adapt. française de Marie-Thérèse Cuny
de Defonseca, Misha Lee, Vera (Collaborateur) Cuny, Marie-Thérèse (Traducteur)
Pocket / Pocket jeunes adultes
ISBN : 9782266141741 ; 4,17 € ; 04/03/2004 ; 282 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (12)
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J'ai été très déçue...
Critique de Oiseau Lyre (Clermont-Ferrand, Inscrite le 17 mars 2013, 26 ans) - 23 mars 2013
J'ai lu ce livre étant très jeune, et je m'étais énormément attachée à Misha et j'admirais beaucoup son courage et sa volonté. Le fait que le récit soit autobiographique m'avait beaucoup plu et j'avais foi en ce que racontait l'auteur. J'ai appris quelques années plus tard que le témoignage était faux et j'en ai été terriblement déçue. J'ai eu cette impression que l'auteur a trahi la confiance de ses lecteurs en leur mentant. Je trouve cela vraiment dommage.
Pourquoi mentir?
Critique de Pitchou (Morges - Suisse, Inscrite le 8 mai 2010, 35 ans) - 19 juillet 2010
Survivre avec les loups est un roman étonnant.
En effet, sur la couverture on apprend que c'est une histoire vraie, c'est-à-dire l'enfance de Misha Defonseca. Cependant, il suffit d'un clic sur internet pour nous apprendre que cette histoire est fictive et que l'auteur est catholique. Je trouve donc dommage que l'auteur mente sur quelque chose qui soi-disant lui tient à cœur. C'est de la pure fiction! C'est dégoûtant pour les lecteurs.
Sinon si on regarde son roman comme une histoire fictive, ce qu'il est, je trouve que le début est sympa ainsi que les relations qu'elle entretenait avec son grand-père. Depuis le moment où elle part, qu'elle traverse les forêts, villages je trouve que l'histoire est un peu tirée par les cheveux. Est-ce vraiment possible? J'ai beaucoup de doutes... l'histoire devient beaucoup moins intéressante.
En effet, sur la couverture on apprend que c'est une histoire vraie, c'est-à-dire l'enfance de Misha Defonseca. Cependant, il suffit d'un clic sur internet pour nous apprendre que cette histoire est fictive et que l'auteur est catholique. Je trouve donc dommage que l'auteur mente sur quelque chose qui soi-disant lui tient à cœur. C'est de la pure fiction! C'est dégoûtant pour les lecteurs.
Sinon si on regarde son roman comme une histoire fictive, ce qu'il est, je trouve que le début est sympa ainsi que les relations qu'elle entretenait avec son grand-père. Depuis le moment où elle part, qu'elle traverse les forêts, villages je trouve que l'histoire est un peu tirée par les cheveux. Est-ce vraiment possible? J'ai beaucoup de doutes... l'histoire devient beaucoup moins intéressante.
Bouleversant
Critique de Ediane (Yvelines, Inscrite le 5 juin 2006, 53 ans) - 22 août 2008
Livre bouleversant, surprenant, inattendu, animal et glauque.
Histoire que je croyais vraie ^^ guerre de 39-45, camps, déportation, ...
c'est l'histoire d'une petite fille juive dont les parents ont été déportés et qui part seule à leur recherche "vers l'Est" comme elle le dit.
Elle se réfugie dans la forêt, à l'abri des regards, vole nourriture et vêtements dans des fermes isolées, marche toute la journée, se repose la nuit aux creux des racines des arbres, se lie d'amitié avec des loups et en fait sa "2ème famille".
Elle part naïve, insouciante, comme tous les enfants de 6 ans, erre ainsi pendant 4 ans. Au bout de toutes ces années, elle se rend compte qu'elle est vraiment seule, trop seule et rebrousse chemin jusqu'à sa Belgique natale. Elle y revient grandie et mûre. Elle a traversé tant d'épreuves pendant son errance que plus rien ne lui fait peur, ni mal.
Roman à lire absolument, très captivant.
Bonne lecture à tous et toutes.
Histoire que je croyais vraie ^^ guerre de 39-45, camps, déportation, ...
c'est l'histoire d'une petite fille juive dont les parents ont été déportés et qui part seule à leur recherche "vers l'Est" comme elle le dit.
Elle se réfugie dans la forêt, à l'abri des regards, vole nourriture et vêtements dans des fermes isolées, marche toute la journée, se repose la nuit aux creux des racines des arbres, se lie d'amitié avec des loups et en fait sa "2ème famille".
Elle part naïve, insouciante, comme tous les enfants de 6 ans, erre ainsi pendant 4 ans. Au bout de toutes ces années, elle se rend compte qu'elle est vraiment seule, trop seule et rebrousse chemin jusqu'à sa Belgique natale. Elle y revient grandie et mûre. Elle a traversé tant d'épreuves pendant son errance que plus rien ne lui fait peur, ni mal.
Roman à lire absolument, très captivant.
Bonne lecture à tous et toutes.
Tout de même...
Critique de Lait-Ah (, Inscrite le 17 juillet 2008, 32 ans) - 18 juillet 2008
Pour ma part j'avais énormément aimé ce livre lorsque je l'avais lu, je m'étais vraiment mise dans la peau de cette fillette. Savoir que c'était faux m'a déçue mais j'ai relativisé après tout c'est tout de même une très belle histoire et tellement bien écrit que l'on y croit.
Je l'ai lu et relu.
Je l'ai lu et relu.
Survivre avec les loups, histoire d'une fraude littéraire
Critique de Persil (Sierre (Valais), Inscrite le 15 octobre 2007, 59 ans) - 18 juillet 2008
Misha Defonseca demande pardon à ses lecteurs. L’auteur du best-seller Survivre avec les loups a reconnu jeudi, dans les pages du quotidien belge Le Soir, que l’œuvre qu’elle présentait depuis plus de dix ans comme son autobiographie n’était en réalité que pure fiction.
Extrait d'un article de presse, mars 2008
Pour ma part j'ai horreur du mensonge.
Je n'ouvrirai pas ce livre.
Extrait d'un article de presse, mars 2008
Pour ma part j'ai horreur du mensonge.
Je n'ouvrirai pas ce livre.
survivre avec les loups
Critique de Victorine (, Inscrite le 11 février 2008, 53 ans) - 11 février 2008
moi personnellement
je pense que cette petite fille a vécu des choses traumatisantes, insoutenables pour une enfant......
toutes ces horreurs de la guerre et de la séparation ....
mais je pense que certains des évènements sont exagérés !
Victorine
je pense que cette petite fille a vécu des choses traumatisantes, insoutenables pour une enfant......
toutes ces horreurs de la guerre et de la séparation ....
mais je pense que certains des évènements sont exagérés !
Victorine
Etonnant
Critique de Campanule (Orp-Le-Grand, Inscrite le 10 octobre 2007, 62 ans) - 2 février 2008
Quelle belle histoire hélas véridique.Quel parcours courageux pour cette si jeune fille.Que d'émotions et d'amour vis-à-vis des animaux et quelle haine vis-à-vis des humains.Témoignage émouvant.A lire pourquoi pas dans les écoles...
Survivre aux humains
Critique de Pascale Ew. (, Inscrite le 8 septembre 2006, 57 ans) - 16 octobre 2007
Mon Dieu, comment est-ce possible ?! Si un romancier inventait une telle histoire, personne n’y croirait ! Comment peut-on survivre à un tel parcours ? si jeune ? face à tant de cruauté et d’incompréhension ?
Ce livre est passionnant et très émouvant !
Mishke, 7 ans, part à l’est pour retrouver ses parents juifs arrêtés lors d’une rafle à Bruxelles en 1941. Elle va parcourir des milliers de kilomètres à pied, jusqu’en URSS et revenir en Belgique via la Roumanie, la Yougoslavie, etc. vers la fin de la guerre. Elle se nourrira de rapines, de vers, d’écorce et même de terre. Elle va côtoyer à deux reprises des loups. Elle verra des exécutions, un viol et ira jusqu’à tuer un homme. Ses yeux d’enfant ont vu toutes les horreurs humaines possibles. Et elle a survécu à tout. Elle a tout enduré : la faim, la soif, le froid, les maladies, la peur, les souffrances et la haine.
Ce livre est passionnant et très émouvant !
Mishke, 7 ans, part à l’est pour retrouver ses parents juifs arrêtés lors d’une rafle à Bruxelles en 1941. Elle va parcourir des milliers de kilomètres à pied, jusqu’en URSS et revenir en Belgique via la Roumanie, la Yougoslavie, etc. vers la fin de la guerre. Elle se nourrira de rapines, de vers, d’écorce et même de terre. Elle va côtoyer à deux reprises des loups. Elle verra des exécutions, un viol et ira jusqu’à tuer un homme. Ses yeux d’enfant ont vu toutes les horreurs humaines possibles. Et elle a survécu à tout. Elle a tout enduré : la faim, la soif, le froid, les maladies, la peur, les souffrances et la haine.
Sublime
Critique de Djémsy (Bruxelles, Inscrite le 7 août 2005, 37 ans) - 18 février 2007
A ceux qui pensent qu'on ne peut vivre sans le confort, je leur propose de lire vite ce livre...
C'est mon amour pour les loups qui m'a fait lire ce livre et je ne regrette pas. Même si je suis pas toujours d'accord avec la façon de penser de Misha, quand elle dit les animaux partagent et pas l'homme, parce que les loups entre eux ne sont pas des enfants de coeur non plus, ils s'entretuent aussi mais c'est moins pire que nous parce qu'ils sont plus "respectueux" je crois.
On se demande comment c'est possible de faire autant de route sans jamais se faire prendre, sans avoir un accident grave, sans mourir de faim ou de soif, c'est vraiment un destin. Ca montre encore qu'avec la volonté tout peut se faire!
C'est une sacrée école de la vie qu'on peut lire là... On peut aussi voir la vie pendant la guerre dans les villes de différents pays et je ne l'imaginais pas toujours aussi dure.
C'est mon amour pour les loups qui m'a fait lire ce livre et je ne regrette pas. Même si je suis pas toujours d'accord avec la façon de penser de Misha, quand elle dit les animaux partagent et pas l'homme, parce que les loups entre eux ne sont pas des enfants de coeur non plus, ils s'entretuent aussi mais c'est moins pire que nous parce qu'ils sont plus "respectueux" je crois.
On se demande comment c'est possible de faire autant de route sans jamais se faire prendre, sans avoir un accident grave, sans mourir de faim ou de soif, c'est vraiment un destin. Ca montre encore qu'avec la volonté tout peut se faire!
C'est une sacrée école de la vie qu'on peut lire là... On peut aussi voir la vie pendant la guerre dans les villes de différents pays et je ne l'imaginais pas toujours aussi dure.
A la recherche d'une identité perdue..
Critique de Fleur783 (, Inscrite le 8 décembre 2005, 72 ans) - 13 avril 2006
Et non, ce n'est pas un roman, malheureusement, mais le témoignage bouleversant d'une femme brisée.
La guerre, la cruauté des humains, le courage et la survie à tout prix. Une seule quête... retrouver ses parents, et à travers eux, son identité.
Comment ne pas admirer cette femme qui a attendu un peu plus de cinquante ans pour livrer ses blessures!
A lire absolument
La guerre, la cruauté des humains, le courage et la survie à tout prix. Une seule quête... retrouver ses parents, et à travers eux, son identité.
Comment ne pas admirer cette femme qui a attendu un peu plus de cinquante ans pour livrer ses blessures!
A lire absolument
Crois en toi
Critique de Manga (, Inscrite le 20 janvier 2006, 36 ans) - 15 février 2006
Un émouvant récit d’une jeune fille obligée de marcher pendant des kilomètres en supportant la faim, le froid, les dangers de la forêt par la méchanceté des hommes.
Tout d’abord, Misha doit vivre dans la restriction du fait de sa religion dans un appartement décrit tel qu’on l’imagine obscur, laissant passer peu de lumière, un appartement qui nous laisse une impression de froid au sens figuré.
Sa mère fait ce qu’elle peut pour apporter de la joie à sa fille, quant à son père, au travers des lignes de sa biographie, on le sent distant, mais il n’est pas dur envers sa fille. Puis, le destin de Misha va changer brutalement bien que sa mère l’ait mise au courant de certaines choses au retour de l’école. Une femme sombre et semble-t-il rigide va l’accoster et l’obliger à la suivre. Misha se retourne machinalement vers chez elle et voit des gens monter dans des camions. La suite de l’enfer commence à partir de là.
La pauvre jeune fille aurait besoin d’un peu de réconfort mais la femme austère qui l’a recueillie chez elle ne le voit pas de cet œil. Au contraire, elle servira de main d’œuvre en plus. C’est un nouveau coup dur. Mais, elle rencontrera sur son chemin, un grand-père chaleureux qui habite une ferme. Grâce à lui, elle va retrouver un peu de confiance aux hommes, de gaieté. Et brusquement, le destin lui réserve une nouvelle surprise. Les visites chez le Grand-père sont terminées. A partir de là, Misha va prendre une grande décision.
Elle choisira alors de vivre à la dure, au rythme de la nature et pendant ce long périple, Misha va voir son destin enfin lui sourire. C’est ainsi qu’elle découvrira la beauté des animaux et la formidable confiance qu’ils lui inspire.
Une formidable leçon de courage et une belle leçon de morale, à méditer.
Tout d’abord, Misha doit vivre dans la restriction du fait de sa religion dans un appartement décrit tel qu’on l’imagine obscur, laissant passer peu de lumière, un appartement qui nous laisse une impression de froid au sens figuré.
Sa mère fait ce qu’elle peut pour apporter de la joie à sa fille, quant à son père, au travers des lignes de sa biographie, on le sent distant, mais il n’est pas dur envers sa fille. Puis, le destin de Misha va changer brutalement bien que sa mère l’ait mise au courant de certaines choses au retour de l’école. Une femme sombre et semble-t-il rigide va l’accoster et l’obliger à la suivre. Misha se retourne machinalement vers chez elle et voit des gens monter dans des camions. La suite de l’enfer commence à partir de là.
La pauvre jeune fille aurait besoin d’un peu de réconfort mais la femme austère qui l’a recueillie chez elle ne le voit pas de cet œil. Au contraire, elle servira de main d’œuvre en plus. C’est un nouveau coup dur. Mais, elle rencontrera sur son chemin, un grand-père chaleureux qui habite une ferme. Grâce à lui, elle va retrouver un peu de confiance aux hommes, de gaieté. Et brusquement, le destin lui réserve une nouvelle surprise. Les visites chez le Grand-père sont terminées. A partir de là, Misha va prendre une grande décision.
Elle choisira alors de vivre à la dure, au rythme de la nature et pendant ce long périple, Misha va voir son destin enfin lui sourire. C’est ainsi qu’elle découvrira la beauté des animaux et la formidable confiance qu’ils lui inspire.
Une formidable leçon de courage et une belle leçon de morale, à méditer.
Un livre fabuleux
Critique de Hailie (, Inscrite le 11 juin 2005, 30 ans) - 11 juin 2005
J'ai lu ce livre à neuf ans,je me suis attachée à Misha et à son amour des animaux.J'ai adoré son histoire,ses souffrances.Sa haine des humains ne m'a pas surprise.
L'amour qu'elle porte à ses parents et son courage d'avoir lutté pour eux m'ont beaucoup émue.
Un livre à lire,sans aucun doute.
L'amour qu'elle porte à ses parents et son courage d'avoir lutté pour eux m'ont beaucoup émue.
Un livre à lire,sans aucun doute.
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| Survivre avec les loups: une pure fiction | 14 | Sahkti | 2 mars 2008 @ 23:08 | |
| Misha et son amour des animaux | 3 | Hailie | 14 février 2008 @ 10:10 |
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