Autre étude de femme de Honoré de Balzac
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Pas vraiment
Le préambule vient d'Une conversation entre onze heures et minuit" (1832).
Le récit de de Marsay, en ouverture, est plus récent : il a été publié dans L'Artiste, les 21 et 28 mars 1841, sous le titre Une Scène de boudoir.
La séquence sur La Femme comme il faut provient du recueil collectif Les Français peints par eux-mêmes. Le texte se trouve sous ce titre, signé de Balzac, dans la première série en mai 1839. La conclusion ici passe en tête et Balzac introduit quelques interventions des personnes présentes, pour rester dans le leurre de la conversation fictive
Là il faut bien reconnaître que je n'y ai trouvé qu'un verbiage sans queue ni tête. Un peu de tout concernant la femme. Balzac a la réputation sulfureuse d'être payé au mot, il prenait régulièrement des textes ou des pensées annotées qu'il assemblait pour la revente.
A oublier. (mais ce n'est qu'un avis)
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Une femme comme il faut

Critique de Cédelor (Paris, Inscrit le 5 février 2010, 53 ans) - 14 mars 2025
Puis certains d’entre eux racontent à la suite l’un de l’autre, une histoire dont ils ont été témoins, acteurs ou qu’on leur a rapportée. Le point commun à toutes ces histoires se rapporte à des femmes qui trompent le mari ou l’amant et en sont cruellement punies.
Balzac restant un formidable conteur, c’est joliment écrit, hélas l’ensemble est très artificiel, cela ne ressemble pas pour la plus grande part à une conversation normale entre amis. Cela sonne comme un assemblage de divers petits textes que l’auteur a voulu fondre en une seule nouvelle et pour cela a inventé ce dîner pour lui permettre de pouvoir placer ces petites histoires qu’il devait avoir en réserve.
La forme de la nouvelle laisse donc à désirer, la théorie de « la femme comme il faut » développée pour l’essentiel par Blondet est intéressante mais trop tirée par les cheveux, les histoires contées par De Marsay, Montriveau et Bianchon sont suffisamment accrocheuses et révèlent jusqu’à quelles cruautés peut aller la vengeance de maris jaloux.
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