Autre étude de femme
de Honoré de Balzac

critiqué par Monocle, le 13 septembre 2020
(tournai - 64 ans)


La note:  étoiles
Pas vraiment
Le préambule vient d'Une conversation entre onze heures et minuit" (1832).
Le récit de de Marsay, en ouverture, est plus récent : il a été publié dans L'Artiste, les 21 et 28 mars 1841, sous le titre Une Scène de boudoir.
La séquence sur La Femme comme il faut provient du recueil collectif Les Français peints par eux-mêmes. Le texte se trouve sous ce titre, signé de Balzac, dans la première série en mai 1839. La conclusion ici passe en tête et Balzac introduit quelques interventions des personnes présentes, pour rester dans le leurre de la conversation fictive

Là il faut bien reconnaître que je n'y ai trouvé qu'un verbiage sans queue ni tête. Un peu de tout concernant la femme. Balzac a la réputation sulfureuse d'être payé au mot, il prenait régulièrement des textes ou des pensées annotées qu'il assemblait pour la revente.

A oublier. (mais ce n'est qu'un avis)