L'Épée de Vérité, tome 01 : La première leçon du sorcier de Terry Goodkind

L'Épée de Vérité, tome 01 : La première leçon du sorcier de Terry Goodkind
( Wizard's first rule)

Catégorie(s) : Littérature => Fantasy, Horreur, SF et Fantastique

Critiqué par Pendragon, le 6 juin 2004 (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans)
La note : 9 étoiles
Moyenne des notes : 8 étoiles (basée sur 27 avis)
Cote pondérée : 8 étoiles (337ème position).
Discussion(s) : 3 (Voir »)
Visites : 21 223  (depuis Novembre 2007)

Une découverte !

Comme le mentionnent les critiques, ce livre entre effectivement de plein pied dans la plus pure tradition fantastique. Savant mélange de jeu de rôle de par le choix des personnages et de la mise en scène et du monde de Tolkien de par sa toile de fond, ce roman a tout pour plaire aux fans de littérature fantastique.

Richard est garde forestier, une vie tranquille et douce qui n’a d’originale que son amitié avec cet étrange vieillard que l’on dit sorcier, Zedd. Début pour le moins classique, ce bel équilibre sera bouleversé par l’arrivée de Kahlan, une belle étrangère qui fuit une menace plus noire que la mort… Et voilà Richard parti sur les sentiers de la guerre pour la sauvegarde de « sa » belle et, tant qu’à faire, du monde ! Il apprendra des choses qu’il aurait préféré ignorer sur sa propre nature de « Sourcier », sur les talents incommensurables de Zedd, dernier sorcier vivant et d’une puissance incroyable et sur les « êtres » qui peuplent cette terre qu’il croyait connaître. Quant aux véritables forces du mal, ma foi, il tâtera de fort près à celles-ci au travers de leçons de tortures qui n’ont rien à envier à Torquemada et il en restera, comme de juste, marqué dans sa chair et dans son âme. La fin de son périple le mènera vers la source même du Mal où il comprendra que toutes ses épreuves n’ont pas été vaines…

Ecriture riche et profonde, une connaissance parfaite du monde de la magie et des sortilèges, le tout environné de descriptions spectaculaires sur les gens, les monstres et les lieux, bref, un petit chef-d’œuvre d’un réalisme que seul Tolkien avait pu envisager jusqu’à présent… et que je recommande donc aux fans précités !

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Les éditions

  • La première leçon du sorcier [Texte imprimé] Terry Goodkind trad. de l'anglais par Jean-Claude Mallé
    de Goodkind, Terry Mallé, Jean-Claude (Traducteur)
    Bragelonne / Collection dirigée par Stéphane Marsan
    ISBN : 9782914370332 ; 25,00 € ; 28/01/2003 ; 532 p. ; Broché
  • La première leçon du sorcier [Texte imprimé] Terry Goodkind traduit de l'anglais (États-Unis) par Jean-Claude Mallé
    de Goodkind, Terry Mallé, Jean-Claude (Traducteur)
    Milady
    ISBN : 9782811211189 ; EUR 5,99 ; 20/11/2015 ; 840 p. ; Format Kindle
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Une (bonne) nouvelle saga ?

9 étoiles

Critique de Bretzel33 (, Inscrit le 14 août 2012, 40 ans) - 17 novembre 2017

Une note de 4.5 pour ma part pour cet ouvrage qui m'a beaucoup plu. On y trouve tout ce qu'il est "normal" de trouver dans un roman fantastique, voyage, combat, magie, honneur... N'est-ce pas ce que l'on cherche avec cette littérature ? Un peu trop classique disent certains, un peu trop manichéen disent d'autres, mais pour lire énormément, une histoire relativement classique est parfois bien plus efficace que les essais de mix fantasy/thriller, fantasy/sf ou d'autres mélanges que l'on trouve beaucoup maintenant avec la volonté j'imagine de se démarquer.

Mais il faut quand même dire que c'est un livre qui perd beaucoup à la relecture. La magie de la découverte étant passée, ces critiques que j'ai essayé de minimiser plus haut prennent, de bon droit, toute leur pertinence.

Critique du roman

9 étoiles

Critique de Lecteursf (, Inscrit le 4 janvier 2017, 26 ans) - 4 janvier 2017

Terry Goodkind, auteur Américain né en 1948 à Omaha (Nebraska), peut être considéré comme le nouveau Tolkien, ou, tout du moins, le Tolkien Américain. En effet, il connut des périodes que nous pourrions qualifier de "difficiles" avant d'embrasser le succès avec ses livres, tout comme son alter-ego. Nous pourrions néanmoins noter ici une petite différence entre les deux auteurs. Alors que Tolkien était au chômage lorsqu'elle a commencé la rédaction de Harry Potter, Goodkind a comme qui dirait un curriculum vitae assez garni, puisqu'il a une formation d'art de la ville avec une spécialité de représentation de la faune et de la flore, pour ensuite préférer une carrière de menuisier. Pour finir, il se concentra sur la fabrication d'instruments de musique (violons) et s'intéressa également à la réparation d'objets rares et exotiques. Il est possible que ce soient toutes ces compétences qui façonnèrent l'auteur complet qu'il est devenu. L'environnement qui aida beaucoup l'écrivain à écrire La Première leçon du sorcier, publié en 1984, est la chaine montagneuse couverte de bois se trouvant dans le nord-est des USA, et dans laquelle il construisit avec sa femme une cabane. C'est d'ailleurs dans cette cabane qu'il va écrire le premier tome de la saga L'Epée de Vérité.


I. L'Intrigue
Richard est, au début du roman, un guide forestier lambda résidant à Hartland, la capitale de Terre d'Ouest (l'un des trois pays constituant le monde de la série L'Epée de Vérité), où il réside dans une cabane au coeur des bois bordant la frontière magique séparant Terre d'Ouest et les Contrées du Milieu.
L'aventure commença véritablement avec la découverte par Richard d'une liane-serpent proliférant rapidement sur les les arbres bordant la frontière magique. Il fait par la suite la rencontre de la mère Inquisitrice Kahlan Amnell, poursuivie par un quatuor de tueurs. La rencontre de cette dernière avec le Grand Sorcier et ami de Richard, Zeddicus Zul'Zorander, fut l'élément déclencheur pour l'intrigue du roman, puisqu'il permit à Richard de découvrir son don de Sourcier.
Ils feront la rencontre de nombreux personnages plus ou moins importants qui aideront le trio principal d'héros. Nous avançons ainsi de rencontre en rencontre pour permettre aux héros d'avancer vers la victoire finale.

II. Les personnages
Le roman qui nous intéresse est une vraie mine d'or concernant le nombre de personnage, puisque nous pouvons voir la complexité des relations inter-personnages. En effet, nous suivons les aventures du quatuor d'amis formé par le guide forestier Richard Cypher, le sorcier Zeddicus Zul'Zorander, la mère Inquisitrice Kahlan Amnel et le garde frontière Dell Branstone (Chase) à travers les trois pays qui composent leur monde (D'Hara, les Contrées du Milieu et Terre d'Ouest). Durant leur voyage, ils firent la rencontre de nombreuses personnes qui vont plus ou moins les aider. Nous développerons les "biographies" des différents personnages dans les parties suivantes. Nous y verrons aussi quel rôle chacun d'eux jouera dans le roman.
A. Les personnages principaux
Nous pouvons voir que le roman met en exergue quatre personnages que sont Richard Cypher, Kahlan Amnel, Zeddicus Zul'Zorander et Dell Branstone (Chase). Nous allons nous intéresser successivement à chacun de ces personnages.
1. Richard Cypher
Nous faisons la rencontre de ce personnage important dès le début du roman, alors qu'il se promenait dans les bois qui bordent la frontière magique séparant Terre d'Ouest (pays d'origine du héros) et le monde des morts. Il nous est dit dès l'incipit qu'il travaillait comme guide forestier dans la région de la frontière. Après qu'il ait fait la connaissance de la mère Inquisitrice Kahlan et qu'il l'ait emmené par ignorance chez son ami le sorcier Zedd, sorcier qu'elle cherchait, il apprend qu'il est l'élu et qu'il est le Sourcier. C'est à partir de ce moment qu'il va avoir le pouvoir de tuer à l'aide de l'épée de vérité, en contrepartie de la douleur que lui inflige à chaque fois la magie de l'épée. A la fin du roman, nous apprendrons que le héros est le fils du tyran Darken Rahl.
2. Kahlan Amnell
Mère Inquisitrice originaire des Contrées du Milieu, elle fit la rencontre de Richard alors qu'elle était poursuivie par un quatuor (groupe de quatre tueurs envoyé par le tyran Darken Rahl). Elle était à la recherche du grand sorcier Zddicus Zul'Zorander dont elle ignorait l'identité au départ. Lorsque ce dernier "institua" son poussin Richard Cypher comme étant le véritable Sourcier, l'Inquisitrice jura son allégeance à ce dernier pour le protéger contre vents et marées. Elle va mettre cette promesse en route à la fin du roman, lorsqu'ils pensèrent que le jeune homme était mort, ce qui entrainera chez elle la Rage du Sang. Ce Kung-Dar l'a un peu aveuglée, mais il va lui permettre d'éviter d'asservir l'amour de sa vie avec son pouvoir.
3. Zeddicus Zul'Zorander
Zddicus Zl'Zorander (plus connu sous le nom de Zedd) est le grand sorcier qui a eu un rôle très important à jouer dans la création des trois pays et des frontières magiques avant le début du roman. Le sorcier est chargé de nommer le Sourcier, détenteur de l'Epée de Vérité, ce qui fut fait lorsqu'il nomma Richard à ce poste après l'arrivée de la mère Inquisitrice Kahlan Amnell. Ce personnage a un caractère que nous pourrions qualifier de "binaire", puisqu'il peut être très sombre (en particulier lorsqu'il pense son protégé mort), et très joyeux et affamé (à peu près souvent).
4. Dell Branstone (Chase)
Il s'agit d'un garde-frontière tout en muscles et ami de Richard Cypher. Il aura un rôle important dans deux parties du roman. Nous le découvrons au début du roman lorsque Kahlan fut de passage dans leur ville, et les guida jusque chez la dame aux ossements, nommée Adie, qui habite à Havre du Sud, près du passage reliant Terre d'Ouest et les Contrées du Milieu. Sa deuxième apparition fut à la fin du roman, avant la rencontre avec Darken Rahl et l’enlèvement de Richard. Nous ne le quitterons plus, et il assista, impuissant car emprisonné par une Toile de Sorcier (sort jeté par Darken Rahl), à la fin de ce dernier.
B. Les principaux personnages secondaires
Le roman que nous étudions actuellement nous présente une multitude de personnages secondaires, allant du plus important qu'est Darken Rahl aux moins importants que sont les enfants. Nous n'en étudierons néanmoins que quelques uns dont le rôle influe l'aventure de nos héros.
1. Darken Rahl
Sorcier du côté obscur jouant un rôle central dans le synopsis du tome 1 de L'Epée de Vérité, puisque les personnages, que nous énumérions ci-dessus, essayèrent de l'arrêter tout au long du roman. Le projet échafaudé par Rahl (surnommé Le Petit Père Rahl) est d'unifier les trois pays (D'Hara, Contrées du Milieu et Terre d'Ouest) et les deux formes de magie (Magie Additive et Soustractive) existant dans leur monde grâce à la magie d'Orden. Il va finir par réunir les trois boites d'Orden à la toute fin du roman grâce à l'aide de nombreux personnages ne jouant pas un rôle très important dans l'histoire. Richard va lui indiquer quelle boite il doit ouvrir pour régner sur le monde, mais son choix va lui coûter la vie.
2. Adie, la Dame aux ossements
La vieille femme, véritable magicienne férue d'ossements, est considérée par les habitants de Havre du Sud comme étant folle, mais ce serait aller contre la vérité que de considérer cette opinion comme la réalité. En effet, nous pourrions considérer la vieille Adie comme étant une magicienne "bénéfique", puisqu'elle aide Kahlan et Richard à traverser le passage reliant Terre d'Ouest et les Contrées du Milieu. Ainsi, nous pourrions qualifier le rôle de ce personnage est indispensable dans le déroulement du livre.

3. Denna la Mord-Sith
Personnage important de la fin du roman, Denna est le deuxième personnage féminin qui joue un rôle prépondérant dans l'aventure. En effet, c'est elle qui va "dresser" Richard pour qu'il devienne un parfait "petit chien". C'est également grâce à elle que le héros va réussir à découvrir la deuxième facette du Sourcier sommeillant en lui, celle de l'amour. Grâce à la maltraitance autant psychologique que physique que fit subir la Mord-Sith à ce dernier, il va en ressortir plus fort et cela va lui permettre de s'opposer de manière égale à Darken Rahl.
4. Cara la Mord-Sith
Collègue de Denna, elle se révèle pire que cet-te dernière. Elle est aussi impitoyable lorsqu'elle s'acharne sur Richard durant son "dressage". Nous pourrions ainsi mettre en opposition cette Mord-Sith et sa soeur Denna, puisque nous pouvons voir qu'alors que la première prend un plaisir non dissimulé à faire souffrir le Sourcier, la seconde se montre plus tendre avec ce dernier.
5. La reine Milena
Dirigeante de l'un des nombreux pays constituants les Contrées du Milieu, Tamarang, la reine Milena joue un rôle relativement important dans la partie centrale du roman. Nous pouvons voir que ce personnage est plutôt néfaste, puisqu'elle va consciemment aider Darken Rahl à avoir la dernière boite d'Orden malgré les petits désagréments qu'ils subirent à cause de Rachel.
6. La Princesse Violette
Personnage secondaire sans véritable rôle important, elle est réduite à la figuration lors de ses quelques apparitions avec sa mère. Nous pourrions néanmoins émettre un doute, puisqu'elle semble être le double enfantin de sa mère, la reine Milena, lorsqu'elle a des accès de cruauté, ou quand Richard la menace de son épée lorsqu'elle est injurieuse envers Kahlan. Nous pouvons penser ici que Violette se prépare à prendre la place de sa mère, et respecte elle aussi Darken Rahl.
7. Michael Cypher
Demi-frère de Richard et premier Conseiller de Terre d'Ouest, il va trahir sa patrie à la fin du roman lorsque Darken Rahl est sur le point de gagner. C'est ce qui permit de renforcer les liens existant entre Richard, Chase, Zedd et Kahlan. Nous faisons la connaissance de ce personnage au début du roman lorsque nous suivons le quotidien de Richard avant sa rencontre avec la mère Inquisitrice.
7. La petite servante Rachel
Véritable souffre-douleur de la princesse Violette, Rachel est sujette à beaucoup de violences de la part de cette dernière. Elle aura toutefois un rôle important dans le tome 1, puisqu'elle sera la "protectrice" de la boite d'Orden possédée par la reine Milena que lui aurait confier le sorcier Giller pour éviter qu'elle ne tombe entre les mains du sorcier Giller. Sa rencontre avec les héros Richard et Kahlan va permettre à nos héros d'avoir un avantage considérable sur le tyran, avantage qu'ils ne garderont pas longtemps.
8. Le sorcier Giller
Sorcier attitré de la reine Milena et défenseur de la paix et de la démocratie dans leur monde, Giller a voulu modifier la destinée du royaume de Tamarang et, plus généralement, des Contrées du Milieu. Pour ce faire, il confia la boite d'Orden à Rachel, la souffre-douleur de la princesse Violette, pour qu'elle puisse s'enfuir avec cette boite avant l'arrivée du tyran de D'Hara.
9. Siddin
Enfant du Peuple d'Adobe enlevé par Darken Rahl, il va permettre au Peuple d'Adobe de s'unir avec nos héros afin de les soutenir face à Darken Rahl.

III. Avis personnel sur La Première leçon du sorcier
Selon nous, le premier tome de L'Epée de Vérité est une excellente entrée en matière pour une série de science-fiction mélangeant plusieurs thèmes de ce genre littéraire, thèmes que sont les frontières magiques, la magie en général et les dimensions parallèles. Nous pensons également penser que ce premier tome est une critique implicite du totalitarisme tel qu'il peut avoir lieu en Corée du Nord ou encore en URSS. En partant de ce principe, nous pourrions comparer nos héros avec la démocratie occidentale. Ainsi, nous pouvoir voir que ce roman est encore une représentation de la victoire des démocraties sur le totalitarisme.
La leçon du sorcier exposée dans ce roman nous invite à réfléchir sur nos capacités à résister aux oppressions que nous infligeraient nos ennemis. Ainsi, Richard est un peu la représentation que nous nous faisons du héros lambda au destin extraordinaire, héros dont nous aimerions tous être à sa place.


Pour conclure, nous sommes en mesure de penser que ce roman est excellent autant sur le plan scénaristique que sur le plan critique implicite. Nous pourrions ainsi comparer l'auteur Terry Goodkind et son héros principal Richard Cypher, en particulier au début du roman. Nous pouvons faire un parallèle entre l'environnement de la région de Tamarang où habite le héros et la région montagneuse du nord-est des Etats-Unis où réside l'auteur. Ces deux régions sont également boisées, et nous pourrions être amenés à penser que Goodkind a voulu se référer à un personnage qui lui ressemble et à lui faire avoir des aventures folles.

La découverte d'une nouvelle écriture

7 étoiles

Critique de Prose-Cafe (, Inscrit le 30 décembre 2014, 50 ans) - 30 décembre 2014

Je l'achète ou pas ? J'ai cédé ! Pourtant en voyant le prix j'ai tiqué. 25€, je me suis dit que c'était étonnant, généralement Bragelonne pratique des petits prix. Mais quand je l'ai ouvert >:-O. 700 pages au format A5 avec peu de marge, j'ai "Ah oui quand même !"
Sur la première couverture, il est écrit que Terry Goodkind révolutionne la fantasy comme l'a fait J.R.R Tolkien dans les années 60.
Mouai !

L'Epée de Vérité est un Fantasy Epique tout ce qu'il y a de plus classique, ce n'est donc pas ça qui m'a extasié, par ce que je suis tout de même resté scotché.

Ce qui m'a bluffé c'est l'écriture. Chaque auteur(e) ou futur auteur(e) devrait au moins lire le tome 1 (le 14 vient de sortir >:-D).
Je n'ai jamais rien vu de tel même chez Tolkien.
L'écriture est parfaite.
Le scénario se déroule sans accroc de façon naturele comme si l'histoire avait toujours existé.
Le passé simple dont mes amis les auteurs usent et abusent est quasi inexistant, tout est dans l'action, les sentiments, un langage de tous les jours mais si il est "imparfait" >:-D
Les personnages sont fouillés, retournés, à nu, ils sont nous. Ils sont tellement naturels que ce sont nos amis, notre famille, nos voisins.
Le décor ? je ne m'y suis jamais rendu mais je le connais comme ma chambre

Je me suis retrouvé à savourer jusqu'à la dernière page de cette écriture.

un très bon livre

8 étoiles

Critique de Mendou (, Inscrit le 21 mai 2012, 31 ans) - 24 décembre 2013

n'ayant lu que le premier tome , je n'ai pas de jugement sur la série en entier, En revanche, je suis très satisfait de ce premier opus que je trouve très bien écrit , avec un agréable déroulement de l'histoire.
Le dénouement n'apparait que dans les ultimes pages du livre , laissant avant lui une suite de rebondissements qui vous incite à ne pas refermer le bouquin tout de suite
De plus , j'apprécie la relation belle et sincère (sans tomber dans la niaiserie) de Kalhan et Richard

Testé et approuvé pour tous les lecteurs de fantasy

Plutôt classique mais réussi.

8 étoiles

Critique de Amnezik (Noumea, Inscrit le 26 décembre 2006, 56 ans) - 22 juin 2012

Les fans de littérature de fantasy ne seront pas dépaysés avec L’Epée De Vérité, toutes les bases du genre sont en effet réunies pour pour s’immerger totalement dans l’univers de la saga, un habile cocktail d’action, de magie, d’émotion et d’humour. La lecture de ce premier tome donne envie de poursuivre l’aventure même si l’on peut regretter un certain classicisme dans la sempiternelle lutte entre le Bien et le Mal, en cela les personnages et les situations sont bien moins complexes et nuancés que ceux du Trône De Fer du coup on peut avoir l’impression par moment que l’intrigue manque de maturité (certains dialogues sont même franchement cuculs). Paradoxalement la saga n’hésite pas à se détacher l’univers heroic fantasy classique cher à Tolkien en posant les bases d’un univers qui lui est propre et qui reste convaincant au demeurant.
Je lui aurais sans doute accordé 5 étoiles si je n'avais pas découvert Le Trône de Fer avant...

Mauvais, malheureusement ...

4 étoiles

Critique de Pazuzu (, Inscrit le 10 mai 2012, 52 ans) - 10 mai 2012

Deux étoiles pour l'imagination de Goodkind, qui n'hésite pas à mélanger les pires clichés de la Fantasy avec des idées moins conventionnelles. Je trouve le mélange rafraîchissant.
Malheureusement le style d'écriture est épouvantable (peut-être la faute à la traduction ?) et les dialogues sont d'une niaiserie incroyable ... peut-être les pires que j'ai pu lire en Fantasy...
A réserver aux jeunes lecteurs (pas trop quand même, certaines scènes sont assez dures...), le genre de livre facile à lire qui peut donner envie aux jeunes de lire plus régulièrement.

Rien n'est jamais facile....

9 étoiles

Critique de Frum (, Inscrit le 6 décembre 2011, 48 ans) - 27 décembre 2011

Il n'est jamais facile d'écrire une telle saga, il n'est jamais facile de marcher sur des plates bandes mythique telles que celle de Tolkien... Et pourtant Terry Goodkind y parvient à merveille en nous pondant une œuvre d'une densité incroyable, bien que beaucoup plus simple d’accès qu'un "Lord of the Ring". A travers des personnages attachants un scenario bien ficelé et un dosage très savant de l'univers fantasy ( les boules de feu ne volent pas toutes les deux pages), Goodkind nous pond le premier tome d'une série qui fera date dans l'histoire de l'heroic fantasy. A lire pour tous les amateurs du genre.

Vraiment très bon mais pas excellent...

9 étoiles

Critique de Erudia (, Inscrit le 13 novembre 2011, 39 ans) - 13 novembre 2011

Alors voilà, tout d'abord je conseille vivement à quiconque hésiterait encore de sauter immédiatement le pas, une fois qu'on a lu les quelques bouquins de fantasy/héroic-fantasy les plus en vitrine, les plus médiatisés alors on se retrouve dans une situation particulière où l'on recherche à nouveau des livres capables de nous faire revivre inlassablement des situations aussi palpitantes, excitantes de découverte etc...
Et bien trop souvent l'on tombe sur des livres avec une couverture tentante, un résumé aguicheur mais un contenu vraiment moyen, rassurez-vous cette saga est énorme, des personnages très profonds, des détails crus et sans détours sur les méfaits des gens durant un conflit, des femmes ultra-charismatiques et des fois assez morbides, de la magie puissante, de l'aventure, de la découverte, des créatures fantastiques et beaucoup de réflexion... attention âme sensible, je trouve que ce livre contient notamment dans le tome 1 des passages assez durs surtout dans le traitement du héros principal (mord-sith...)...

J'ai en revanche, une critique et de taille qui est la TRES grande frustration que l'on peut ressentir dans les capacités/pouvoirs du personnage principal qui est à mon goût bien trop bridé dans cette oeuvre, je fais référence à ses pouvoirs magiques où à mon sens l'auteur a fait une bourde énorme qui aurait placé son cycle vraiment tout en haut de l'affiche... Richard réussit quelques coups en fin de romans sans savoir comment il a fait.
L'on peut aussi ne pas aimer les dénouements qui se réalisent en dernières pages.

Bref, vraiment un roman à lire à tout prix avec quelques points négatifs vraiment dommageables à cette oeuvre !

La meilleur fantasy du moment!

9 étoiles

Critique de Maxrun (, Inscrit le 23 avril 2009, 45 ans) - 17 mars 2011

J'ai lu le premier roman de cette série il y a quelques années, depuis j'attends avec impatience la sortie de chaque nouveau volume, un signe que ne trompe pas. Goodkind a un art tout à fait unique et particulier (parfois sombre, parfois sirupeux) pour nous intriguer et nous tenir en haleine.
A lire absolument si on aime le genre!

Habilement élaboré pour plaire au plus grand nombre

7 étoiles

Critique de Blue Boy (Saint-Denis, Inscrit le 28 janvier 2008, - ans) - 31 janvier 2011

Je n’ai jamais été spécialement fan de heroic-fantasy et pourtant je dois dire que je me suis bien laissé embarquer dans cette histoire de quête et cet univers... L’auteur a un talent de conteur évident, une imagination prolifique et un sens de l’intrigue indéniable, avec de multiples rebondissements. Les personnages aussi sont attachants avec leurs forces et leurs faiblesses, et malgré leur statut extraordinaire, se posent les mêmes questions que les gens ordinaires…

Le point d’orgue de l’histoire est sans conteste la capture de Richard par la Mord-Sith Denna, qui fera passer à ce dernier plus qu’un sale quart d’heure, et nous fournira par là même une intéressante étude sur les pratiques SM qui font vraiment mal !… on se demande d’ailleurs comment le héros va s’en sortir et surtout s’il va s’en sortir entier. Mais là encore l’auteur réussira à nous surprendre…

J’ai par contre été beaucoup moins convaincu par cette histoire d’amour impossible entre Richard et Kahlan, dans le plus pur style « belle comtesse vos beaux yeux me font mourir d’amour », juste là semble-t-il pour attirer un public des midinettes. Ces dernières seront à coup sûr comblées par un Happy End dans les règles… Et j’ai encore moins marché avec le dragon Scarlet doué de parole, qui rappelle une mièvrerie à la Disney, alors que l’instant d’avant, on partage le sort atroce de Richard dans une salle des tortures digne des enfers… Cela créée une trop grande rupture de style dans le récit, comme si l’auteur avait cherché à utiliser des raccourcis scénaristiques, peut-être épuisé comme son héros par le calvaire infligé par sa tortionnaire.

Pourtant dans l’ensemble, ça tient la route, même si je n’ai pas retrouvé la force épique d’un Seigneur des anneaux. Goodkind a peut-être fait l’erreur de se disperser en voulant plaire au plus grand nombre. Dire que je suis impatient de connaître la suite, c’est beaucoup dire, mais clairement je suis loin d'avoir été ensorcelé…

l'écriture paradoxale

8 étoiles

Critique de L'aventure (, Inscrit le 6 juillet 2007, 52 ans) - 8 décembre 2010

Ce roman est parfois un peu convenu et sans surprise.
Mais sa lecture est très prenante, impossible de décrocher.
Ce qui est le plus surprenant c'est l'extrême entre "les gentils et les méchants", l'écriture semble avoir été faite à deux mains tellement la noirceur de certains passages contraste avec la plus grande partie du récit.
Pour les amateurs de Fantasy: -> Foncez le lire.

Ensorcelés par ..... l'Amour !

5 étoiles

Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 18 août 2010

je ne suis pas un fan de " fantasy " et je n'ai lu ce bouquin ( 630 pages ! ) que parce qu'il m' a été offert .
Jusqu'alors , je n'avais été séduit que par " Le Seigneur des Anneaux " ( Tolkien ) et très déçu par d'autres tentatives dans le même genre .
J'avoue que les 200 premières pages m'ont semblé mièvres mais les choses s'enchainent bien après ; l'histoire se met en place et le contour des personnages s'éclaircit .
Je garde cependant une impression très mitigée sur l'ensemble car on voit les choses venir de loin ( On se rend rapidement compte que Richard et Kahlan se sauveront mutuellement par leur AMOUR réciproque !!!! )
60 pages consacrées aux tortures infligées par la Mord-Sith à Richard......... c'est un peu ' too mutch " . D'une manière générale , je trouve que l'auteur nous livre de la violence ( torture , sang , épisodes malsains , ....... ) un peu trop facilement . Je ne suis pas certain que cela apporte beaucoup .
En conclusion ; histoire sympa ( mais un peu " neuneu " ) et personnages attachants ( le dragon à la fin apporte une petit touche d'humour qui fait du bien )
Quand à savoir si je vais attaquer le tome 2.......... faut voir !

Grande série.

10 étoiles

Critique de Yogi (, Inscrite le 12 août 2008, 59 ans) - 12 mai 2010

Enfin, une grande série.
Cette série a été un classique en termes de romance entre le bien et le mal.
Pour moi, cette série m'a poussée à aller au-delà de mes limites car je ne suis pas un fan de fantaisie. J’ai beaucoup appris en matière de respect, d'honneur et de la vie dans ces contrées lointaines.

Pour moi, la profondeur des personnages, leurs interactions et leur philosophie m'ont attirée à aller de l’avant . Vous devenez une partie de l'histoire. Leurs espoirs et leurs désirs deviennent les vôtres.

Je ne peux que dire du bien de ce livre, et le fait qu'il est désormais l'un des meilleurs de sa catégorie me fait énormément plaisir. Une découverte!

Une chef d'oeuvre à sa manière.

10 étoiles

Critique de Erasme (, Inscrit le 23 mars 2010, 30 ans) - 23 mars 2010

J'ai lu tous les tomes qui existent à ce jour et je puis affirmer que c'est l'une des séries qui m'a le plus accroché. Plein de rebondissement je suis resté suspendu aux lignes du début jusqu'à la fin.

Bien que certaines parties dans certains tomes peuvent paraitre assommantes il n'en est pas moins que ce sont des parties très importantes des tomes.

Je ne m'attarderai pas sur cette partie négative tellement j'ai adoré ce livre. Et je suis pourtant difficile sur ce qu'on me donne à lire.

Je conseille à tous les jeunes qui n'aiment pas lire d'ouvrir cette oeuvre qui est pour moi un bon moyen de donner le goût de la lecture aux jeunes. Cependant certaines scènes peuvent paraitre violentes, je pense que ce livre s'adresse à un public disons ... de plus de 12 ans.

Pour finir je radoterai en disant que c'est une histoire superbement accrochante et passionnante.

Superbe !!!

10 étoiles

Critique de Marsup (, Inscrit le 22 octobre 2009, 48 ans) - 10 décembre 2009

Le 1er tome (ou pavé) d'une grande saga ! Un monde envoutant avec des personnages attachants, une histoire captivante, de nombreux rebondissements, le tout sur un rythme mené tambour battant !!! Frissons, lyrisme et romantisme sont au rendez-vous. Un roman à ne pas rater. Il donne envie de dévorer le suivant, ce que je suis en train de faire...

(petit avertissement : certaines scènes sont assez violentes et gores !)

La fantasy n'est pas morte

8 étoiles

Critique de Sabyne (, Inscrite le 4 octobre 2005, 51 ans) - 11 mars 2009

Terry Goodkind a su créer un univers dans lequel on entre très facilement mais dont il est difficile de se dégager. Si on ajoute à cela une écriture dense, une intrigue où se succèdent découvertes et rebondissements, nous voilà pris dans une histoire dont on a très envie de lire la suite. Cela nous change de ces wagons de livres de fantasy sans saveur mais lucratifs qui m'avaient éloignée de ce genre.

une réussite!

9 étoiles

Critique de Mariebel (Paris, Inscrite le 1 novembre 2008, 37 ans) - 1 novembre 2008

Des personnages attachants, une intrigue captivante, on est vite transporté dans l'univers de Terry Goodkind. Même si certains passages sont longs ou d'autres difficiles, on n'arrive pas pour autant à se séparer du livre.
On ressort finalement heureux de cet univers en pensant à tous les autres volumes et aventures qui restent à lire...!

Un savoureux mélange d'émotions...

9 étoiles

Critique de Maelström (, Inscrit le 28 juin 2008, 32 ans) - 28 juin 2008

Mêlant bonheur, souffrance, amour, dégoût, bravoure et terreur, cette œuvre joue sur les sentiments du plus doux au plus horrible. Ne sortant pas du schéma près formaté des gentils héros contre les ignobles méchants, l’aspect terrifiant des sbires de Rahl, donnent cependant une bonne raison au héros de se lancer dans cette quête initiatique. Transporté dans ce monde dès les premières pages, je me suis surpris à ne plus pouvoir m’en extirper. L’histoire est en effet extrêmement bien construite et le suspens vous poussera à vous délecter de chacune des 691 pages que compte le roman. Hormis le fait que le personnage principale manque cruellement de charisme ne serait-ce que par son nom : Richard Cypher (Beurk ! Pas très fantasy tout çà ! Et Darken Rhal...Oooh mon dieu !...), l’univers décrit par Terry Goodkind vous dépaysera à coup sûr. Le dégoût ressenti à chaque apparition des « plus-que-méchants » laisse vite place au sentiment jouissif de les voir mourir.
Ainsi, malgré quelques stéréotypes et certaines choses qui auraient pût être à parfaire, les qualités de ce roman nous font oublier chacun de ces défauts.

Sur ce, bonne lecture et un bon conseil : laissez-vous dominer par le livre !

Coup d’épée dans l’eau

6 étoiles

Critique de Belial (Anvers, Inscrit le 25 août 2005, 45 ans) - 25 mars 2008

Encore quelqu’un qui surfe sur la vague du roman-fleuve de fantasy, directement inspiré de Tolkien, ça passe encore mieux. Est-ce qu’après la lecture de l’Epée de Vérité vous vous sentirez vraiment grandi ? Quelques milliers de pages plus loin ? Rien n’est moins sûr.
Sans vouloir jeter la pierre à Terry Goodkind, sa personnalité intrigue. Au travers des interviews qu’il donne ici et là, il apparaît comme assez sûr de lui (euphénisme) et appuie sur la prétendue maturité de son œuvre. Ce qui est certain est que celle-ci ne brille pas par sa digestabilité.
La première Leçon du Sorcier est un roman sur la souffrance. Souffrance récurrente de ses personnages principaux et secondaires, et souffrance des pauvres millions de lecteurs, luttant pour arriver au bout de ce pavé. Car oui, le bestiau manque fichtrement de rythme et n’est pas vraiment bien écrit. On a l’a une quête initiatique comme la fantasy en a enfanté des tonnes et des tonnes. Sauf que l’auteur tente de montrer les poncifs de manière plus adulte et de creuser en profondeur les thèmes moraux qu’il aborde. Il y a la filiation tout d’abord, avec le mystère qui plane sur les origines de Richard, le héros. Tout a un coût chez Goodkind, les héros sont quasi-systématiquement obligés par la douleur physique et mentale pour franchir des étapes et avancer dans l’intrigue et dans leurs vies respectives. Intéressant par moments, mais pas franchement détartrant non plus, et la tendance à virer aussi souvent que possible au macabre, à la perversité, à la violence, sans que cela soit réellement productif en dit long sur la sanité de Goodkind.
Au final, des qualités dans les angles moraux et philosophiques que Goodkind essaye d’apporter au roman d’aventures et de fantasy, mais le bonhomme ne semble pas avoir les moyens de ses ambitions, bien qu’il semble s’en être persuadé, par je ne sais quel miracle.

heureuse découverte...

9 étoiles

Critique de Constancee (, Inscrite le 12 août 2007, 31 ans) - 12 août 2007

A l'occasion d'un anniversaire, j'ai reçu les deux premiers tomes de "l'épée de vérité". Bien que les deux soit un vrai délice, le premier reste un "coup de coeur".

En effet, dès les premières lignes, on plonge dans le monde de Goodkind facilement. J'ai souvent eu l'impression de lire trop lentement tellement les rebondissement s'enchaînent vite.

Goodkind a réussi à recréer un monde à la manière de Tolkien, qui est, à mon avis, le plus grand génie de fantasy.

Seul petit point négatif : le personnage de Richard. Aux yeux de Goodkind, le sourcier est un être presque parfait, bon et généreux naturellement, qui, avec le temps, sera entièrement parfait (en tout cas c'est ce que je pense).

Autrement, je trouve que la plupart des autres personnages ont un caractère bien défini à chacun, ce qui fait que nous ne pouvons mélangés les héros entre eux.

A la suite de la lecture des tomes 1 et 2 de "l'épée de vérité", j'ai fait l'achat des tomes 3, 4 et 5 qui sont, eux aussi, des vrais chefs-d'oeuvre d'inventivité.

Un plaisir !

9 étoiles

Critique de Babsid (La Varenne St Hilaire, Inscrite le 8 mai 2006, 37 ans) - 22 juin 2007

Non seulement, on prend plaisir à lire ce roman la première fois mais aussi les fois suivantes.
Bien que l'effet de surprise ne soit plus là, l'histoire reste passionnante.
Tout s'enchaîne très vite, on alterne des moments de bonheur et d'autres de cauchemars totals.
Que dire à part, lisez vite ce roman, dépaysemment garanti !

Le tome 1 est lu, vive le tome 2 !

8 étoiles

Critique de Wakkafr (Paris, Inscrit le 12 juin 2004, 51 ans) - 21 février 2007

Voilà longtemps que je me plaignais de ne pas avoir sous le coude un livre qui me dévorerait plus que je ne le dévorerais moi-même. Eh bien j'ai trouvé... Tom1 Tome2 c'était mon Noël... (oui j'ai vraiment été très sage). J'ai achevé le premier aujourd'hui et je me suis régalé !!!

Je ne mettrai pour autant pas la note maximale parce que j'ai trouvé qu'il y avait des raccourcis impressionnants dans les péripéties des personnages du genre : on est dans la pire des situations mais hourra on s'en tire vite fait. D'un autre côté c'est aussi la force de ce bouquin : pas de descriptions à n'en plus finir qui ne servent (bien souvent) qu'à délayer l'histoire... Ici on sait direct à quoi s'en tenir et les personnages (surtout Richard) vont passer de sales quarts d'heure !!
En fait je me suis dit plusieurs fois que chacune de ces péripéties mériterait un tome à elle seule...
Autre point faible: la mièvrerie... ouais là on a notre compte : "Comment as tu su que je t'aimais ? Je suis allé pleuré tellement de fois au-dessus de la coline que j'ai cru mourir noyée dans mes larmes..." Beuêrk ! Mais bon on lui pardonne à Goodkind (faut dire qu'avec un nom pareil !)...

J'ai trouvé le passage avec les Mord-Sith tellement trash que j'ai dû interrompre plusieurs fois ma lecture... mais voilà, il semblerait que ce soit inévitable avec cet auteur, une force à laquelle on ne peut résister vous pousse à ouvrir à nouveau le gros volume... (la magie de Zedd peut-être...)

Bref allez-y, plongez... c'est un vrai régal !

enfin...

10 étoiles

Critique de Nuage noir (, Inscrit le 5 décembre 2005, 47 ans) - 22 avril 2006

....on a droit à de la grande fantasy^^, loin de paraphraser les critiques déjà données, je dois dire que je suis subjugué par la qualité du scénario mis en place par Goodkind rien n'est laissé au hasard loin très loin d'un seigneur des anneaux, on ne trouve ni elfe ni nain ni tout les poncifs chers à Tolkien et à moi bien modestement ^^, on change de registre tout en restant en terrain connu, je suis comblé par cette lecture et sincèrement je vous la recommande chaudement...
allez demain j'attaque le deuxième volume ^^

Extraordinaire !

9 étoiles

Critique de Zeddicus (Montbéliard, Inscrit le 30 mars 2006, 34 ans) - 30 mars 2006

Un livre exceptionnel, qui regorge d'inventivité. Avec ce cycle de "l'épée de Vérité", Goodkind parvient à recrééer un monde merveilleux où l'on rencontre aussi bien des héros attachants que des personnages monstrueux, et où la magie est présente à chaque page. De plus, l'auteur a également le mérite de nous expliquer de quelle manière fonctionne la magie, ce qui est assez rare pour être souligné.

Evidemment, ce livre n'est pas exempt de défauts. En effet, la bonté exacerbée du héros pourra agacer et certains passages, notamment ceux qui présentent toutes les réflexions des personnages sont un peu longuets.

Néanmoins, c'est un excellent roman, et pour peu que vous aimiez la fantasy, je vous le conseille vraiment très fortement.

Faut pas être coincé bibi

6 étoiles

Critique de Klutjo (, Inscrit le 18 janvier 2006, 43 ans) - 18 janvier 2006

Tu sais dans la vie réel ya aussi des pédophiles malheureusement... Je suppose que tu fais référence au bras droit de du grand méchant (j'ai oublié son nom sorry) ce perso en question n'a aucune moralité c'est un barbare attiré par les petits enfants... Il représente le mal en somme!! Tandis que le grand méchant en question a besoin de la pureté des enfants pour réaliser sa magie noire!! Faut pas être coincé à ce niveau-là ce bouquin ne fait pas l'apologie de cette horrible pratique, que du contraire!!
Moi j'attendais beaucoup de ce bouquin qu'on présentait comme le nouveau seigneur des anneaux, mais j'ai été partiellement déçu, principalement par le sourcier qu'on présente comme l'homme qui rien que par ses paroles fait trembler un roi. Ses dialogues sont assez bof à la portée de n'importe qui!! y'avait aussi des passages inintéressants qui s'étirent en longueur... comme dans le peuple je sais plus quoi quand il arrive dans les terres du milieu pffff ça n'apporte rien à l'histoire ou si peu!! mais bon il y avait de bonnes idées, la fin est assez bien foutue, l'univers qu'il a inventé est pas mal, je vais lire la suite lol

oui, mais...

4 étoiles

Critique de C Bibi (, Inscrite le 20 avril 2005, 46 ans) - 17 septembre 2005

j'avoue qu'avant les 200 premières pages, j'adorais vraiment ce bouquin: l'écriture, l'intrigue..... mais ensuite dès qu'on passe à la narration du côté des forces du mal, certaines choses à propos de "petits garçons" m'ont vraiment gênée... j'ai continué à lire en espérant que ce n'était qu'un bref passage mais j'en suis maintenant à la 300 ème et c'est chaque fois pareil, dès qu'on revient sur ce qui se passe du côté des forces du mal, des choses immondes à propos des petits garçons... Alors que lorsqu'on lit ce qui se passe avec Richard Cypher, on est de nouveau emporté dans un monde extraordinaire qu'on n'a pas envie de lâcher en fermant le livre... Il y a une telle différence, comme s'il s'agissait de 2 oeuvres opposées!
S'il vous plaît, j'ai besoin de vos avis... je n'en suis qu'à la moitié et je voudrais savoir ce qu'il en est exactement.
MERCI.

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