Le potentiel érotique de ma femme de David Foenkinos
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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Rire fait du bien!
Petit clin d’œil tout d’abord à la jaquette qui entoure ce livre et qui précise que c’est un roman non-autobiographique. Pas de fumée sans feu ? :)
"Hector est tombé amoureux, et s’est marié. Alors, il s’est mis à collectionner sa femme."
Hector est un homme assez classique, qui bosse dans une grosse entreprise, est considéré comme sympa, va régulièrement manger chez ses parents qu’il aime bien, a appelé son poisson Orange mécanique et s’entend bien avec son grand frère. Houla… ennuyeux ! Que nenni ! Car Hector est un petit cachottier, il a un vice, une passion dévorante : c’est un collectionneur de collections. Tout y passe, c’est même franchement incongru et très rigolo. Je n’ai pas compté mes fou-rires mais il y en a eu pas mal, à lire absolument en cas de morosité !
Ce Hector est un maniaque de la collectionnite, les petits jeux des œufs Kinder, les timbres, les pins, les étiquettes de melon, les pattes de lapin, les pique-apéritifs les badges de campagne électorale… C’est d’ailleurs ces derniers qui vaudront à Hector une immense traversée du vide après avoir perdu le titre de "Meilleur collectionneur de badges de campagne électorale" (ça ne s’invente pas !), il ne s’en remet pas, ça tourne même à la tentative ratée de suicide (et on continue à se marrer, ô monde cruel).
Qu’à cela ne tienne, Hector veut se reprendre en main et décide de se désintoxiquer de la collection. Les fumeurs invétérés qui ont un jour tenté l’expérience comprendront l’état dans lequel se trouve alors le héros du bouquin… mal ! Les réunions des Collectionneurs Anonymes sont sans effet (à ce propos, on y trouve même un collectionneur de moments debout, original n’est-ce pas ?), alors Hector se dit que si il rencontre la femme de sa vie, ça lui passera l’envie de collectionner les boutons de culotte. Pourquoi pas !
Hector en trouve une, la belle Brigitte, tellement belle qu’Hector replonge à cent à l’heure dans sa névrose, il se met à collectionner sa femme. Tout ! Ses mouvements, ses expressions, sa respiration. Le simple fait de la voir laver les vitres se transforme en orgasme mental qui fait chaud au cœur du lecteur tellement c’est beau (et drôle). Décidément, Hector ne peut guérir et c’est très bien comme ça car c’est ce qui lui donne tout son charme.
Cette lecture fut une véritable bouffée de rire et d’oxygène, c’est léger et amusant, ça fait vraiment beaucoup de bien. Le style simple et efficace de Foenkinos mérite d’être connu, surtout au milieu d’un tas de jeunes auteurs (il a trente ans) qui se prennent vachement au sérieux.
Les éditions
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Le potentiel érotique de ma femme [Texte imprimé], roman David Foenkinos
de Foenkinos, David
Gallimard / Blanche
ISBN : 9782070770328 ; 15,90 € ; 04/03/2004 ; 162 p. ; Broché
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Les critiques éclairs (29)
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Un roman décalé qui titille l'imagination
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 6 mars 2024
L'auteur nous offre un récit gai, écrit avec humour et un brin de capillotracté. Son style décalé et surréaliste apporte une fraîcheur piquante à cette exploration des rituels, du fétichisme et des fantasmes. Chaque page réserve son lot de surprises, nous emmenant dans un tourbillon d'évènements excessifs et décalés, où les personnages sont tous plus farfelus les uns que les autres.
Malgré cette jubilation littéraire, la fin m'a laissée un peu sur ma faim. Après avoir été transporté dans cet univers fantasque, j'aurais aimé une conclusion plus aboutie. Néanmoins, cette légère déception n'entache en rien ma belle découverte de ce nouveau genre littéraire.
L'écriture singulière de l'auteur, empreinte d'humour au second degré, nous invite à une réflexion surprenante sur les aspects les plus étranges de nos vies intimes.
En conclusion, une lecture qui séduit par son originalité et son humour, et qui nous laisse espérer de nouvelles aventures dans cet univers singulier.
Déjanté
Critique de Faby de Caparica (, Inscrite le 30 décembre 2017, 62 ans) - 16 février 2018
Voici un livre déjanté, décalé, hilarant et qui fait du bien...
Hector a une vie on ne peut plus banale, mais Hector a une manie, il collectionne tout et n'importe quoi ( les dictons croates, les premières pages de roman, les piques apéritifs , etc ....).
Hector va tenter de se reprendre et essayer de se désintoxiquer de sa " collectionnite aiguë".
Mais Hector va tomber amoureux et ....va collectionner sa femme !
Bienvenue en " absurdie " .
Résumé comme cela, ça peut paraître farfelu .. et ça l'est !
J'ai eu des fou-rires, ce petit livre est un régal pour les zygomatiques!
Pour moi, un des plus drôle de Foenkinos. A lire absolument et sans modération !
Décidément cet auteur ne me déçoit jamais, qu'il soit drôle, ou plus sérieux ( Charlotte)!
Ps: Mesdames , vous n'imaginez pas votre potentiel érotique lorsque vous lavez vos vitres !
quel régal !
Critique de Pierraf (Paimpol, Inscrit le 14 août 2012, 67 ans) - 3 janvier 2016
Léger et sympathique
Critique de Monocle (tournai, Inscrit le 19 février 2010, 64 ans) - 14 août 2015
J'ai un peu ressenti le parfum de Bartelt, comme un petit vent de dérision. Mais cela n'enlève rien à la qualité de ce joli petit livre.
Je ne peux résister à reproduire ce court passage :
" Hector à son habitude est assis à lire. Brigitte s'active à son ménage, Hector relève la tête, il quitte la revue. Brigitte est sur un escabeau de bois, ses deux pieds ne sont pas positionnés sur la même marche, si bien que ses mollets supportent deux poids différents ; autrement dit, le premier mollet sur la marche supérieure est d'une rondeur sans faille, alors que le second demeure marqué par la nervure de l'effort. L'un est naïf, l'autre sait.
Après la vision de ses deux mollets, Hector remonte la tête pour embrasser du regard les hanches de sa femme. On perçoit un mouvement léger, des ondes régulières comme les calmes ressacs du soir, et il suffit de relever davantage la tête pour comprendre le pourquoi de ce mouvement. Brigitte nettoie les vitres "
Une belle après-midi de lecture.
La reine des carreaux
Critique de Ndeprez (, Inscrit le 22 décembre 2011, 48 ans) - 23 janvier 2014
Cette fois-ci Hector ancien collectionneur de collection guéri de ce qu'il pensait être une addiction pense rechuter lorsqu'il découvre l'érotisme de sa femme lavant les carreaux .
Quelques moments cocasses viennent pimenter un peu plus ce texte.
Vous l'avez compris ce livre est avant tout un test pour vos zygomatiques , j'ai déjà lu bien plus comique mais on passe tout de même un bon moment.
Le livre est très court , on peut le lire en une soirée ou... en une journée de plage.
Détente et désenchantements
Critique de Ichampas (Saint-Gille, Inscrite le 4 mars 2005, 60 ans) - 15 septembre 2013
En résumé, une écriture rythmée, un bon moment de détente ponctué de désenchantements
De l'hygiène des vitres
Critique de Cecezi (Bourg-en-Bresse, Inscrit le 3 mars 2010, 44 ans) - 13 avril 2012
C'est un roman que j'ai trouvé vraiment sympathique, un roman qui fait plaisir, qui fait sourire.
Pas de profondeur abyssales, pas de pessimisme de bon aloi, simplement des personnages attachants et décalés (ah, Gérard...) et une écriture vive, peut-être parfois un peu facile.... et alors ?
Un bon moment de lecture.
Délicieusement jouissif!
Critique de Laventuriere (, Inscrite le 6 mars 2010, - ans) - 2 janvier 2012
Un vrai bonheur que plonger dans ce délire érotico-fantasmatique!
Tout en demeurant dans l'imaginaire, nous songeons très vite à nous couler dans l'extase frénétique en mode "allumé" avec cet homme dont le fantasme est plutôt inhabituel!
Délectez-vous, folâtrez dans les hauteurs vitrées de ce roman plein d'humour agrémenté de ce farfelu qui nous font passer quelques heures à rire!
Un anti-héros dans toute sa médiocrité
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 46 ans) - 17 septembre 2011
Ce roman assez simple détient bien des éléments humoristique, de type burlesque, tout en demeurant, malheureusement dans un halo de médiocrité petite, un environnement confiné, dont il menace à tout instant de rechuter, sans la présence de sa femme, dont il a peur de rompre, en cas de rechute.
C'est assez drôle, mais globalement bien lourdingue, sans être graveleux. Ca se laisse lire, sans laisser, assez loin de là, de souvenir impérissable.
décevant
Critique de Frenchmad (, Inscrit le 6 septembre 2005, 51 ans) - 11 septembre 2011
Un vrai régal !
Critique de Clara11 (, Inscrite le 6 février 2011, 33 ans) - 16 août 2011
C'est un livre qui se lit vite
Critique de Angelnannou (petit quevilly, Inscrite le 17 septembre 2007, 44 ans) - 25 juin 2011
collectionnite aiguë
Critique de Valadon (Paris, Inscrite le 6 août 2010, 43 ans) - 10 mai 2011
Hector est un collectionneur compulsif, pas franchement bien dans sa peau... mais qui se soigne. Et passer quelques heures en sa compagnie (ça se lit très vite) est un réel plaisir. J'ai beaucoup ri, noté plein de petites phrases dans mon carnet... voila, un livre qui détend, et qui donne le sourire.
"Le plaisir sensuel est une science physique dont chacun possède son propre Einstein"
Critique de Lindy (Toulouse, Inscrite le 28 mai 2006, 46 ans) - 3 octobre 2010
Un héros des temps modernes
Critique de Romur (Viroflay, Inscrit le 9 février 2008, 51 ans) - 20 mars 2010
Effectivement c’est drôle dès les premières lignes, avec un personnage plaisant, anti-héros des temps modernes et avec des réflexions et images pittoresques. Seul reproche : ça fait parfois un peu forcé, un peu artificiel, comme si Foenkinos s’imposait de tenir un nombre de plaisanteries par chapitre.
A côté du comique, il y a aussi des passages très justes bien qu’empreints d’ironie sur la famille, l’amour, la vie de couple, l’érotisme… sachant que je ne tuerai pas le suspens en dévoilant quel est le potentiel érotique de cette femme !
J'aime les livres loufoques
Critique de Aria (Paris, Inscrite le 20 juin 2005, - ans) - 14 février 2010
C'est jouissif, c'est délicieux ! Jubilatoire !
Un rire libérateur. L'auteur doit être un peu fou pour écrire une histoire pareille, mais que c'est bon de lire des livres fous.
Je l'ai offert à mon fils (30 ans) qui l'a adoré, il a beaucoup d'amis et il l'a offert à son tour à presque tous ses amis, qui sont mdr !
Je suis étonnée des 2 ou 3 étoiles. Pour en avoir un tel souvenir, je lui mets 5 étoiles. Merci David Foenkinos !
il est bon de rire parfois
Critique de Louiscez (Nantes, Inscrit le 2 février 2007, 42 ans) - 7 décembre 2007
Déjanté
Critique de Franckyz (, Inscrit le 9 janvier 2006, 46 ans) - 12 novembre 2007
Avec un style très fin et un absurde, David Foenkinos m'a fait rire à chaque page ou presque.
La fin est malheureusement assez poussive mais n'entache en rien la qualité de ce livre génial.
Passable...
Critique de Clop (, Inscrite le 15 juillet 2005, 40 ans) - 9 janvier 2006
Absurde, ironique et… tendre aussi
Critique de Voni (Moselle, Inscrite le 1 septembre 2005, 64 ans) - 1 janvier 2006
Ainsi, tout peut être sujet à collection, chacun peut trouver sa “nourriture fantasmatique”. Si bel et si bien que le lecteur finit aussi par se regarder d’un peu plus près afin de discerner ses éventuels penchants à une quelconque accumulation (tiens, et si elle commençait avec les lectures !).
“Le malaise paradoxal du collectionneur est qu’il trouve dans son vice sa plus grande source de réjouissance.”
Que de trouvailles dans ce livre allant de la simple cocasserie à la franche hilarité !!! Beaucoup de sensibilité et de sentiments aussi à l’égard de l’être aimé.
Comme Kinbote l’a déjà souligné, la première partie du récit rappelle un peu une voix off que j’associerais bien à celle du film “Amélie Poulain”. Elle décrit des personnages socialement en marge et des situations pour le moins décalées, avec beaucoup de tendresse cependant.
Un livre aux frontières de l’absurde, tellement plaisant et réjouissant. Un auteur que je découvre avec bonheur et merci à CL de m'avoir insufflé cette découverte.
Histoire de mollets.
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 18 décembre 2005
« Hector avait une tête de héros. On le sentait prêt à passer à l’acte, à braver tous les dangers de notre grosse humanité, à embraser les foules féminines, à organiser des vacances en famille, à discuter dans les ascenseurs avec les voisins, et, en cas de grande forme, à comprendre un film de David Lynch. Il serait une sorte de héros de notre temps, avec des mollets ronds. Mais voilà qu’il venait de décider de se suicider. On avait vu mieux comme héros, merci. »
Ca se lit comme du petit lait. Depuis la tentative de guérison de la « collectionnite » aigue d’Hector, comme un vulgaire alcoolique s’y prendrait, à l’évolution de son cas, passant par la découverte de la femme, une certaine rechute puis la rédemption ?
L’érotisme peut se nicher dans les actes les plus insensés. C’est aussi le message de D. Foenkinos. Et c’est quelque part pour beaucoup d’entre nous aussi un peu réconfortant.
Rationalistes s’abstenir. Il faut accepter les courants d’air. Chauds. Les ascensionnels !
Le potentiel érotique de ma femme
Critique de Eric_S. (, Inscrit le 14 décembre 2005, 63 ans) - 14 décembre 2005
Le ton employé (désabusé) et la description des états d'âmes (pathétique) du personnage sont de véritables merveilles d'humour. Certaines situations relèvent du burlesque le plus pur. Mais on sent aussi poindre une réelle humanité dans les descriptions des personnages, c'est encore plus poignant dans les scènes les plus tristes.
Personnellement, je me suis offert de réels fous rires à la lecture de ce livre, dont un attablé seul dans un café avec les voisins proches qui se penchent pour décrypter le titre du livre qui me faisait tellement sourire... Un rien gênant mais bien dans l'esprit du livre.
Une psy molle
Critique de Kinbote (Jumet, Inscrit le 18 mars 2001, 65 ans) - 14 juin 2005
Il s’articule autour de scènes-clés telles la course Ourzazate-Casablanca, le lavage de vitres de la femme... Il ne faut pas chercher dans ce roman une continuité logique (comme ce fut mon cas) là où il n’y a qu’une suite de situations burlesques. D’ailleurs les titres des diverses sections annoncent la couleur : Une sorte de vie, Une sorte de vie conjugale, Une sorte de décadence, Une sorte de sensualité. Foenkinos déclare dans une interview (http://scenario-mag.com/interviews/…) qu’il fait des romans surréalistes et absurdes, où la psychologie des personnages est forcément « molle ».
Comment travaillez-vous la psychologie des personnages ?
Dans un scénario, j'essaie d'agir à leur place.
Dans les romans, les personnages ont une " psy molle ". Elle glisse, elle dérape. C'est le potentiel comique du personnage. Il fait l'opposé de ce que l'on pouvait imaginer.
Ceci dit, quel sens de la formule et de l’humour, et toujours au moyen de mots simples, comme sans y toucher.
Voici quelques exemples.
« Seul un peu de sang hésita, mais ce fut un sang noble ; Gérard coagulait toujours courtoisement. »
« Tout n’était alors qu’affaire de silence. Un silence de début des processions ; chacun avait l’impression de faire l’amour à une église. »
« Les familles cachent toujours des adultères dans les caves, ce sont les Juifs de l’amour.»
Savoureux
Critique de Nothingman (Marche-en- Famenne, Inscrit le 21 août 2002, 44 ans) - 16 mai 2005
Et puis quelle galerie de personnages farfelus! Hector, le collectionneur en sevrage, qui fantasme sur sa femme Brigitte lavant les vitres, Gérard le vainqueur de la fameuse course Ouarzazate-Casablanca,…. Un univers drôle et fantaisiste donc mais d'où ressort finalement une certaine tendresse.
Ce roman est savoureux et s'avale d'une traite. Un peu comme la soupe familiale des repas dominicaux. Bon, c'est pas tout ça! J'en reprendrais bien une louche….
Le plaisir sensuel est une dictature
Critique de Bluewitch (Charleroi, Inscrite le 20 février 2001, 45 ans) - 30 avril 2005
On dit de ce livre qu'il est drôle, léger, nid de rires et d'originalité, qu'il est décalé, amusant. Jamais l'idée ne me viendrait de contredire un seul de ces adjectifs. Mais je ne sais pas, impression qu'il y a un petit "truc en plus", une petite musique tendre et dont la fantaisie laisse aussi libre court à un ton qui ne manque pas de poésie. Il n'y a pas que du drôle, il y a aussi du doux, une sorte de romantisme camouflé teinté d'une ironie bienveillante.
Ce roman est terriblement pétillant, audacieux, parsemés de bulles et de "c'est ici qu'on sourit" déguisés et aiguisés de mots. Et à votre avis, on sourit ? Oui, on sourit, on aime, on ouvre les yeux bien grands aussi (on ne sait jamais, les vitres pourraient bien être sales!), au cas où l’envie nous prendrait de s’inventer un voyage, aux Staaaaates, par exemple, on irait au Kansas croiser le méridien de Bluewich (si si !), ou peut-être faire un tour sur la course Ouarzazate-Casablanca, tester la position des mains dans le dos, boire de la soupe maternelle ou regarder le monde à travers les ailes d’un papillon…
Bref, ce livre a un vrai potentiel !
Mitigée...
Critique de Laure256 (, Inscrite le 23 mai 2004, 52 ans) - 31 mars 2005
Non..
Critique de Clarabel (, Inscrite le 25 février 2004, 48 ans) - 17 mars 2005
"Potentiel érotique, l'expression était aguicheuse. Nous entrions en effet dans l'espoir immédiat de la sensualité."
Quelques situations font sourire, c'est vrai... ou comment prêter au quotidien le degré de fantaisie, d'humour et de cocasserie.
J'aime déjà...
Critique de Zibouille (Lustin, Inscrite le 12 août 2004, 54 ans) - 12 août 2004
Bon, bon.
Critique de Chat pitre (Linkebeek, Inscrite le 23 février 2001, 53 ans) - 6 mai 2004
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Foenkinos et Aventin à Mons | 13 | Lucien | 25 avril 2005 @ 13:13 |
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