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Le samedi 23 avril prochain à 19 heures, Alexandre Millon et moi-même recevrons David Foenkinos et Christine Aventin à Mons, au Mundaneum (rue de Nimy 76), dans le cadre des « Rendez-vous du Livre » 2005 organisés avec la collaboration de la ville de Mons.
Christine AVENTIN présentera PORTRAIT NU, paru aux éditions LE CERCLE et David FOENKINOS, LE POTENTIEL EROTIQUE DE MA FEMME, paru aux éditions GALLIMARD.
Des lectures d'extraits seront proposées par Michelle Capouillez, Béatrice Hergot, Etienne Paridans.
Marine Horbaczewski, violoncelle, nous régalera de quelques pièces tirées des suites de Bach.
L'entrée ? Gratuite, vin de pays en prime à la sortie. Les habitués peuvent témoigner : c'est pas du vol. N'est-ce pas, Bluewitch et Kinbote?
Christine AVENTIN présentera PORTRAIT NU, paru aux éditions LE CERCLE et David FOENKINOS, LE POTENTIEL EROTIQUE DE MA FEMME, paru aux éditions GALLIMARD.
Des lectures d'extraits seront proposées par Michelle Capouillez, Béatrice Hergot, Etienne Paridans.
Marine Horbaczewski, violoncelle, nous régalera de quelques pièces tirées des suites de Bach.
L'entrée ? Gratuite, vin de pays en prime à la sortie. Les habitués peuvent témoigner : c'est pas du vol. N'est-ce pas, Bluewitch et Kinbote?
Foenkinos? je note!
Oui oui, Sahkti, faut venir, toujours parfaites ces soirées montoises.
Et vous, vous serez où?
Parce qu'on aurait tort de ne pas en parler, voilà ce que ça donne chaud, et je pense que d'autres pourront confirmer:
On vous accueille avec rose (pour les filles, seulement, hé oui...) et nouvelles (Je lis dans ma commune, pas vous?), sièges assaillis, auteurs et hôtes au pied d'une sphère céleste... non, juste terrestre, mais le cadre stimule l'imagination (et s'orne d'une expo sur l'anarchie). L'atmosphère se rythme de voix et de Bach, notes en fuite vers toute la salle.
Ca roule, ça coule, on découvre, on rit, on écoute, on se fascine et on s'aperçoit qu'on aime ça.
Et surtout, on repart avec les sourires, les livres et le coeur... en poche.
On vous accueille avec rose (pour les filles, seulement, hé oui...) et nouvelles (Je lis dans ma commune, pas vous?), sièges assaillis, auteurs et hôtes au pied d'une sphère céleste... non, juste terrestre, mais le cadre stimule l'imagination (et s'orne d'une expo sur l'anarchie). L'atmosphère se rythme de voix et de Bach, notes en fuite vers toute la salle.
Ca roule, ça coule, on découvre, on rit, on écoute, on se fascine et on s'aperçoit qu'on aime ça.
Et surtout, on repart avec les sourires, les livres et le coeur... en poche.
[...]"le coeur... en poche." Joli, Bluewitch!
Et les auteurs, tu ne dis rien des auteurs présentés?
Il est vrai qu'on peut se référer à leurs livres....
Christine Aventin, c'est comme si on la retrouvait après 18 ans d'absence, presqu'inchangée, toujours affamée de littérature, avec, comme elle dit, une belle propension à s'emballer pour parler de son dernier roman, écrit à la façon oulipienne.
David Foenkinos, lui, pratique l'autodérision comme personne. Des passages de son livre ont fait pouffer de rire l'assistance mais surtout, lors d'une lecture à vue, un des récitants qui a dû être ramener à la raison de force. ;-)
Tout ça dans une présentation décontractée où la parole circulait librement et sans prise de tête entre présentateurs, auteurs et récitants.
Et les auteurs, tu ne dis rien des auteurs présentés?
Il est vrai qu'on peut se référer à leurs livres....
Christine Aventin, c'est comme si on la retrouvait après 18 ans d'absence, presqu'inchangée, toujours affamée de littérature, avec, comme elle dit, une belle propension à s'emballer pour parler de son dernier roman, écrit à la façon oulipienne.
David Foenkinos, lui, pratique l'autodérision comme personne. Des passages de son livre ont fait pouffer de rire l'assistance mais surtout, lors d'une lecture à vue, un des récitants qui a dû être ramener à la raison de force. ;-)
Tout ça dans une présentation décontractée où la parole circulait librement et sans prise de tête entre présentateurs, auteurs et récitants.
une belle propension à s'emballer : tu peux bien parler de moi! ;o)
C'est vrai que je n'ai pas donné assez de place aux auteurs dans mon post, certainement parce qu'ils en prenaient une grande dans la qualité de cette soirée et que, du coup, ça coulait de source.
Enfin, bref... ;o)
C'est vrai que je n'ai pas donné assez de place aux auteurs dans mon post, certainement parce qu'ils en prenaient une grande dans la qualité de cette soirée et que, du coup, ça coulait de source.
Enfin, bref... ;o)
Et oui! On ne peut que confirmer tout ce qui vient d'être dit. Surprenant d'entendre les extraits récités dans un cadre agréable et étonnant. Et puis, la rencontre avec deux auteurs très sympathiques et talentueux. Il faut les entendre parler de leurs ouvrages respectifs. Christine Aventin, théorique et passionnée ; David Foenkinos très drôle, très second degré. Ce fut une très bonne expérience que je réitererai.
zut flûte, vous me faites regretter d'avoir loupé ça!
Merci à Blue, Kinbote, Nothingman et Mopp ! C'était vraiment une belle soirée. Christine Aventin m'a impressionné par la description du système de contraintes qui préside à l'écriture de "Portrait nu" : 3 x 7 chapitres. Chaque chapitre comporte exactement le même nombre de signes; la première partie couvre une nuit, la deuxième une semaine, la troisième une saison. Et le chapitre 21 ne compte pas une seule nouvelle phrase, mais réemploie des phrases ou expressions toutes tirées des 20 chapitres précédents! On se croirait chez Perec!
Oui, c'était parfait, sans oublier le sourire des organisateurs, des auteurs, et des amis rencontrés. Un petit faible aussi pour la violoncelliste, une artiste de talent qui a interprété du Bach ! réellement uniquement dans ce cadre étonnant.
la première partie couvre une nuit, la deuxième une semaine, la troisième une saison. Et le chapitre 21 ne compte pas une seule nouvelle phrase, mais réemploie des phrases ou expressions toutes tirées des 20 chapitres précédents! On se croirait chez Perec!
!!!
Et on s'en rend compte à la lecture ???
ça doit être très difficile à réaliser !
Lyra, c'est la question qui se pose évidemment automatiquement. Je ne crois pas que cet exercice saute aux yeux car toute sa qualité réside sans doute dans le fait de se faire intelligemment oublier.
D'un autre côté, je suis bien heureuse d'avoir entendu Christine Aventin en parler avec autant de passion, et cela avant de lire le livre. On en retire une certaine fascination, c'est clair!
D'un autre côté, je suis bien heureuse d'avoir entendu Christine Aventin en parler avec autant de passion, et cela avant de lire le livre. On en retire une certaine fascination, c'est clair!
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