Les joyaux du paradis de Donna Leon
(The jewels of paradise)
Catégorie(s) : Littérature => Européenne non-francophone , Littérature => Policiers et thrillers
Moyenne des notes : (basée sur 3 avis)
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Filandreux
Je n'avais jamais rien lu de cet auteur avant ce livre que j'ai pris à la bibliothèque en raison de sa réputation. Et je suis totalement déçu. Il s'agit d'une pseudo-enquête - sans le fameux commissaire Brunetti, menée par une musicologue sur l'héritage d'un musicien oublié, Steffani. Le roman se concentre plus sur les émois de la musicologue de retour à Venise, sa ville natale, que sur le contenu de l'héritage. Ses pas dans la ville, ses rencontres, dont l'avocat des héritiers, ses relations avec l'une de ses soeurs, etc. occupent largement le récit. Les aperçus musicologiques, qui pourraient être passionnants, relèvent plus de la documentation générale que de l'intérêt personnel de l'auteur. Le lecteur n'apprend rien sur Venise, ni d'aujourd'hui ni d'hier. J"ai l'impression que l'auteur a découvert le sujet par hasard et ne s'y est pas attaché.. De plus le style est d'une grande banalité, les fréquentes digressions ne présentant pas d'intérêt.
Les éditions
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Les joyaux du paradis [Texte imprimé], roman Donna Leon traduit de l'anglais (États-Unis) par William Olivier Desmond
de Leon, Donna Desmond, William Olivier (Traducteur)
Points / Points (Paris)
ISBN : 9782757834152 ; EUR 7,60 ; 19/09/2013 ; 360 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (2)
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Confusion
Critique de Eoliah (, Inscrite le 27 septembre 2010, 73 ans) - 3 mars 2024
La fin de la quête est assez originale et cohérente.
Ni le paradis. Ni un joyau.
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 3 février 2021
Caterina, notre héroïne, est assez sympathique, mais à choisir, je prendrai tout de même le commissaire Brunetti, personnage fétiche de la romancière, qui certes ne déborde pas non plus de charisme, mais qui au moins met un peu plus de rythme dans ses enquêtes.
L’histoire s’enlise, se traîne et le lecteur a des difficultés à comprendre le prétendu complot qui se trame dans les recherches notre héroïne, musicologue et archiviste, chargée de déterminer à qui reviendra l’héritage d’un castrat mort au début du 18ème siècle.
On conclut avec un dénouement qui sort littéralement de la boite, pour arriver à un épilogue où la morale et le politiquement correct triomphent. Très américain comme happy end.
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