La commedia des ratés de Tonino Benacquista
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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ça se passe comme ça chez Benacquista
Antonio, fils d'immigré transalpin, hérite d'un terrain sans aucune valeur en Italie. Il monte une histoire de miracle, une petite arnaque pour valoriser son terrain en friche. Il est alors submergé de propositions pour racheter son terrain. C'est là le début d'une longue série d'ennuis..
La commedia des ratés a reçu le prix Mystère de la critique, la Grand prix de la littérature policière et le trophée 813.
Du très très bon Benacquista. La narration est rythmée, drôle, percutante, émaillée de phrases coup de poing dont il a le secret, les personnages sont typés et attachants et les rebondissements pleuvent littéralement.
Que demander de plus ?
Un fauteuil bien confortable, un bon éclairage et un exemplaire de "La commedia des ratés".
Les éditions
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La commedia des ratés [Texte imprimé] Tonino Benacquista
de Benacquista, Tonino
Gallimard / Folio. Policier
ISBN : 9782070406463 ; 6,90 € ; 01/01/1998 ; 233 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (6)
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Une apologie des pâtes
Critique de LaVillatte (, Inscrite le 11 juillet 2012, 49 ans) - 16 juillet 2014
Car cet aliment n'est pas une simple nouille que l'on cuisine n'importe comment, c'est "un univers en soi, à l'état brut, dont même le plus fin gourmet ne soupçonne pas toutes les métamorphoses. Un curieux amalgame de neutralité et de sophistication. Toute une géométrie de courbes et de droites, de plein et de vide qui varient à l'infini. C'est le royaume superbe de la forme. C'est de la forme que naîtra le goût."
Construire une intrigue policière autour des pâtes, expliquer le sens de son roman avec des tortellinis, j'avoue que cela m'a séduite.
Une farce bouffonne au goût amer
Critique de Romur (Viroflay, Inscrit le 9 février 2008, 51 ans) - 30 mai 2014
C’est plaisant, ironique, comme tous les romans de Benacquista. Les personnages sont bien typés, sans tomber dans la caricature, juste assez pour mettre de l’ambiance et créer des repères familiers. Ca sent bon l’Italie (on a droit à une demi-douzaine de leçons sur la cuisson des pâtes et à quelques réflexions philosophiques sur la portée de ce symbole gastronomique). Un livre plaisir.
Un poil en dessous des autres
Critique de Clubber14 (Paris, Inscrit le 1 janvier 2010, 44 ans) - 18 mars 2013
Le mystère et le contexte sont très prenants : une mort mystérieuse, une vigne dans la campagne italienne, une étrange lettre.... Tout est là pour poser les bases d'une véritable quête. Or, s'il y a bien une quête, c'est vrai que l'auteur nous plonge dans trop de choses en même temps : la mafia italo-américaine, le Vatican, des ex-fascistes, même son père s'y met!!! Et du coup et bien ça fait un peu trop tout ça..... Admettons néanmoins que la chute est plutôt réussie et que le lecteur peut être amené à replonger dans des sentiments familiaux assez enfouis.
Comme dans les opus précédents, des personnages très intéressants, un personnage principal attachant, ambigu, des dialogues simples, directs, accrocheurs. Ca reste un bon bouquin....
Pas si raté que ça, finalement
Critique de POOKIES (MONTPELLIER, Inscrit le 16 août 2006, 47 ans) - 16 mars 2008
L'intrigue, le suspense, l'aventure, le mystère m'ont surpris, mais de manière agréable.
Laissez vous donc tenter, ça vaut vraiment le coup.
Pas de miracle
Critique de Sinon (Paris, Inscrit le 17 mars 2006, 49 ans) - 21 mars 2006
Comme il est écrit sur la 4ème de couverture, ce roman se situe quelque part entre la tragédie grecque et la comédie à l'italienne. Malheureusement, on ne sait pas trop où.
Le vin de la discorde
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 14 mai 2005
Un autre roman noir sans policiers avec le personnage sympathique d’Antoine. Une intrigue touffue qui mélange le Vatican, des truands, les fantômes d’un passé fasciste. Je dois avouer m’être perdu parfois dans ce dédale sans comprendre pourquoi Antonio provoquait et choisissait de subir toute cette aggravation. Ça se lit avec aisance et on s’imprègne de l’âme ritale, sans plus.
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