Le vieil homme et la mer de Ernest Hemingway
( The old man and the sea)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 58 avis)
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Un livre exceptionnel
Si vous ne l’avez pas encore lu, un conseil : ruez-vous ! Si vous l'avez lu il y a longtemps, n'hésitez pas : relisez-le.
Ce livre est une merveille. Nous sommes à Cuba, et le vieux pêcheur ne prend plus de poissons depuis un bon bout de temps. Le gamin, qui l'adore et l’accompagne toujours, se voit empêché par son père d’encore aller avec le vieux. Pas de pêche, pas d’argent, et le père envoie donc son gamin sur un autre bateau. Le vieux part seul. Il est au large quand, tout à coup, sa ligne plonge et il reçoit un énorme coup dans la main et le bras. Cela doit être une grosse prise, se dit-il. Il ne lâche pas, donne du moût pour que la ligne ne casse pas et voilà le poisson qui l'entraîne. Il l’entraîne de plus en plus loin et le soleil tape de plus en plus. Le vieux a la main douloureuse. Il n’a rien plus rien à boire, plus rien à manger. Il y a déjà longtemps qu'il ne voit plus les côtes. La lutte sera encore très longue et douloureuse. Il va se battre jusqu'aux limites de ses forces. Mais d'autres ennemis guettent !.
Ce livre est le récit d'une lutte d'un homme contre un poisson, mais aussi, d'un homme contre lui-même, contre le sort, contre son âge, contre son corps. Puis la lutte va changer de cours. L’homme va se battre pour défendre l'honneur de son poisson, qui s'est si bien battu. Ce poisson, ce n'est plus de l'argent potentiel : c’est une créature digne, à qui le respect est dû.
Une anecdote à propos de ce livre. Hemingway, avant de publier " Au-delà du fleuve et sous les arbres " a signé un contrat avec le magazine " Life ". Ceux-ci consacreront le " Life " de l’année à venir à son prochain livre. Voilà que " Au-delà du fleuve et sous les arbres " ne marche pas fort. " Life ", très inquiet de subir un échec avec Hemingway, décide de prendre un autre nom de la littérature américaine pour faire la préface de leur édition spéciale prochaine. Ils choisissent James Michener (" Colorado Saga ", Chesapeake ", etc.). Celui-ci, entouré de sacs de ciment, proche des premières lignes en Corée, se voit remettre un pli par un bonhomme des plus pressés de repartir. C'est la demande de " Life " pour la préface et le manuscrit du " Vieil homme et la mer ". Il se plonge dans le manuscrit et dira qu’il n'a plus entendu un seul obus lui passer au-dessus de la tête : il était à la pêche avec le vieux, le regardait tenir la ligne et se battait à ses côtés. Il a fait la préface et a déclaré que c'était peut-être le meilleur livre qu’il ait jamais lu. Quelques mois plus tard, Hemingway recevait le prix Nobel et " Life " faisait un tabac avec son numéro de l’année et " le Vieil Homme et la mer ".
Les éditions
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Le vieil homme et la mer [Texte imprimé] Ernest Hemingway trad. de l'anglais par Jean Dutourd [dossier par Jean-François Dubois]
de Hemingway, Ernest Dubois, Jean-François (Editeur scientifique) Dutourd, Jean (Traducteur)
Gallimard / Folio plus (Paris).
ISBN : 9782070393947 ; 13,90 € ; 22/03/1996 ; 189 p. ; Poche -
Le vieil homme et la mer [Texte imprimé] Ernest Hemingway trad. de l'anglais par Jean Dutourd
de Hemingway, Ernest Dutourd, Jean (Traducteur)
Gallimard / Collection Folio
ISBN : 9782070360079 ; 6,30 € ; 07/01/1972 ; 148 p. ; Poche -
Le vieil homme et la mer [Texte imprimé] Ernest Hemingway traduit de l'anglais par Jean Dutourd
de Hemingway, Ernest Dutourd, Jean (Traducteur)
Gallimard / Collection Folio.
ISBN : 9782070348589 ; 8,20 € ; 15/11/2007 ; 154 p. ; Poche -
Le vieil homme et la mer [Texte imprimé], roman Ernest Hemingway trad. de l'anglais par Jean Dutourd
de Hemingway, Ernest Dutourd, Jean (Traducteur)
Gallimard / Du monde entier (Paris).
ISBN : 9782070231706 ; 21,00 € ; 04/12/1952 ; 1 vol. (189 p.) p. ; Broché -
Le vieil homme et la mer [Texte imprimé], roman Ernest Hemingway traduit de l'anglais et préfacé par Philippe Jaworski
de Hemingway, Ernest Jaworski, Philippe (Traducteur)
Gallimard / Du monde entier (Paris)
ISBN : 9782072700392 ; 16,00 € ; 04/05/2017 ; 144 p. ; Broché
Les livres liés
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Les critiques éclairs (57)
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Tragédie à la grecque
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 8 mai 2017
Je l’avais lu dans le cadre de mes lectures obligatoires à l’école secondaire et plus de 30 ans après, je me rends compte qu’on ne devrait plus nécessairement faire lire un tel roman malgré son caractère hautement épique et poétique.
Homme 1 vs Espadon 0 (un peu d'humour ne fait pas de mal)
Critique de Sundernono (Nice, Inscrit le 21 février 2011, 41 ans) - 18 mars 2016
Non pas que j’ai été déçu par cette lecture mais tout de même je m’attendais à autre chose. Une attente surtout suscitée par la réputation du roman. Cependant la lecture fut tout de même agréable, et ce malgré le manque de péripéties. Les dialogues sont bien tournés et constituent la force de ce roman, la sensation d’immersion est prégnante, et pourtant…
Bref, une lecture plaisante, parfois touchante mais loin, très loin d’œuvres majeures telles que Paris est une fête, Pour qui sonne le glas ou encore Le soleil se lève aussi.
Vous et la mer
Critique de Lilule (baalon, Inscrite le 24 février 2006, 51 ans) - 10 février 2016
Vas-t'y savoir, gamin, si la prochaine fois, il n'y avait pas de requin...
Critique de Ellane92 (Boulogne-Billancourt, Inscrite le 26 avril 2012, 49 ans) - 18 novembre 2015
Il ne peut pas rentrer les mains vides, pas une nouvelle fois, alors il va plus loin que les autres bateaux de pêche pour tendre ses lignes. Et cette fois-ci est la bonne : le plus grand espadon du monde vient de s'enferrer sur ses hameçons. Mais ramener une bête comme celle-là est une lutte de longue haleine.
A chaque fois que je lis "Le vieil homme et la mer", je me dis "ce coup-ci, c'est le bon, il n'y aura pas de requin". Quand le premier parait et qu'il se prend un coup de harpon, j'espère encore que les autres n'attaqueront pas. Quand Santiago se débarrasse des deux suivants, perdant toutes ses armes… Mais non, ça ne finit jamais et ce foutu espadon, si fier et noble, ce frère battu à la loyale et haute lutte, fini toujours dévoré par les charognards jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien que la tête et les arêtes.
Ce que j'aime ce livre d'Ernest Hemingway !! Le combat du vieux pêcheur ne se fait pas successivement contre un espadon puis des requins, mais contre la vie, la malchance, le sort. La lutte avec le bel espadon est pleine de noblesse, invitant Santiago à déployer toutes ses forces et à profiter de toute son expérience de pêcheur, à se dépasser. Celui avec les prédateurs est sans issue, on le sait dès le départ. Santiago n'a aucune chance de venir à bout des prédateurs, mais il luttera jusqu'au bout, pour "son frère l'espadon", parce qu'il est ce qu'il est.
Le personnage de Santiago tient du hérod tragique, qui transcende la malchance et l’acharnement au travers de son acception digne et humble à la fois de son sort. Il me fait penser à toutes ces vieilles gens, qui marchent le front haut, qui n'ont presque plus rien et à qui on pique le peu qu'ils ont encore. Le livre est magnifique et le personnage magistral. A lire et relire, puis à relire encore une fois… Vas-t'y savoir, gamin, si la prochaine fois, il n'y avait pas de requin…
Il rassembla tout ce qui lui restait de force, de courage et de fierté ; il jeta tout cela contre l'agonie du poisson.
La victoire de l'espoir sur le désespoir
Critique de Hirondelle4 (Paris, Inscrite le 27 décembre 2014, 44 ans) - 26 mars 2015
Rendez-vous manqué …
Critique de Monde imaginaire (Bourg La Reine, Inscrite le 6 octobre 2011, 51 ans) - 7 mars 2014
Mais voyez vous, je m’attendais tellement à être transcendée par le style et l’histoire qu’une très grande frustration s’est emparée de moi pendant ma lecture.
Inspiré par un véritable fait divers, j’imagine bien Hemingway, amoureux de Cuba et de la pêche au gros, s’emparant de cette histoire pour lui donner corps et vie.
Mais ce récit trop minimaliste à mon goût, n’a pas réussi à m’emporter loin, au large, dans la barque du vieil homme… Je suis restée simple spectatrice et n’ai ressenti aucune émotion. Pour être honnête, ça manque de panache.
Entre « le Vieil Homme et la Mer » et moi, c’est un rendez-vous manqué, je le déplore mais c’est ainsi.
Un classique américain
Critique de Pucksimberg (Toulon, Inscrit le 14 août 2011, 44 ans) - 1 juillet 2013
Le texte est bien écrit et symbolique. Le duo Santiago/Manolin, l'affrontement entre Santiago et le poisson sont indéniablement des éléments forts de ce roman, qui possède le rythme des nouvelles d'Hemingway. Ce texte véhicule certaines valeurs, mais je n'arrive pas à apprécier ce texte.
Comme Lolita, Saule, Saint Jean-Baptiste et d'autres CLiens, je n'ai pas été séduit. J'y ai ressenti ennui et une forte envie d'en terminer la lecture au plus vite.
Décidément, ce texte n'est pas fait pour moi. Je préfère amplement les romans longs de l'auteur comme "L'Adieu aux armes".
La messe a été dite!
Critique de Kreuvar (, Inscrit le 3 avril 2012, 41 ans) - 12 novembre 2012
Un classique!
Critique de MEloVi (, Inscrite le 6 juillet 2011, 40 ans) - 16 octobre 2012
"La vieillesse est un naufrage" ou pas! La preuve est là. Quelle belle preuve du pouvoir du mental sur le corps. Quel beau duel!
À conseiller et à lire à tous les âges!
Le vieil homme et la mer
Critique de Exarkun1979 (Montréal, Inscrit le 8 septembre 2008, 45 ans) - 18 juillet 2012
Un vrai duel !
Critique de Nance (, Inscrite le 4 octobre 2007, - ans) - 14 novembre 2011
« Tu veux ma mort, poisson, pensa le vieux. C'est ton droit. Camarade, je n'ai jamais rien vu de plus grand, ni de plus noble, ni de plus calme, ni de plus beau que toi. Allez, vas-y, tue-moi. Ça m'est égal lequel de nous deux qui tue l'autre. »
On m’a souvent dit qu’il ne se passait pas grand-chose dans cette histoire, mais pour moi c’était vraiment une lutte épique, acharnée et même intense. Ça m’a pris aux tripes ! Mon premier Hemingway et sûrement pas le dernier.
la victoire dans la défaite
Critique de Saumar (Montréal, Inscrite le 15 août 2009, 91 ans) - 27 juin 2011
Au 85e jour en mer, il ferre un énorme poisson. Au début de la lute, le poisson traîne le petit bateau et Santiago au large. Ils se battent pendant deux jours. Fatigués, les bras du vieil homme ne suffisent plus, et la corde passée dans son dos, le blesse. Il pense à Manolin : « Ah, si le petit était là, il pourrait m’aider ». Enfin, l’espadon s’approche de la barque et Santiago plante le harpon de toutes ses forces dans le flanc. Il l’attache solidement à chaque bout de la barque. Le sang de l’espadon attire les requins qui le dévorent de sorte qu’il ne reste que l’arête attachée au bateau. Santiago a gagné la bataille, mais a perdu le poisson qui devait les nourrir tout l’hiver.
À son retour au port, les pêcheurs, muets d’admiration, mesurent l’arête et la longue queue de la prise. Manolin a aidé le vieux à monter à sa cabane puis il a pris soin de sa main et de son bras, car de vilaines cloques et des plaies sont devenues aussi douloureuses qu’une brûlure. Dès que sa santé sera rétablie et son bras guéri, ils repartiront tous les deux en mer, c’est que Manolin a encore beaucoup à apprendre, de son vieil ami, sur les rudiments de la pêche.
Ce qui est remarquable dans cet ouvrage, en plus de l’amitié entre les deux personnages, c’est que le jeune garçon a donné confiance au vieil homme en croyant en lui. C’est l’estime de lui-même que Santiago était parti chercher en mer, pour se prouver qu’il est un pêcheur digne de ce nom. J’ai bien aimé ce roman, facile à lire, qui plairait même aux enfants. En fait, c’est l’analyse de sentiments et d’états d’âme qui dominent tout le récit. Et le point de vue de la narration est celui de la victoire dans la défaite, ce qui en fait une conclusion heureuse.
Un combat magnifique
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 29 avril 2011
C'est un duel superbe que nous raconte Hemingway, une fable moderne où s'instaure un véritable respect entre les deux adversaires, mais où les requins seront finalement les grands vainqueurs.
Mais pourquoi ai-je trouvé ce livre dans le rayon jeunesse?
Pas à la hauteur de mes attentes
Critique de Luluganmo (, Inscrite le 26 septembre 2010, 42 ans) - 5 avril 2011
Mano a mano maritime
Critique de Chameau (, Inscrit le 10 novembre 2010, 44 ans) - 28 mars 2011
C'est une histoire sur le courage, la volonté, l'amitié, la solitude, le sens de la souffrance, la mort, une leçon d'humilité face à la puissance de la nature, face au destin... Un roman profond, tout en épure, sur la condition humaine dont on découvre un peu plus à chaque relecture toute la richesse...
Très bon livre !
Critique de Gaeldorozario (, Inscrit le 14 décembre 2010, 44 ans) - 14 décembre 2010
Gael do rozario
Puissant
Critique de John (, Inscrit le 2 novembre 2010, 34 ans) - 13 décembre 2010
Ce livre est plutôt court , plaisant à lire .
J'aime le combat que mène le vieil homme , aussi bien intérieurement que physiquement , pour poursuivre sa lutte en pleine mer
Quel bon roman!!
Critique de Nina-39 (, Inscrite le 15 avril 2010, 45 ans) - 18 octobre 2010
A chaque fois , c'est la même chose !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 1 mai 2010
Quelle oeuvre exceptionnelle !
Ce personnage du vieux pêcheur est fantastique , dans son humanité , son courage et son humilité face aux éléments .
Hemingway signe là son chef d'oeuvre .
volonté et dignité
Critique de Mariebel (Paris, Inscrite le 1 novembre 2008, 37 ans) - 22 septembre 2009
Cependant, je n'ai en aucun cas regretté ma lecture (plutot courte d'ailleurs), car le Vieil homme et la Mer reste un classique, une jolie histoire, métaphore de la vie et de son combat.
Une oeuvre
Critique de Anik (, Inscrite le 11 août 2009, 35 ans) - 25 août 2009
Ce livre est un oeuvre à part entière.
un classique
Critique de Dudule (Orléans, Inscrite le 11 mars 2005, - ans) - 28 mai 2009
Un moment de lecture agréable
Une oeuvre humaine magistrale
Critique de Aidaa (Rabat, Inscrite le 4 novembre 2008, 52 ans) - 7 novembre 2008
L’homme ressemble tant au poisson , il y a des métaphores sublimes et déroutantes . « Faut garder la tête froide . Garde la tête froide et endure ton mal comme un homme ou comme un poisson ». Finalement Santiago , malgré son âge avancé et son épuisement arrive à prendre le dessus et à tuer le poisson . Comme quoi , il n'y a pas que la force physique qui compte , mais aussi la force morale , la volonté obstinée de vaincre . Mais c’est loin d’être fini . Il va falloir le ramener sur le port pour le vendre . S'il le vend, il va gagner beaucoup d’argent . Le récit est émaillé de rêve et de réalité . Sur le chemin du retour , Santiago croise des poissons plus féroces qui vont dévorer son espadon , il n’en reste que la tête et une arête comme seules preuves que ce n’était pas qu’un rêve et que tout ce triomphe était bel et bien réel . Cette œuvre sublime et grandiose est une ode à l’humanité . Le récit est émaillé de belles expressions et de profondes réflexions sur la vie qui donnent à méditer . Il faut voir la victoire dans la défaite quoi qu’il arrive , ne serait ce que pour cette lutte de vaincre . L’homme ne triomphe jamais tout à fait quoi qu’il fasse . Son destin c’est bien cette lutte permanente et héroïque pour braver le destin qui s’offre à lui . Son destin c’est bien de se faire un destin et d’échapper à la répétition de la nature .Son destin se nourrit obstinément de l’espoir de lutter pour vaincre . Ce récit est bien pensé et bien écrit . Un réalisme hors du commun se dégage de ce récit et console l’âme . On se sent dedans à fond , on est avec Santiago dans sa lutte , on est sur ce bateau avec lui , on a même envie de lui donner un coup de main pour attraper le poisson . Le récit est imagé et plein de scènes picturales qui le rendent plus fort ,plus présent , plus vrai que jamais . L’homme est viril et fort dans ce récit . Il n’y a pas de femme dans ce récit . La seule femme est la mer , elle est attirante et impitoyable . Elle est troublante et vertigineuse .Elle est vierge , car le vent et les vagues effacent les traces de tout passage, elle offre la jouissance de se sentir le premier homme . Elle fait penser à l’amour , à la solitude , au voyage , à la transparence et à l’errance .Elle fait penser au rêve , on y est suspendu entre ciel et terre. La mer s’étend à l’infini . La mer est touchante , avec ses souffrances . Le désir éternel de partir , de voyager . On part , on ne sait pas quand on revient . La rencontre du danger . Cette lutte innée contre la mort. La côte Cubaine fait le lien , c’est le lieu du départ et du retour . Il y a aussi cette naïveté de rêve et d’émotions qui fait la beauté de cette histoire , on a envie d’y croire et d’y croire encore , on revient sans cesse à notre histoire et on ne cesse de comparer . Il y a ce génie de projeter toute une vie humaine sur un simple voyage en bateau pour pêcher un poisson . Une vie entière avec tous ses espoirs , ses désespoirs , ses soupirs , des doutes , ses embûches , sa patience , son orgueil , sa vanité . Une vie entière avec son présent qui se nourrit de la gloire de son passé et qui lutte pour se faire un futur meilleur . Bref toute la vie est dans ce récit . Hemingway rend hommage à l’homme dans ce livre , à son courage , à son humilité et à sa grandeur. En un mot , cette œuvre ordonne un arrêt de temps et offre un moment de réflexion , de soupir, de voyage en mer , de recueillement et de ressourcement .
Une leçon d'humilité
Critique de Arval (Papeete, Inscrite le 8 mars 2008, 56 ans) - 8 mars 2008
L'écriture est simple et va à l'essentiel, c'est à dire au cœur.
mwouais...
Critique de Roi Lear (, Inscrit le 17 août 2007, 41 ans) - 18 août 2007
Résumé / Mon avis
Critique de Jeudi Noir (Montady, Inscrit le 14 août 2007, 55 ans) - 15 août 2007
Hemingway Ernest
Editions "Folio"
149 pages
Prix 3€50
Reçu en cadeau
Commencé le 15 Avril 2007
Terminé le 15 Avril 2007
Prix Nobel de Littérature 1954
Prix Pulitzer 1953
L'Histoire
Le Vieil Homme est un pêcheur pauvre qui vit dans une baraque sur une plage de l'Atlantique. Chaque jour, il part à la pêche sur une petite barque avec très peu de matériel. Voici 80 jours qu'il n'a rien rapporté de ses sorties en mer. Un gamin pris d'amitié pour lui vient l'aider après sa journée de travail, lui apportant un peu de nourriture, rangeant son matériel...
Un matin le Vieil Homme prend la mer en décidant d'aller un peu plus loin que d'habitude et une fois arrivé, une de ses lignes a une touche ! Le poisson semble puissant, lourd, décidé à rien céder et le Vieil Homme doit mettre en jeu toute sa science de la pêche, toute son expérience pour ne pas le perdre.
Une longue lutte commence... Il ne faut pas perdre cette prise prometteuse mais qui ne semble pas faiblir. Mais le pêcheur est patient. S'en suivent trois jours de vraie souffrance physique, de veille forcée, au cours desquels s'installe un dialogue muet entre l'Homme et l'animal. Un dialogue plein de respect et de nobles sentiments.
Le dernier jour, épuisé, le poisson gagne enfin la surface pour son dernier combat. C'est la partie la plus délicate de la pêche, le moment où tout se gagne ou tout se perd. Le pêcheur est exténué, comme son adversaire, et une faiblesse, une inattention seraient fatale.
C'est un espadon ! Un gigantesque espadon comme il n'en a pêché que deux ou trois dans sa vie ! Un animal magnifique dont la chair délicate se vendra bien et lui rapportera enfin beaucoup d'argent. De plus la tête fera un trophée des plus magnifiques !
Encore quelques heures de douleur, d'incertitude, et c'est la fin... L'espadon abandonne la lutte avant d'être harponné...
La prise est si démesurée qu'elle ne peut être embarquée sur la coquille de noix du pêcheur, lequel décide de l'arrimer au flanc du bateau pour rentrer au port. Mais la terre est loin, très loin... Il faudra beaucoup de temps avant de savourer la victoire !
Vaincu par la fatigue, le Vieil homme laisse sa barque filer avec le vent. Mais son repos est de courte durée. Voilà que la dépouille de l'espadon attire... Les Requins !
Epuisé, tant physiquement que moralement, le Vieil Homme doit se battre encore contre des monstres affamés qui ne lui font aucun cadeau. Et même s'il parvient à en tuer plusieurs, même s'il arrive à les éloigner son répis est chaque fois de courte durée. A chaque attaque, des kilos de chair son emportés de sa prise et il voit peu à peu fondre littéralement sous ses yeux le prix de son travail.
La terre, enfin, dans la nuit... Les requins ont fait leur oeuvre. Il ne sait ce qu'il lui reste de l'espadon mais il reprend les gestes qu'il a toujours faits. Il range son matériel mais une fois entré dans sa baraque, il s'écroule sur le lit...
Le gamin, son ami qui était venu tous les jours vérifier s'il était rentré, va l'aider encore, ranger son matériel, le nourrir et le choyer.
Sur le port, tous viennent s'extasier devant la carcasse encore attachée au flanc de la petite barque du pêcheur échouée sur le sable. Cela a du être une bête fantastique dont il ne reste plus... que la tête et la queue...
Une fois rétabli, le Vieil Homme utilise ce qu'il reste de sa prise pour faire des appâts pour ses lignes de pêche et offre la belle épée de l'espadon, ce trophée qui symbolise sa lutte, à ce gamin qui a pris soin de lui...
Mon Avis
Ce livre fait partie des "classiques" que j'avais un peu honte de ne pas avoir lu. Il mérite vraiment sa place dans le "patrimoine littéraire international". Ce n'est pas une histoire au scénario des plus difficile, complexe ou plein de rebondissements. Il n'y a pas des dizaines de personnages "hauts en couleurs"... Non.
Toute la force de ce texte réside dans son dépouillement, dans sa simplicité. La douleur, les espoirs et désespoirs de ce pêcheur se ressentent presque physiquement pour le lecteur !
J'ai souffert de ce suspens si intense ; quel est ce poisson au bout de la ligne ?! C'est quoi qu'il a pris, nom de nom !?
Le dialogue silencieux qui s'instaure entre l'Homme et l'animal est des plus poignants...
Et puis une fois ce que l'on croit être la victoire et la récompense arrivée, voilà ces affreux requins ! Je dois dire qu'a chaque bouchée de ces sales bestiaux, j'avais l'impression qu'un morceau de mon cœur à moi partait avec !
C'est une belle histoire, qui se lit très vite (1 journée, pour moi... ) mais qui peut vous marquer pour très longtemps... Je vous recommande ce livre.
The old man and the sea.
Critique de Lincoln (, Inscrit le 23 septembre 2005, 65 ans) - 10 décembre 2006
Et pourtant, cette nouvelle lecture m’est apparue différente. Sans doute parce que je l’ai osée dans la langue de Shakespear. Bien que ne maîtrisant pas toutes les subtilités de la langue, j’y ai découvert un texte qui emporte au gré des tempêtes, pareilles à celles que pouvait essuyer Santiago. Un style marqué qui transforme le texte en une sorte de houle.
Pour ne pas s’y ennuyer, sans doute faut-il se projeter dans le contexte, un vieux pêcheur cubain obstiné et malchanceux qui défie les éléments, à la recherche de la dignité, en lutte contre l’affaiblissement de son corps, de ses forces. Respect aussi de l’animal chassé qui résiste et donne toute son ampleur au combat. Puis un jeune garçon tout dévoué qui voit dans le vieil homme un père. Et puis la mer, si attirante pour le vieux “fisherman” et si impitoyable quand elle se déchaîne.
Pour apprécier, surtout ne pas rester à la surface des flots de l’écriture mais descendre dans les grands fonds.
Le dépassement de tout
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 6 décembre 2006
L'histoire est connue. Santiago est un vieux marin cubain qui n'a plus rien pris depuis 84 jours. Le garçon qui l'accompagnait jadis à la pêche n'a plus le droit de le faire, ses parents préférant qu'il apprenne avec quelqu'un d'autre et, surtout, qu'il ramène enfin du poisson. Un jour Santiago, parti seul, ferre un espadon. La lutte est rude, sans merci et lorsqu'enfin le poisson est tombé dans les mains du marin, d'autres tueurs de poissons pointent le bout du nez...
La fin du récit peut être considérée comme une victoire. Ou un échec. Ou bien les deux à la fois. A mes yeux, les deux sont intimement mêlés. Il y a bien sûr le combat d'un homme sur un poisson. Enorme le poisson, violent et résistant. Mais est-ce réellement une victoire que la mort d'un animal qui s'est débattu jusqu'au dernier souffle avec vigueur et une certaine forme de dignité? Jusqu'où doit aller l'acharnement? Tout dépend bien sûr de la barrière derrière laquelle on se place. Le mangeur et le mangé. Le tueur et le tué. En sachant que les poissons aussi se tuent entre eux. Comme les hommes. Réflexion à naître sur la vie et la mort, la sienne et celle des autres. Car ce poisson est avant tout un symbole de lutte, de respect, de courage.
Des traits de caractère que Hemingway restitue habilement grâce à ce long récit d'un combat entre un homme et un animal, dont le premier viendra à bout, avant de le perdre. En voyant l'animal attaqué par d'autres que lui, Santiago luttera à son tour pour défendre sa proie, plus par respect et principe, que réellement pour remplir sa besace. L'honneur du combat perdu plutôt que l'honneur perdu dans la bataille.
C'est aussi un combat contre lui-même, ses faiblesses, sa vieillesse, son découragement. L'âge est là mais il ne fait pas tout. La solitude ne dépend pas que de lui et le besoin de se dépasser non plus.
Hemingway nous parle-t-il de lui-même dans ce texte? Sans doute un peu, voire beaucoup. La course au succès, la course aux souvenirs, des regrets peut-être, le besoin de trouver un nouveau souffle. Humilité et vanité se mêlent allègrement dans la personnalité de Santiago. A l'image de son créateur?
Le chant du cygne
Critique de Soili (, Inscrit le 28 mars 2005, 51 ans) - 11 novembre 2006
Benoite Groult déclare que la vieillesse est un naufrage, ce vieil homme a gardé sa volonté intacte au delà de ses défaillances physiques. Bien sûr, on peut trouver que ce livre est beau pour le thème qu'il aborde cependant il est relativement austère et n'est à mes yeux pas assez palpitant, il manque un peu de vie à ce livre.
je me suis un peu ennuyée...
Critique de Bibou379 (, Inscrite le 26 mai 2005, 40 ans) - 13 octobre 2006
Heureusement, c'est court ;-)
Critique de Asgard (Liège, Inscrit le 14 juillet 2005, 46 ans) - 14 septembre 2006
Le côté métaphorique me laisse songeur également. J'y vois bien le combat d'un homme dépassant ses limites, devenant de plus en plus respectueux face au courage de sa proie, des liens qui les unissent face à l'adversité,... mais je ne ressort pas transcendé par cette lecture.
Le texte était suivi d'un dossier analysant l'oeuvre. On peut y lire que certaines critiques associent l'histoire à son auteur. Le vieil homme serait Hemingway, le poisson serait la recherche du chef-d'oeuvre, leur conflit serait la création du romancier et les requins représenteraient les critiques négatives à la sortie du bouquin. Ben voyons ! Cela me rappelle les propos métaphoriques que certains ont tenus pour "le seigneur des anneaux", où l'armée de Sauron était sensée représenter les nazis et où l'anneau était l'arme atomique. Mais oui, mais oui...
Enfin bref, tout ça pour dire que j'attendais autre chose d'un livre culte.
Je me joins a mes confrères
Critique de FightingIntellectual (Montréal, Inscrit le 12 mars 2004, 42 ans) - 29 juin 2006
Dieu merci Hemingway existe également. C'était mon premier ouvrage du légendaire auteur américain et j'ai été très agréablement surpris. Tout en lisant ce bouquin, je ne pouvais m'empêcher de réfléchir à Milan Kundera, qui doit en écumer de rage a voir un auteur qui réussit mieux que lui a son propre jeu sans toutefois passer par les mêmes procédés complexes que Kundera s'impose à lui-même. La plume de Hemingway semble écrire d'elle même, vouloir s'exprimer elle-même sur la force et le courage d'un vieux pêcheur, sans se prendre dans un capharnaüm de procédés philos-intellectuels.
Un court mais précis hommage au courage des petits et à la fatalité du genre humain.
Hymne à la volonté
Critique de Pro2501 (Paris, Inscrit le 21 septembre 2005, 35 ans) - 18 octobre 2005
Quel livre !
Le début a tendance à se trainer, à vrai dire je m'ennuyais ferme jusqu'à ce que le vieux commence à perdre ses forces.
Et là, le choc. Quel homme ce vieux ! Un type robuste, à la volonté de fer, peu instruit mais sage dans ses propos. Un type "vrai", ayant de solides valeurs. Il va se battre jusqu'au bout de ses forces pour ramener son espadon. Il ne perd jamais espoir. Un héros quoi !
J'ai du mal à exprimer ce que j'ai ressenti à la fin, mais c'était un mélange de profond respect pour le vieux et en même temps une haine énorme pour les requins.
Tant d'effort, tant d'investissements gâchés en quelques heures, moi ça me tuerait. Mais le vieux lui s'en fiche. Il a dépassé ce stade. Il veut juste dormir, se reposer.
A la fin, pour tout dire je frémissais en lisant les dernières lignes. C'est la 1ère fois qu'un livre me fait ça (faut dire que je lis pas beaucoup).
Voila, le Vieil homme et la Mer, un livre formidable, extraordinaire, culte !
Bof bof...
Critique de Shayne (Sambreville, Inscrit le 2 octobre 2005, 41 ans) - 3 octobre 2005
Pour moi ce roman décrit simplement un âpre combat entre un vieux pêcheur et un espadon. C'est très ennuyeux à lire, aucun rebondissement, voire aucune intrigue.
Pour un livre qui a valu à son auteur le prix Nobel de littérature, je m'attendais à nettement mieux.
classique à lire
Critique de Cuné (, Inscrite le 16 février 2004, 57 ans) - 7 septembre 2005
Tirée d'un fait divers réel, cette histoire possède effectivement plusieurs sens aucunement cachés; dépassement de soi, vieillesse, solitude, maladie, amour de l'élève pour son maître, univers maritime où chaque acte pèse, etc, etc...
C'est aussi le dernier roman publié de son vivant par l'écrivain, après une longue période noire.
Il est difficile de ne pas faire de parallèle entre Hemingway et le vieil homme, et en même temps ce n'est pas si important.
C'est une jolie histoire, qui parle de dureté, de mérite et de temps qui passe.
Pour autant, elle n'est franchement pas passionnante... à mon goût.
le poids des années
Critique de Nelle (Bonne, Inscrite le 9 janvier 2001, 49 ans) - 23 juillet 2005
j'ai du le lire à l'école quand j'avais 15 ans, et je n'en ai gardé que le souvenir vague d'un roman quelconque. Je l'ai relu il y a un mois, (15 ans après) et je l'ai trouvé magnifique, merveilleusement écrit.
Je ne sais pas si ça confirme qu'il faut une certaine maturité pour l'apprécier, mais en tout cas je suis persuadée que ce n'est pas le type de livre qu'on attend lorsqu'on a 15 ans.
Quoi qu'il en soit j'ai décidé de continuer ma découverte de l'univers "masculin" d'Hemigway !
Un magnifique récit de pêche et une belle leçon de vie
Critique de Overdose (, Inscrit le 21 février 2005, 39 ans) - 23 février 2005
Il y a matière a réflexion dans ce combat que le vieil homme livre coûte que coûte contre sa vie et sa passion.
Un chef d'oeuvre de la littérature.
mon avis
Critique de Fleur.... (, Inscrite le 9 décembre 2004, 34 ans) - 12 janvier 2005
UNE ECRITURE MODERNE PLEINE DE SENSIBILITE
Critique de Lolo2000 (, Inscrit le 4 août 2004, 38 ans) - 9 août 2004
Un livre à avoir lu, même si il n'y a rien de fabuleux.
un livre d'espoir
Critique de Lalaith (, Inscrite le 18 juillet 2004, 38 ans) - 18 juillet 2004
Un livre marquant
Critique de Fabio (Noisy le Sec, Inscrit le 29 mars 2002, 46 ans) - 7 décembre 2003
Réponse à Saint Jean-Baptiste
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 31 octobre 2003
D'autres romans écrits par lui n'ont pas non plus fait un grand succès comme "Au jardin de l'Eden". Je crois que, pour la postérité il restera l'auteur de "L'adieu aux armes" de "Pour qui sonne le glas", du "Soleil se lève aussi", du "Vieil homme et la mer" et de toutes ses superbes nouvelles. Le reste ne sera que secondaire, sauf pour les passionnés. Et ces oeuvres là suffiront largement pour qu'il reste le grand auteur que beaucoup admirent. Mais la polémique de son importance dans les lettres américaines par rapport à un Scott Fitzgerald et un Faulkner restera toujours sujet à débat...
Non, à mes yeux, "Le vieil homme et la mer" n'est pas un "fait divers long et ennuyeux"
un oubli dans ton catalogue de H
Critique de Rotko (Avrillé, Inscrit le 22 septembre 2002, 50 ans) - 29 octobre 2003
50 ans après : la déception
Critique de Saint Jean-Baptiste (Ottignies, Inscrit le 23 juillet 2003, 88 ans) - 29 octobre 2003
50 ans après : la déception.
Un des rares privilèges d'avoir 67 ans est de pouvoir relire, 50 ans plus tard, des livres qu'on a lus quand on avait 17 ans. Me prévalant de ce privilège, j'ai relu le célébrissime « vieil homme et la mer » et ma déception a été à la mesure de mon enthousiasme d'autrefois. Je pense aujourd'hui que ce n’est qu'un fait divers long et ennuyeux. Rien de plus, sinon que c’est bien écrit. Il faut dire qu’à l’époque Hemingway était un personnage mythologique. Tous les jeunes le lisaient avec délectation. Je pense que Hemingway excellait surtout dans les Nouvelles et, encore aujourd’hui, il reste de très grands livres tels que : Le soleil se lève aussi, L’adieu aux armes, en avoir ou pas, ou Mort dans l'après-midi… Et puis est arrivé ce « vieil homme et la mer ». On a voulu y voir, et j’y ai vu à l’époque, une transposition allégorique de la vie et de la mort, de la grandeur et de la condition humaine ! …Mais c'était signé Hemingway. Dans quelle mesure se laisse-t-on impressionner par le nom d'un auteur ? Je crois que si ce livre sortait aujourd’hui, signé Tartempion, bien peu de gens le liraient jusqu’au bout !
Au moment de passer ces quelques lignes sur le site, je vois que Jules en avait fait la critique en 2001 et qu’elle avait suscité de très nombreuses critiques éclair. Je les ai lues avec le plus grand intérêt et je partage l’avis de Lolita : un fait divers, long, ennuyeux et sans beaucoup d'intérêt.
vieil homme et la mer
Critique de Anonyme (, Inscrit(e) le ??? (date inconnue), - ans) - 12 août 2003
Tout à fait raison !
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 13 décembre 2001
Réponse à Pendragon et Jules
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 12 décembre 2001
mais mais mais...
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 12 décembre 2001
Eh bien !...
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 12 décembre 2001
une rose à la main...
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 12 décembre 2001
D'accord avec Jules et Lolita
Critique de Saule (Bruxelles, Inscrit le 13 avril 2001, 59 ans) - 11 décembre 2001
Très catégorique ton jugement !
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 11 décembre 2001
Aucun intérêt!
Critique de Lolita (Bormes les mimosas, Inscrite le 11 décembre 2001, 38 ans) - 11 décembre 2001
Quel combat !
Critique de Thémis (Ligny, Inscrite le 17 avril 2001, 54 ans) - 4 août 2001
Les ressources de la volonté.
Critique de Kilin (Verlaine (Belgique), Inscrit le 10 mars 2001, 52 ans) - 3 juillet 2001
Le vieil homme n'a que sa ténacité, son courage et son expérience pour venir à bout de ce formidable poisson, un des plus beaux, sinon le plus magnifique de sa longue carrière de pêcheur. Il a dû s’engager loin, très loin des côtes pour le ferrer, trop loin peut-être. Une fois l’animal accrocher à l'hameçon, il est trop tard pour faire marche arrière. C’est la fuite en avant, Santiago doit se laisser guider par l'espadon jusqu'au moment où celui-ci faiblira. Mais dans combien de temps ? L’h
Juste pour donner mon petit avis modeste
Critique de Sorcius (Bruxelles, Inscrite le 16 novembre 2000, 54 ans) - 24 février 2001
Une grande leçon d'écriture.
Critique de Mauro (Bruxelles, Inscrit le 20 février 2001, 61 ans) - 23 février 2001
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