Code zéro de Ken Follett
( Code to zero)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 9 avis)
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La fiction se mélange à l'histoire
Un homme se réveille dans une gare à Washington, habillé en clochard. Il ne se souvient plus de rien, de son nom, de son passé, de son âge. Petit à petit, cet homme va chercher à comprendre qui il est réellement, pourquoi il est suivi en permanence par deux hommes. Il va se rendre compte que son amnésie n'a rien d'un accident et que des gens cherchent à le faire disparaître. L'histoire se déroule en janvier 1958, en pleine guerre froide, au moment du lancement de la fusée Explorer I. A partir d'un fait réel, l'ajournement inexpliqué de ce lancement, Ken Follett va imaginer une reconstitition passionnante des dernières heures avant cette annulation et va nous amener à travers ses personnages dans une folle histoire passionnante, où se mêlent amitié, trahison, amour, rédemption, jalousie, etc..... Le talent de Ken Follett pour raconter plusieurs histoires sur chaque personnage du livre mais qui s'entrecoupent toutes à la fin reste toujours aussi passionnant à découvrir, il arrive à capter l'attention du lecteur tout au long du roman sans que la passion ne tombe. Même si ce livre, facile à lire, n'est de loin pas le meilleur de l'auteur, on se laisse guider et surprendre à chaque chapitre et c'est bien là le but recherché. Dommage que ce roman soit aussi court !!!
Les éditions
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Code zéro [Texte imprimé], roman Ken Follett trad. de l'américain par Jean Rosenthal
de Follett, Ken Rosenthal, Jean (Traducteur)
R. Laffont / Best-sellers (Paris).
ISBN : 9782221087770 ; 21,50 € ; 19/11/2001 ; 320 p. ; Broché -
Code zéro de Follett, Ken
de Follett, Ken
le Livre de poche
ISBN : 9782253155041 ; 5,99 € ; 15/05/2003 ; 448 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (8)
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un peu angélique..
Critique de Darius (Bruxelles, Inscrite le 16 mars 2001, - ans) - 8 septembre 2014
Pourquoi un ingénieur se retrouve-t-il subitement amnésique et déguisé en clochard ? Malgré son amnésie, il comprend très vite qu’il n’est pas aussi idiot qu’il y parait, et qu’en plus il est doué pour les mathématiques. A partir de là, il va fixer attentivement toutes les personnes qu’il croise en rue pour tenter d’y découvrir un souvenir. Il comprend rapidement qu’il est filé, donc qu’il existe un mystère autour de lui. Effectivement, la CIA est derrière son amnésie… Mais pourquoi ? Il est suspecté d’être un agent double à la solde des soviétiques (nous sommes dans les années 50 et les deux superpuissances rivalisent d’astuces pour être les premières..) Finalement est-ce bien lui l’agent double ?
Pour ce qui est de l’allégeance aux Soviétiques, l’explication est plutôt mince. « Il y a trop de pauvres aux USA, donc mettons nous à la solde d’un système qui protège l’individu ». Ces agents doubles ne le sont pas par esprit de lucre mais par idéal. Cependant, ils n’ont même pas fait l’effort d’apprendre la langue russe alors qu’ils sont prêts à s’enfuir en URSS, leur forfait accompli. Ils ignorent tout du pays dans lequel ils devront vivre jusqu’à la fin de leur vie, rêvant juste d’un endroit idyllique où tous les hommes seraient égaux. Un peu angélique quand même pour des scientifiques…
Inintéressant
Critique de Sonic87 (, Inscrite le 28 mai 2014, 40 ans) - 14 août 2014
Pourtant j'avais lu "La Marque de Windfield" juste avant, ce roman m'avait passionnée, et là vraiment je ne retrouve rien de l'auteur Ken Follett, sauf que les personnages sont bien séparés (soit très gentils, soit très méchants). Au moins dans ce livre, on pouvait apprendre quelque chose sur le mode de vie de l'époque, sur les banques, etc.
Enfin, vous me direz, c'est peut-être à cause de tous les films et téléfilms américains diffusés à la télé que je ne suis plus intéressée par ce genre-là...
Roman d’espionnage légèrement suranné
Critique de Isad (, Inscrite le 3 avril 2011, - ans) - 26 août 2012
Une histoire agréable à lire et bien menée avec de l’action, des talons aiguilles, de l’amour, de l’hypocrisie et où on constate que les meilleurs amis ne sont pas ceux que l’on croit.
IF-0812-3940
Polar d’espionnage
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 14 janvier 2011
Ken Follett insère son récit dans la vraie Histoire, celle de la conquête de l’Espace, à ses balbutiements, du temps de la guerre froide. Fin des années 50, la fusée Explorer 1 est sur le point d’être lancée et, après l’échec du précédent lancement américain et les succès des lancements de satellites soviétiques, la réussite est obligatoire. Ken Follett, à mon sens, restitue parfaitement l’atmosphère et les enjeux de cette époque. Et puis, petite histoire dans la grande Histoire, un homme se réveille au petit matin dans les toilettes d’une gare de Washington, il présente toutes les apparences d’un clochard. Enfin presque toutes, mais bizarrement il ne se souvient de rien, ni de son nom ni du pourquoi il est là en tenue de clochard alors que plusieurs indices semblent infirmer cette hypothèse.
Ken Follett va donc nous emmener à la suite de Luke dans la quête de son identité, et au-delà dans la mise en échec d’un plan diabolique concernant Explorer 1. Avec de jolis flash-backs sur les années antérieures de Luke : au lycée, et en Europe pour la guerre, dans un rôle d’agent spécial derrière les lignes ennemies. Très crédibles là encore.
On pourrait lui reprocher un scénario finalement assez prévisible, même si pas totalement linéaire, assez dichotomique ; les gentils sont réellement très gentils et il n’y a pas grand-chose à récupérer des méchants. C’est ce qui pourrait handicaper ce genre d’œuvre dans sa crédibilité au fil du temps qui continue à s’écouler. Ca pourrait vieillir un peu vite, je pense. Plus vite qu’un John Le Carré.
Zéro ... tout court !
Critique de Pat (PARIS, Inscrit le 21 mars 2010, 60 ans) - 22 mars 2010
Gardons le Cap !
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 54 ans) - 16 juin 2008
Bien sûr, ce n’est pas de la « grande » littérature, mais c’est le genre qui veut ça… Bien sûr, ce n’est pas un style exceptionnel, mais c’est le genre qui veut ça… Bien sûr, c’est du super facile, c’est un roman de plage ou de gare… mais c’est le genre qui veut ça… (je sens que je vais me faire des copains !). Ce que je veux dire, c’est qu’on ne peut comparer ce genre de livres qu’avec d’autres du même type et que, dans ce cadre, Follett sait ce qu’il fait, il ménage correctement son suspens, et donc son lecteur, et le résultat est exactement ce à quoi nous aspirons : un bon « petit » roman !
LA COURSE POUR DOMINER LE MONDE.
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 15 décembre 2005
Un homme se retrouve un beau matin dans les toilettes d'une grande gare ferroviaire en tenue de clochard. Il ne se souvient de rien, pas même de son identité. Mais au cours de la journée,et au fur et à mesure de ses pérégrinations, il se rend compte qu'il est au beau milieu d'un complot visant à anéantir les efforts des Etats-Unis, alors en pleine guerre froide avec l'URSS, pour envoyer une fusée dans l'espace, et ainsi rattraper son retard par rapport à son concurrent direct. Désormais le temps est compté...
Intelligemment construit
Critique de Maya (Eghezée, Inscrite le 18 octobre 2001, 49 ans) - 25 avril 2002
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