Azteca de Gary Jennings
( Aztec)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
Moyenne des notes : (basée sur 15 avis)
Cote pondérée : (1 967ème position).
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Un chef-d'oeuvre monumental !
Monumental dans tous les sens du terme, en effet cet ouvrage fait 1047 pages dans son édition livre de poche! Bien sûr, quantité ne rime pas toujours avec qualité, mais c’est bien le cas ici. Tous les superlatifs ne suffiraient pas à décrire ce bouquin tant je l’ai adoré. Malgré son épaisseur, je l'ai déjà lu deux fois et m'y remettrai sans doute encore!
Qu’est ce qui a déclenché chez moi un tel enthousiasme? Tant de choses, par où pourrais je commencer? Allez, d’abord l’essentiel, l’histoire. Comme le titre l'indique ce livre est une plongée dans la civilisation des aztèques. C'est le récit de la vie de l'un d’eux, au destin exceptionnel, qui nous est conté dans ces pages. Ce récit est recueilli de sa bouche par les premiers missionnaires chrétiens espagnols envoyés en Amérique Centrale pour le compte du roi d’Espagne. Chaque chapitre est précédé d'une lettre de l'Evêque de Mexico destinée au Roi. Le lecteur est donc placé du point de vue de celui-ci, recevant cette confession au fur et à mesure de l’arrivée des caravelles qui font la liaison entre le nouveau monde et l'ancien. Et quelle confession! La vie de Mixtli, le vieil indien, l’a conduit à travers tout le « Monde Unique » (L’Amérique Centrale) dans des aventures incroyables qui l’ont vu côtoyer les personnages les plus puissants comme les plus humbles. En le suivant c’est tout un monde que nous découvrons avec ses traditions, sa faune et sa flore, ses différents peuples, son histoire, tout cela à travers un récit captivant et bien écrit. La plus grande partie du livre parle de la civilisation des aztèques avant l’arrivée des espagnols et la fin évoque la « conquête » menée par Cortès. Cette période charnière est vraiment traitée magistralement dans cet ouvrage, on a vraiment l'impression d’y être et d’assister à la chute de cette civilisation!
Gary Jennings a vraiment pris les choses au sérieux, mettant à profit son expérience de journaliste pour faire des recherches pendant 10 ans afin de nourrir ce roman grandiose. Mais ce qui est incroyable c’est qu'il arrive à transmettre les informations recueillies tellement naturellement dans la trame du récit que jamais cela ne prend une tournure pédagogique ennuyeuse.
Les romans parlant de l’Egypte ancienne sont monnaie courante (et il y en a sans doute de bons), plus rares sont ceux qui parlent d’autres civilisations. Si je compare cet ouvrage au Dieu Fleuve de Wilbur Smith, que j’avais apprécié il n’y a pas photo, Azteca est beaucoup plus riche à tous les points de vue selon moi. Les personnages sont beaucoup plus fouillés, les descriptions plus évocatrices, l’histoire plus prenante, ... A tel point que le roman de Smith pourrait passer pour un vulgaire brouillon sans substance à côté!
Ce livre est cependant à conseiller aux lecteurs avertis car il est émaillé de nombreuses scènes très très violentes (les sacrifices rituels faisaient partie de cette culture) et d'autres très très érotiques. Cela pourrait choquer certaines personnes même si ces éléments ne sont pas placés gratuitement mais servent vraiment l'histoire selon moi.
Ne vous laissez pas rebuter par cet aspect, ce serait dommage, vous passeriez à côté d'un grand livre à la lecture duquel je suis passé par toute la palette des émotions : le rire, les larmes, la réflexion, le dégoût, la peur, ... tout y est passé!
Voici un petit extrait pour vous mettre l’eau à la bouche si ce n’est déjà fait. La scène se passe à Tenochtitlàn, coeur du Monde Unique, où le père de Mixtli l’a emmené. Ce voyage est un cadeau pour ses sept ans, son entrée dans l'âge adulte. Sur un marché ils sont interpellés par un vieillard qui propose de dire l'avenir de l'enfant pour deux grains de cacao. Le père refuse mais l'homme se penche vers l’enfant et dit : « Tout devin peut voir les chemins et les jours. Même s’il prédit une chose qui va vraiment se produire, elle est loin dans l’espace et dans le temps et elle ne profitera ni ne nuira jamais au devin lui-même. Le tonalli [âme, destin] de ce garçon est de regarder de près les choses de ce monde, de les voir comme elles sont et de comprendre ce qu'elles signifient. [.] Tu croiras d’abord que c’est un handicap, mon garçon, mais ta courte vue t’aidera à discerner des vérités que ceux qui voient loin dédaignent. […]
Mon père soupira d’un air résigné et fouilla dans son sac. Non, non dit l'homme. Je n'ai pas prédit à votre fils fortune et gloire, je ne lui ai pas promis la main d'une belle princesse, ni qu’il serait le fondateur de quelque noble lignée. Ce garçon saura voir la vérité, pour ça, oui. Malheureusement, il révélera cette vérité, ce qui fait plus souvent pleuvoir les calomnies que les récompenses. Pour une prédiction aussi ambiguë, mon maître, je ne réclame aucun salaire. - Prenez quand même ça, lui dit mon père, en glissant dans sa main un seul grain de cacao, et ne nous prédisez plus rien d'autre vieillard. »
Au cas où vous auriez encore un doute à ce sujet, je conseille vraiment ce livre à tout le monde (avec l'avertissement mentionné plus haut), je ne sais pas pourquoi j'ai tant tardé à en parler sur le site et comment j’ai pu ne pas le mettre dans ma liste des dix livres préférés (mais dix c'est tellement peu!). Assurément il vaut le coup que l'on s’y arrête, je vous y encourage vivement!
J'ai lu ce livre dans l'édition France Loisirs qui est sans doute épuisée vu sa date de parution, dans celle-ci figurent au début des cartes et à la fin un index des termes en nahuatl (langue vernaculaire) bien utiles, je ne sais pas si ces annexes figurent dans la version du livre de poche (mais je suppose qu'elles y sont ce serait trop bête de les avoir enlevées). Normalement la première édition en français était chez Hachette mais elle doit aussi être épuisée (à moins d'une réédition). La version en livre de poche est normalement encore disponible et on peut se la procurer facilement.
Les éditions
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Azteca [Texte imprimé] Gary Jennings trad. de l'américain par Martine Leroy
de Jennings, Gary Leroy-Battistelli, Martine (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche.
ISBN : 9782253055976 ; 10,90 € ; 01/01/1991 ; 1047 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (14)
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La plus haute marche du podium
Critique de VOURNE (, Inscrit le 11 septembre 2022, 47 ans) - 11 septembre 2022
J'ai adoré de nombreux romans historiques assez épais : Gallo, Denuzière... mais là on touche vraiment au sommet tant ce chef d'œuvre est complet. Dedans, il y a tout, c'est une vraie bible.
Quand on me l'a offert, j'ai eu du mal à le commencer car les missives rédigées par l'évêque Zumarraga, comme celle qui introduit le roman, sont loin d'être l'aspect le plus passionnant de l'histoire, mais en ce qui concerne tout le reste on ne cesse de voyager en compagnie d'un héros profondément humain, curieux, entreprenant et attachant. Certaines scènes peuvent soulever le coeur, en effet, mais cela ne dessert aucunement la qualité de l'intrigue qui vous fait passer par toutes les émotions possibles et vous tient en haleine. Je termine ma seconde lecture, et je n'ai qu'un seul regret: que ça soit déjà fini !
Azteca, ou le chef d'oeuvre littéraire à l'état pur.
Critique de Chewingirlz (, Inscrite le 18 septembre 2013, 29 ans) - 17 octobre 2014
Six lettres, 1047 pages, un héros, l'Histoire, Gary Jennings, mélangez le tout, laissez refroidir quelques instants, et vous obtiendrez un chef d'oeuvre.
J'ai toujours été fascinée par l'histoire d'Amérique centrale et Amérique du Sud. Je savais distinguer les Mayas des Aztèques, mais dans mon esprit, les Aztèques et les Incas se mélangeaient ; je ne savais qui du peuple inca ou du peuple aztèque faisait des sacrifices humains à son terrible dieu Huitzilopochtli ou encore lequel des deux avait omis d'inventer la roue.
En vérité, je savais parfaitement une chose que j'avais appris à l'école : les Aztèques ont conclu leur déclin lorsque le grand Cortès est arrivé, suivi de ses guerriers espagnols au XVIe siècle.
Je suis donc partie à la découverte de ce monstre littéraire, ce livre aux éloges incroyables, avec une certaine ouverture d'esprit. J'ai lu quelques romans historiques et j'avais un avis mitigé quant à cette catégorie littéraire. Tantôt, ils étaient trop romancés, avec des détails à la limite de l'anachronisme, tantôt ils étaient trop réalistes et cela m'ennuyait profondément.
Je dois dire qu'Azteca est un cas très particulier : ce livre m'a mis une claque gigantesque et j'en ressors bouleversée et changée ; mais il m'a aussi paru d'un réalisme accru qui ne m'a pas ennuyé cette fois, mais qui m'a parfois profondément mis mal à l'aise comme lorsque je regarde un film en disant "cette scène-là, on aurait pu s'en passer".
Azteca, c'est l'apogée et le déclin des Aztèques. En réalité, il est fait surtout référence aux Mexica, qui vivait à Tenochtitlan, l'actuel Mexico. Notre héros, Mixtli, est une personne ordinaire, et il est appréciable de lire un livre où le héros n'a rien de particulier, si ce n'est une soif d'apprendre. Je pense que Gary Jennings a voulu le rendre humain, avec des sentiments humains et des facultés humaines. Mais, à trop vouloir le rendre humain, il a parfois dépassé les limites et l'a rendu, à mes yeux, totalement inhumain ; je crois que c'est la première fois que je lis un livre aussi long dans lequel j'apprécie peu ou prou le personnage principal. C'est ici le seul point négatif que je trouve à ce chef d'oeuvre colossal : son héros.
En réalité, le héros n'est qu'un fil conducteur qui nous permet de découvrir une civilisation haute en couleur, avec ses traditions, sa religion omniprésente comme elle l'était à l'époque en Europe, ses peuples et même son histoire. Gary Jennings, en faisant voyager son personnage m'a véritablement transportée, il m'a emmenée avec lui chez les Mayas, il m'a emmenée avec lui voir les sacrifices humains à Tenochtitlan, il m'a emmenée avec lui voir la terrifique "fête" Xipe Totec, il m'a emmenée avec lui à la cour de Texcoco et m'a montré l'arrivée des colons. J'ai pu rencontrer le grand Ahuizotl, le lâche Moctezuma, le bienveillant Nezahualpilli, le pauvre Cuauhtémoc et l'insupportable Malintzin (qui ne mérite d'ailleurs pas de porter le "tzin", marque de noblesse, vous en conviendrez par vous même).
Ce que j'aime chez Gary Jennings, ce sont ses descriptions qui permettent aux lecteurs d'être plongé dans son univers plus que réaliste. Mais en plus de cela, et c'est ici toute la magie de ce livre, il nous fait sortir de celui-ci, ce qui nous amène à poser les questions suivantes : est-ce eux, les vrais "sauvages" ? le sacrifice humain faisaient-ils des aztèques des êtres sanguinaires et primitifs ? Pouvait-on considérer que cette civilisation était inférieure à la nôtre au XVIe siècle ? (parce qu'ils n'avaient pas inventé la roue? NB : cette réponse se trouve dans le livre et est d'ailleurs nullement surprenante quand on voit l'avancée technique des Mexica ou plus généralement des Aztèques).
Par conséquent, Azteca n'est pas un livre dont vous ressortirez indemne. C'est le genre de roman que j'aime qualifier de fort, puissant et touchant à la fois. C'est un pur chef d'oeuvre que nous offre ici Gary Jennings, et si la civilisation aztèque vous fascine un tant soit peu, plongez dans l'univers de cet auteur incroyable, vous ne le regretterez pas.
Unique !
Critique de Vigneric (, Inscrit le 26 janvier 2009, 55 ans) - 15 avril 2012
Bref j'ai adoré, mais je conçois qu'on puisse ne pas aimer le style. Pour ma part je suis fan (j'avais aussi dévoré Marco Polo du même auteur), et je me suis précipité à la fin pour trouver la suite (Automne Aztèque) et la dévorer également.
Pornographie déguisé
Critique de Spyeagle (, Inscrit le 31 janvier 2012, 39 ans) - 31 janvier 2012
Je suis en train de le lire et je suis très déçu. Je suis à la page 180. Je recherche des livres avec une intrigue et c’est pas du tout le cas. C’est plat et y’a trop de descriptions à mon goût, ça rend très pesant la lecture…. Et je déteste les livres racontés à l’imparfait, je trouve que ça nous empêche de rentrer dans la peau du personnage.
En plus de ça, je trouve que l’auteur est un gros pervers sexuel, qui se complait en détaillant des scènes complètement cochonnes et sales. On a l’impression qu’il exprime tout ses fantasmes les plus ténébreux sous couvert des soi-disant moeurs d’une civilisation. Il voit clairement que Gary raconte de façon subtile la vie sexuelle des Aztèques sous l’oeil des colons en les prenants pour des sous-hommes voir animaux en se délectant de scènes de sexes qui sortent de sa complète imagination la plus dégoûtante. C’est comme si les gens du futur racontaient dans les livres d’histoires que le peuple français était comparable à dutroux. Nous voyons dans ce livre que Gary a un art d’écrire des choses écoeurantes de façon très subtile pour qu’elles soient politiquement correctes tout en se cachant derrière une civilisation. J’imagine que Gary devait avoir plein de cassettes pornographiques chez lui…
Comme si aux environs de l’âge de 7 ans une fille aurait l’idée de droguer son frère pour coucher avec? Comme si à 7 ans Mixtli a eu une relation incestueuse ignorant la portée de son acte? L’auteur prend les Aztèques pour des débiles et les lecteurs par dessus tout! De toute manière ils savaient très bien qu’ils faisaient mal vu qu’ils se cachaient pour pratiquer. Azteca est censé retracer la vie générale des Aztèques alors je ne vois pas pourquoi l’auteur focalise sur des scènes pornographique avec des enfants surtout qu’il raconte bien que les parents Aztèques étaient très sévères avec de code de conduite très strict.
Ou encore comme si une esclave se complaisait à se faire violer par tous les garçons et qu’elle en redemandait? nan mais faut arrêter de vomir ses fantasmes dans des livres!!! et dire que c’est édité pour tout public! D’après d’autres commentaires sur internet je ne suis pas au bout de mes surprises car on parle de viol homosexuel et de pédophilie.
Faut faire attention de pas se faire manipuler par une époque où l’Espagne avait soif de conquête et faisait passer les habitants d’Amérique pour des « sauvages » et qu’ils faillaient les exterminés en justifiant leurs actes par ce genre d’histoires montées en épingle qui font nos archives! C’est toujours le même refrain! On a fait largement pire en colonisant (avec toutes les atrocités qu’on leur a fait subir) que ce qu’ils faisaient eux-mêmes dans leur coin. C’est l’hôpital qui se fout de la charité. La différence entres les européens et les incas, indiens etc c’est que les européens savent mettre un joli papier cadeau autour des atrocités, tout est une question de com’. Tout comme Azteca qui est un livre sur les Aztèques avec de la pornographie dissimulée subtilement.
Assez décevant
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 9 octobre 2011
J'ai été plutôt déçue. Je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire, à m'attacher au personnage principal. On a l'impression que l'auteur veut nous montrer toute la myriade de petits peuples qui composent la grande civilisation aztèque. Le personnage principal passe aussi de tribus en tribus, sans s'attacher nulle part. Personnellement, j'aurais préféré que l'auteur s'attarde plus sur l'un des peuples, qu'il détaille plus ses coutumes et croyances, plutôt que de vouloir en faire une espèce de liste exhaustive. C'est ce côté qui m'a beaucoup déçu. J'ai ainsi trouvé ce livre trop long, ce qui est rare. J'ai par contre beaucoup plus apprécié la fin, pendant la conquête espagnole. J'ai aussi apprécié les lettres de l'évêque intercalées entre les chapitres. Ces lettres montrent bien la suffisance et l'opinion qu'avaient les peuples européens sur la civilisation aztèque.
Arrêtée à mi-chemin
Critique de JEyre (Paris, Inscrite le 17 juillet 2010, 43 ans) - 30 août 2011
des manques et une construction lourde
Critique de MEISATSUKI (, Inscrite le 2 octobre 2009, 48 ans) - 23 février 2011
D'après ce que j'avais lu, je m'attendais à une saga historique du genre de celles de Christian Jacq, Max Gallo ou au Jean Auel : romancée mais basée sur des faits ou connaissances historiques réels. Une saga nous apprenant "tout" ou quasiment sur une époque un peuple.
Mais, à la fin de ce pavé, qu'ai-je réellement appris sur les Aztèques ? Pas grand chose que je ne sache déjà. Quelques coutumes, quelques croyances, quelques métiers... mais rien d'abouti.
En effet, tout se base sur la vie d'un seul et même homme, parti de rien et ayant fait plusieurs métiers et vu tous les pays environnants. Un "surhomme" pour l'époque ou un chanceux ? C'est un enfant pauvre qui apprend à lire seul alors que les écrits ne sont pas répandus à l'époque et détenus par quelques "élus". Il est myope comme une taupe mais en une bataille se voit élevé chevalier grâce à un coup de sort, échappe plusieurs fois à la mort par miracle et j'en passe.
Mis à part des scènes de sexe et de tortures très précises, le reste, ce qui se doit d'être intéressant est survolé. Qu'en est-il de leurs méthodes d'architecture, sur quoi se basent leurs calculs ? Ils ont plusieurs dieux mais quelles sont leurs origines ? Ont-ils des liens entre eux ? Plus simple, dans quoi mangeaient-ils ? Que mangeaient-ils exactement ?
Certains passages sont longs pour un effet historique minime alors que j'ai trouvé qu'il y aurait eu plus à dire sur la prise de pouvoir des Espagnols.
Je n'ai pas réussi non plus à m'identifier ou me prendre d'affection pour le personnage principal.
Déception donc, à la fin de ces 1000 pages, il me reste un sentiment d'inachevé et une construction bancale de l'histoire.
Azteca
Critique de Hybow (, Inscrit le 11 mai 2010, 65 ans) - 11 mai 2010
Un bon roman, sous réserves...
Critique de Didie88 (, Inscrite le 4 décembre 2009, 36 ans) - 29 janvier 2010
Malgré tout ce livre nous fait découvrir une civilisation très riche!
massacre
Critique de Catas (la seyne sur mer, Inscrit le 28 juillet 2009, 48 ans) - 23 octobre 2009
L'histoire est assez violente, elle décrit avec conviction la réalité des aztèques. Oui, en effet, plusieurs scènes de sexe sont un peu inutiles à mon goût, mais c'est une grande histoire bien captivante.
un livre à recommander à la mer, à la montagne, sur la lune.
Azteca
Critique de Zaza64 (Anglet, Inscrite le 1 février 2008, 52 ans) - 1 février 2008
Déçue
Critique de Giny (Casablanca, Inscrite le 26 avril 2005, 36 ans) - 8 août 2005
Dur dur
Critique de Efji (Grants Pass, Inscrit le 4 mars 2004, 43 ans) - 5 avril 2004
A tous les amoureux d'aventures, d'histoires, de récits de civilisations anciennes, à lire absolument !
Les Aztèques avaient déjà découvert l'Amérique depuis longtemps...
Critique de Bolcho (Bruxelles, Inscrit le 20 octobre 2001, 76 ans) - 11 avril 2002
Je suis par contre beaucoup plus réticent en ce qui concerne la suite que l'auteur nous a proposée ("L'automne aztèque") et qui met en scène le fils du héros. Pas mauvais, mais des redites et un récit qui sombre dans l'événementiel et le violent. Pour des vacances aussi, mais à la plage, quand le cerveau est en train de bouillir sous le soleil.
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