Un employé modèle de Paul Cleave
( The cleaner)
Catégorie(s) : Littérature => Anglophone
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Déplaisant
Joe Middleton est employé dans la police local comme homme de ménage. Nettoyant partout, il a accès à tout dans les locaux. Mais cela n’inquiète personne : Joe est simple d’esprit.
Mais Joe est en fait un homme très intelligent qui, grâce à son jeu à la police, est au courant de tout ce qu’il souhaite. Et Joe est un tueur en série.
Tout va bien pour lui jusqu’au jour où un crime qui n’est pas de lui est ajouté aux siens, ayant suivi le même modèle, le même carcan. Et ça, ça ne lui plait pas du tout ! Il va mener l’enquête, grâce aux informations récoltées par la police, pour éviter que cela ne se reproduise.
Il va aussi rencontrer une femme, énigmatique, qui va lui faire voir beaucoup de choses différemment.
Quelle déception !!!!!!!! Zéro en humour, zéro en suspense, zéro en intérêt. Tout est trop gros, tout est déplaisant.
Seule l’histoire avec cette femme énigmatique apporte un léger piment. Mais très très léger.
Alors que ce résumé me faisait imaginer de très bons délires, je suis tombé de bien haut.
Les éditions
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Un employé modèle [Texte imprimé] Paul Cleave traduit de l'anglais (Nouvelle-Zélande) par Benjamin Legrand
de Cleave, Paul Legrand, Benjamin (Traducteur)
Sonatine Editions
ISBN : 9782355840333 ; 22,00 € ; 20/05/2010 ; 423 p. ; Broché -
Un employé modèle [Texte imprimé] Paul Cleave traduit de l'anglais (Nouvelle-Zélande) par Benjamin Legrand
de Cleave, Paul Legrand, Benjamin (Traducteur)
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253134190 ; EUR 7,60 ; 31/08/2011 ; 477 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (21)
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Bon style, mais roman insuffisant....
Critique de Didoumelie (, Inscrite le 5 septembre 2008, 52 ans) - 20 août 2016
J'ai lu le second "Un prisonnier modèle" qui ne fait que confirmer ce que je viens d'écrire. L'auteur s'est enlisé dans des fausses bonnes idées de rebondissements, cousues de fil blanc parfois, et c'est un roman dont on pourrait facilement en faire l'économie...
C'est dommage car son style est bon. Mais il ne suffit pas de bien écrire pour faire un bon roman à succès : il faut aussi une intrigue qui tienne la route et des personnages crédibles dans leurs comportements et leurs choix, ce qui n'est pas toujours le cas.
Vraiment dommage...
Un employé machiavélique .
Critique de Chapitre31 (TOULOUSE, Inscrite le 18 août 2013, 55 ans) - 1 janvier 2016
J'ai passé un bon moment de lecture , pas d'accord avec les avis négatifs de certains lecteurs.
A noter que son prochain roman est à paraître en 2016 intitulé " Un prisonnier modèle".
Histoire de tueurs ...
Critique de Chris (Bruxelles, Inscrite le 30 décembre 2003, 50 ans) - 11 mars 2014
Finalement, même si l'histoire est plutôt bien pensée, je l'ai trouvée un peu trop compliquée, comme 'parasitée' par des éléments qui n'apportaient pas grand chose.
Une note moyenne donc de ma part, mais j'essayerai un autre livre de cet auteur si j'en ai l'occasion.
Un concierge machiavélique
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 7 avril 2013
Quand un dangereux psychotique joue au benêt
Critique de Ori (Kraainem, Inscrit le 27 décembre 2004, 88 ans) - 20 février 2013
Le handicap mental dont il prétend être affligé lui gagne l’amitié des policiers et inspecteurs parmi lesquels il évolue, mais également, lui attire l’intérêt attendri de Sally, une collègue à deux doigts de tomber amoureuse !
Les héros de ce polar sont double, et l’auteur alterne judicieusement les chapitres donnant tour à tour la parole à Joe, le narrateur qui nous confie ses états d’âme de psychotique, mais aussi à Sally qui s’interroge sur son insaisissable mais si attachant collègue, lequel se trouve aux premières loges pour surveiller l’évolution de l’enquête sur lui-même, le Boucher de Christchurch !
L’on a peine à lâcher ce roman qui aurait atteint l’excellence, n’était-ce la surabondance du sang versé et des actes sadiques dont Paul Cleave aurait pu nous épargner les détails.
Un employé déjanté
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 3 février 2013
Soit Joe Middleton, individu « pas fini », vieux garçon du genre pas détaché de sa maman possessive, homme de ménage dans un commissariat et surtout … « pas fini » donc. Pas fini de la tête, qui n’a guère que deux préoccupations ; se montrer soumis vis-à-vis d’une mère limite démente et supprimer abominablement des femmes dans sa ville afin d’occuper le temps et pouvoir suivre le pataugeage des enquêtes « in vivo », au sein de son commissariat, là où il fait le ménage, là où il passe pour un simple d’esprit.
Il est à coup sûr des simples d’esprit qui sont pour autant des hommes dangereux. Notre Joe Middleton en est un.
Mais voilà qu’un grain de sable s’est glissé dans sa belle rhétorique : assassinat et observation subséquente d’une enquête qui patauge. On a attribué au « Boucher de Christchurch », son petit nom de serial killer un meurtre qui n’est pas de son ressort. Pour un déglingué perfectionniste comme lui, il y a là quelque chose d’intolérable. Il va donc profiter de sa position privilégiée au sein du commissariat pour mener sa propre enquête, possédant un avantage sur les enquêteurs en titre ; il est des pistes qu’il peut éliminer, des noms qu’il peut biffer. Simple d’esprit, oui, mais pas bête !
Mais il va tomber sur un os. Sur plus retors – retorse plutôt – que lui. Sur une femme déterminée qui va le percer à jour et le manipuler, ou du moins le tenter, dans de nouvelles exactions …
« Elle sourit. « T’es un petit malin, Joe, c’est ça ? Tu voudrais en savoir plus ?
- Pas vraiment.
- C’était purement un hasard que je me sois installée à côté de toi, Joe, et, quand tu as dit que tu étais flic, j’ai immédiatement su qu’il fallait que j’en apprenne plus. Seulement la police ne fait pas venir des consultants dans les affaires de tueurs en série, en tout cas pas des consultants comme toi. Ils font venir des experts de l’étranger. Personne vivant dans cette ville n’a ce genre de compétence. Et ensuite on a parlé de l’affaire. Tu avais trop de données confidentielles, tu en savais trop sur les meurtres. Seulement, tout ça ne rimait à rien. Et puis quand tu m’as parlé de l’arme, tout est devenu clair. Tu en savais beaucoup trop pour avoir glané tout ça dans la presse. Tu n’étais pas n’importe qui. Et deviner qui, c’était assez facile. Tout ce que j’avais à faire, c’était te dire que je n’étais pas d’ici, et tu m’as immédiatement vue comme une parfaite victime. Quelqu’un dont la disparition ne serait pas remarquée. »
Joe, un petit malin … oui, une façon de voir ! Il a trouvé en tout cas plus maligne …
La trame de ce polar n’est pas banale, et l’angle d’attaque très original. Néanmoins on peut regretter le côté très réaliste des scènes de violence, de tortures, qui mettent mal à l’aise, là où un Carl Hiaassen par exemple sait rester dans un humour fort à propos et procéder de manière allusive.
Trop premier degré donc. Justement ce qu’il ne faut pas !
La vie quotidienne d'un criminel
Critique de Portax (, Inscrit le 14 décembre 2012, 33 ans) - 16 janvier 2013
un ersatz d'"américan psycho"
Critique de Seb (, Inscrit le 24 août 2010, 47 ans) - 15 janvier 2013
A part donc cet angle de vue, le scénario est primaire et les flics de Christchurch n'ont pas l'air des plus perspicaces. La pseudo rédemption finale de Joe qui se met à aimer son bourreau sonne aussi un peu faux... pas le plus grand romain néo-Z en somme.
DECEPTION
Critique de Koudoux (SART, Inscrite le 3 septembre 2009, 60 ans) - 2 janvier 2013
En fait c'est un tueur en série "Le Boucher de Christchurch".
Son métier et son soi disant handicap lui permettent de surveiller l'avancement des enquêtes sans être dérangé.
L'idée est bonne mais la suite n'est que la description de scènes de violence.
Quelques bons moments mais trop rares.
Je n'ai par contre pas trouvé l'humour annoncé et à choisir je préfère un "Dexter".
Un monstrueux psychopathe
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 28 décembre 2012
Le roman bascule à la moitié du livre. Heureusement, car je ne voyais pas l'intérêt de suivre les désordres mentaux d'un psychopathe pervers et ses ruminations solitaires.
L'intervention d'un autre personnage fera de ce chasseur un chassé mais les deux étant d'une redoutable intelligence, la lecture se fera plus stressante et nous accrochera jusqu'aux dernières pages.
Il reste une néanmoins une impression désagréable à la fin de cette lecture; peut-être les scènes de torture et de meurtres trop fréquentes ou peut-être la froideur du ton employé ne permettant aucune compassion pour ce malade mental.
Premier livre de l'auteur que je découvre, on ne peut pas dire qu'il nous donne l'envie de découvrir la Nouvelle-Zélande, bien loin des paysages magnifiques de la trilogie du « Seigneur des anneaux »!
«Le crime le plus important dans l'agglomération de Christchuch – en dehors de la mode et de l'architecture vieille Angleterre, des sniffs de colle, du trop-plein de verdure, de la conduite dangereuse, du stationnement illicite, du manque de parkings, des piétons errants, des magasins trop chers, du brouillard d'hiver, du brouillard d'été, des mômes en skate-board sur les trottoirs, des mômes en vélo sur les trottoirs, des vieux types hurlant des passages de la Bible à tous les passants, des policiers stupides, des lois stupides, du trop-plein d'ivrognes, du manque de boutiques, des chiens qui aboient, de la musique trop forte, des flaques d'urine devant les magasins le matin, des flaques de vomi dans les caniveaux et du décor grisâtre entre autres choses- , c'est le cambriolage. »
Et si ce n'était que ça!!!
Bienvenue en Nouvelle-Zélande! Bienvenue dans l'univers de Joe!
Inégal
Critique de Ellane92 (Boulogne-Billancourt, Inscrite le 26 avril 2012, 49 ans) - 6 décembre 2012
Le reste du livre, soit une bonne partie, est plutôt classique, voire longuette. L’histoire nous est racontée par Joe lui-même, un peu mégalo et beaucoup sociopathe, mais quelques chapitres nous font sortir de la narration du personnage, notamment en adoptant le point de vue de Sally. Au travers de ces chapitres qui sortent du cadre de l’histoire vue par Joe, on se rend compte qu’il a vision sacrément faussée du monde qui l’entoure, mais ces quelques passages ne sont pas suffisants pour prendre du recul par rapport à la trame principale de l’histoire, et du coup, tombent un peu à plat. De même, j’ai eu l’impression que le côté sociopathe de Joe, très marqué au départ, s’adoucissait au fil du livre pour en faire un être plus mégalomane et très calculateur. L’idée et surtout le traitement original du départ se diluent au fil des pages, et malgré quelques passages réjouissants, le livre n’est porté ni par ses personnages secondaires (quoique j’ai trouvé Sally intéressante) ni par l’écriture (qui m’a donné l’impression de faiblir au fur et à mesure). Dommage !
Le cousin de Dexter
Critique de Batman38 (, Inscrit le 14 octobre 2012, 34 ans) - 15 octobre 2012
Ce livre permet aussi de se rendre compte que dans la vie on croit connaître quelqu'un et qu'en réalité il n'en est pas du tout. Ne jamais sous estimer quelqu'un que l'on croit "simple"
A lire pour ceux qui sont fan de Dexter
Besoin de dominer pour être heureux
Critique de Isad (, Inscrite le 3 avril 2011, - ans) - 11 août 2012
Par-ci, par-là, quelques piques sur les maux de la société contemporaine, la facilité à voler des voitures ou à entrer par effraction chez les gens, les vains efforts de la police pour découvrir la vérité et faire parler les indices si elle ne bénéficie pas d’un peu de chance, la chaleur omniprésente de l’été, nous sortent de l’horreur des crimes et sévices, pratiquement toujours suggérés.
Le narrateur, homme de ménage à l’air un peu niais du commissariat de la ville, engagé pour satisfaire au quota de travailleurs handicapés, affublé d’une mère bavarde et possessive, n’est pas ce qu’il paraît être. Et ce tueur de femmes mène l’enquête afin de savoir qui a imité son mode opératoire car une des victimes qu’on lui attribue n’est pas de son fait.
IF-0812-3932
A grignoter sur la plage...
Critique de Flo63 (, Inscrit le 6 janvier 2012, 43 ans) - 25 juin 2012
On rentre assez vite dans l'histoire en suivant le quotidien du boucher de Christchurch qui nous raconte sa vie a la première personne.
Malgré une cassure dans l'histoire et l'entrée en scène d'une mystérieuse jeune femme, rien d'original. Le héros est stéréotypé. Un homme seul se faisant passant passer pour un simple d'esprit employé comme homme de ménage dans un commissariat et qui profite de sa situation pour se tenir informé des avancées de la police.
On pourra aimer ou détester les détails crus donnés par l'auteur, une chose est sûre ce livre n'est pas une révolution.
Il pourra cependant être le compagnon de vos après midi à dorer sur la plage.
En résumé, un livre moyen qui tout de même se lit bien
L'assassin mène l'enquête...
Critique de Tanneguy (Paris, Inscrit le 21 septembre 2006, 85 ans) - 4 mars 2012
L'intrigue est menée de main de maître, parfois avec un certain humour (relations du tueur avec sa mère possessive). J'ai pris grand plaisir à découvrir cet auteur et son livre que je n'ai pu lâcher avant la dernière ligne.
un employé modèle.
Critique de Yogi (, Inscrite le 12 août 2008, 59 ans) - 18 janvier 2012
Choquant non ?
Critique de Le_squasheur (Paris, Inscrit le 16 décembre 2011, 49 ans) - 16 décembre 2011
L'étape suivante, ça sera de nous mettre dans la peau d'un voleur d'organes ou d'un violeur d'enfant ?
Moi je n'y vois que de la surenchère dans la violence pour vendre un polar pas très bien écrit et même pas original.
Excellent
Critique de Dyonis (, Inscrit le 14 mars 2007, 57 ans) - 22 mai 2011
Un polar noir, dans lequel le serial killer, rusé se retrouve pris dans un piège, dans celui de l'arroseur arrosé. A partir de là, le serial killer perd de son pouvoir, mais ne dit pas son dernier mot.
Sous l'angle du serial killer, on plonge dans son monde et l'histoire n'a pas de temps mort. Cela ferait un excellent film au cinéma.
A quand le prochain ?
Critique de Marlène (Tours, Inscrite le 15 mars 2011, 47 ans) - 2 mai 2011
Joe m'a fait bien rire avec son humour très noir (oui j'ai déjà fait l'amour avec une femme , mais pas avec une consentante ;)) il fait croire à tous les flics parmi lesquels il travaille qu'il est stupide alors qu'il ne l'est pas , il prend Sally pour une retardée alors qu'elle ne l'est pas . J'ai lu The Cleaner en deux jours , j'ai lu aussi rapidement les deux autres . Le chapitre 25 , oui , est très ... Enfin en tant que femme je ne pouvais que me dire 'ouch ça doit faire mal' et je me suis demandée où il avait été chercher cette histoire !
La maman de Joe est insupportable , il l'adore et dans le même temps il la déteste , une scène avec elle (quand elle est avec un p'tit vieux) m'a mis les larmes aux yeux tellement je riais .
Cleave n'est pas trop explicite dans les méthodes de Joe , on imagine .
Bref , j'ai adoré et je vais continuer à suivre ce jeune auteur Néo-Zélandais de près , j'adore ! Dommage que les autres ne soit pas traduits en français .
Serial killer down under
Critique de BMR & MAM (Paris, Inscrit le 27 avril 2007, 64 ans) - 18 octobre 2010
[...] La Nouvelle-Zélande est connue pour sa tranquilité, ses moutons et ses hobbits. Christchurch est connue pour ses jardins et sa violence.
C'est donc désormais chose faite grâce à Paul Cleave et son Employé modèle.
Et ça démarre très très fort : le premier chapitre vaut son pesant de kiwis.
Entrez, entrez, mesdames et messieurs, amateurs de serial killers, trucidages tordus, meurtres en série et autres charcutages délirants, entrez, entrez et vous serez servis !
Mais tenez vous bien : vous n'aurez pas affaire à 1 serial killer mais à 2 ou 3 ! et tant qu'à faire, ce sera même l'un d'eux qui mènera l'enquête et pas la police de Christchurch, complètement dépassée par les événements et l'imagination foisonnante de Paul Cleave !
Joe, le technicien de surface du commissariat principal de Christchurch se fait passer à longueur de journée de bureau pour le débile attardé qu'il n'est pas et pendant ses heures de loisirs, il se livre à son hobby préféré : tueur en série.
Pas par pulsions meurtrière ou sexuelle, non. C'est son hobby, tout simplement (vous aussi, je suis sûr que vous avez un hobby, vous comprendrez) :
[...] Je ne souffre pas de compulsion à tuer tout le temps. Je ne suis pas un animal. [...] Je ne suis qu'un type normal. Un Joe moyen. Avec un hobby.
Et puis il a des circonstances atténuantes : il est bien esseulé et ses deux seuls amis sont ses poissons rouges, Cornichon et Jehovah.
Ah, j'allais oublier une maman tyrannique qui n'a qu'une obsession : que son fils adoré ne devienne surtout pas gay et continue à venir manger chez elle son fameux pain de viande.
On ne vous en dit pas plus mais bien sûr, il n'y a rien de bien sérieux là-dedans : c'est pas pour rien que les Néo-Zed ont la tête en bas, et l'auteur lorgne plutôt du côté de Donald Westlake.
Malheureusement, après le démarrage en fanfare cité plus haut, le bouquin souffre de nombreuses longueurs pas toujours très utiles et Paul Cleave s'attarde un peu en route. Dommage qu'il n'ait pas su trouver ou garder le rythme infernal qui aurait convenu à son polar délirant. Une prochaine fois peut-être : c'est son premier roman.
Ah, j'allais oublier un avis important aux lecteurs (pas aux lectrices, ce passage a beaucoup fait rigoler MAM, moi pas du tout, mais alors pas du tout) : messieurs donc, vous lirez rapidement et en diagonale le chapitre 25 (l'horreur) et les deux ou trois suivants (les soins). En tout cas, arrangez-vous pour ne pas finir la soirée sur ces chapitres : vous ne pourriez pas vous endormir avant au moins la page 270, le temps que la douleur s'estompe, croyez-moi ...
Un copié-collé de Dexter
Critique de Clubber14 (Paris, Inscrit le 1 janvier 2010, 44 ans) - 25 août 2010
Ce que vous trouverez en revanche et que vous n'avez pas du tout dans la série Dexter c'est un indéniable sens de l'humour de la part de l'auteur (un peu le même genre d'humour que chez Hugh Laurie dans "Tout est sous contrôle", un humour noir, assez politiquement incorrect). J'ai été, par moment, réellement plié de rire. Le personnage est certain d'être beaucoup plus intelligent que tout le monde et surtout que les enquêteurs des meurtres. Il a sa mère constamment sur le dos et se fait passer pour un attardé au commissariat, ce qui lui ouvre bien des portes et provoque des situations assez hilarantes et des dialogues improbables....
Bref si vous parvenez à occulter le côté "plagiat de Dexter" vous pourrez passer un très agréablement moment de lecture, qui ne restera néanmoins pas dans les annales.
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Si beau... | 49 | Dirlandaise | 26 août 2010 @ 03:23 |