L'Homme au balcon de Maj Sjöwall, Per Wahlöö

L'Homme au balcon de Maj Sjöwall, Per Wahlöö
( Mannen på balkongen)

Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers

Critiqué par Marvic, le 10 février 2010 (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans)
La note : 8 étoiles
Moyenne des notes : 9 étoiles (basée sur 2 avis)
Cote pondérée : 6 étoiles (13 268ème position).
Visites : 3 925 

Une autre vision de la Suède

A Stockholm, de nombreuses agressions ont lieu dans différents jardins publics de la ville sans aucun indice quant à l'identité de l'agresseur.
Mais la découverte du corps d'une petite fille assassinée va donner une dimension dramatique et urgente à l'enquête. La pression montant encore à la découverte d'un deuxième cadavre d'enfant.

De nombreuses pistes vont être suivies et finalement c'est l'obstination et l'intuition de l'enquêteur Martin Beck qui permettront d'arrêter le tueur de petites filles.

Un policier dense et classique qui ne faiblit pas, même si nombre de noms suédois restent toujours un peu difficiles à retenir.

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Les éditions

  • L'homme au balcon [Texte imprimé] par Maj Sjöwall et Per Wahlöö trad. de l'anglais par Michel Deutsch
    de Sjöwall, Maj Wahlöö, Per Deutsch, Michel (Traducteur)
    10-18 / 10-18. Série Grands détectives
    ISBN : 9782264038500 ; 7,40 € ; 19/02/2004 ; 254 p. ; Poche
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Remarquable

10 étoiles

Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 42 ans) - 20 juillet 2023

Ce troisième roman de la série "Martin Beck" est une incontestable réussite qui nous embarque dans une affaire d'une profonde noirceur, malsaine et dérangeante : deux gamines de 9-10 ans sont retrouvées, mortes (étranglées) et violées, dans un parc public. Un criminel pédophile qui va donner du fil à retordre à Martin Beck (désormais commissaire) et ses hommes (Kollberg, Melander, Larsson...), alors que, en un été étouffant, les gens vont commencer à agir assez brutalement, plongeant dans la parano. Et qui est cet homme qui, dès le début du récit, est surpris à regarder par son balcon les gens qui passent, adultes et enfants compris ?
Court (260 pages en comptant 15 pages de préface), ce roman est du genre qu'on ne peut pas lâcher. Encore une fois, des dialogues parfois un peu con-cons, mais c'est pas grave. C'est une merveille, sinon.

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