Plage de Manaccora, 16 h 30 de Philippe Jaenada
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
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Brûlant : à lire d'urgence !
C'est l'histoire de phrases qui s'étalent, qui s'étirent tout à leur aise, comme des flammes qui embraseraient une forêt.. euh non, c'est l'histoire d'une rencontre avec une possible mort, euh non, c'est l'histoire... en fait c'est l'histoire d'une femme (moi) qui vous conseille de foncer chez votre libraire (ou votre bibliothécaire) pour voir si nous aimons la même chose. Parce que moi j'ai aimé !
Philippe Jaenada, c'est avant tout un style qui m'a enchantée, un style qui se donne l'air de rien et qui surprend sans cesse (et jusqu'au bout !), une narration d'aujourd'hui. Un romancier pince sans rire qui, avec un simple mot quelquefois, change le ton, la couleur de la phrase, un écrivain qui nous fait faire des volte-face, qui étonne là où on ne l'attendait pas. C'est aussi un écrivain qui met la narration à distance, en jouant de dérision, en introduisant des pirouettes -pour cacher l'émotion-, des formules lapidaires, comme ça, par surprise, de manière inattendue, jouant parfois -souvent même- avec les écarts de niveau de langage. Certaines fois l'humour est présent plus longtemps (l'épisode de la terrasse (pour ceux qui liront p.18 à 24) est particulièrement savoureux). Et puis ses digressions, délicieuses !
Mais Jaenada ne fait pas que de l'humour. Bien loin de là ! Son livre est tendre, sérieux, tragique, émouvant, acide, poétique, en un mot : attachant. C'est aussi une très belle histoire d'amour entre un homme et une femme. Une histoire d'amour entre un père et son fils. Mais encore ? Je vous raconte un peu : un couple et son jeune enfant sont en vacances sur la côte Adriatique. Un effroyable incendie va les obliger à fuir. Eux, et bien d'autres humains. Dit comme ça, on peut trouver que c'est simple. Et pourtant ! Deux cent quatre vingt pages, pas une seconde d'ennui ! Un seul regret : il a fallu que je me résolve à lire les derniers mots et à fermer le livre. Mais j'en ai un autre de lui (lu à moitié) pour le week-end à venir. Et comme un bonheur n'arrive jamais seul...
En quatrième de couverture : "Philippe Jaenada est ici à son meilleur[...] Un magnifique roman d'une drôlerie désespérée". Un éditeur réaliste et courageux qui a tout de même cautionné ceci : (contexte : une femme a subi une épreuve qui l'a rapprochée de la mort mais malgré tout, elle a tenu à sauver d'une destruction certaine un livre (on la comprend n'est-ce pas?) :
"je me suis approché d'elle afin de savoir ce qu'elle lisait de si précieux. C'était la traduction d'un roman de Guillaume Musso. L'humanité acharnée qui court pour échapper à la destruction a parfois l'air un peu ridicule."
J'oubliais les prénoms des protagonistes : Voltaire (lui), Oum (elle) et Géo (le petit). On pourrait trouver plus banal...
Les éditions
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Plage de Manaccora, 16h30 [Texte imprimé], roman Philippe Jaenada
de Jaenada, Philippe
B. Grasset
ISBN : 9782246680215 ; 17,90 € ; 21/01/2009 ; 280 p. ; Broché -
Plage de Manaccora, 16h30 [Texte imprimé], roman Philippe Jaenada
de Jaenada, Philippe
Points / Points (Paris)
ISBN : 9782757814925 ; 6,50 € ; 18/02/2010 ; 220 p. ; Poche
Les livres liés
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Les critiques éclairs (13)
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l'été des méduses bouillies
Critique de Ronanvousaime (, Inscrit le 13 mai 2007, 49 ans) - 11 septembre 2013
Après, il ne s'agit pas du "Désert des tartares" ou de grande littérature, mais d'un très sympathique et étrange récit. L'alliance de tragique et de plaisanterie semble en mettre certains mal à l'aise, ce qui est compréhensible, mais moi ça m'a réjoui.
Un vrai bon moment de lecture et un certain talent dans l'anecdote souriante. Je vais me pencher, assez sérieusement, sur le reste de la production de ce monsieur.
Récit captivant
Critique de Dirlandaise (Québec, Inscrite le 28 août 2004, 69 ans) - 28 août 2012
Mais comment l'auteur peut-il aborder un événement aussi dramatique en truffant son texte de pointes d'humour pas toujours très subtiles ni appropriées au contexte ? Je dois cependant avouer que j'ai souri à quelques reprises et puis, dans la deuxième moitié du livre, il délaisse heureusement quelque peu cet humour parfois très irritant. Le récit devient alors palpitant et m'a plongée dans une sorte d'angoisse devant le danger qu'affrontaient les gens prisonniers de cette plage qui risquait de devenir leur cercueil.
J'accorde donc une bonne note car j'ai passé un bon moment de lecture et j'aime bien ce genre d'histoire qui ramène les choses à l'essentiel et nous fait prendre conscience de la chance que nous avons d'être vivants et en sécurité.
Vite lu, vite oublié
Critique de Saule (Bruxelles, Inscrit le 13 avril 2001, 59 ans) - 26 mars 2012
Ceci dit, l'auteur a beaucoup d'humour, certains apartés (chaque fois entre parenthèses) sont franchement drôles. Mais cet humour ne suffit pas à faire un bon roman, et au final j'ai la vague impression d'avoir perdu mon temps.
Au feu !
Critique de Débézed (Besançon, Inscrit le 10 février 2008, 77 ans) - 22 février 2012
Il n’y a donc pas grand-chose à retenir de ce livre, même pas tout ce qui est écrit entre parenthèses, un bon quart du texte, où on trouve un peu de tout, du bon, des remarques perspicaces, des précisions intéressantes mais hélas aussi des clichés grossiers, des blagues à deux sous, des balourdises, des images douteuses, …
C’est, dans toute sa banalité, l’histoire d’un couple de Français moyens qui passe, avec son enfant, ses vacances estivales sur la côte adriatique quand, lors d’une balade, ils sont surpris par un incendie de forêt qui détruit le camping où ils se sont réfugiés. La course s’engage alors entre le feu et les estivants qui courent de plage en plage jusqu’à être acculés et obligés de fuir par la mer, n’ayant plus que le choix entre la mort par asphyxie et la mort par noyade. Mais on sait bien qu’un sauveur arrivera d’une façon ou d’une autre. Avant cette issue attendue, l’auteur fait passer les lecteurs par tous les étapes qui jalonnent un bon roman de ce type : le doute, l’incrédulité, l’incompréhension, le refus d’admettre, l’inquiétude, l’angoisse, la révolte, l’espoir, le désespoir, la résignation, l’indifférence... Et, finalement quand tout semble fini, les souvenirs, les regrets, le gâchis, les moments forts, ceux qui ont conditionné l’existence, les petits détails insignifiants qui marquent cependant la mémoire, affluent, sans oublier la réflexion moralisatrice sur le comportement bestial (l’instinct de conservation) de l’être humain devant l’échéance finale de plus en plus probable.
Voilà belle une tentative pour construire un beau succès de libraire qui hélas, comme presque à chaque fois, n’est pas un succès littéraire.
Humour déplacé et () trop placées
Critique de Koudoux (SART, Inscrite le 3 septembre 2009, 60 ans) - 21 février 2012
Tout va bien jusqu'au moment où un terrible incendie va se déclarer.
Voltaire va nous raconter avec humour la découverte de l'incendie, la prise de conscience du danger, la panique, la course d'un grand nombre de personnes, les décisions bonnes ou mauvaises à prendre dans la » seconde », la solidarité ou la lâcheté vis à vis des autres victimes...
Le thème est bien traité, mais je n'ai pas aimé le style d'écriture avec ses () qui n'en finissent pas et qui alourdissent le roman.
Je n'ai pas du tout apprécié l'humour du narrateur.
Une vraie déception ...
Critique de Pucksimberg (Toulon, Inscrit le 14 août 2011, 44 ans) - 8 février 2012
En toute sincérité, je n'ai pas aimé ce roman. Je m'y suis ennuyé. Pourtant, un certain nombre d'éléments auraient pu m'intriguer : le sud de l'Italie qui m'est familier, un épisode qui se déroule dans ma ville Toulon, plus précisément dans le quartier mal famé surnommé "le petit Chicago", le choix de l'incendie, motif peu exploité en littérature ... mais déception pour ma part, je me suis ennuyé.
De plus, je n'aime pas du tout l'écriture de Jaenada. Que ces parenthèses enchâssées dans d'autres parenthèses sont pénibles ! Certaines phrases sont très longues et n'en finissent plus. Je n'ai pas été porté par son écriture, je butais sur les mots, sur la syntaxe. Son humour ne m'a pas amusé non plus. J'aurais voulu partager le plaisir des autres lecteurs du site, mais je n'y suis vraiment pas parvenu.
Ce n'est que laborieusement que j'ai terminé ce roman. J'ai eu l'impression de survoler le texte sans pouvoir rire aux fameux instants dits comiques et sans partager la moindre émotion avec les personnages ...
Ca sent le roussi …
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 3 février 2012
Et ce n’est que ça en fait. L’arrivée de Voltaire, le papa, Oum, la maman et Géo, le garçon, dans les Pouilles italiennes, en bordure de mer adriatique pour quinze jours à profiter de la mer et du soleil nous est narrée. On s’installe dans un quotidien fait de relâchement, de farniente et de beauté … trois jours. Pas plus. Puisque dans la matinée du jour suivant :
« Pendant qu’elle empilait la vaisselle du petit déjeuner dans l’évier, et que Géo, sur un lit, près de l’entrée, que nous n’utilisions pas, secouait avec ardeur un monstre Bionicle rouge en psalmodiant étrangement « Je suis le pape qui danse ! Je suis le pape qui danse ! », j’essayais de ne penser qu’à des choses agréables et volatiles, accoudé vers la mer, une cigarette à la main, et remarquais de la fumée qui traversait le ciel bleu au-dessus de la maison, venant de derrière, c'est-à-dire de la colline, poussée par le vent puissant qui soufflait de la terre. Peut-être un nuage. Je me suis penché au balcon en me tordant le cou pour mieux voir. Un gros nuage. Pas un petit barbecue, en tout cas (ou alors le type avait eu l’idée louche de l’installer sur notre toit). Quelqu’un qui faisait brûler des branchages à une cinquantaine de mètres d’ici ? Ce serait une drôle d’occupation par une chaleur pareille, et avec ce vent, mais la planète est parsemée de timbrés … »
Ca commence comme ça un feu de forêt dans lequel vous allez tout perdre, jusqu’à la vie le cas échéant. Vous faites la vaisselle, vous rêvassez sur le balcon, passe un vilain nuage et …
Vous avez remarqué, dans l’extrait ci-dessus, aussi ? L’abondance de virgules ? Ca n’est pas visible dans l’extrait mais côté parenthèses, ce n’est pas mal non plus ! Certainement dû au fait que Philippe Jaenada digresse à tout va - fuyant le feu qui se rapproche plus que dangereusement, Voltaire se remémore les circonstances de la mort d’une crevette du Sénégal dans son aquarium, et tout à l’avenant … C’est la fête aux parenthèses et aux virgules mais le style de Philippe Jaenada est très agréable, « gouleyant », apte à faire glisser les pires moments. D’ailleurs la lecture de ce roman est très prenante. Elle vous accroche comme le fait un polar. Personnellement je l’ai dévoré.
Donc un feu de forêt. Des vacanciers et des autochtones coincés entre la dite forêt en feu et la mer. Mais c’est la côte méditerranéenne, toute en invaginations et en replis. Et être dans l’eau n’implique pas d’être à l’abri, du moins du nuage de cendres et de suie, brûlant et asphyxiant. Nous participerons donc à la fuite éperdue de Voltaire, Géo et Oum, et de tous les autres, dans une ambiance dramatique mais temporisée par la plume de P. Jaenada. Et nous aurons incidemment, par le biais de toutes les digressions évoquées plus haut, fait connaissance davantage avec ces trois attachants individus.
Un mot encore. Je pense que c’est dû au fait que tout le roman relate un fait très précis et sa progression, je n’ai pu m’empêcher de penser à « 19 secondes », de Pierre Charras.
Le secret des chaussures japonaises !
Critique de Frunny (PARIS, Inscrit le 28 décembre 2009, 59 ans) - 23 décembre 2011
Extrait d’un fait réel , le roman de Philippe Jaenada retrace l’incendie de forêt qui s’est déroulé en juillet 2007 dans la parc naturel de Gargano ( Localité de Peschici – Pouilles – Italie )
Les évènements sont relatés par «Voltaire» , père de famille quadragénaire , en vacances sur les bords de l’Adriatique , avec femme et enfant .
Je ne reviendrai pas davantage sur le déroulement du sinistre ( cf. autres critiques ) mais j’en suis ressorti ( moi aussi ! ) très déçu.
Cet incessant mélange de description des faits , de traits d’humour ( bien lourd ! ) et de ressentis, finit par lasser.
L’emploi permanent des parenthèses ( + des parenthèses dans la parenthèse…. ) justifiées pour « balancer une vanne » devient rapidement consternant .
Dommage , car l’idée directrice ( le comportement humain dans une situation extrême , confronté à la mort ) est intéressante mais son traitement me semble raté .
J’imagine que cette alternance « dramatique – humour » doit plaire mais à moi….. non !
Je me rallie à l’opinion de Merrybelle.
On ne peut pas qualifier ce roman de « nul » mais je suis des plus heureux de passer à autre chose.
Un roman original et humoristique
Critique de Elya (Savoie, Inscrite le 22 février 2009, 34 ans) - 22 décembre 2011
Ce roman se dévore, il est très facile de rentrer dedans et il ne nécessite aucune concentration particulière. Il y a peu de personnages, tout tourne principalement autour du père de famille dont l’aventure qui met ses proches en danger lui permet de réaliser son introspection. Ainsi, il revient sur certaines scènes anodines ou émouvantes de son passé, de la naissance de son fils aux canons qu’il enchaine au bistrot du coin. Ces parenthèses que je redoutais tant permettent en fait à l’auteur d’adopter un ton humoristique, sans pour autant tomber dans le burlesque. Malgré le drame qu’il décrit, il ne tombe jamais dans le pathos non plus. Notre héros, Voltaire, reste lucide sur sa condition, ce qui n’empêche pas son esprit de divaguer, au plus grand plaisir du lecteur qui ne pourra que sourire.
« D’ailleurs, peu d’entre eux regardaient encore vers les hauteurs boisées (qui l’étaient de moins en moins, au détriment de l’élégance bucolique), d’un pas plus ou moins pressé selon leur nature profonde, vers l’autre extrémité de la plage ».
Peut-être que l’écrivain aurait pu pousser un peu plus dans la dimension psychologique du ressenti d’un drame tel que celui-ci ; là, il l’effleure à peine. Cela reste un roman divertissant.
A oublier très vite
Critique de Merrybelle (PACA, Inscrite le 6 novembre 2011, 62 ans) - 18 décembre 2011
Malgré une trame intéressante, la lecture de ce livre m'a insupportée.
La cause en est le style de l'auteur, fait de longues digressions, souvent inutiles comme celles sur l'alcool qu'il absorbe, de parenthèses dont il use et abuse, ces paragraphes composés de parenthèses imbriquées.
Et l'humour qu'il distille devient lourd, très lourd.
Très (trop) rarement, on entrevoit un autre livre et on se surprend à sourire comme devant cette anecdote décrivant les objets jetés à la hâte dans un sac par sa femme avant de fuir.
Cet auteur est loin d'atteindre la finesse d'un J.L. Fournier dans le genre décalé.
En conclusion, une histoire gâchée, une impression d'un style "fabriqué" comme ces prénoms dont il affuble ses héros et une certitude, celle de ne plus lire cet auteur.
Drôle de fiasco
Critique de Aaro-Benjamin G. (Montréal, Inscrit le 11 décembre 2003, 55 ans) - 10 décembre 2011
Il y a beaucoup de parenthèses, et dans le texte et dans la forme. Par exemple, un chapitre est consacré à l'émotion de la mort d'une crevette du Sénégal! En dépit de ces nombreux retours-arrières, cela n'est pas agaçant. En fait, c'est justement la multitude d'angles - autodérision, burlesque, humour noir, philosophie etc - qui rend cette lecture des plus agréables.
Drame et dérision
Critique de Marvic (Normandie, Inscrite le 23 novembre 2008, 66 ans) - 4 décembre 2011
Et quand une légère odeur de « barbecue » flotte dans l'air à l'heure du petit déjeuner, il n'y pas de quoi s'alarmer ni d'envisager de modifier l'emploi du temps de la journée.
La famille s'installe donc dans la voiture louée (et que Voltaire, très ennuyé, a déjà éraflée) et part à Peschici. Le fait de croiser des gens qui leur font des grands signes en leur demandant de faire demi-tour les surprend à peine. Mais quand un arbre en feu s'abat à quelques mètres d'eux, ils commencent à envisager quelque chose de plus grave. Sans s'attendre au degré de gravité qui sera atteint dans les heures qui suivront...
La force de ce livre ne tient pas dans l'événement lui-même mais dans le ton de M. Jaenada. Déjà, le choix des prénoms installe le ton de ce livre. Des phrases très longues, pleines de parenthèses, qui obligent à revenir au début pour savoir ce qu'il voulait dire (c'est bien le seul point commun qu'il y a avec Proust!). De nombreux flashback hilarants .(Le souvenir de sa femme face au premier plateau de bulots est presque un morceau d'anthologie)
Et puis des vérités découvertes dans cette fuite pour la survie sur l'être humain, sur l'amour des siens, sur ce qu'un homme peut être capable de faire pour sauver ceux qu'il aime ou pour sauver sa propre peau.
« Décidément, échapper au danger n'est pas si complexe et déstabilisant qu'on pourrait le penser. On n'a pas le choix, c'est facile. »
Un livre lu en une journée, car entre l'issue incertaine du drame et le ton de l'auteur (qui m'a rappelé l'humour désespéré de Jean-Louis Fournier), c'était une véritable parenthèse de soleil dans un triste dimanche de novembre.
Je me permettrai juste d'ajouter ces quelques lignes trouvées sur le site touristique de Manaccora:
« Vous pourrez dire que vous étiez dans un véritable paradis du soleil, la mer et la nature. Dites à vos amis vos vacances vécues dans la détente, le confort et le plaisir.
Parce que notre village a été pensé pour offrir un séjour inoubliable. »
Ce n'est pas Philippe Jaenada qui me contredira!
Entre cauchemar et burlesque
Critique de Dudule (Orléans, Inscrite le 11 mars 2005, - ans) - 2 août 2009
C'est aussi toute une réflexion sur ce qu’on est prêt à faire pour sauver sa peau, celle de nos proches, celle d’un inconnu, c’est aussi la rétrospective d’une vie, les bons moments, les petits compromis.
Un bon roman et un auteur à découvrir
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Précision de l'auteur (Jaenada) | 18 | Débézed | 28 février 2012 @ 12:57 |