Le fait du prince de Amélie Nothomb
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Moyenne des notes : (basée sur 29 avis)
Cote pondérée : (55 681ème position).
Discussion(s) : 1 (Voir »)
Visites : 16 284
Une jolie couverture...
Heu, que dire de cet énième opus de notre chère Amélie?
Son écriture est certes toujours aussi piquante et agréable à lire. Son esprit acide est certes toujours en éveil et on prend un plaisir certain à suivre ses réflexions sinueuses.
Mais l'histoire... hum hum... Bon, ce n'est pas aussi mauvais que "Journal d'hirondelle", mais c'est loin d'égaler "Ni d'Eve ni d'Adam" ou quelques autres de ses premiers romans.
En fait, elle n'est jamais aussi bonne que quand elle se raconte elle-même...
En bref, c'est l'histoire d'un homme qui prend l'identité d'un autre, mort, et se glisse dans sa peau, s'insinuant dans sa vie, dans sa maison, voire dans sa femme...
On n'y croit guère, malheureusement, mais bon, pour les fans... Les autres attendront le poche. Et encore...
Les éditions
-
Le fait du prince [Texte imprimé], roman Amélie Nothomb
de Nothomb, Amélie
Albin Michel
ISBN : 9782226188441 ; 16,00 € ; 20/08/2008 ; 169 p. ; Broché -
Le fait du prince [Texte imprimé] Amélie Nothomb
de Nothomb, Amélie
le Livre de poche / Le Livre de poche
ISBN : 9782253129523 ; 5,70 € ; 05/05/2010 ; 160 p. ; Poche
Les livres liés
Pas de série ou de livres liés. Enregistrez-vous pour créer ou modifier une série
Les critiques éclairs (28)
» Enregistrez-vous pour publier une critique éclair!
Prince, prince …
Critique de Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 68 ans) - 28 février 2016
L’idée de base étant ; « que feriez-vous si tout à coup, sans crier gare, un parfait inconnu venait mourir chez vous ? » Bon, en fait non, Amélie Nothomb ne vous pose pas la question. Elle raconte dans quel engrenage tombe Baptiste Bordage dès lors qu’il prend le parti de ne pas déclarer la mort subite de l’homme venu sonner chez lui pour, disait-il, téléphoner à un dépanneur. Non seulement il ne déclare pas la mort de celui qui s’avère être Olaf Sildur, suédois du même âge que lui, mais tel un serpent qui abandonne sa mue sur le sol, il endosse l’identité d’Olaf Sildur. Qui s’avère finalement une identité intéressante puisque pourvue d’argent, de facilités et d’une femme qui joue le jeu …
Pourtant, Baptiste Bordage n’était pas prédestiné à jouer une vie secrète :
« Quand on est tout petit, on ne parvient pas à garder un secret. C'est une étape de la croissance, comme le fait de devenir propre. Si on y réfléchit, c'est peut-être lié. Dans ces deux domaines, j'ai été tardif. A l'âge de neuf ans, j'ai vécu mon dernier échec dans ce domaine. J'avais bien remarqué mon retard et je voulais prouver que j'avais atteint cette continence. Mes parents me cachaient quelque chose, de peur que je le révèle à ma grande soeur. Je me suis mis dans une colère noire. « Dites-le moi, vous verrez bien que je peux me taire. » De guerre lasse, ma mère m'a murmuré à l'oreille : « Ta soeur va recevoir un piano pour son anniversaire. » »
Autant le dire de suite, c’est parfaitement « hors-sol », hors réalité, c’est de la pure fantaisie ! « Incrédible », aucune intention de crédibilité quelconque. Amélie Nothomb a posé un postulat et s’est amusée avec. Pourquoi pas ? Ca n’en fait pas un incontournable de la littérature moderne.
Roman peu digne d'un prince
Critique de Masterchef (, Inscrit le 18 août 2014, 53 ans) - 18 août 2014
Un moins bon Nothomb
Critique de Pacmann (Tamise, Inscrit le 2 février 2012, 59 ans) - 17 août 2014
Le récit est comme on peut toujours s’y attendre d’une absurdité sans nom et en particulier ici en prenant compte les choix et options pris par le personnage principal ; l’histoire en elle-même ne part pas d’une situation entièrement improbable mais s’enlise complètement.
On s’ennuie assez vite comme si l’auteur s’était aventuré dans un récit sans savoir où et comment cela allait finir. Pour preuve, les derniers chapitres deviennent très courts, comme si l’auteur cherchait désespérément une porte de sortie.
Par ailleurs, contrairement à certains romans de l’écrivain, je n’ai pas perçu une tendance à faire passer un message qui sous-tend ses récits ; quelques réflexions sur certains thèmes épars et ensuite on peut tirer l’échelle.
Sans aucune hésitation un livre sur lequel il ne faut pas s’attarder même si le style reste évidemment inimitable. Sans doute un des moins bons romans de l’auteur belge.
un peu de légèreté, que diantre...
Critique de Ezechiel00 (, Inscrit le 25 juillet 2010, 45 ans) - 15 juillet 2012
qu'importe aussi que certains (voire beaucoup) soient restés sur leur faim... pourquoi vouloir faire de la réalité un impératif absolu ? Bien sur que l'histoire ne tient pas debout, mais est-ce vraiment l'important ?
Croyez vous l'écrivain assez idiot pour ne pas le croire capable d'inventer des "ficelles" plus cohérentes s'il l'avait voulu ?
Ouvrez donc un Fleming si vous voulez du vrai espionnage.
Car oui les gens, on appelle cela un style, celui qui consiste à tracer une histoire à sa façon, selon sa propre perception, selon ses règles.
On appelle cela le fait du prince...
pétard mouillé
Critique de Galak (, Inscrit le 21 avril 2012, 49 ans) - 21 avril 2012
mais ce "fait du prince" me laisse perplexe : l'histoire commence sur les chapeaux de roue avec le suspense d'un polar, et très vite on attend des réponses qui ne viennent jamais. Tout semble trop facile. Quand le narrateur suppose qu'il a usurpé l'identité d'un agent secret, on s'attend à ce que cette hypothèse soit démentie par un truc encore plus gros. On aime tous les vies de 007 et jamais aucune précision ne vient alimenter le récit. Outre les quantités gargantuesques de champagne qui sont bues, je trouve dommage que la fin soit bâclée : scénario qui s'accélère soudain quand Sigrid découvre que son mari est mort et que son interlocuteur est un imposteur, le coup du tunnel jusqu'à la banque (complètement irréaliste dans une zone pavillonnaire de Versailles !) et le voyage en voiture jusqu'à la Suède... Pour finir, le gros bourrin qu'est le narrateur (voir ses réflexions de macho) se transforme un amateur raffiné d'art contemporain et la belle plante suédoise accepte de passer le restant de ses jours avec ce type... Jamais on ne parle de réalités tangibles concernant l'enquête sur l'assassinat, les formalités pour vivre dans un pays étranger etc... Bien décevant !
Envie de plus de détails.
Critique de Sarazohra (, Inscrite le 3 mars 2012, 36 ans) - 3 mars 2012
Baptiste s'ennuie dans sa vie. Il se retrouve pris certainement dans un complot et en vient de façon presque automatique à prendre l'identité d'un autre homme. Il s'approprie sa vie, son compte en banque, sa femme, sa maison... Ce fut même très facile pour lui. On avance dans ce livre en espérant en savoir plus sur cette identité volée.
Qui est Olaf? Quel est son métier? Pourquoi baptiste? De quoi est-il mort? Pourquoi est-il mort? quels sont les détails du complot?
Le livre a une bonne histoire de base mais on a envie de plus de détails. on aimerait que le livre se rajoute de 100 pages et nous donne plus de choses à se mettre sous la dent!
Conclusion: ON EN VEUT PLUS!!!!
Le fait du prince
Critique de Exarkun1979 (Montréal, Inscrit le 8 septembre 2008, 45 ans) - 24 septembre 2011
Bon, bon,bon...
Critique de Lindy (Toulouse, Inscrite le 28 mai 2006, 46 ans) - 15 septembre 2010
Pourtant, j'étais jusque là une fervente lectrice des Nothomb, acharnée, assidue. Mais voilà, c'est au moins le 3ème consécutif (et dans les dernières éditions) que je ne trouve franchement pas terrible...
J'ai trop senti le prétexte de l'histoire, les ficelles, c'est assez laborieux, ça manque de logique (même dans l'absurde, on en veut un peu quand même). Quelques bonnes maximes et du bon champagne ne suffisent pas à me rassasier...
Je pense que je vais relire "Les catilinaires" ou "Hygiène de l'assassin" pour m'assurer que j'aime toujours...
beaucoup d'interrogations et peu de réponses
Critique de Tyty2410 (paris, Inscrite le 1 août 2005, 38 ans) - 26 juin 2010
Moyen moyen....
Critique de Cecezi (Bourg-en-Bresse, Inscrit le 3 mars 2010, 44 ans) - 27 avril 2010
Certains parlent de plagiat ; ce roman m'a fait penser à une hsitoire très proche de Gracq : "Le Roi Cophétua". On trouve le même personnage enfermé dans un lieu clos, accompagné d'une ravissante et mystérieuse femme dont il ignore tout, y compris la place qu'il peut prendre. On retrouve l'idée que finalement, tout le dispositif n'est peut-être qu'un jeu dont il est la victime. La différence tient au fait que la nouvelle de Gracq (que je recommande très chaleureusement) tient en 70 pages, mais au combien plus denses, plus fouillées que celles qui nous occupe.
Et puis je suis agacé par les références, les clins d'oeil dont l'auteur parsème comme un tic ses ouvrages. Assez de cette culture de surface plutôt démagogique.
Une perte de temps...
Critique de Boitahel (Paris, Inscrite le 27 janvier 2010, 40 ans) - 14 mars 2010
Ce livre est fade, plat et n'apporte rien...tant les personnages que l'histoire en elle même!!
Heureusement que la lecture est rapide, sinon j'aurais botté le livre en touche...
Insignifiant
Critique de Leroymarko (Toronto, Inscrit le 19 septembre 2008, 51 ans) - 13 janvier 2010
polar et champagne : beau cocktail
Critique de Francesco (Bruxelles, Inscrit le 16 février 2001, 79 ans) - 1 août 2009
Un feu d'artifice de bulles à consommer sans modération n 'en déplaises aux radins et grippe sous...
champagne
Critique de Marion34 (, Inscrite le 12 mai 2009, 39 ans) - 12 mai 2009
Cependant ce livre ne donne qu'envie de boire du champagne.
Le début du livre est étonnant puis plus rien, seulement des coupes de champagne à volonté et un pauvre chat abandonné.
Merci Amélie pour cette histoire passable.
Manque de respect
Critique de Clo31 (, Inscrite le 9 septembre 2005, 66 ans) - 11 mai 2009
Farfelu !
Critique de MAGGUIL (, Inscrite le 22 février 2008, 44 ans) - 15 avril 2009
J'aime la manière dont Amélie Nothomb utilise les mots mais par contre le contenu, lui, est bien mince.
Ma partie préférée reste le début, les cinq premières pages, celles qui ont fait que j'ai acheté ce livre. La suite devient loufoque puis on tourne petit à petit en rond. Un peu pompant à vrai dire.
Champagne, champagne et champagne mais à part cela les questions que le lecteur se pose au fil de l'histoire restent sans réponse.
On peut écrire une histoire un peu farfelue, ce n'est pas vraiment ce côté là qui m'a dérangé mais plus le fait que la fin ne colle pas.
Vrai plagiat
Critique de Tatoutof (, Inscrit le 10 février 2009, 54 ans) - 10 février 2009
Déception !!!
Critique de Pattynet (, Inscrite le 22 janvier 2009, 69 ans) - 22 janvier 2009
Tout avait pourtant bien commencé, par une situation décalée et kafkaïenne et patatras, notre Amélie se rate, s'embrouille, se vautre et s'effondre totalement.
La notoriété permet d'écrire n'importe quoi en toute impunité, l'éditeur étant certain de faire un chiffre acceptable rien que sur le nom de l'auteur.
Lamentable !
divertissant sans plus
Critique de Baader bonnot (Montpellier, Inscrit le 11 janvier 2008, 41 ans) - 10 janvier 2009
Dans « le Fait du Prince », on retrouve donc cette ambiance abstraite. Les situations un peu tirées par les cheveux permettent souvent de passer du coq à l’âne sans pour autant faire preuve d’incohérence. On sent qu’Amélie s’est inspirée de Kafka pour son roman, qu’elle cite à plusieurs reprises d’ailleurs. La « réflexion » semble évoluer autour de la valeur d’une vie et de son côté aléatoire qui peut se terminer comme rebondir à n’importe quel instant. Pourtant à aucun moment on ne quitte la forme pour s’occuper un peu du fond. Jusqu’à la dernière ligne, on se dit qu’on va tomber sur la phrase qui va nous faire adorer ce bouquin… en vain. Mais c’est peut-être là le talent de cette auteur, d’arriver à nous tenir en haleine et de nous amener à la limite du réel, voire de l’incompréhensible. On sort souvent déçu des livres de Nothomb et pourtant on en redemande, allez savoir pourquoi…
Pas si mauvais !
Critique de Shelton (Chalon-sur-Saône, Inscrit le 15 février 2005, 68 ans) - 3 novembre 2008
Depuis quelques années, peut-être à partir de la Métaphysique des tubes, de très nombreux critiques et lecteurs n’y trouvent plus leur compte, râlent et se plaignent… Certains ont stoppé de lire ces parutions cycliques… Du coup, alors que j’adorais l’Amélie Nothomb des origines, celle que j’avais eu beaucoup de plaisir à interviewer plusieurs fois, j’hésitais de plus en plus à la lire… Je laissais passer sans y toucher Acide sulfurique, Journal d’hirondelle et Ni d’Eve ni d’Adam… Le fait du prince, à sa sortie déclenchait, une fois encore, une salve de réprimande et en lisant les critiques des uns et des autres, ici ou ailleurs, je découvrais qu’on reprochait tout et son contraire à la femme de lettre ! A Nancy, lors du livre sur la place, elle n’arborait plus de chapeau voyant, elle souriait toujours et ses lecteurs étaient aussi nombreux… Je décidais donc de lire cette dernière production, au moins pour voir…
Certes, ce petit roman est assez improbable, plein de rebondissements irréels, mais lit-on un roman pour rester enfermé dans notre quotidien ? Non ! Alors poursuivons…
Le personnage clef est confronté à un véritable problème, un homme est venu mourir chez lui, le téléphone à la main, il ne le connaissait pas… Au-delà de la situation romanesque, j’osais me demander, en lisant ces pages, ce qu’aurait pu être ma réaction… Certes, je ne pense pas que la folie m’aurait saisi comme elle s’empare de cet homme qui finit par perdre son identité…
Mais qu’est-ce que la vie si elle peut partir, ainsi, de façon si soudaine ? Qu’est-ce que l’identité si on peut en changer si facilement ? Qu’est-ce qu’une relation amoureuse à deux si du jour au lendemain un des deux peut être remplacé par un autre de passage sans affecter, du moins en apparence, la qualité de la dite relation ?
Beaucoup de questions, beaucoup de sentiments, beaucoup de plaisir pour le lecteur qui accepte de se laisser mener en bateau par la romancière…
Alors, oui, j’ai aimé ce roman, je l’ai lu avec plaisir, je ne me suis pas posé la question de savoir si Amélie avait copié ou non un style ou une idée, je me suis juste laissé porter par ses mots, ses phrases courtes et bien ciselées…
Lorsque je suis arrivé à la fin, j’ai dû abandonner Sigrid devant sa page blanche… à moins que ce ne fut Amélie Nothomb, tout simplement, qui me laissait seul après deux heures de vie commune…
Oui, j’entends bien tous les petits défauts que certains ont pu percevoir ici ou là, mais je m’attendais à tellement pire, horrible et illisible, que, je l’avoue, j’ai passé un excellent moment… Non ! Je ne regrette rien !
sans fin...
Critique de David90 (, Inscrit le 16 octobre 2008, 51 ans) - 24 octobre 2008
Dommage, vraiment dommage. Car le reste est bon.
Plagiat
Critique de Ahsieg (, Inscrit le 15 octobre 2008, 41 ans) - 15 octobre 2008
Dès la première page je me suis fait la réflexion mais ai préféré poursuivre, quelle stupéfaction! Le style de Nothomb tant adulé n'est autre qu'un pur copier/coller du style emprunté par Camus dans L'Etranger. Relisez-le je vous en prie!
Il se trouve que je relisais L'Etranger (un de mes bouquins préféré) la semaine dernière juste avant de lire, un peu à contrecoeur, Le Fait Du Prince. Je ne crie pas au complot, peut-être a-t-elle trop lu Camus et s'est-elle imprégnée de son style sans le vouloir, le fait est que cette froideur dont son personnage fait preuve, cette folie dénuée de toute compassion pour son contemporain voire pour sa propre personne est l'essence même du style de Camus. Nothomb y ajoute quelques figures de style un peu pompeuses, quelques phrases maladroites et passe inaperçue. Une honte.
Le fait du prince ? Noble régal
Critique de Ddh (Mouscron, Inscrit le 16 octobre 2005, 83 ans) - 29 septembre 2008
Septembre voit le retour d’Amélie Nothomb à la vitrine du libraire, au petit écran, à la radio. Mais on ne se lasse pas de ce plaisir car lire son nouveau roman est chaque fois un heureux premier moment esthétique.
L’imagination bouillonnante d’Amélie Nothomb s’épanche merveilleusement dans ce nouveau roman. Comme toujours, il y a quelques réminiscences autobiographiques comme ses goûts pour le champagne (mais qui rejette ce breuvage ?), ses « je t’aime, mon non plus » à propos des musées et de l’art contemporain (qu’elle adore). Mais elle se lâche dans une intrigue digne d’un polar où les bons sentiments sont secoués, voire, avec inversion des valeurs. Toutefois, chacun se verrait bien dans la peau de cet obscur Baptiste Bordave métamorphosé en Olaf Sildur, un Suédois à la vie éclatante autant que dangereuse.
A chaque nouveau roman d’Amélie Nothomb, le lecteur s’attend à trouver, ici ou là, un mot de vocabulaire idoine mais réclamant la consultation du dictionnaire. Rien de pareil dans Le fait du prince. Au contraire, assez bizarrement, là où l’on trouverait, pour une bonne concordance des temps, un subjonctif plus-que-parfait, c’est un subjonctif passé qui naît sous sa plume, par ailleurs correct puisqu’il est permis d’employer un subjonctif présent pour un imparfait, un subjonctif passé pour un plus-que-parfait. « Il concevait que je l’aie oublié lui, mais il était certain que je me rappelais ce vin ». Comme dans chacun de ses romans, la lecture du livre est d’autant plus claire à suivre que la progression de l’intrigue est linéaire mais avec quelques pirouettes qui surprennent agréablement.
ce livre en un mot: vide
Critique de Pioute (, Inscrite le 18 septembre 2008, 44 ans) - 18 septembre 2008
Mais là, c'est décidé, l'an prochain, je m'abstiens, et j'attends le livre de poche.
Vraiment, "Le fait du prince" a fini de me convaincre de l'irréguarité de la qualité de vos livres. J'ai lu jusqu'au bout (il faut reconnaître que c'est assez rapide, heureusement), tout en me lamentant à chaque page.
L'idée est bonne mais survolée à un point que c'en est désespérant. Les 3/4 de l'histoire se résume à une phrase répétée à peu près 50 fois : "il/elle but une gorgée de champagne".
Vous n'étiez pas inspirée ? Ca peut arriver mais à ce moment là, s'il vous plaît prenez le temps (un an de plus si nécessaire, votre éditeur DOIT comprendre !)
Il ne fallait pas nous habituer à la joie de dévorer des "Hygiène de l'assassin", "Stupeur et Tremblement", ou "la Métaphysique des tubes". La déception n'en est que plus rude. On sait de quoi vous êtes capable, alors on a un peu l'impression qu'on s'est fichu de nous. En droit on parle d'"erreur sur la chose"...Remboursés !
Sur notre faim... du pur Nothomb!
Critique de Meg (, Inscrite le 11 septembre 2008, 51 ans) - 11 septembre 2008
aguicheur mais pas fini
Critique de Yohann2704 (, Inscrit le 10 septembre 2008, 41 ans) - 10 septembre 2008
*Qui est réellement Olaf?
*Qui est George Sheveve?
*Qui sont les deux hommes qui les surveillent?
beaucoup de questions pour si peu d'intrigue tout cela pour laisser un goût d'inachevé
Décevant
Critique de Campanule (Orp-Le-Grand, Inscrite le 10 octobre 2007, 62 ans) - 8 septembre 2008
Que je regrette ses tous premiers romans....
Sans saveurs
Critique de Panty (Gaume, Inscrit le 17 avril 2005, 32 ans) - 3 septembre 2008
Forums: Le fait du prince
Sujets | Messages | Utilisateur | Dernier message | |
---|---|---|---|---|
Nothomb cru 2008/ étoiles CL | 51 | Aria | 11 février 2009 @ 09:45 |