Le chat qui jouait aux dominos de Lilian Jackson Braun
( The cat who came to breakfast)
Catégorie(s) : Littérature => Policiers et thrillers
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enquête sur breakfast island
Jim Qwilleran, journaliste habitant Pickax, petite ville de 3 mille âmes dans le comté de Moose à 600km de partout, décide d'aller enquêter sur l'île de Pear Island, où des malheureux "accidents" tuent de nombreux touristes.
Pour aider ses amis à garder les clients de leur auberge, Qwilleran, aidé de ses deux chats siamois à l'intelligence hors du commun, n’hésite pas à prendre des risque...
Comme toute la collection des chats qui... l'histoire est assez intéressante et très facile à lire, c'est un livre à lire quand on n'a pas trop envie de se compliquer l'esprit...
Les éditions
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Le chat qui jouait aux dominos [Texte imprimé] par Lilian Jackson Braun trad. de l'anglais par Marie-Louise Navarro
de Braun, Lilian Jackson Navarro, Marie-Louise (Traducteur)
10-18 / 10-18
ISBN : 9782264021250 ; 7,10 € ; 01/01/2000 ; 286 p. ; Poche
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Les critiques éclairs (2)
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Scénario catastrophe dans le pays d'en-haut
Critique de Bleizmor (Bretagne, Inscrit le 3 janvier 2009, 54 ans) - 16 novembre 2011
Toutefois, l'auteure aurait pu se passer de ce final apocalyptique, digne d'un mauvais film d'Hollywood, qui contraste avec ce petit monde à 600km au nord de partout et les enquêtes flegmatiques de James Qwilleran.
Reste le style agréable de L.J. Braun, à la fois riche et fluide.
Un roman en mi-teinte, qui n'est sûrement pas le meilleur de L.J. Braun, mais qui nous permet de garder contact avec les habitants du comté de Mouse.
Extraits :
- Ce n'est pas de ma faute. Mon compagnon de chambre l'a fait tomber du cintre.
- Vous ne devriez pas vous laisser faire ainsi.
- Mon compagnon de chambre est un mâle avec quatre pattes, une queue et des dents pointues ...
- Oh !
Qwilleran : "J'ai atteint une certaine sérénité, je crois : j'ai des amis et j'écris un livre"
Qwill, les dominos et les poires
Critique de Sahkti (Genève, Inscrite le 17 avril 2004, 50 ans) - 14 avril 2007
Qwill part mener l'enquête avec Yom-Yom et Koko, l'air de rien...
Je trouve la fin quelque peu bâclée (souvent le cas dans cette série, l'auteur se dépêche de terminer, comme si elle se rendait compte qu'elle avait déjà pris trop de pages pour le reste), mais le reste du récit est intéressant pour sa vision du tourisme familial et des traditions bafouées. Et puis, comme toujours, ça reste plaisant à lire, pas de la grande littérature ni du thriller palpitant, mais un bouquin détente qui fait du bien et permet de souffler un peu.
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