Le Comte de Monte-Cristo de Alexandre Dumas
Catégorie(s) : Littérature => Francophone
Moyenne des notes : (basée sur 50 avis)
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Implacable Vengeance
Imaginez-vous un instant être Edmond Dantès. Jeune marin sur le point de devenir capitaine et de se marier avec la demoiselle qu'il aime.
Il est malheureusement arrêté le jour de ses noces à cause de calomnieuses accusations rédigées par des arrivistes qui le jalousent. De fil en aiguille, il est rapidement emprisonné au secret dans le désormais célèbre château d'If, pour les infâmes intérêts personnels d'un homme qui abuse du pouvoir qui lui a été conféré.
Ce magnifique roman à l'intrigue bien conçue va d'abord nous imprégner de l'injustice subie par Edmond Dantès. Mais quand, après 14 ans d'emprisonnement, il réussit l'exploit d'une formidable évasion, le récit nous entraînera alors dans le tumulte de sa vengeance implacable. Maintenant connu sous le nom du très riche comte de Monte Cristo, Edmond Dantès va préparer et minutieusement exécuter sa froide vengeance sur les personnes qui sont responsables du complot ourdi à son encontre et de l'injustice qui l'a frappé.
Le livre est aussi, au delà du génial récit d'Alexandre Dumas, un sujet de débat sur la vengeance. Le Comte de Monte Cristo ne veut plus entendre parler d'Edmond Dantès, pour lui son âme est morte. Peut-on réellement ressusciter ce qu'on a perdu, lorsqu'on subit une injustice, en appliquant une vengeance implacable ?
Les éditions
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Le Comte De Monte-Cristo
de Dumas, Alexandre
Omnibus
ISBN : 9782258050198 ; 27,00 € ; 03/09/1998 ; 1256 p. ; Poche -
Le comte de Monte-Cristo, tome 1 [Texte imprimé] Alexandre Dumas préf. de Jean-Yves Tadié,... éd. établie et annotée par Gilbert Sigaux
de Dumas, Alexandre Tadié, Jean-Yves (Préfacier) Sigaux, Gilbert (Editeur scientifique)
Gallimard / Classique
ISBN : 9782070405374 ; 8,60 € ; 26/08/1998 ; 703 p. ; Poche -
Le comte de Monte-Cristo [Texte imprimé], [EXTRAITS] Dumas présentation, notes, chronologie et dossier par Caecilia Pieri
de Dumas, Alexandre Pieri, Caecilia (Editeur scientifique)
Flammarion / Étonnants classiques (Paris)
ISBN : 9782081210523 ; 5,60 € ; 22/10/2007 ; 419 p. ; Poche -
Le Comte de Monte-Cristo (Intègrale les 6 Volumes)
de Dumas, Alexandre
Editions Vassade
ISBN : B008IJD4W6 ; 06/07/2012 ; 296 p. ; Format Kindle -
Le comte de Monte-Cristo [Texte imprimé] Dumas édition présentée et annotée par Gilbert Sigaux
de Dumas, Alexandre Sigaux, Gilbert (Editeur scientifique)
Gallimard / Bibliothèque de la Pléiade
ISBN : 9782070109791 ; 62,00 € ; 06/05/1981 ; 1450 p. ; Cuir/luxe -
Le comte de Monte-Cristo [Texte imprimé] Alexandre Dumas éd. établie par Claude Schopp
de Dumas, Alexandre Schopp, Claude (Editeur scientifique)
R. Laffont / Bouquins (Paris)
ISBN : 9782221064573 ; 33,00 € ; 07/10/1993 ; 1495 p. ; Poche -
Le Comte de Monte-Cristo, tome 2
de Dumas, Alexandre Sigaux, Gilbert (Editeur scientifique)
Gallimard
ISBN : 9782070405923 ; 8,60 € ; 26/08/1998 ; 1454 p. ; Poche -
Le comte de Monte-Cristo [Texte imprimé] Alexandre Dumas illustrations d'Édouard Riou édition présentée par Claude Aziza...
de Dumas, Alexandre Aziza, Claude (Editeur scientifique) Riou, Édouard (Illustrateur)
les Presses de la Cité-Omnibus
ISBN : 9782258193789 ; 39,00 € ; 15/10/2020 ; 904 p. ; Relié
Les livres liés
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Les critiques éclairs (49)
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Une lecture addictive
Critique de Ayor (, Inscrit le 31 janvier 2005, 52 ans) - 26 mars 2019
Le premier quart de l’histoire se déroule rapidement et est simple à suivre, c’est également le plus connu avec la présentation des principaux protagonistes, la mise en place de la machination ourdie contre le valeureux Edmond Dantès, et son emprisonnement au château d’If.
Par la suite, l’action ralentit et Alexandre Dumas prend son temps quant à l’élaboration de la terrible vengeance de Dantès ; cela n’en reste pas moins prenant et terriblement addictif.
Concernant les profils des personnages, l’auteur les dissèque littéralement et pose l’évidente question de la légitimité de la vengeance, la transformation d’un homme droit, franc et honnête mais un peu trop naïf quant à la nature humaine, en un personnage froid et avide d’anéantir ceux qu’il considère comme ses ennemis, quitte à faire quelques dégâts collatéraux si besoin.
Cette œuvre magistrale est dense et longue, mais se lit avec tant de plaisir et une complète immersion, que le temps se suspend et que plus rien ne compte hormis la vie et la quête de Dantès.
Une lecture à ne pas rater !
Critique de Cédelor (Paris, Inscrit le 5 février 2010, 52 ans) - 24 mai 2017
Une lecture à ne pas rater, donc !
Bien, mais long, trrès long!
Critique de Flo29 (, Inscrite le 7 octobre 2009, 52 ans) - 1 novembre 2016
La vengeance est un plat qui se mange froid.
Critique de Lilule (baalon, Inscrite le 24 février 2006, 51 ans) - 7 juin 2016
À lire absolument.
Critique de Beth8262 (, Inscrite le 26 mai 2016, 67 ans) - 26 mai 2016
Comme certains autres lecteurs ont dénoté, j'ai aussi constaté quelques incohérences et invraisemblances et quelques longueurs. Parfois j'ai eu à revenir sur ma lecture, car je ne saisissais pas le fil du récit surtout lors d'un changement de ligne, à savoir si c'est le même personnage qui poursuit sa conversation ou c'est un autre qui lui répond. Mais cela n'a pas affecté mon bonheur à le lire. Par contre, il y a des élément qui m'ont suscité des questionnements.
En relisant le roman, j'ai porté une plus grande attention à certains détails, comme pour saisir des indices afin de mieux cerner l'état psychologique de Monte Cristo. Faut comprendre que 14 ans de détention dans de mauvaises conditions, de plus, non méritée, a pour conséquence de perturber une santé mentale. D'ailleurs Monte Cristo, avait toujours du haschich sur lui, et fumait de l'opium, il devait y avoir une raison et un besoin. Il se prétendait être le substitut de Dieu se permettant de punir ou récompenser. Aussi il disait qu'il avait le droit de vie ou de mort sur ses esclaves, et que s'il devait tuer Ali, il le ferait, et Ali devrait s'y soumettre. Ces paroles m'ont laissé des frissons dans le dos.
Il y a un aspect qui m'a suscité un questionnement, soit la vie intime de MC durant les 10 années suivant son évasion, tout en sachant que Dumas avait l'habitude de bien romancer. Après ses 14 ans de détention, MC a su que c'était bien fini kapout avec Mercédès, il aurait pu bien refaire sa vie, ou avoir des maitresses, comme Dumas en avait l'habitude. (parait- il que Dumas avait plusieurs maitresses et qu'il disait que ça lui prenait plusieurs femmes pour satisfaire ses besoins). On apprend que MC s'est acheté une jolie esclave, Haidée âgée de 13 ans et, qu'il la considérait comme sa fille, pas une conjointe même s'il l'appelait ''mon amour''. Il se limitait à lui baiser la main, et ça n'allait pas plus loin. Selon le récit, faire sa vie avec elle ça ne faisait pas partie de ses plans. Toutefois, ce ne sera que 6 ans après son acquisition, ou soit 10 ans après son évasion, qu'il décidera d'en faire la femme de sa vie.
Âgé de plus de 40 ans, était il toujours puceau???
J'avais auparavant déjà vu 2 films de Monte Cristo. J'ai constaté à ma surprise que la fin du livre est bien différente des films. Est ce que les cinéastes n'ont pas aimé la fin du roman, ou ils l'ont modifié afin de rendre le récit plus romantique dans le but de mieux vendre au box office????.
J'aimerais bien le savoir.
Le top
Critique de Warrel62 (, Inscrit le 30 mars 2013, 54 ans) - 2 février 2016
C'est sur une oeuvre comme celle-ci que l'on peut le mieux se rendre compte, après 1400 pages de lecture, du pouvoir "castrateur du cinéma" (même après la postérieure et récente vision de la belle version de Jacques Weber de 1979, la plus fidèle), car la meilleure version de film est comme toujours celle du film qu'on se fait dans sa tête en lisant le livre.
J'ai été ainsi fort surpris de voir que l'épisode "Chateau d'If" qui se termine souvent à mi-parcours dans le support télévisuel ne soit en fait finalement que quasiment le début du roman, et par ailleurs qu'on zappait toujours plus ou moins sur écran les mêmes parties.
Au XXIème siècle, celui de l'immédiateté, les jeunes d'aujourd'hui pourront y trouver quelques longueurs, à l'inverse des "amateurs" de littérature.
Ce livre fascine aussi parce que Dantes est un peu quelque part nous-même, chacun a bien souvent un jour été dans sa vie plus ou moins accusé à tort ou mis plus bas que terre et rêvé d'une éclatante revanche a priori impossible!
Si je peux oser en 2016 une comparaison avec le sport actuel et notamment le tennis, ce roman me semble être le "Djokovic" de la littérature, même lorsque ses petits défauts remontent au grand jour (incohérences temporelles, quelques longueurs peut-être en effet), il n'en écrase pas moins à mon sens toute concurrence; rares sont les oeuvres - disons 4 ou 5 autres classiques et un peut-être plus récent, "les piliers de la terre" peuvent se prévaloir d'un tel "souffle".
Un feuilleton haletant
Critique de Elko (Niort, Inscrit le 23 mars 2010, 48 ans) - 13 janvier 2016
Roman envoûtant.
Critique de Etiennecaqueue (, Inscrit le 31 décembre 2015, 56 ans) - 31 décembre 2015
Petite anomalie remarquée: Villefort brûle la lettre de dénonciation (voir chapitre VII). Ensuite, lors d'une visite du Comte de Monte-Cristo à Mr de Boville (voir chapitre XXVIII) il consulte un registre et y subtilise la dénonciation, qui ne devrait plus exister puisque détruite par le feu.
Merci M. Alexandre DUMAS
Critique de Ben75011 (Paris 11e, Inscrit le 19 février 2014, 36 ans) - 18 août 2014
Ce qui m'a étonné, c'est que lorsque j'ai fait part à des amis (de la quarantaine et plus) que je lisais le comte de Monte Cristo, beaucoup m'ont répondu qu'il s'agissait d'une littérature d'adolescents de 12 ans.
Hé bien, je n'ai pas eu le privilège d'étudier ceci à l'école (et je doute d'ailleurs que beaucoup d'écoliers de nos jours l'étudient au collège), mais il n'est jamais trop tard pour rattraper le temps perdu !
Cette saga se lit très aisément. Sur Wikipédia il y a une étonnante infographie dans laquelle sont retracés tous les liens entre les protagonistes de l'histoire. C'est tout simplement prodigieux.
un livre marquant
Critique de Ellane92 (Boulogne-Billancourt, Inscrite le 26 avril 2012, 48 ans) - 28 avril 2014
Je ne vais pas faire des commentaires sur ce texte, qui a été commenté tant de fois par de plus légitimes que moi. Le Comte de Monte-Cristo a été une lecture à la hauteur de mes attentes, et mes attentes étaient au plus haut. J'ai adoré le machiavélisme dont fait preuve Edmond Dantès, la bravoure et la droiture d'Albert de Morcef, la volonté de Noirtier. J'ai adoré me promener à Marseille, que je connais bien, à Paris également, où je vis, à Rome enfin, et même à Janina. Je me suis repue des mœurs d'une autre époque, avec d'autres chaines mais aussi d'autres libertés que celles que nous connaissons aujourd'hui. Bien sûr, le récit n'est pas parfait : l'écriture est parfois maladroite, les redites sont nombreuses, mais il est difficile, voire impossible, de ne pas se laisser emporter par ce récit qui tient à la fois de l'aventure, de l'exotisme, du suspense, de la machination. J'ai été assez surprise de la conception du bonheur un peu sadique de notre vengeur, selon laquelle un grand bonheur ne peut advenir que si l'on a vraiment beaucoup souffert. J'ai été frustrée du châtiment injustement (à mon avis) léger de ce misérable Danglars. Et surtout, surtout, j'ai souhaité un peu de bonheur à tous ces personnages si malmenés.
Un livre à ne rater sous aucun prétexte !
Magnifique Roman!
Critique de Gabrielbc (, Inscrit le 24 octobre 2013, 28 ans) - 25 octobre 2013
De bonnes nuits, j'ai 17 ans et je suis élève de préparatoire au Mexique, je suis en train d'apprendre la langue française et mon maître m'a commandé d'un devoir à écrire une critique de mon livre favori à cette page, j'ai décidé de parler d'un "comte de Monte Christ". Mais bon, celui d'ici est ma critique:
Il est de mes livres préférés, il est très long mais avec beaucoup d'essence, les personnages sont fantastiques avec beaucoup de style, aussi l'enseignement.. Qu’est-que c'est la vengeance ? Et Devrions-nous faire justice par notre propre main ? Ou c'est que cette fervente assiette doit-elle être prise pour une entité supérieure et plus juste? Peut-être Dieu… ce roman m'a fait réfléchir.
Aussi comme un homme accumule sa haine, et cette même haine est la raison de sa vie. Il supporte la prison seulement parce qu'il voulait vivre ce moment de vengeance. Il a fait l'impossible possible et a échappé à la prison
Pour moi il a été un plaisir de lire ce roman, le texte est facile à digérer, et tu ne t'ennuies jamais. Il a été mon premier classique, je l'ai lu quand j'avais 15 ans, il est pour toute la famille
« La vengeance est un plat qui se mange très froid »
Critique du tome 1
Critique de AntoineBXL (Bruxelles, Inscrit le 9 août 2008, 45 ans) - 29 avril 2013
Un pan de vie qui défile...
Critique de Ngc111 (, Inscrit le 9 mai 2008, 38 ans) - 25 avril 2013
L'intrigue, on l'a dit, est d'une simplicité enfantine de prime abord : Edmond Dantès se retrouve derrière les barreaux par la faute de plusieurs personnages aux motivations diverses, réussit à s'échapper, devient heureusement riche et met en place une lente vengeance à l'encontre de ses pourfendeurs. Et pourtant Dumas parvient à étoffer cette histoire de base en ne centrant pas son récit uniquement sur le personnage principal, d'abord ; ensuite en gardant quelques révélations qui se dévoileront au fil du récit, en obscurcissant parfois les intentions du comte, et en faisant bien sût évoluer ce personnage au travers de ses pérégrinations.
Pourtant, encore une fois, le personnage de Monte-Cristo n'est pas l'unique atout de ce grand roman, et toute la qualité, la valeur d'une histoire aussi longue se doit de reposer sur des personnages de prime abord secondaires, mais pourtant indispensables. Aucun n'est oublié par Alexandre Dumas, du valet au fiston, de la maîtresse de maison à l'amie pianiste de sa fille, du bandit corse ou romain à l'aubergiste plié aux quatre volontés de ses clients ; il est hallucinant de constater que tout un chacun joue un rôle prépondérant, que rien n'est à jeter dans cette assemblée de personnages parmi laquelle il serait aisée de se perdre, mais qui pourtant jamais se montre fouillis et indiscernable.
Et puisque l'on a qualifié l'intrigue de longue, il convient de louer l'alternance remarquablement maîtrisée entre les moments de tension (les dialogues entre le comte et ses ennemis, lorsque le premier nommé les taquine sous couvert d'une politesse et d'une flatterie merveilleusement affectée), d'intelligence (les conversations avec l'abbé, la retenue en otage de Danglars chez Luigi Vampa) et de tranquillité (certaines pauses descriptives assez courtes, certaines pauses dans la frénésie du déroulement de la vengeance). Tout cela est d'autant plus nécessaire que l'ensemble tient sur 1400 pages !
Enfin toute grande œuvre se doit de proposer une foule de considérations politique, morale, religieuse ; d'aborder des thématiques romantiques, poétiques et de multiplier ainsi les sujets au sein d'un ensemble que l'on pourra résumer pourtant de manière concise.
Et là encore Le Comte de Monte-Cristo s'en sort très bien, construisant sa trame autour de faits historiques tels que la restauration de la monarchie après la tentative de retour de Napoléon, ne cessant d'accompagner Edmond Dantès dans son cheminement personnel (les raisons, les conséquences et les moyens de sa vengeance, son rapport à Dieu).
C'est tout juste si l'on pourra reprocher à l'auteur de ne pas se montrer si engagé que certains de ses contemporains dans cette voie, de ne pas aller plus loin dans sa vision de Dieu, de ne pas explorer encore plus en avant les rapports humains.
Une exigence qui traduit tout simplement l'envie du lecteur d'en avoir toujours plus !
Quand le livre vient à se fermer, il se souvient avec Edmond Dantès du chemin parcouru, des épreuves, des personnes rencontrées ; il pleure sur le cadavre de l'abbé Faria, sur la perte de Mercédès, sur la souffrance de son père, il ouvre son cœur à l'amour de la famille Morel, à leur reconnaissance, il se rappelle des histoires captivantes de bandits, du charisme de Luigi Vampa, il voit disparaître sa haine des bourreaux originels.
La dernière page tournée, c'est tout un pan de vie qui vient de défiler.
Des dizaines d'années qui en valent des siècles...
Histoire, politique et aventures au 19ème
Critique de Elya (Savoie, Inscrite le 22 février 2009, 34 ans) - 21 novembre 2012
Edmond Dantès ; nom aux résonances jouissives qui collent parfaitement à ce personnage attachant. Deux Edmond co-existent dans ce livre : un à qui tout sourit et l'autre pour qui tout est devenu gris.
Le premier tome des 4 opus composant Le Comte de Monte Cristo dépasse de loin les autres, par son ardeur narrative, sa façon d'entremêler l'Histoire (celle opposant Napoléon aux Bourbons) et la politique (royalisme et empire). Les autres délaissent trop à mon goût le contexte socio-politique du 19ème siècle. De plus, Edmond Dantès, au sortir de l'adolescence dans le premier tome, a soif de tout : d'amour, d'aventures maritimes et de connaissances, même lorsqu'il est retenu sur l'île du Chateau d'If. Ensuite, la vie d'Edmond ne se résume plus qu'à de la vengeance, et le récit perd son souffle. On dérive un peu au gré des retrouvailles avec ceux qui remplissaient sa vie d'avant. On se rattache alors à ce qu'on peut, pour ma part à l'évocation des terres que je côtoie un peu chaque jour de plus ou moins loin : les reliefs de l'île de Monte Cristo visibles depuis Bastia et la côte italienne par beau temps, la corse où Napoléon naquit, et le Vieux Port de Marseille avec sa fidèle Canebière.
L’argent ne fait pas le bonheur.
Critique de Kikiolf (Mulhouse, Inscrit le 4 septembre 2012, 42 ans) - 5 septembre 2012
C’est aussi l'histoire d'une métamorphose, celle d’Edmond un jeune homme vertueux qui après avoir subi une terrible injustice se mue en machine à punir.
Magnifiquement écrit et très facile à lire, il a joué un rôle très important pour moi. En effet, c’est le livre qui m’a donné le goût de la lecture. Foncez, vous ne le regretterez pas.
Mon livre préféré
Critique de Doudouh (, Inscrit le 19 août 2012, 33 ans) - 19 août 2012
Fabuleux
Critique de Krys (France-Suisse, Inscrite le 15 mars 2010, - ans) - 9 janvier 2012
On trouve beaucoup de détails sur le Paris du XIXe siècle et sur l'Histoire (surtout dans la première partie).
A lire absolument !
Je lui pardonne son style
Critique de Valotte (, Inscrite le 31 décembre 2011, 60 ans) - 1 janvier 2012
Ma marraine m’avait offert l’édition de poche de 1973 en trois tomes, à couverture blanche illustrée par des photos : une chaîne, un coffre et un globe terrestre pour le tome 1, un haut-de-forme, des gants blancs, une longue-vue, des œillets et une bourse de pièces d’or sur le second, et un coffret contenant 2 pistolets pour le troisième. Ces illustrations sont puissantes car elles évitent une représentation, nécessairement insatisfaisante, d’Edmond Dantès ou des autres personnages, et symbolisent avec force les 3 parties de l’aventure et du drame humain.
J’avais avalé avec passion la première partie. Au début du chapitre XXXI, celui qui introduit les nouveaux personnages Franz d’Epinay et Albert de Morcerf, je m’étais sentie abandonnée. Qui étaient ces inconnus ? Qu’était devenu le courageux et honnête Edmond Dantès ? Je m’étais obstinée à lire la suite et ses passages trop longs, et, un peu naïve, j’avais mis du temps à me convaincre que Dantès était revenu sous le personnage froid, machiavélique, presque inhumain du comte de Monte-Cristo.
Je l’ai relu il y a une dizaine d’années, à l’occasion de la sortie du téléfilm avec Depardieu…pour me souvenir de l’histoire qui me semblait fortement altérée par l’adaptation télévisuelle…en effet, celle-ci était infidèle, non seulement au scénario mais surtout à l’esprit du livre…passons. Je viens de le lire pour la troisième fois, pour le raconter à mon fils de 10 ans. Chaque soir, je lui ai narré, avec mes mots, deux ou trois chapitres et nous avons échangé nos impressions… Le comte de Monte-Cristo se prête remarquablement à l’exercice. Le style n’étant pas le point fort du livre, on s’en affranchit ainsi pour se concentrer sur l’aventure, l’intrigue, le scénario qui se referme magistralement à la fin. Au tout dernier chapitre, on retrouve, au détour d’une phrase, Jacopo, personnage au rôle court mais majeur, disparu de la narration depuis une centaine de chapitres. Sans la moindre explication, on comprend ce qu’il est très logiquement devenu ; comme un symbole que finalement, tout se tient dans le roman.
Au cours de cette troisième lecture, et grâce à la retranscription orale pour mon petit garçon, j’ai découvert l’humour du roman. Le chapitre sur le télégraphiste et les loirs de son jardin est un régal. Le personnage que je trouve le plus drôle est Andrea (je dis bien Andrea et non Benedetto, qui est la face abjecte du personnage) ; comme dans cette scène, digne de théatre de boulevard où, ayant descendu un conduit de cheminée, il se retrouve nez-à-nez avec la demi-sœur qu’il a failli épouser et la compagne de celle-ci ; puis, arrêté devant elles par les gendarmes il leur lance une pique pleine d’humour ; ou encore sa conviction que Monte-Cristo est son père…mais je ne veux rien dévoiler de plus. Ces passages nous ont bien fait rire, mon fils et moi !
Pour conclure, je pardonne son style au Comte de Monte-Cristo. Au nom des émotions qu’il m’a procurées, à l’adolescence comme à l’âge mûr, je lui donne la meilleure note. Et je le raconterai à mes petits-enfants.
L'oeuvre d'une vie
Critique de Chrisland (, Inscrit le 27 septembre 2011, 64 ans) - 21 octobre 2011
Malgré sa longueur, il n'y a rien à jeter : pas de gras, pas de trop de tout comme d'habitude chez Dumas. Et puis un scénario extraordinaire, mais aussi certainement un des plus beaux "héros" de l'histoire de la littérature, sans compter un magnifique thème universel, la Vengeance, traité dans toutes ses dimensions. Une merveille, quoi !
Mon "classique" favori.
Critique de ArNONO (, Inscrit le 18 octobre 2011, 52 ans) - 19 octobre 2011
Malgré sa longueur on est pris par cette histoire d'un homme qui se construit pour assouvir une vengeance aussi grandiose qu'implacable.
Plus j'y pense et plus je trouve l'histoire étonnamment moderne/intemporelle.
(d'ailleurs en y pensant Bruce Wayne présente pas mal de similitudes avec Edmond Dantès...)
Que dire de plus, c'est du Dumas : des personnages innombrables, une plongée passionnante dans notre passé (le 19° siècle), des destins qui s'entrecroisent, des sentiments et de l'action.
Mais pour moi c'est le *meilleur* Dumas.
La vengeance est un plat qui se mange très froid!
Critique de Killing79 (Chamalieres, Inscrit le 28 octobre 2010, 45 ans) - 9 septembre 2011
Autant tout de suite prévenir: le livre est long, très long. Il est truffé d'une grande quantité de scénettes qui ont l'air, au premier abord, complètement inutiles et uniquement présentes pour étoffer le livre (Pour rappel, à l'époque, Alexandre Dumas était payé à la ligne). Simplement au fil du récit, toutes ces brides se resserrent et dévoilent la manipulation perverse sortie tout droit de l'esprit torturé du Comte.
Pour résumer, cette fresque du 19ème siècle est un régal de lecture, et j'ai pris un plaisir fou à m'immerger dans ce labyrinthe de sentiments et d'actes humains tellement universels et intemporels. Les hommes sont toujours des hommes, les femmes restent des femmes et le monde n'a finalement pas tant changé lorsque l'on analyse l'impact que peuvent avoir l'argent et l'amour sur les comportements.
Chef d'oeuvre, volumineux, mais qui le mérite: sa longueur permet au lecteur de vraiment s'imprégner des personnages et de l'histoire.
Alexandre Dumas m'aura donné l'envie de lire d'autres classiques...
Le Comte de Monte Cristo
Critique de Exarkun1979 (Montréal, Inscrit le 8 septembre 2008, 44 ans) - 29 août 2011
Un personnage fascinant !
Critique de MAGGUIL (, Inscrite le 22 février 2008, 44 ans) - 16 mars 2011
Cette histoire, cette vengeance m'a complètement envahie, une seule envie me revenait, retourner dans le livre pour ne plus le quitter. Belle prouesse de Dumas pour ce roman !
Un chef d'oeuvre
Critique de PA57 (, Inscrite le 25 octobre 2006, 41 ans) - 9 octobre 2010
En tous cas, ce roman m'a donné envie de lire les autres romans moins connus de Dumas.
Fascination dantesque !!!
Critique de CptNemo (Paris, Inscrit le 18 juin 2001, 50 ans) - 20 août 2010
Le personnage d'Edmond Dantes devenu le Comte de Monte-Cristo me bouleverse, me fascine et son implacable vengeance me réjouit toujours.
Le comte c'est une puissance mélancolique : immensément riche il fait la pluie et le beau temps autour de lui mais il est hanté par sa vie gâchée, son amour et sa jeunesse perdue.
Alors c'est sur il y a parfois des maladresses d'écriture, parfois ça feuilletonne un peu trop mais quand la vengeance du Comte explose c'est véritablement jubilatoire même si l'on sait que cela ne lui apportera pas la paix.
Fabuleux
Critique de Leloo (, Inscrite le 8 juillet 2010, 48 ans) - 9 juillet 2010
Oui le style est parfois irrégulier, oui c'est un 'pavé', oui il y a des longueurs, mais M. Dumas nous emporte malgré tout dans ce monde de faste et de mystère que se façonne ce cher Edmond Dantès pour devenir le comte de Monte-Cristo. 'La vengeance est un plat qui se mange froid', cette expression est le fil conducteur de ce roman, et la démonstration est magistrale!
Un roman magnifique
Critique de Ahsieg (, Inscrit le 15 octobre 2008, 40 ans) - 9 juin 2010
Cependant j'aimerais évoquer les choses qui ne m'ont pas emballé dans le roman (ca sera plus rapide que d'évoquer ce que j'ai aimé dans ces 1500 pages).
La première partie du livre était plus à mon goût et je suis dubitatif quant aux changements opérés par l'abbé Faria sur Dantès pour en faire Monte-Cristo. Ils ont disposé de plusieurs années pour faire son éducation et évoquer toutes les règles de l'aristocratie. Dantès se transformera en Monte-Cristo à merveille. Mais que dire de cet esprit froid, calculateur? Dantès n'était pas du tout calculateur et je doute que Faria l'ait aidé en ce sens. Il me semble que le changement est trop marqué, un peu de réminiscence du matelot marseillais aurait apporté un plus dans le personnage de Monte-Cristo.
De plus, pourquoi faire attendre Morrel un bon mois et le faire souffrir toutes les souffrances imaginables pour lui rendre sa Valentine. Là encore je me demande ce qui pousse le comte, si froid et si étranger à la souffrance des autres (il n'a de cesse que d'évoquer la sienne en guise de compassion).
J'ai adoré ce roman mais il m'a laissé un peu sur ma faim, autant la première partie suit Dantès dans tous ses mouvements, ses calculs et ses sentiments, la deuxième partie 'abandonne' un peu le lecteur pour mieux privilégier le suspense.
Enfin je dois dire que c'est remarquablement écrit, un bol d'air quand on a l'habitude des romans contemporains sujet-verbe-complément.
MAGNIFIQUE ! !
Critique de Rouchka1344 (, Inscrite le 31 août 2009, 34 ans) - 20 mai 2010
Cette lecture a comblé toutes mes espérances et maintenant toutes les adaptations me paraissent bien fades à côté de ce monument de la littérature!
Même si, comme à son habitude, Dumas traine un peu en longueur comme pour le carnaval de Rome où là j'ai cru qu'il n'en finirait jamais, ce livre est d'une telle richesse en personnages, en intrigues, en lieux et en magnificences qu'il est difficile de ne pas aimer. Le moment le plus jouissif fut sans doute pour moi le moment du déshonneur de la famille de Morcef et l'entretien entre Mercedes et Edmond ; j'en avais des frissons!
La fin est superbe et bien mieux que celle de l'adaptation tv. Elle est bien plus crédible je pense !
Un chef d'œuvre dont je relirai certains passages de temps en temps! A lire et à relire !
Une vengeance si douce pour le lecteur
Critique de Arnaud (Andenne, Inscrit le 29 novembre 2004, 43 ans) - 30 janvier 2010
Superbe
Critique de Bookivore (MENUCOURT, Inscrit le 25 juin 2006, 41 ans) - 15 novembre 2009
1400 pages de bonheur
Critique de Coutal (, Inscrit le 11 juin 2007, 37 ans) - 17 août 2009
En tout cas, un grand roman, à lire au moins une fois dans sa vie pour comprendre ce qu'est vraiment la Littérature !
Génial ... sa pièce maitresse ?! je ne crois pas
Critique de Adrenocrome (, Inscrit le 15 avril 2005, 44 ans) - 5 juin 2008
En résumé, mais alors en résumé, il s’agit d’un roman feuilleton sur le thème de la vengeance, et de sa légitimité (voir le comte face au doutes). Une intrigue menée d’une main de maître, ou en plus des thèmes cités, des tas d’autres réflexions viennent se greffer, formant un superbe tableau du 19ème siècle sous la restauration, ou Louis-Philippe en montant sur le trône avait également couronné le roi « argent ».
Comme a son habitude Dumas veut ces personnages représentatifs : Villefort incarne donc ici les vices de la justice, Morcef ceux de l’armée, et Danglars ceux de la finance. Chacun est puni la où il a péché et on ne peut se retenir d’une certaine satisfaction à voir le machiavélique dessein du comte se réaliser.
Bien qu’étant un très grand amateur de romans de Dumas, c’est peut-être bien pour cela que je me montre juge un peu plus sévère que la moyenne pour ce roman, et ce malgré l’énorme popularité de cette œuvre, je ne peux mettre les 5 étoiles que je mettrais les yeux fermés à certains autres romans du même auteur. En effet cette société matérialiste reconnaissant peu d’autre gloires que l’argent et l’estime publique, ne m’apporte peut-être pas assez le dépaysement que pouvait m’apporter les 3 mousquetaires où les mémoires d’un médecin. De plus, ce roman tire vraiment sur la longueur, on sait que Dumas était payé a la ligne, ok, mais la franchement, pour moi c’est un de ces points faibles. Bien entendu je ne parle pas ici du nombre de pages à lire, et les amateur savent que ce n’est pas ce qui arrête un lecteur assidu de Dumas, bien au contraire.
Un des meilleurs
Critique de RatDeBibliothèque (, Inscrit le 22 janvier 2008, 40 ans) - 22 janvier 2008
Vengeance...
Critique de Gwenaelle (, Inscrite le 14 août 2005, 33 ans) - 31 mai 2006
très bien !!!
Critique de Béa (livry-gargan, Inscrite le 14 août 2005, 30 ans) - 17 avril 2006
Un bon sujet, un charmant héros et des aventures, palpitantes...
Malgré ça, des passages VRAIMENT BARBANTS ET BEAUCOUP TROP LONGS !!!!!!
Ce livre reste bien évidemment un véritable chef d'oeuvre et je m'attelle sans attendre aux autres Dumas.
A lire !
Une vengeance sublime
Critique de Veneziano (Paris, Inscrit le 4 mai 2005, 46 ans) - 5 mai 2005
Ici, même le mal est sublimé par la vengeance.
C'est beaucoup plus original que Les Trois Mousquetaires.
J'ai bien aimé le téléfilm, à l'exception près de l'embompoint de Depardieu sortant du bagne.
La vengeance, c'est pas joli joli
Critique de Manu55 (João Pessoa, Inscrit le 21 janvier 2004, 51 ans) - 5 janvier 2005
Une vengeance si bien alambiquée mérite le respect.
Et imaginez l'intérêt du livre s'il avait pardonné à son évasion ?
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XXX
Le Pardon
Bonjour, c'est moi, Edmon Dantes, je suis venu vous dire que je vous pardonne de m'avoir tout pris, d'avoir épousé ma fiancée, et d'avoir laissé mourir de faim mon père. En gage de ma bonne volonté, et comme de toutes les façons, je vais retourner en prison pour évasion, je vous donne mon trésor. Allez dans la paix !
Le moins coupable
Critique de Sheena_hisashi (, Inscrite le 20 août 2004, 43 ans) - 20 août 2004
Ah Dumas !!!
Critique de Killeur.extreme (Genève, Inscrit le 17 février 2003, 42 ans) - 8 juin 2003
Petit précis de l'Eco
Critique de Pendragon (Liernu, Inscrit le 26 janvier 2001, 53 ans) - 22 mai 2003
Je cite : « Le Comte de Monte-Cristo est sans doute l'un des romans les plus passionnants qui aient jamais été écrits, et c'est aussi l'un des romans les plus 'mal écrits’ de tous les temps et de toutes les littératures. Le roman part en tous sens. Débordant en redondances, répétant éhontément un adjectif à une ligne d’écart, accumulant avec incontinence ces mêmes adjectifs, ouvrant de sentencieuses digressions sans réussir à les fermer car la syntaxe ne suit pas, avançant ainsi en haletant par périodes de vingt lignes, le roman est mécanique et gauche dans la description des sentiments : ses personnages frémissent, ou pâlissent, ou essuient de grosses gouttes de sueur coulant de leur front, ou balbutient d’une voix qui n'a plus rien d'humain, ou se lèvent brusquement d’une chaise pour y retomber aussitôt, et l’auteur s'empresse de nous répéter, de manière obsessionnelle, que la chaise sur laquelle ils sont retombés est bien celle sur laquelle ils étaient assis une seconde auparavant. »
Et Umberto Eco d'expliquer que Dumas procédait ainsi pour deux raisons : la première est que ce roman paraissait par épisodes dans le journal et qu’il fallait bien satisfaire la mémoire défaillante des lecteurs et la seconde : il était payé à la ligne !
Alors, qu'en penser ? Et bien oui, ce ‘Comte’ est une belle œuvre. mais une belle œuvre mal écrite… ce n’est pas gênant, je connais quantité d’auteur qui écrivent 'bien’ mais dont ‘l’oeuvre’ ne mérite pas le papier qui la cache…
Le choix que proposent les libraires...
Critique de Killeur.extreme (Genève, Inscrit le 17 février 2003, 42 ans) - 21 mai 2003
Mais moi mon Dumas préféré est ...
Critique de Saule (Bruxelles, Inscrit le 13 avril 2001, 59 ans) - 20 mai 2003
Un bon Dumas, oui ! Mais...
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 20 mai 2003
Un grand Dumas
Critique de Killeur.extreme (Genève, Inscrit le 17 février 2003, 42 ans) - 20 mai 2003
Quand la vengeance d'un homme sert la justice divine
Critique de Lucien (, Inscrit le 13 mars 2001, 68 ans) - 26 mai 2002
un beau souvenir
Critique de Zoom (Bruxelles, Inscrite le 18 juillet 2001, 70 ans) - 21 mai 2002
A 15 ans Le Comte de Monte Christo m’est tombé dans les mains et la vie autour de moi s'est effacée : je m’en souviens comme d’hier, tant ce livre m’a fascinée, envahie, coupée du monde, bouleversée. Il me semble que c’est le tout premier livre qui m’ait autant accrochée.
Il me semble que c’est Monsieur Dumas qui m'a donné le goût de lire. Mais peut-être aussi l'illusion des hommes forts...allez savoir. Alors pour les garçons, Dumas ? Non je ne crois pas. Je n'ai jamais lu Angélique. Et ce n'est pas pour demain, ma pile va atteindre le plafond.
Les charmes de la vendetta
Critique de Lucien (, Inscrit le 13 mars 2001, 68 ans) - 13 mai 2002
Oserai-je ajouter un triple aveu : le premier, que je n'avais jamais lu Le comte de Monte-Cristo, dont je ne connaissais la terrible aventure que par ses adaptations télévisées; le deuxième... que je suis en train de dévorer ces deux gros volumes; le troisième... que je prends un pied monstrueux! Moralité : il n'y a plus d'enfants!
Rendre ce qu'on a perdu ?
Critique de Jules (Bruxelles, Inscrit le 1 décembre 2000, 80 ans) - 18 février 2002
Un plat qui se mange froid ?
Critique de Thémis (Ligny, Inscrite le 17 avril 2001, 54 ans) - 18 février 2002
Forums: Le Comte de Monte-Cristo
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