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Les critiques de Sunset Park de Paul Auster sont excellentes, si ce n'est que deux des critiques racontent un bout de l'histoire.
Avec les deux morceaux, on sait tout !
S'il vous plaît, cessez de croire qu'une critique est une 4ème de couverture.
Pour tous, voilà un livre de qualité, évitez juste les critiques de CL !
Avec les deux morceaux, on sait tout !
S'il vous plaît, cessez de croire qu'une critique est une 4ème de couverture.
Pour tous, voilà un livre de qualité, évitez juste les critiques de CL !
S'il vous plaît, cessez de croire qu'une critique est une 4ème de couverture.
Bien dit Aria ! C'est en effet très frustrant de se voir dévoiler l'intrigue ou de lire le résumé de A à Z d'un bouquin (cela m'est arrivé il y a peu, ici, en lisant une des Critiques de "Sukkwan Island" de David Vann). Il me semble que critiquer, c'est donner son avis sur ce que l'on a lu et... c'est tout (et c'est déjà pas mal) !
Il me semble que critiquer, c'est donner son avis sur ce que l'on a lu et... c'est tout (et c'est déjà pas mal) !
Eh bien, chacun à sa façon de critiquer, certains aiment dire de quoi le livre parle, faire un petit résumé, mais en effet, c'est toujours bon de laisser au lecteur découvrir le livre.
Le mieux, c'est de ne plus en faire du tout. Comme ça, on a la paix... ;-)
Le mieux, c'est de ne plus en faire du tout. Comme ça, on a la paix... ;-)
Assez radical comme solution.
Mais j'approuve.
Chère Aria, vous qui vous plaignez de lire des critiques qui "racontent" le livre, je voudrais vous rappeler comment vous avez vous-même critiqué le livre de Doris Lessing "Victoria and the Staveneys". Je recopie (en partie) ci-dessous votre critique:
"Victoria commence sa vie bien tristement. Après la mort de sa mère, sa tante Marion, célibataire, la prend en charge mais elle tombe rapidement malade. Victoria va dans une école très dure, essentiellement avec de jeunes noirs comme elle, mais quelques «bobos», comme la famille Staveney, riche et blanche, ont décidé de soumettre leurs enfants à la même épreuve pour qu’ils sachent que tout le monde ne vit pas la même vie dorée qu’eux. On pourrait croire que l’intrigue se passe quelque part en Afrique, mais en l’occurrence, tout se passe en plein Londres, à la limite de deux quartiers.
Le jour où Tante Marion doit être emmenée d’urgence à l’hôpital, Mrs. Jessy Staveney demande à son fils aîné, Edward, de ramener de l’école une petite fille en même temps que son jeune frère, Thomas. Edward ne sait pas qu’il s’agit d’une petite fille noire et ne la trouve donc pas. Il doit retourner la chercher et trouve Victoria vraiment mignonne, bien qu’elle soit très fluette pour ses neuf ans. Il va jouer avec elle tout la soirée et lui lire des contes.
Cette rencontre marquera Victoria à jamais. Elle pensera longtemps à Edward..."
Il y a quatre autres paragraphes du même acabit et tout aussi longs, pour finir par 5 lignes (sur 33) résumant le jugement que vous avez porté sur ce livre. Alors qu'en dites-vous chère Aria? Toujours aussi péremptoire dans vos jugements portés sur les critiques de CL?
"Victoria commence sa vie bien tristement. Après la mort de sa mère, sa tante Marion, célibataire, la prend en charge mais elle tombe rapidement malade. Victoria va dans une école très dure, essentiellement avec de jeunes noirs comme elle, mais quelques «bobos», comme la famille Staveney, riche et blanche, ont décidé de soumettre leurs enfants à la même épreuve pour qu’ils sachent que tout le monde ne vit pas la même vie dorée qu’eux. On pourrait croire que l’intrigue se passe quelque part en Afrique, mais en l’occurrence, tout se passe en plein Londres, à la limite de deux quartiers.
Le jour où Tante Marion doit être emmenée d’urgence à l’hôpital, Mrs. Jessy Staveney demande à son fils aîné, Edward, de ramener de l’école une petite fille en même temps que son jeune frère, Thomas. Edward ne sait pas qu’il s’agit d’une petite fille noire et ne la trouve donc pas. Il doit retourner la chercher et trouve Victoria vraiment mignonne, bien qu’elle soit très fluette pour ses neuf ans. Il va jouer avec elle tout la soirée et lui lire des contes.
Cette rencontre marquera Victoria à jamais. Elle pensera longtemps à Edward..."
Il y a quatre autres paragraphes du même acabit et tout aussi longs, pour finir par 5 lignes (sur 33) résumant le jugement que vous avez porté sur ce livre. Alors qu'en dites-vous chère Aria? Toujours aussi péremptoire dans vos jugements portés sur les critiques de CL?
Dirlandaise, pourquoi une telle violence dans ton intervention.
A quoi servirait alors ce site ?
A quoi servirait alors ce site ?
A quoi servirait alors ce site ?
Je crois qu'elle faisait de l'humour.
A quoi servirait alors ce site ?Et je crois que celle qui l’approuve n’a pas compris… ;-((
Je crois qu'elle faisait de l'humour.
Dirlandaise, pourquoi une telle violence dans ton intervention.
A quoi servirait alors ce site ?
Aucune violence dans mon intervention mon beau Jules que j'aime plus que tout au monde et qui se fait trop rare sur le forum. ;-)))))
Ce que je tentais d'exprimer est le fait que lorsqu'on décide de faire partie de la majorité silencieuse, on ne risque pas de se faire éreinter par la critique et c'est un poids de moins à traîner puisque personne ne sait que l'on existe donc, si on n'existe pas au yeux des gens, on est dans une situation fort confortable pour tout observer sans jamais se faire rentrer dedans par tous les fâcheux et râleurs de ce monde.
Amen... ;-)
Cher Jfp, ce que j'ai mis dans ma critique de "Victoria and the Staveneys" n'est que le début du livre.
Bien sûr, je suis toujours intéressée par le thème de chaque livre, par l'histoire, en général, mais ce qui me gêne c'est quand on me raconte la fin.
Et là, avec deux bonnes critiques qui se complétaient, on savait toute l'histoire, y compris la fin. Il me semble que là, c'est dommage.
Bien sûr, je suis toujours intéressée par le thème de chaque livre, par l'histoire, en général, mais ce qui me gêne c'est quand on me raconte la fin.
Et là, avec deux bonnes critiques qui se complétaient, on savait toute l'histoire, y compris la fin. Il me semble que là, c'est dommage.
Jfp, laissez-moi ajouter que je me permets rarement -quasiment jamais- de faire des observations sur les critiques des autres. Je m'auto-censure.
Il se trouve que j'ai lu tout récemment ce magnifique roman de Paul Auster et que j'ai été soulagée de ne pas avoir lu les critiques de CL avant. La 4ème de couverture de la VO était pareille et racontait la fin. Heureusement, je ne l'avais pas lue non plus.
Il se trouve que j'ai lu tout récemment ce magnifique roman de Paul Auster et que j'ai été soulagée de ne pas avoir lu les critiques de CL avant. La 4ème de couverture de la VO était pareille et racontait la fin. Heureusement, je ne l'avais pas lue non plus.
Aria ; tu as raison et tort à la fois........
Comment ne pas s'engouffrer dans le piège du résumé quand on a aimé ? Exercice d'auto-censure difficile , non ?
Je viens de le terminer et j'ai globalement aimé.
Une vision sans grand espoir de l'Amérique d'Obama et d'une génération sans repère et sans projet.
Je me lancerai plus tard dans la critique et je te promets de ne pas ajouter une couche de résumé ( ... )
Comment ne pas s'engouffrer dans le piège du résumé quand on a aimé ? Exercice d'auto-censure difficile , non ?
Je viens de le terminer et j'ai globalement aimé.
Une vision sans grand espoir de l'Amérique d'Obama et d'une génération sans repère et sans projet.
Je me lancerai plus tard dans la critique et je te promets de ne pas ajouter une couche de résumé ( ... )
Ce que j'aime dire dans une critique : les raisons pour lesquelles j'ai aimé, ou non, l'ouvrage, les qualités du style, de l'histoire...
Ce que j'aime trouver dans une critique avant de lire le livre, la même chose, ce qui peut m'encourager ou non à le lire.
Mais un résumé trop précis est encombrant. Tout au plus peut-il prêter à sourire lorsqu'on en prend connaissance après avoir lu le livre.
De toutes façons, merci à CL et à tous les CLiens pour leurs contributions toujours appréciées...
Ce que j'aime trouver dans une critique avant de lire le livre, la même chose, ce qui peut m'encourager ou non à le lire.
Mais un résumé trop précis est encombrant. Tout au plus peut-il prêter à sourire lorsqu'on en prend connaissance après avoir lu le livre.
De toutes façons, merci à CL et à tous les CLiens pour leurs contributions toujours appréciées...
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