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Je suis allé voir le dernier film de Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud, Le poulet aux prunes, et je ne le regrette pas du tout, j’en reprendrais même un peu par gourmandise.
Bien sûr, rien à voir avec Persépolis, si ce n’est que l’Iran est encore là comme il le sera probablement encore très souvent avec Marjane Satrapi.
Nous sommes à la fin des années cinquante, Nasser Ali Khan, célèbre violoniste a décidé de mourir. Il faut dire que son violon chéri a été brisé et qu’il n’arrive pas à le remplacer. Il ne va pas passer une vie à chercher l’élu de son art, il va se laisser mourir, tout simplement. C’est Mathieu Amalric qui joue ce rôle avec beaucoup de crédibilité. Certes le personnage n’est pas simple à suivre, mais il paraît que c’est le propre des grands artistes…
La narration de Marjane Satrapi va alors être très forte et surprenante puisque l’on va vivre les derniers jours de la vie de Nasser une fois qu’il aura été enterré en présence de ceux qui l’ont aimé, de tous ceux qui l’ont aimé.
On pourrait croire à un film dramatique et larmoyant, mais pas du tout. Certes, nous sommes bien dans un drame mais la musique, les personnages, les décors, les situations, les rebondissements… tout fait que le spectateur est maintenu dans un état intermédiaire entre plusieurs sentiments : amour, tristesse, curiosité, émotion artistique, rejet de la bêtise, éclats de rire nerveux ou provoqués par l’ange de la mort admirablement bien joué par Edouard Baer…
Quand arrive la fin du film, certes Nasser est toujours mort, mais nous avons compris l’ensemble de sa vie, comment il en était arrivé à vouloir mourir et nous sortons apaisés et heureux. Oui, Marjane Satrapi sait nous raconter les histoires et je ne m’en lasse pas que ce soit en bandes dessinées ou en film… Alors qu’elle continue !
Bien sûr, rien à voir avec Persépolis, si ce n’est que l’Iran est encore là comme il le sera probablement encore très souvent avec Marjane Satrapi.
Nous sommes à la fin des années cinquante, Nasser Ali Khan, célèbre violoniste a décidé de mourir. Il faut dire que son violon chéri a été brisé et qu’il n’arrive pas à le remplacer. Il ne va pas passer une vie à chercher l’élu de son art, il va se laisser mourir, tout simplement. C’est Mathieu Amalric qui joue ce rôle avec beaucoup de crédibilité. Certes le personnage n’est pas simple à suivre, mais il paraît que c’est le propre des grands artistes…
La narration de Marjane Satrapi va alors être très forte et surprenante puisque l’on va vivre les derniers jours de la vie de Nasser une fois qu’il aura été enterré en présence de ceux qui l’ont aimé, de tous ceux qui l’ont aimé.
On pourrait croire à un film dramatique et larmoyant, mais pas du tout. Certes, nous sommes bien dans un drame mais la musique, les personnages, les décors, les situations, les rebondissements… tout fait que le spectateur est maintenu dans un état intermédiaire entre plusieurs sentiments : amour, tristesse, curiosité, émotion artistique, rejet de la bêtise, éclats de rire nerveux ou provoqués par l’ange de la mort admirablement bien joué par Edouard Baer…
Quand arrive la fin du film, certes Nasser est toujours mort, mais nous avons compris l’ensemble de sa vie, comment il en était arrivé à vouloir mourir et nous sortons apaisés et heureux. Oui, Marjane Satrapi sait nous raconter les histoires et je ne m’en lasse pas que ce soit en bandes dessinées ou en film… Alors qu’elle continue !
Personne n'a vu le film... SNIF SNIF...
Oh, je n'avais pas vu ton fil ;-)
J'ai vu et adoré ce film, comme je te l'ai dit!
Voici le lien vers mon blog: http://critiques-futiles.fr/films/…
J'ai vu et adoré ce film, comme je te l'ai dit!
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