Bonjour!
je viens d'arriver à critique libres, et j'ai fait 1 critique et 2 éclairs (dont une sur Nadja). J'ai été interressé par les commentaires autour de Nadja et invite ceux qui se réclament amoureux du surréalisme, et ses ennemis, à discuter de l'experience de lecture des bouquins surréalistes.
J'aimerais pouvoir discuter avec Merlin de son avis quelque peu péremptoire (qu'il m'excuse pour la petite pique que je lui ai adressé dans ma critique!).
Bravo à Bérénice et Lolita, car il est rare de rencontrer des jeunes méfiants au sujet du surréalisme!
je viens d'arriver à critique libres, et j'ai fait 1 critique et 2 éclairs (dont une sur Nadja). J'ai été interressé par les commentaires autour de Nadja et invite ceux qui se réclament amoureux du surréalisme, et ses ennemis, à discuter de l'experience de lecture des bouquins surréalistes.
J'aimerais pouvoir discuter avec Merlin de son avis quelque peu péremptoire (qu'il m'excuse pour la petite pique que je lui ai adressé dans ma critique!).
Bravo à Bérénice et Lolita, car il est rare de rencontrer des jeunes méfiants au sujet du surréalisme!
Eh ben moi, jeune méfiante, n'ai absolument rien compris à ta critique de Nadja. Dis franchement : c'est de toi ou c'est du recrachage de notes de cours ?
A propos de Nadja, je dirai que ça vaut en tant qu'étape, que recherche d'une nouvelle littérature, mais qu'en soi, ça ne veut plus dire grand-chose.
A propos de Nadja, je dirai que ça vaut en tant qu'étape, que recherche d'une nouvelle littérature, mais qu'en soi, ça ne veut plus dire grand-chose.
Sans blague, du recrachage de cours! comme si j'avais que ça à faire.
Non, sérieusement, je suis passionné de littérature et j'ai lu le manifeste et des articles sur Nadja, la question m'interresse vivement.
En fait, tu as raison, c'est une étape littéraire.
(Je suis surpris que tu dise n'avoir rien compris à ma critique!)
ce que j'aimerais, c'est que viennent donner leur grain de sel, des amoureux du surréalisme parceque j'ai l'habitude d'entendre plein de gens de mon âge me bassiner avec Nadja-ce-bouquin-sublime-et-déroutant!
J'ai été étonné par la critique-éclair de Merlin qui ne n'explique pas quelles bases solides il faut avoir! Quelle verve!
à suivre
Non, sérieusement, je suis passionné de littérature et j'ai lu le manifeste et des articles sur Nadja, la question m'interresse vivement.
En fait, tu as raison, c'est une étape littéraire.
(Je suis surpris que tu dise n'avoir rien compris à ma critique!)
ce que j'aimerais, c'est que viennent donner leur grain de sel, des amoureux du surréalisme parceque j'ai l'habitude d'entendre plein de gens de mon âge me bassiner avec Nadja-ce-bouquin-sublime-et-déroutant!
J'ai été étonné par la critique-éclair de Merlin qui ne n'explique pas quelles bases solides il faut avoir! Quelle verve!
à suivre
Je viens de lire ton profil!
Passioné par la Russie? Moi, je suis amoureux des pays de l'Est et je m'apprêtte à mon quatrième voyage en Roumanie (par car).
"le lyrisme facile et la larme à l'oeil", heureux de l'entendre dire!
Passioné par la Russie? Moi, je suis amoureux des pays de l'Est et je m'apprêtte à mon quatrième voyage en Roumanie (par car).
"le lyrisme facile et la larme à l'oeil", heureux de l'entendre dire!
T'aurais pas d'autres exemples de livres surrealistes??
Je viens de lire ton profil!
Passioné par la Russie? Moi, je suis amoureux des pays de l'Est et je m'apprêtte à mon quatrième voyage en Roumanie (par car).
Ravie de rencontrer un autre amoureux des voyages hasardeux (à l'Est de préférence)
"le lyrisme facile et la larme à l'oeil", heureux de l'entendre dire!
qu'est-ce à dire ?
Tous les livres de Breton (L'amour fou, arcane 17, les Pas Perdu, les manifestes...)
Eluard, Desnos, Aragon, Soupault...
Mais on peut étendre le sujet à l'art.
Eluard, Desnos, Aragon, Soupault...
Mais on peut étendre le sujet à l'art.
Je viens de lire ton profil!
Passioné par la Russie? Moi, je suis amoureux des pays de l'Est et je m'apprêtte à mon quatrième voyage en Roumanie (par car).
Ravie de rencontrer un autre amoureux des voyages hasardeux (à l'Est de préférence)
"le lyrisme facile et la larme à l'oeil", heureux de l'entendre dire!
qu'est-ce à dire ?
Tu as marqué ça dans ton profil, et je suis d'accord avec ce point de vue, je pense que la littérature actuelle française s'enlise dans le lyrisme facile.
Pour un sujet sur le surréalisme c'est bien partie. Lire les posts d'un seul trait c’est pile dans la veine. :)
Plus sérieusement que je trouve sa critique éclair parfaitement censée, même si, je ne suis pas amateur de surréalisme.
Et je rectifie, B.joseph s’il est conseillé de lire le manifeste du surréalisme pour le comprendre, il est surtout recommandé de connaître Dada et les Symbolistes. (entre autres)
Plus sérieusement que je trouve sa critique éclair parfaitement censée, même si, je ne suis pas amateur de surréalisme.
Et je rectifie, B.joseph s’il est conseillé de lire le manifeste du surréalisme pour le comprendre, il est surtout recommandé de connaître Dada et les Symbolistes. (entre autres)
Rectification dû à un problème de copié collé (ou à la sieste), et donc :
Plus sérieusement
Je trouve la critique éclair de Merlin parfaitement censée, même si je ne suis pas amateur de surréalisme. Et je rectifie B.joseph, s’il est conseillé de lire le manifeste du surréalisme pour le comprendre, il est surtout recommandé de connaître Dada et les Symbolistes.
Plus sérieusement
Je trouve la critique éclair de Merlin parfaitement censée, même si je ne suis pas amateur de surréalisme. Et je rectifie B.joseph, s’il est conseillé de lire le manifeste du surréalisme pour le comprendre, il est surtout recommandé de connaître Dada et les Symbolistes.
Effectivement, ça ne veut vraiment plus dire la même chose !
Quoi ? Je n'apporte rien au débat ?
Humpf !
Quoi ? Je n'apporte rien au débat ?
Humpf !
Bien sur Dada, et les symbolistes! Breton ne suit-il pas le projet de Mallarmé (par une autre voix)? (ce n'est donc pas une rectification de mon propos, puisque si tu as lu les manifestes, tu verra que Breton tire les leçons du dadaïsme et du symbolisme)
Seulement, il ne faudrait pas faire de la culture littéraire le seul critère pour juger un livre. Que faire de l'expérience de lecture? Si je me suis permis de critiquer quelque peu le trait de Merlin, c'est sur cette base : tout lecteur doit et peut décider si le livre est un échec du point de vue de la sensation qu'on en tire. Maintenant, le jugement sur le surréalisme est personnel et argumenté. C'est sur ce point de vue qu'on peu discuter et donc lancer un forum!
Justifier!
Seulement, il ne faudrait pas faire de la culture littéraire le seul critère pour juger un livre. Que faire de l'expérience de lecture? Si je me suis permis de critiquer quelque peu le trait de Merlin, c'est sur cette base : tout lecteur doit et peut décider si le livre est un échec du point de vue de la sensation qu'on en tire. Maintenant, le jugement sur le surréalisme est personnel et argumenté. C'est sur ce point de vue qu'on peu discuter et donc lancer un forum!
Justifier!
Moi, le surrealisme, c'est pas mon dada!
(desole pour ce jeu de mot pitoyable...)
(desole pour ce jeu de mot pitoyable...)
Mais non, c'est un bon jeu de mot...
(si t'as envie de dévellopper te gènes pas)
PS: mea culpa pour les coquilles qui se glissent! A taper vite, on fait des fautes d'orthographe et de ponctuation (ça fait mauvais genre dans un site de bouquins!)
(si t'as envie de dévellopper te gènes pas)
PS: mea culpa pour les coquilles qui se glissent! A taper vite, on fait des fautes d'orthographe et de ponctuation (ça fait mauvais genre dans un site de bouquins!)
Bien sur Dada, et les symbolistes! Breton ne suit-il pas le projet de Mallarmé (par une autre voix)? (ce n'est donc pas une rectification de mon propos, puisque si tu as lu les manifestes, tu verra que Breton tire les leçons du dadaïsme et du symbolisme)
Pour ma part, la lecture du manifeste du surréalisme c’est fait. Mais ce n’est pas le cas de toutes, de tous d’où rectification, pardon précision, nécessaire me semble t’il pour l’avenir du débat. Aussi bien, tu n’aurais pas connu, pas lu et de fait, l’explication de Merlin aurait pu t’échapper.
Seulement, il ne faudrait pas faire de la culture littéraire le seul critère pour juger un livre. Que faire de l'expérience de lecture? Si je me suis permis de critiquer quelque peu le trait de Merlin, c'est sur cette base : tout lecteur doit et peut décider si le livre est un échec du point de vue de la sensation qu'on en tire. Maintenant, le jugement sur le surréalisme est personnel et argumenté. C'est sur ce point de vue qu'on peu discuter et donc lancer un forum!
J’en conviens volontiers, il ne faudrait pas faire de la culture littéraire le seul critère pour juger un livre, d’autant lorsque le livre tente de démontrer un concept découlant d’une démarche picturale. Tu as bien fait de critiquer Merlin, je ne reviens pas la dessus non plus, ce site est fait pour ça. Et à ce propos, bienvenue.
Je ne vois pas dans ta critique un jugement du surréalisme, mais plutôt une opinion sur breton et sa démarche, argumentée ou non. Alors de quoi parlons nous ? Du surréalisme ou de Breton, qui, même s’il en a été le chef de file ne peut être représentatif du mouvement.
Justifier!
Ça je n’ai pas compris !
Le surréalistes sont nés de Dada, Dada dont la définition se résumait à une phrase :
«Un couteau sans lame dont on aurait perdu le manche»
Si nous voulons débattre, il faut commencer par là, et commencer par là, c’est nier le concept Dadaïste, nier l'état d'esprit don parle Merlin.
Mais pourquoi pas ?!
Très bien, je vois que le débat est intéressant!
Je suis tout à fait d'accord avec toi sur ce dernier point; je ceux juste ajouter une précision sur la critique que j'ai faite, il s'agit bien d'une critique de Nadja, donc de Breton, et Breton est l'auteur des manifestes et celui qui a tenté de mettre de l'ordre (dominer!) la machine surréaliste.
Maintenant, il est plus interressant de revenir aux bases même de l'entreprise et de considérer pourquoi le surréalisme est né.
Dada a aussi sa part de plaisanterie, et c'est pourquoi Breton et ses collègues créeront le mouvement surr. Seulement, mis à part le personnage Breton que l'on aime en principe assez peu, il faut se pencher sur les Eluard, Aragon, Desnos...
Je m'interresse à la question du suuréalisme comme nécessité et comme finalité Esthétique. Je pense, pour ma part que les recherches sont saines et essentielles, mais que l'exercice a finit par tourner en rond et qu'il ne vaut que pour l'expérience et assez peu pour les oeuvres. (d'ailleurs à-t-on le droit de parler "d'oeuvre" en langage surréaliste?)
C'est un avis personnel dont il est interressant de discuter.
Ps: "justifier" : les avis en général (pas toi), car j'ai beaucoup entendu de j'aime/ j'aime pas, autour de moi!
Je suis tout à fait d'accord avec toi sur ce dernier point; je ceux juste ajouter une précision sur la critique que j'ai faite, il s'agit bien d'une critique de Nadja, donc de Breton, et Breton est l'auteur des manifestes et celui qui a tenté de mettre de l'ordre (dominer!) la machine surréaliste.
Maintenant, il est plus interressant de revenir aux bases même de l'entreprise et de considérer pourquoi le surréalisme est né.
Dada a aussi sa part de plaisanterie, et c'est pourquoi Breton et ses collègues créeront le mouvement surr. Seulement, mis à part le personnage Breton que l'on aime en principe assez peu, il faut se pencher sur les Eluard, Aragon, Desnos...
Je m'interresse à la question du suuréalisme comme nécessité et comme finalité Esthétique. Je pense, pour ma part que les recherches sont saines et essentielles, mais que l'exercice a finit par tourner en rond et qu'il ne vaut que pour l'expérience et assez peu pour les oeuvres. (d'ailleurs à-t-on le droit de parler "d'oeuvre" en langage surréaliste?)
C'est un avis personnel dont il est interressant de discuter.
Ps: "justifier" : les avis en général (pas toi), car j'ai beaucoup entendu de j'aime/ j'aime pas, autour de moi!
Aïe, aïe, aïe, j'avais même pas vu : "experience frélatée", jolie faute de frappe. Bon, promis, je vais taper plus doucement!
OK, mais avant tout tenons nous en en premier lieu au fait. Il n’est pas un manifeste du surréalisme mais bien deux, le premier édité en 1924 : louanges de l’imagination refus l'analyse psychologique, refus de la logique des sentiments. Le second en 1930 : louanges du surréalisme, négation d’une morale comme guide du surréalisme, et : « Le surréalisme n'est pas un idéalisme, il doit rendre compte des préoccupations sociales et politiques et y participer. C'est au nom de la reconnaissance impérieuse de cette nécessité que j'estime que nous ne pouvons pas éviter de nous poser la question du régime social sous lequel nous vivons. » dixit Breton.
Et donc, dans le second, dénonciation à peine voilé de ses pairs, on abandonne Dada, on est grands, et puis qu’est ce que c’est que cette histoire de couteau et de manche à la con ! Du même coup, on abandonne l’idée, la source même du surréalisme. Pour ne pas dire la souche, une souche sans arbre dépourvue de racine.
À partir de là, le reste est histoire littéraire sans grande qualité. Hormis quelques poèmes de breton, qui, pour moi, me font vibrer l’intellect et le reste. Aragon évidemment, mais surréaliste Aragon l’était par ses connaissances plus que par sa pratique du concept, et ce qu’il a écrit de plus juste ne correspond pas franchement à cette période. Idem pour Eluard.
Mais la pièce ne se joue pas ici, la pièce se joue un peu plus loin, dans le théâtre des arts plastiques. C’est là qu’elle trouve sa raison d’être. Pas dans ce qu’elle produit, mais parce qu’elle créer un pont possible, une charnière qui, comme toutes charnières, ouvre sur quelque chose d’autre. Elle n’est pas seule, Dada y est pour beaucoup, la peinture Métaphysique, le Cubisme également, mais elle contribue avec ces mouvements et quantité d’autres à cette idée d’exploser le cadre, la norme, elle ouvre définitivement la voie, elle ouvre la barrière Duchamp.
Je ne défendrais pas Nadja, piètre réussite d’une démonstration, mais tout comme Merlin, je lui accorde la qualité qui est sienne, celle de te transporter si tu te laisse faire. On est donc effectivement dans un état d’esprit, celui de se laisser faire.
Tiens, y’a plus de site, tant pis, je posterai demain…
Et donc, dans le second, dénonciation à peine voilé de ses pairs, on abandonne Dada, on est grands, et puis qu’est ce que c’est que cette histoire de couteau et de manche à la con ! Du même coup, on abandonne l’idée, la source même du surréalisme. Pour ne pas dire la souche, une souche sans arbre dépourvue de racine.
À partir de là, le reste est histoire littéraire sans grande qualité. Hormis quelques poèmes de breton, qui, pour moi, me font vibrer l’intellect et le reste. Aragon évidemment, mais surréaliste Aragon l’était par ses connaissances plus que par sa pratique du concept, et ce qu’il a écrit de plus juste ne correspond pas franchement à cette période. Idem pour Eluard.
Mais la pièce ne se joue pas ici, la pièce se joue un peu plus loin, dans le théâtre des arts plastiques. C’est là qu’elle trouve sa raison d’être. Pas dans ce qu’elle produit, mais parce qu’elle créer un pont possible, une charnière qui, comme toutes charnières, ouvre sur quelque chose d’autre. Elle n’est pas seule, Dada y est pour beaucoup, la peinture Métaphysique, le Cubisme également, mais elle contribue avec ces mouvements et quantité d’autres à cette idée d’exploser le cadre, la norme, elle ouvre définitivement la voie, elle ouvre la barrière Duchamp.
Je ne défendrais pas Nadja, piètre réussite d’une démonstration, mais tout comme Merlin, je lui accorde la qualité qui est sienne, celle de te transporter si tu te laisse faire. On est donc effectivement dans un état d’esprit, celui de se laisser faire.
Tiens, y’a plus de site, tant pis, je posterai demain…
Je suis content de discuter avec quelqu'un comme toi, voilà qui rend le débat interressant.
Il est effectivement difficille de toucher tout le surréalisme en quelques mots puisque d'un manifeste à l'autre Breton se fait plus théoricien qu'écrivain. L'immense apport du surréalisme sera cette "mise à niveau" de l'art, et donc, comme je le disais, vaut plus comme procédé Esthétique que comme finalité. De là, Duchamp, vanté dans les Pas Perdu, qui malheureusemnt sera pris par la suite au sérieux et repris par l'académisme toujours triomphant (je viens de passer un bac littéraire et Arts Plastiques, à ce propos). Les apports du surréalisme sont immenses mais les oeuvres peu marquantes. As-tu lu les "Champs Magnétiques"? Si non, essaye quelques passages, c'est il me semble bien loin de cete définition du surréalisme : "Automatisme psychique pur et par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale." étant donné que cette écriture automatique de Desnos et Breton fut retravaillée pour devenir "objet littéraire".
C'est la recherche d'une expression de l'être en littérature (en réaction au réalisme romanesque), et de réaliser LE LIVRE attendu par Mallarmé... Et non pas le non-sens qu'on a souvent l'habitude d'associer à la notion de surréalisme, je dirais, surréalisant!
(je continuerais plus tard, pb de connexion
Il est effectivement difficille de toucher tout le surréalisme en quelques mots puisque d'un manifeste à l'autre Breton se fait plus théoricien qu'écrivain. L'immense apport du surréalisme sera cette "mise à niveau" de l'art, et donc, comme je le disais, vaut plus comme procédé Esthétique que comme finalité. De là, Duchamp, vanté dans les Pas Perdu, qui malheureusemnt sera pris par la suite au sérieux et repris par l'académisme toujours triomphant (je viens de passer un bac littéraire et Arts Plastiques, à ce propos). Les apports du surréalisme sont immenses mais les oeuvres peu marquantes. As-tu lu les "Champs Magnétiques"? Si non, essaye quelques passages, c'est il me semble bien loin de cete définition du surréalisme : "Automatisme psychique pur et par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale." étant donné que cette écriture automatique de Desnos et Breton fut retravaillée pour devenir "objet littéraire".
C'est la recherche d'une expression de l'être en littérature (en réaction au réalisme romanesque), et de réaliser LE LIVRE attendu par Mallarmé... Et non pas le non-sens qu'on a souvent l'habitude d'associer à la notion de surréalisme, je dirais, surréalisant!
(je continuerais plus tard, pb de connexion
Il y a aussi,comme livre surrealiste," l' amour fou" de Breton.
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