Ouh, ça flingue !!!
J'aime bien, ça me fait rire !
J'aime bien, ça me fait rire !
Nous français, nos heures de gloire littéraires sont passées !
Prière de ne pas colporter sans vérification préalable les avis d'une presse mal informée. (Cela dit, la littérature, qu'elle soit en français ou en tagalog, au fond...)
Feint, je sens un certain dépit.
Voyons, ne te laisse pas aller ! :)
C'était juste une version raccourcie de ce que je répète souvent. Mais tout va bien : on ne peut pas en vouloir aux gens d'être mal informés par une presse mal informée par une presse mal informée par une presse mal informée par une presse dont on se demande bien où elle trouve son information.
Et sinon, vous faîtes des trucs intéressants dans la vie, à part vous couvrir de ridicule sur internet ?
Je te retourne la question car il semble que ce soit là ta seule et unique compétence... ah non c'est vrai, tu excelles aussi dans l'art d'insulter les gens mais bon...
Il ne faut pas regretter de l'avoir présenté, car s'il n'avait pas été dans la sélection jamais je n'aurai eu envie de le lire.
Et ce, parce qu'il était tout simplement introuvable en Belgique.
Idem pour "le froid modifie la trajectoire des poissons" qui lui n'était réédité qu' en septembre.
Je suppose que je n'ai pas été la seule dans le cas et je profite pour remercier Débézed et Shan Ze qui m'ont permis de les lire.
Ah voilà qui est gentil et qui me console. Merci Koudoux ! ;-)
Et quand bien même Tistou aurait été le seul à considérer que ce livre, par certains aspects (et il insiste bien sur ce point dans sa critique), se rapprochait d'un Levy, à partir du moment où c'est l'impression qu'il a réellement eue du livre, je ne vois absolument pas où est le problème.?
Le problème Stavroguine c'est que ça commence vraiment à devenir un argument principal de critique et ça moi ça me gonfle! Mais t'inquiètes je supporte sans problème .
Et voilà, l'autre intellectuel auto-proclamé au seul titre qu'il a lu Debray et vu La Strada qui nous gratifie encore d'une de ses envolées alors même que l'objet du coup de gueule de la pimbêche du grand froid est à l'opposé de ce que lui-même revendique ! Et sinon, vous faîtes des trucs intéressants dans la vie, à part vous couvrir de ridicule sur internet ?
On a le droit de tout Stavro même celui d'être poli! Je ne crois pas que Zampano n'ait lu que Debray (que j'apprécie aussi beaucoup) et son avatar est très beau. Quant à la "pimbèche du grand froid" le nombre et la qualité de ses critiques sur ce site ne peut qu'inspirer du Respect (même si je suis en désaccord sur certains sujets).
Pieronnelle, je n'ai jamais avancé que Zampano n'aurait lu QUE Debray et La Strada est, bien plus qu'un avatar, un film merveilleux. Ca n'enlève rien au fait que le discours de Zampano, qui semble en effet posséder une certaine culture et avec lequel j'aurais tendance à être d'accord de manière générale - bien qu'en l'occurrence je le trouve totalement hors de propos -, a des relents de préciosité snobinarde et méprisante qui le rendent assez nauséabond dans la forme plus que dans le fond.
En ce qui concerne Dirlandaise, il se trouve que j'ai avec cette personne des antécédents qui justifient amplement à mes yeux mon agressivité à son égard. Ton ignorance de ceux-ci ne te fait assurément pas rater grand chose, mais justifierait que tu t'abstiennes de prendre position sur le sujet et de me tenir des leçons d'éducation civique dont je me m'auto-dispense. Enfin, j'estime que le respect du à une personne ne se mesure pas au nombre de critiques qu'elle publie, quelle que soit leur qualité générale (que je ne remets d'ailleurs pas en cause, sauf peut-être celle-ci sur laquelle la réaction de l'intéressée fait planer quelques doutes, ainsi que sur quelques autres d'entre elles dont elle semble parfois plus chanter les louanges par attachement à l'auteur que pour la qualité réelle de l'ouvrage).
En ce qui concerne Dirlandaise, il se trouve que j'ai avec cette personne des antécédents qui justifient amplement à mes yeux mon agressivité à son égard. Ton ignorance de ceux-ci ne te fait assurément pas rater grand chose, mais justifierait que tu t'abstiennes de prendre position sur le sujet et de me tenir des leçons d'éducation civique dont je me m'auto-dispense. Enfin, j'estime que le respect du à une personne ne se mesure pas au nombre de critiques qu'elle publie, quelle que soit leur qualité générale (que je ne remets d'ailleurs pas en cause, sauf peut-être celle-ci sur laquelle la réaction de l'intéressée fait planer quelques doutes, ainsi que sur quelques autres d'entre elles dont elle semble parfois plus chanter les louanges par attachement à l'auteur que pour la qualité réelle de l'ouvrage).
Bien qu'il ne soit pas le plus grand écrivain du Québec, j'ai été passablement irritée à la lecture de la critique de Tistou dans laquelle il n'a de cesse de nous entretenir de Marc Lévy et de comparer monsieur Lafontaine à celui-ci.
Je ne veux pas jouer la carte nationaliste mais franchement, Marc Lévy réussit à atteindre des sommets d'insignifiance et d'insipidité que monsieur Lafontaine est loin de surpasser au contraire. Je trouve qu'il fait preuve d'une imagination que l'autre ne possède visiblement pas.
L'Europe produit peut-être de bons écrivains mais elle produit aussi les pires que j'aie lus à date et quand je vois un écrivain québécois se faire railler de la sorte et se faire comparer à une nullité européenne aussi insipide qu'un plat de nouilles sans gratin, mon sang ne fait qu'un tour et je me dis que non, le Québec ne mérite pas ça !
Ben, Dir? Je veux bien comprendre que les Québécois se sentent en "danger", et soient donc sur la défensive, mais attention à ne pas tout prendre comme une attaque contre le Qébec, hein ;-)
Je n'ai pas lu ce roman, mais en lisant ta critique, qui fait le résumé rapide, j'ai l'impression effectivement de lire l'histoire du "Et si c'était vrai", de Lévy. Comment, objectivement, ne pas faire de comparaison là-dessus? Et si la comparaison n'est pas forcément favorable au Québécois, est-ce que Tistout dit, une seule fois dans sa critique, que c'est parce qu'il vient du Québec?
Dir, continue ton combat pour le Québec libre! Que le Québec conserve ses droits! Y compris celui d'avoir de mauvais romanciers :p
Stavro quand je précise qu'il y a certains sujets avec lesquels je suis en désaccord avec Dirlandaise je crois pouvoir affirmer qu'ils rejoignent les tiens (j'ai fait une petite recherche sur d'anciens forums) et je peux comprendre ton ressentiment. Je ne te fais pas de leçon d'éducation civique mais tes propos ont un peu choqué la "vieille dame" que je suis....mais je crois qu'il ne faut pas tout confondre, Dirlandaise a des qualités que je reconnais et nous avons de la chance d'avoir des représentants de "notre Québec libre" . Quant au respect je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas distinguer celui lié au travail littéraire de celui résultant de l'appréciation personnelle de la personne.
Quant à Marc Lévy franchement il me sort par les yeux et pourtant je ne l'ai jamais lu. Peut être dans le fond que je l'aimerais mais maintenant je ne peux plus car il a trop été descendu et je trouve ça dommage; Alors à mon avis laissons le à sa place et puisque certains l'aiment, encore par respect pour eux, évitons de s'en servir comme référence ultime de mauvaise littérature.Finalement on n'arête pas de parler de lui sur ce site!
Quant à Marc Lévy franchement il me sort par les yeux et pourtant je ne l'ai jamais lu. Peut être dans le fond que je l'aimerais mais maintenant je ne peux plus car il a trop été descendu et je trouve ça dommage; Alors à mon avis laissons le à sa place et puisque certains l'aiment, encore par respect pour eux, évitons de s'en servir comme référence ultime de mauvaise littérature.Finalement on n'arête pas de parler de lui sur ce site!
Mais arrêtez de dire, ou de suggérer, que dans mon cas personnel Marc Lévy est LA référence du mauvais goût ! Pour preuve ma critique-éclair de "Et si c'était vrai ..." ci desssous.
Si dirlandaise lit attentivement elle verra que j'ai mis 2,5*, que je ne descends pas Marc Lévy, et qu'il y a comme une similitude d'atmosphère dans ce roman d'avec celui de George Lafontaine. Mais pour s'en rendre compte encore faudrait-il au moins avoir lu quelque chose de Marc Lévy ?
Je n'aime pas bien ceux qui le descendent en précisant qu'ils ne l'ont pas lu. Désolé, ce n'est pas indigne comme je le mets dans la critique.
"Et non, c’est pour de faux !
Marc Lévy, une des têtes de turc préférée de ceux qui ont des lettres. Et « Et si c’était vrai … » donc, son premier roman.
C’est vrai, on n’est pas dans Proust et on ne va pas s’attarder sur le style, on n’est pas là dans un roman qu’on a écrit avec l’ambition d’écrire pour la postérité de la littérature, on est dans une histoire que Marc Lévy a eu envie de raconter (à ses enfants à l’origine, dit la légende ?). Et cette histoire n’a rien d’indigne. Je lui ai trouvé une belle fraîcheur (mon côté midinette, sans doute !), une belle originalité. Disons que je n’ai pas eu à me forcer pour aller à la fin du livre, accroché que j’étais par l’histoire. Mais ce n’est qu’une histoire, originale mais sommaire, un peu comme les films, les films à succès américains par exemple. D’ailleurs … !
En deux mots, un bel architecte, Arthur, a le choc de découvrir qu’il n’est pas seul dans l’appartement qu’il vient de louer. L’appartement est habité également par l’ancienne locataire, Lauren, jeune femme médecin, et belle tant qu’à faire, qui est morte. Enfin non, pas encore, elle est plongée dans le coma depuis déjà des semaines. Arthur découvre donc l’existence de Lauren, qu’il est seul à percevoir d’ailleurs mais bon, dans un roman de ce genre on n’et pas à une invraisemblance près. Et voilà-t-y pas qu’ils vont tomber amoureux l’un de l’autre, (Brassens aussi dans une chanson tombait amoureux d’une fantôme mais c’était un rêve !) et Arthur de se mettre en quête de sauver Lauren d’une mort définitive. Son coma prolongé s’avère sans espoir pour les médecins de l’hôpital et on va la « débrancher ». Il va donc faire en sorte de soustraire Lauren de l’hôpital afin de la maintenir dans cette « espérance de vie », simplement concrétisé aux yeux des simples mortels par un ectoplasme. Rebondissements en tous genres, pathos aux fenêtres, jusqu’à la fin que je qualifierais de courageuse, ou peut-être d’opportuniste puisqu’elle laisse clairement le champ à une suite.
Rien d’indigne dans tout cela. Suffit juste de savoir de quoi l’on parle.
Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 54 ans) - 5 mai 2010"
Si dirlandaise lit attentivement elle verra que j'ai mis 2,5*, que je ne descends pas Marc Lévy, et qu'il y a comme une similitude d'atmosphère dans ce roman d'avec celui de George Lafontaine. Mais pour s'en rendre compte encore faudrait-il au moins avoir lu quelque chose de Marc Lévy ?
Je n'aime pas bien ceux qui le descendent en précisant qu'ils ne l'ont pas lu. Désolé, ce n'est pas indigne comme je le mets dans la critique.
"Et non, c’est pour de faux !
Marc Lévy, une des têtes de turc préférée de ceux qui ont des lettres. Et « Et si c’était vrai … » donc, son premier roman.
C’est vrai, on n’est pas dans Proust et on ne va pas s’attarder sur le style, on n’est pas là dans un roman qu’on a écrit avec l’ambition d’écrire pour la postérité de la littérature, on est dans une histoire que Marc Lévy a eu envie de raconter (à ses enfants à l’origine, dit la légende ?). Et cette histoire n’a rien d’indigne. Je lui ai trouvé une belle fraîcheur (mon côté midinette, sans doute !), une belle originalité. Disons que je n’ai pas eu à me forcer pour aller à la fin du livre, accroché que j’étais par l’histoire. Mais ce n’est qu’une histoire, originale mais sommaire, un peu comme les films, les films à succès américains par exemple. D’ailleurs … !
En deux mots, un bel architecte, Arthur, a le choc de découvrir qu’il n’est pas seul dans l’appartement qu’il vient de louer. L’appartement est habité également par l’ancienne locataire, Lauren, jeune femme médecin, et belle tant qu’à faire, qui est morte. Enfin non, pas encore, elle est plongée dans le coma depuis déjà des semaines. Arthur découvre donc l’existence de Lauren, qu’il est seul à percevoir d’ailleurs mais bon, dans un roman de ce genre on n’et pas à une invraisemblance près. Et voilà-t-y pas qu’ils vont tomber amoureux l’un de l’autre, (Brassens aussi dans une chanson tombait amoureux d’une fantôme mais c’était un rêve !) et Arthur de se mettre en quête de sauver Lauren d’une mort définitive. Son coma prolongé s’avère sans espoir pour les médecins de l’hôpital et on va la « débrancher ». Il va donc faire en sorte de soustraire Lauren de l’hôpital afin de la maintenir dans cette « espérance de vie », simplement concrétisé aux yeux des simples mortels par un ectoplasme. Rebondissements en tous genres, pathos aux fenêtres, jusqu’à la fin que je qualifierais de courageuse, ou peut-être d’opportuniste puisqu’elle laisse clairement le champ à une suite.
Rien d’indigne dans tout cela. Suffit juste de savoir de quoi l’on parle.
Tistou (, Inscrit le 10 mai 2004, 54 ans) - 5 mai 2010"
J'ai compris Tistou et je comprends mieux ta comparaison.
Moi ça ne me dérangerait pas d’être comparé à Lévy… surtout si j’avais son cachet…
Peut-être la production québécoise de 2008 sera plus appréciée. Certains titres ont reçu un excellent accueil de la critique. On verra.
D’autre part, cette nouvelle te fera certainement plaisir :
Victor Lévy-Beaulieu avec « Bibi » (Grasset) est en nomination pour le prix Décembre durant la saison des prix. J’espère qu’il sera invité à parler dans les médias français.
Tiens encore ‘Lévy’ qui se pointe.. mais cette fois personne n’osera faire la comparaison!
Avec tout ça, j'ai oublié de te répondre mon beau Benjamin. Je suis si contente pour notre VLB, il le mérite le cher homme car il est un écrivain majeur au Québec. Un être très sensible qui se réfugie auprès de ses bêtes. Je l'ai écouté en entrevue récemment et j'ai trouvé son témoignage extrêmement touchant. Il a avoué parfois se lever la nuit lorsqu'il n'arrive pas à dormir et s’asseoir au milieu de ses amis animaux qui l'entourent de leur affection et de leur amour inconditionnel. Ah que c'est beau...
En ce qui concerne Dirlandaise, il se trouve que j'ai avec cette personne des antécédents qui justifient amplement à mes yeux mon agressivité à son égard.
C'est encore ma position au sujet de l'immigration qui te taraude ? Sache que je n'ai pas changé d'un iota et si je le voulais, je pourrais t'apporter de nouveaux arguments mais je crois que je vais passer mon tour. Juste te dire que les ethnies ont contribué à garder le Québec sous la domination du fédéral lors du dernier référendum (une citation de Jacques Parizeau l'explique clairement) et nous a cadenassé encore plus qu'avant et il faudrait en plus les aimer ?... Cela me laisse songeuse...
Oh, ça, c'était particulièrement infect, mais à chacune de tes interventions je te trouve plus stupide, mauvaise et ridicule. Pour être tout à fait élégant, je dirais juste que chacune de tes attitudes est à gerber. Voilà.
Comment une opinion émise sur un livre peut-elle être considérée comme une attaque personnelle parce que ce livre a été écrit par une personne qui se trouve être de la même nationalité que soi ?
Comprends pas.
Comprends pas.
Comment une opinion émise sur un livre peut-elle être considérée comme une attaque personnelle parce que ce livre a été écrit par une personne qui se trouve être de la même nationalité que soi ?
Comprends pas.
Je propose de rajouter devant chaque critique:
"moi, pseudo schmol/schomle, en l'état de critiqueur/critiqueuse amateur(e) sur CL, émet l'humble avis suivant (qui n'engage que moi et pas les autres, bé vi, y'a mon pseudo écrit à côté, comme y'a l'nom s'ul port salut), avis tout personnel (pas pris au voisin) en cet an de grâce deux mille et des brouettes..."
Ça suffirait ? ;)
Je propose de rajouter devant chaque critique:
"moi, pseudo schmol/schomle, en l'état de critiqueur/critiqueuse amateur(e) sur CL, émet l'humble avis suivant (qui n'engage que moi et pas les autres, bé vi, y'a mon pseudo écrit à côté, comme y'a l'nom s'ul port salut), avis tout personnel (pas pris au voisin) en cet an de grâce deux mille et des brouettes..."
Ça suffirait ? ;)
Antinéa, y'a pas à dire, tu m'inspires du respect.
Tu sais, comme jamais je ne saurai faire, dussè-je vivre cent vingt ans, te positionner en "sage" dans quasiment (quasiment je dis, hein, faut pas non plus que tu crois que je te mets sur un piédestal :)) tous les débats qui chauffent un peu.
C'est comme si, lors d'une traversée en mer, en pleine tempête, tu te mettais au piano pour rassurer tout l'équipage. Enfin, image toute personnelle de mon pseudo -mais aussi sans mon pseudo-. Tu n'as jamais envisagé une carrière de diplomate ? Enfin, non car tes coups de gueule sont tout de même existants :))
Garance d'accord avec toi concernant Antinéa. C'est d'ailleurs ce que je constatais sur un autre fil en disant quelle savait "maitriser son regard" tout en étant concernée. Bravo d'arriver à faire cela !
Comment une opinion émise sur un livre peut-elle être considérée comme une attaque personnelle parce que ce livre a été écrit par une personne qui se trouve être de la même nationalité que soi ?
Comprends pas.
Je ne l'ai pas pris comme une attaque personnelle mais j'ai exprimé ce que je ressentais suite à la lecture de cette critique qui, je le répète, m'a irritée au plus haut point.
Et alors, ai-je encore commis un crime en faisant cela ? Il me semble que oui...
Vous en faites du capital afin de vous flatter mutuellement comme d'habitude. Vous sautez sur le moindre sujet et vous en faites vos choux gras afin de vous faire valoir et étaler votre grande sagesse, votre humanité et tutti quanti ! Vous êtes des saints (es) ma foi rien de moins. À vous lire, vous êtes parfaites et parfaits et ne vous gênez pas pour l'écrire aussitôt que vous en avez l'occasion.
Ah eh puis j'en ai marre de ce sujet. Continuez à vous flatter l'ego entre vous, cela vous rehausse à vos propres yeux et non aux miens.
Je propose de rajouter devant chaque critique:
"moi, pseudo schmol/schomle, en l'état de critiqueur/critiqueuse amateur(e) sur CL, émet l'humble avis suivant (qui n'engage que moi et pas les autres, bé vi, y'a mon pseudo écrit à côté, comme y'a l'nom s'ul port salut), avis tout personnel (pas pris au voisin) en cet an de grâce deux mille et des brouettes..."
Ça suffirait ? ;)
C'est assez idiot comme intervention je trouve... C'est le fait d'une personne qui se veut spirituelle et cherche à épater les petites copines. Assez enfantin...
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