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Euh, Sahkti, avons-nous lu le même livre ? As-tu lu les critiques précédentes ?
Que tu aies aimé est indiscutable et de ton droit le plus strict, mais es-tu sûre de la rigueur de ta critique ? Et si oui, dans ce cas, Bluewitch et moi nous sommes tellement plantés qu'il va falloir nous contredire un tant soit peu...
BàT,
P.
Que tu aies aimé est indiscutable et de ton droit le plus strict, mais es-tu sûre de la rigueur de ta critique ? Et si oui, dans ce cas, Bluewitch et moi nous sommes tellement plantés qu'il va falloir nous contredire un tant soit peu...
BàT,
P.
voilà trois fois que je poste ma réponse à Pendragon et rien à faire, je reçois encore et encore le message error syntax. Alors je veux bien que Word ne soit pas l'outil adéquat pour ce site, mais cette fois, j'ai rédigé le texte dans ma messagerie, je me le suis envoyé (ce qu'il ne faut pas faire...) et malgré cela, niente.
Patience, patience, ça arrive!
Patience, patience, ça arrive!
Erreur MySQL : 1064 : You have an error in your SQL syntax. Check the manual that corresponds to your MySQL server version for the right syntax to use near
Est-ce une demande de capitulation?! :)
Bon, je retape... (et je n'étais pas sur word!)
Est-ce une demande de capitulation?! :)
Bon, je retape... (et je n'étais pas sur word!)
Qu'est-ce que ça veut dire la rigueur d'une critique? Oui, j'ai lu les critiques précédentes et alors? Doivent-elles influencer ce que j'ai pensé du livre? Non, désolée. Je l'ai lu et j'ai trouvé ça agréable, chacun ses goûts et sa manière de voir les choses, cela ne signifie pas pour autant que Bluewitch et toi vous êtes plantés. Aucun rapport.
Tout d'abord et surtout, c'est le personnage de Jung que j'ai aimé dans c elivre. Pour reprendre les propos de Bluewitch, un être drolatique léger et aussi schizophrène que son patient. Pas souvent qu'on donne une telle image de Jung, c'est-ce pas. A ce sujet, je conseille la biographie de Kaj Noschis, parue aux presses Polytechniques et Universitaires Romandes, dans laquelle il établit des parallèles indispensables entre biographie et théories de Jung pour comprendre quelle personnalité l'animait réellement derrière cette apparence prise parfois pour de la froideur ou de la suffisance. De Jung, on sait beaucoup de choses, on sait également que pas mal d'expériences personnelles ont influencé son travail et, pourtant, de nombreuses tranches de sa vie sont restées dans l'ombre alors qu'elles aussi ont joué un rôle majeur dans l'évolution de la pensée du psychologue.
Donc oui, qu'un auteur présente une facette, même fictionnelle, un peu différente de Jung, ça me plaît et sur ce point, Findley s'en sort plutôt bien. C'est d'un roman qu'il s'agit ici et c'est amusant de s'offusquer des libertés prises avec Jung alors que d'autres s'accommodent très bien des mêmes libertés prises avec l'histoire ou la religion dans Da Vinci Code.
Sur le personnage de Pilgrim aussi, si changeant, lunatique, un être mystérieux dans lequel il faut tout déchiffrer, demandant certes du travail au lecteur, d'autant plus que celui-ci reste quelquefois sur sa faim. A lui d'imaginer les vides et les silences, je préfère ça aux explications toutes cuites et ne laissent aucune place à la liberté.
Puis il y a un rythme, une espèce de folie qui se dégage du récit et qui colle assez bien à ce qui se passe dans la tête des personnages et qui compose la trame du récit: douce folie incompréhensible, c'est surréaliste, tout se mélange.
Nous avons lu le même livre Pendragon, mais l'avons apprécié différemment, c'est tout.
Tout d'abord et surtout, c'est le personnage de Jung que j'ai aimé dans c elivre. Pour reprendre les propos de Bluewitch, un être drolatique léger et aussi schizophrène que son patient. Pas souvent qu'on donne une telle image de Jung, c'est-ce pas. A ce sujet, je conseille la biographie de Kaj Noschis, parue aux presses Polytechniques et Universitaires Romandes, dans laquelle il établit des parallèles indispensables entre biographie et théories de Jung pour comprendre quelle personnalité l'animait réellement derrière cette apparence prise parfois pour de la froideur ou de la suffisance. De Jung, on sait beaucoup de choses, on sait également que pas mal d'expériences personnelles ont influencé son travail et, pourtant, de nombreuses tranches de sa vie sont restées dans l'ombre alors qu'elles aussi ont joué un rôle majeur dans l'évolution de la pensée du psychologue.
Donc oui, qu'un auteur présente une facette, même fictionnelle, un peu différente de Jung, ça me plaît et sur ce point, Findley s'en sort plutôt bien. C'est d'un roman qu'il s'agit ici et c'est amusant de s'offusquer des libertés prises avec Jung alors que d'autres s'accommodent très bien des mêmes libertés prises avec l'histoire ou la religion dans Da Vinci Code.
Sur le personnage de Pilgrim aussi, si changeant, lunatique, un être mystérieux dans lequel il faut tout déchiffrer, demandant certes du travail au lecteur, d'autant plus que celui-ci reste quelquefois sur sa faim. A lui d'imaginer les vides et les silences, je préfère ça aux explications toutes cuites et ne laissent aucune place à la liberté.
Puis il y a un rythme, une espèce de folie qui se dégage du récit et qui colle assez bien à ce qui se passe dans la tête des personnages et qui compose la trame du récit: douce folie incompréhensible, c'est surréaliste, tout se mélange.
Nous avons lu le même livre Pendragon, mais l'avons apprécié différemment, c'est tout.
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