Yes and No.
A la fin de chaque visa, le détenteur de ledit document à 28 grace days pour quitter le territoire. Je m'envole pour Hong-Kong (un passeport avec plus un seul mois de validité est suffisant, j'en ai encore trois ) mercredi pour une semaine où je vais demander un visa touristique électronique pour revenir en Australie en toute légalité. Avant cela, je dois lundi me rendre au département de l'immigration pour m'entretenir avec une personne afin de lui dire que j'ai eu cette réponse négative à la dernière minute et qu'il m'a été difficile de réserver un vol, clôturer mes comptes bancaires avant le 11 mars... Ensuite, je vais un peu changer mon plan de bourlingue afin de me rendre à Sydney pour demander un nouveau passeport que l'Ambassade gardera un temps pour que je puisse continuer à rouler ma bosse. Et j'irai le récupérer avant de m'envoler pour la France.
Toujours vivante, mais comme l'a dit mon adorable coloc coréen (pas nounours), j'ai "l'air très fatiguée". Je décompresse avec une bonne bière, une Crown Gold et mets en ligne des photos.
A la fin de chaque visa, le détenteur de ledit document à 28 grace days pour quitter le territoire. Je m'envole pour Hong-Kong (un passeport avec plus un seul mois de validité est suffisant, j'en ai encore trois ) mercredi pour une semaine où je vais demander un visa touristique électronique pour revenir en Australie en toute légalité. Avant cela, je dois lundi me rendre au département de l'immigration pour m'entretenir avec une personne afin de lui dire que j'ai eu cette réponse négative à la dernière minute et qu'il m'a été difficile de réserver un vol, clôturer mes comptes bancaires avant le 11 mars... Ensuite, je vais un peu changer mon plan de bourlingue afin de me rendre à Sydney pour demander un nouveau passeport que l'Ambassade gardera un temps pour que je puisse continuer à rouler ma bosse. Et j'irai le récupérer avant de m'envoler pour la France.
Toujours vivante, mais comme l'a dit mon adorable coloc coréen (pas nounours), j'ai "l'air très fatiguée". Je décompresse avec une bonne bière, une Crown Gold et mets en ligne des photos.
Très amusant les chroniques de la bourlingueuse. Comme quoi les problèmes administratifs sont les pires. Tu as du courage en tout cas, bonne chance pour le visa et passport.
Merci Saule.
Quelle dommage cette chute avec ton appareil de photo, Nomade, mais comme tu sais bien tirer ton plan ! Décidément, tu es formidable… Bonne chance pour la suite, j’espère que ça se passera comme tu voudras, vraiment.
J'ai eu la chance d'avoir P., un ami anglais qui m'a soutenue ces deux grosses journées. C'est moi qui parlait, et dès que j'avais besoin, je devais le regarder. A part hier, lorsque nous nous sommes rendus au département d'immigration, il a pris la parole. Là, où je suis plutôt fière de moi, c'est que j'ai bien compris depuis six mois toutes les informations glanées par ci et par là. Lorsque j'ai appris que je ne pouvais plus enchaîner avec un touriste visa, j'ai cru sur le moment avoir raté quelque chose ou avoir mal compris vu que c'est tout en anglais. Non, j'avais parfaitement tout bien interprété. Donc la compréhension de l'anglais est bien meilleure qu'il y a un an. Le parler, un chouilla plus.
Depuis ce matin, fièvre, mal de gorge... lié certainement à la fatigue et au stress de ces derniers jours.
Depuis ce matin, fièvre, mal de gorge... lié certainement à la fatigue et au stress de ces derniers jours.
Je t'envoie des petites pensées Nomade, bon courage pour la suite! :o)
Tes pensées sont bien grandes Virgile. Merci.
Tu m'épates Nomade ! T'es une sacrée nana !
Nomade c'est: "quand on veut on peut"! Chapeau bas Mademoiselle!
Y a-t-il eu un ressenti du tremblement de terre et du Tsunami? j'ai entendu qu'il pouvait être question de l'Australie aussi,
Y a-t-il eu un ressenti du tremblement de terre et du Tsunami? j'ai entendu qu'il pouvait être question de l'Australie aussi,
Personnellement, je n'ai rien ressenti s'il y a eu quelque chose. Oui, il semblerait que le risque soit grand dans le Pacifique, côte est australienne, côte ouest américaine et donc au milieu de tout cela, Hawaï. Il y a aussi la Polynésie française, la Nouvelle-Zélande, la Nouvelle Calédonie. Et j'ai également entendu qu'il y avait un risque avec la Russie côte est et la Chine. J'espère qu'il n'en sera rien. Surtout à Hong-Kong. Quoiqu'il en soit, j'ai 28 jours pour quitter le territoire. J'espère une fois à Hong-Kong, une fois le visa électronique délivré, que je pourrai revenir en Australie pour commencer à bourlinguer.
Rien de bien courageux je vous assure les filles. J'ai la voix d'un adolescent en train de muer. L'horreur. Aujourd'hui, gros soleil.... répit... la pluie va peut-être revenir cet après-midi, ce soir ou cette nuit...
Rien de bien courageux je vous assure les filles. J'ai la voix d'un adolescent en train de muer. L'horreur. Aujourd'hui, gros soleil.... répit... la pluie va peut-être revenir cet après-midi, ce soir ou cette nuit...
9.46pm. Pancakes en train de dorer sur la poêle. Une Crown Gold déjà bien entamée ne demande qu'à être finie. Hawaï five-0 a disparu des écrans il y a quelques minutes. Là, c'est NCIS Los Angeles sur channel Ten. Je termine les derniers préparatifs. Demain, je quitte Jones street et Cairns pour héberger à Holloway Beach à 15 minutes pour deux nuits. Merde, faut que je réserve l'hôtel à Hong-Kong. Finalement, je préfère attendre mon rendez-vous de demain matin pour le faire. Il reste encore des chambres pas chères.
Heureusement que j'aime quand c'est bien doré. Il pleut pour changer. Ce matin, gros soleil. Pas envie de ranger.
Heureusement que j'aime quand c'est bien doré. Il pleut pour changer. Ce matin, gros soleil. Pas envie de ranger.
Je viens d'aller faire mon tour sur
http://observer.over-blog.com/4-index.html
Superbe série sur Uluru et notamment un coucher de soleil étonnant. Décidément, il faut faire une pétition pour que tu puisses rester là-bas : c'est le monde de la photographie qui en a besoin.
Courage Nomade.
http://observer.over-blog.com/4-index.html
Superbe série sur Uluru et notamment un coucher de soleil étonnant. Décidément, il faut faire une pétition pour que tu puisses rester là-bas : c'est le monde de la photographie qui en a besoin.
Courage Nomade.
Magnifiques photos, indeed, en particulier celles de Uluru, le lever de soleil aussi. J'ai vu un clin d'oeil à Tistou :-)
Merci Bolcho et Saule pour ces compliments. Cela me touche mais je n'ai pas fait grand chose à part observer et profiter du spectacle.
Oui, il y a eu un clin d'oeil à Tistou avant Uluru. C'est Clamence qui sans le vouloir m'en a donné l'idée. La première dédicace a donc été pour elle qui rêvait de vacances. Pour plusieurs d'entre vous, j'ai mon idée mais je n'ai pas encore trouvé l'opportunité de le mettre en photo. Pour Tistou, cela devait être autre chose mais je n'arrive pas à en croiser... à part une fois mais je conduisais et la voiture était lancée à 90km/h :-)
Oui, il y a eu un clin d'oeil à Tistou avant Uluru. C'est Clamence qui sans le vouloir m'en a donné l'idée. La première dédicace a donc été pour elle qui rêvait de vacances. Pour plusieurs d'entre vous, j'ai mon idée mais je n'ai pas encore trouvé l'opportunité de le mettre en photo. Pour Tistou, cela devait être autre chose mais je n'arrive pas à en croiser... à part une fois mais je conduisais et la voiture était lancée à 90km/h :-)
Très jolis instants volés qui me font très très envie ! Merci Nomade de nous faire voyager !
Merci JEyre. Ravie que tu puisses voyager à travers ces clichés. Ces derniers sont un beau complément aux jolis mots qui ruissellent ce beau site.
9am. Accompagnée de P. qui m'aide dans mes démarches, je demande à parler à untel dès l'ouverture des bureaux. Avant cela, on explique brièvement la situation et la madame a l'air d'être ravie de savoir que j'ai réservé un vol ce mercredi. Nous attendons dix minutes et Paul de l'immigration m'invite à le rejoindre, seule, dans une salle d'interview qui s'ouvre grâce au badge de l'agent. Bref, cela ressemble étrangement à une salle d'interrogatoire comme dans les séries américaines. Pour faire court, je lui raconte mon histoire. Lui montre mon billet d'avion pour Hong-Kong. Il est content. Puis grimace et me lance "c'est quoi ce billet Hong-Kong - Cairns?". "Le retour", dis-je. Là, c'est le début des emmerdements. Une semaine pour lui, c'est trop court. Car si ma demande de visa touriste électronique est acceptée, une fois arrivée sur le territoire australien, les agents de l'immigration remarqueront que j'ai enchaîné un working holiday visa avec un tourist visa. A leurs yeux, je serai suspecte de vouloir rester au pays ou de vouloir travailler au noir et ne plus retourner dans mon pays. Ces gens sont des disparus. Et les autorités australiennes, ce qui est normal, ne les aiment pas. Ainsi, je serai conduite de suite en salle d'interrogatoire puis les autorités m'emmèneront dans le prochain avion pour la France avec une interdiction de territoire australien d'une durée de quatre ans. Ou trois, je ne me souviens plus.
Il faut rentrer définitivement dans votre pays, Nomade ? "Oui, mais après avoir voyagé. Je n'ai rien vu de l'Australie à part Cairns et Uluru." Et lui sur un ton suspicieux : "Mais pourquoi souhaitez-vous rester plus de temps en Australie?". "Pour voyager et découvrir votre pays?" "Vous aviez 12 mois pour le faire. Un working holiday visa ce n'est pas fait que pour travailler." Cela je l'avais bien compris. Et moi "Avant que mon visa ait six mois, je suis allée me renseigner, on m'a dit de revenir en fin d'année. Fin d'année, j'y retourne et on me dit que c'est ok. Si tel n'avait pas été le cas, j'aurai utilisé les trois derniers mois de mon working holiday visa pour voyager. Mais cela serait tombé à l'eau puisque les inondations et les cyclones ont débuté dès décembre. J'aurai été bloquée de toute manière".
Lui, "vous avez fait les choses dans le droit chemin mais vous ne pouvez pas, je vous donne un bridging visa pour être à nouveau légale dans ce pays et vous donne une semaine pour faire vos valises." Moi : "Je planifie tout depuis six mois. J'ai même fait réviser la voiture il y a quinze jours au cas où une réparation serait nécessaire. Cela a été le cas, elle a été fixée la semaine passée pour que je puisse faire mes 10 000 kms en tout sécurité. Je ne compte pas travailler, j'ai économisé des dollars australiens que je vais dépenser en Australie. Si je pars, les dollars australiens seront échangés en euros et seront dépensés en France."
Lui : "Je comprends que vous soyez déçue qu'on vous ait mal informée même si en substance, l'agent d'immigration n'a pas eu tort. Mais je ne comprends pas pourquoi vous êtes déçue de rentrer en France, votre pays". Là, les neurones s'activent et me disent tout bas "La France n'a pas été abordée, tu n'as rien dit à part que si tu ne pouvais pas voyager, tu allais reconvertir tes économies australiennes en euros et qui seront dépensées en France... (ce qui entre nous est un peu bête, autant faire marcher l'économie du pays où tu as travaillé). "Si je suis contente mais après avoir vu l'Australie". Lui : "Vous n'avez pas de travail en France, c'est quoi, un CDD ou un CDI?" J'avoue avoir menti. Et lui fait entendre ce qu'il veut entendre. "Ben, alors, ça pose pas de problème que vous rentriez en France et que vous reveniez en Australie en tant que touriste pendant trois mois". Moi : "J'ai tout planifié avec mon boss."
Sur ce je dois remplir mon bridging visa. Et lui lance, "Une semaine en dehors de l'Australie, ce n'est donc pas assez. C'est quoi le délai minimum accordé pour que je puisse revenir en Australie sans avoir de problèmes." Réponse : "Le plus longtemps possible. Aucune garantie n'est donnée. Un mois, vous avez peut-être 30% de chances d'être acceptée sur le territoire. Deux mois, 40%. Trois mois, c'est mieux que deux et ainsi de suite."
P. nous rejoint, tente de parler. Bref, c'est un cercle vicieux. Paul me donne 10 jours finalement. J'ai du remplir des formulaires, donné mes contacts avec leur adresse, dire s'ils sont citoyens australiens ou non...
En colère, je n'en sais trop rien puisque ces derniers jours ont été difficiles et je sais l'immigration australienne très stricte. Là, où je suis certainement en colère dès le début, c'est que je ne comprends toujours pas (sous vouloir créer la polémique), pourquoi la France n'en fait pas de même. C'est 2011 et il faut penser au futur et arrêter de vivre dans le passé qui s'est arrêté en 1789.
Bon, j'avais prolongé mon assurance voyage, ma suspension téléphonique de mon téléphone portable français... Je suis toujours vivante, c'est le plus important.
Il faut rentrer définitivement dans votre pays, Nomade ? "Oui, mais après avoir voyagé. Je n'ai rien vu de l'Australie à part Cairns et Uluru." Et lui sur un ton suspicieux : "Mais pourquoi souhaitez-vous rester plus de temps en Australie?". "Pour voyager et découvrir votre pays?" "Vous aviez 12 mois pour le faire. Un working holiday visa ce n'est pas fait que pour travailler." Cela je l'avais bien compris. Et moi "Avant que mon visa ait six mois, je suis allée me renseigner, on m'a dit de revenir en fin d'année. Fin d'année, j'y retourne et on me dit que c'est ok. Si tel n'avait pas été le cas, j'aurai utilisé les trois derniers mois de mon working holiday visa pour voyager. Mais cela serait tombé à l'eau puisque les inondations et les cyclones ont débuté dès décembre. J'aurai été bloquée de toute manière".
Lui, "vous avez fait les choses dans le droit chemin mais vous ne pouvez pas, je vous donne un bridging visa pour être à nouveau légale dans ce pays et vous donne une semaine pour faire vos valises." Moi : "Je planifie tout depuis six mois. J'ai même fait réviser la voiture il y a quinze jours au cas où une réparation serait nécessaire. Cela a été le cas, elle a été fixée la semaine passée pour que je puisse faire mes 10 000 kms en tout sécurité. Je ne compte pas travailler, j'ai économisé des dollars australiens que je vais dépenser en Australie. Si je pars, les dollars australiens seront échangés en euros et seront dépensés en France."
Lui : "Je comprends que vous soyez déçue qu'on vous ait mal informée même si en substance, l'agent d'immigration n'a pas eu tort. Mais je ne comprends pas pourquoi vous êtes déçue de rentrer en France, votre pays". Là, les neurones s'activent et me disent tout bas "La France n'a pas été abordée, tu n'as rien dit à part que si tu ne pouvais pas voyager, tu allais reconvertir tes économies australiennes en euros et qui seront dépensées en France... (ce qui entre nous est un peu bête, autant faire marcher l'économie du pays où tu as travaillé). "Si je suis contente mais après avoir vu l'Australie". Lui : "Vous n'avez pas de travail en France, c'est quoi, un CDD ou un CDI?" J'avoue avoir menti. Et lui fait entendre ce qu'il veut entendre. "Ben, alors, ça pose pas de problème que vous rentriez en France et que vous reveniez en Australie en tant que touriste pendant trois mois". Moi : "J'ai tout planifié avec mon boss."
Sur ce je dois remplir mon bridging visa. Et lui lance, "Une semaine en dehors de l'Australie, ce n'est donc pas assez. C'est quoi le délai minimum accordé pour que je puisse revenir en Australie sans avoir de problèmes." Réponse : "Le plus longtemps possible. Aucune garantie n'est donnée. Un mois, vous avez peut-être 30% de chances d'être acceptée sur le territoire. Deux mois, 40%. Trois mois, c'est mieux que deux et ainsi de suite."
P. nous rejoint, tente de parler. Bref, c'est un cercle vicieux. Paul me donne 10 jours finalement. J'ai du remplir des formulaires, donné mes contacts avec leur adresse, dire s'ils sont citoyens australiens ou non...
En colère, je n'en sais trop rien puisque ces derniers jours ont été difficiles et je sais l'immigration australienne très stricte. Là, où je suis certainement en colère dès le début, c'est que je ne comprends toujours pas (sous vouloir créer la polémique), pourquoi la France n'en fait pas de même. C'est 2011 et il faut penser au futur et arrêter de vivre dans le passé qui s'est arrêté en 1789.
Bon, j'avais prolongé mon assurance voyage, ma suspension téléphonique de mon téléphone portable français... Je suis toujours vivante, c'est le plus important.
Donc si je comprends bien tu vas quand même devoir rentrer plus tôt que prévu à cause de ce système de contrôle de l'immigration que d'autre part tu sembles recommander? Ca me semble un peu paradoxal non?
Non, ce n'est pas trop paradoxal à mes yeux. Ce que j'aimerai, c'est qu'il y ait une stricte immigration en France comme l'affiche l'Australie. Beaucoup y voient une certaine forme de racisme, de xénophobie.... Pourtant, il en est rien. Je trouve à mes yeux qu'il est inhumain de laisser entrer des gens qui pensent qu'ici c'est l'Eldorado ou que c'est meilleur dans leur pays (c'est pas vrai mais les Français sont souvent donneurs de leçons) et après les faire vivre misérablement dans la rue et les expulser. Après étant moi-même issue de l'immigration (troisième génération) et d'un mariage mixte (deuxième génération), et étant cousine de cousines immigrées (la famille a décidé de faire l'Europe avant l'heure), je trouve indécent et irrespectueux que des citoyens français nés sur le territoire se disent tout sauf français et crachent sur les valeurs françaises.
Lors de ma première expérience à l'étranger avec Erasmus, les étudiants étrangers étaient fiers d'afficher dans leur chambre leur drapeau sans provoquer les citoyens du pays où ils sont reçus pour un temps. En Australie, c'est pareil. J'ai vu le Brésil l'autre jour, l'Australie. Je ne sais pas ce qu'il en est de la Belgique, mais le drapeau de la France, c'est mission impossible à cause du FN.
Pour revenir à mes moutons, ce que je trouve absurde dans ma situation c'est qu'ils n'aient pas l'intelligence de comprendre que si j'enchaînais avec un visa touriste, je pourrai dépenser mes dollars australiens gagnés en Australie en Australie. C'est d'une logique implacable, non ? Et booster à ma façon l'économie australienne surtout qu'elle en a bien besoin après les catastrophes naturelles.
Certes, j'ai bien compris qu'ils avaient peur que je reste définitivement au pays ou que je bosse au noir (beaucoup ont fait ça, spécialité des Français, Allemands, et Coréens). Après ma parole n'a aucune valeur. C'est comme ça.
Depuis le mois de décembre, j'ai vu des Australiens tout perdre avec les inondations et Yasi, les Néo-Zélandais de même et aujourd'hui, ce sont les Japonais. Je pense qu'il faut relativiser, je suis vivante, en bonne santé... la bourlingue de trois mois n'est que partie remise et cela me donne une bon sujet de maintient en vie une fois de retour dans cette France où tout est figé. J'ai mes contacts et me dit que vu que je devais descendre jusqu'à Melbourne, les 12 apôtres plus exactement, donc tout au sud du pays et que le début de l'hiver approche.... je me serai gelée surtout après avoir passé une année en tongs.
Lors de ma première expérience à l'étranger avec Erasmus, les étudiants étrangers étaient fiers d'afficher dans leur chambre leur drapeau sans provoquer les citoyens du pays où ils sont reçus pour un temps. En Australie, c'est pareil. J'ai vu le Brésil l'autre jour, l'Australie. Je ne sais pas ce qu'il en est de la Belgique, mais le drapeau de la France, c'est mission impossible à cause du FN.
Pour revenir à mes moutons, ce que je trouve absurde dans ma situation c'est qu'ils n'aient pas l'intelligence de comprendre que si j'enchaînais avec un visa touriste, je pourrai dépenser mes dollars australiens gagnés en Australie en Australie. C'est d'une logique implacable, non ? Et booster à ma façon l'économie australienne surtout qu'elle en a bien besoin après les catastrophes naturelles.
Certes, j'ai bien compris qu'ils avaient peur que je reste définitivement au pays ou que je bosse au noir (beaucoup ont fait ça, spécialité des Français, Allemands, et Coréens). Après ma parole n'a aucune valeur. C'est comme ça.
Depuis le mois de décembre, j'ai vu des Australiens tout perdre avec les inondations et Yasi, les Néo-Zélandais de même et aujourd'hui, ce sont les Japonais. Je pense qu'il faut relativiser, je suis vivante, en bonne santé... la bourlingue de trois mois n'est que partie remise et cela me donne une bon sujet de maintient en vie une fois de retour dans cette France où tout est figé. J'ai mes contacts et me dit que vu que je devais descendre jusqu'à Melbourne, les 12 apôtres plus exactement, donc tout au sud du pays et que le début de l'hiver approche.... je me serai gelée surtout après avoir passé une année en tongs.
Tant mieux alors si tu prends les choses du bon côté. :o)
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