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A contempler sans modération dis-tu dans ta critique... mais malheureusement ce livre est épuisé. Ce livre de 1978 que tu critiques si bien a été suivi de "Arbres de Belgique" publié en 1992 par la société de dendrologie. C'est ce livre qui contient la liste des champions, et qui vient d'être "revisité" par le photographe Roel Jacobs ( http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/21834 ). Cette liste de champions est consultable sur le site www.dendrologie.be. Au passage, heureusement qu'il y a cette société pour maintenir l'unité nationale, car depuis ton livre de 1978, il y a eu la régionalisation. Maintenant chaque région y va de sa liste d'arbres exceptionnels, d'arbres à protéger, à classer. Et pour ne rien simplifier, à la région de Bruxelles, les URL n'arrêtent pas de déménager ou de disparaitre purement et simplement.
C'est la région wallonne qui a hérité du spécialiste Jean-Claude Baudouin, et qui a publié l'ouvrage de référence "Les arbres feuillus" (1993). Ce livre est un chef-d'œuvre mais il est épuisé. J'en ferai une critique.
Petite correction pour ta critique : il y a plein de Ginkgo biloba en Belgique, et à Bruxelles aussi. Des tulipiers aussi. Je crois qu'on ne fait plus vraiment de distinction maintenant entre arbres indigènes ou arbres importés, car celle-ci est tout à fait relative : on sait maintenant que la plupart des arbres importés étaient en fait indigènes avant la glaciation en Europe. En outre des arbres importés relativement récemment, comme le marronnier d'Inde, font tellement partie de notre paysage qu'on les considère comme indigènes !
C'est la région wallonne qui a hérité du spécialiste Jean-Claude Baudouin, et qui a publié l'ouvrage de référence "Les arbres feuillus" (1993). Ce livre est un chef-d'œuvre mais il est épuisé. J'en ferai une critique.
Petite correction pour ta critique : il y a plein de Ginkgo biloba en Belgique, et à Bruxelles aussi. Des tulipiers aussi. Je crois qu'on ne fait plus vraiment de distinction maintenant entre arbres indigènes ou arbres importés, car celle-ci est tout à fait relative : on sait maintenant que la plupart des arbres importés étaient en fait indigènes avant la glaciation en Europe. En outre des arbres importés relativement récemment, comme le marronnier d'Inde, font tellement partie de notre paysage qu'on les considère comme indigènes !
Si tu as des vieux bois à dater, j'ai un frère dendrochronologue qui est un grand spécialiste de cette fonction.
Tu veux dire : dater un arbre qui est debout, ou bien dater un arbre qui a été coupé ? Ton frère travaille-t-il pour le privé, ou pour l'état ? C'est assez rare comme métier je suppose.
Parfois je me dis que je devrais m'inscrire à la société de dendrologie belge, ils organisent des visites, conférences,.. mais bon, tout ça prend du temps. Vivement la pension !!!
Parfois je me dis que je devrais m'inscrire à la société de dendrologie belge, ils organisent des visites, conférences,.. mais bon, tout ça prend du temps. Vivement la pension !!!
Tu veux dire : dater un arbre qui est debout, ou bien dater un arbre qui a été coupé ? Ton frère travaille-t-il pour le privé, ou pour l'état ? C'est assez rare comme métier je suppose.
Parfois je me dis que je devrais m'inscrire à la société de dendrologie belge, ils organisent des visites, conférences,.. mais bon, tout ça prend du temps. Vivement la pension !!!
Mon frère travaille pour le land de Bade-Würtenberg !
Il peut dater toute sorte de bois et notamment beaucoup de bois très anciens dans les fouilles archéologiques mais aussi des poutres dans ta maison !
La dendrochronologie consiste à lire les cernes des arbres comme un code-barre. Les cernes sont plus ou moins épais en fonction des conditions climatiques donc chaque année donne une épaisseur de bois particulière et la succession de ses couches permet d'établir une série qui peut-être comparée à la courbe de référence obtenue après étude de très nombreux bois. La technique est désormais très fiable et très pointue.
Il y a quarante ans que je fais le projet d’aller voir la forêt Sainte-Baume en Haute Provence.
C’est parait-il une forêt unique en son genre, et elle est dans une des belles parties de la Provence, restée encore authentique.
Je voudrais aller dans la grotte Sainte Baume, au cœur de la forêt, où les anges ont déposé Marie-Madeleine, la sœur de Marthe et Lazare, avec saint Maximin et saint Michel.
Heureusement qu’ils étaient là, ces deux la, parce qu’il y avait un dragon dans la grotte et saint Michel l’a tué pendant que saint Maximin s’occupait d’installer Marie-Madeleine
Et puis Marie-Madeleine est restée seule dans sa grotte pendant trente ans mais les anges venaient lui rendre visite tous les jours et la portaient sur le mont Saint-Pilon (996 mètre d’altitude) d’où elle entrevoyait le paradis.
Saint Maximin est allé vivre et mourir un peu plus loin à Saint-Maximin et saint Michel est allé finir ses jours sur la tour de l’hôtel de ville de Bruxelles où on peut encore le voir aujourd’hui.
Je voudrais y aller le 22 juillet, jour de la sainte Marie-Madeleine, parce qu’il y a un pèlerinage nocturne à travers la forêt, qui va jusqu’à la grotte, suivi d’une messe de minuit chantée par les anges, d’après ce que disent les gens du pays…
C’est parait-il une forêt unique en son genre, et elle est dans une des belles parties de la Provence, restée encore authentique.
Je voudrais aller dans la grotte Sainte Baume, au cœur de la forêt, où les anges ont déposé Marie-Madeleine, la sœur de Marthe et Lazare, avec saint Maximin et saint Michel.
Heureusement qu’ils étaient là, ces deux la, parce qu’il y avait un dragon dans la grotte et saint Michel l’a tué pendant que saint Maximin s’occupait d’installer Marie-Madeleine
Et puis Marie-Madeleine est restée seule dans sa grotte pendant trente ans mais les anges venaient lui rendre visite tous les jours et la portaient sur le mont Saint-Pilon (996 mètre d’altitude) d’où elle entrevoyait le paradis.
Saint Maximin est allé vivre et mourir un peu plus loin à Saint-Maximin et saint Michel est allé finir ses jours sur la tour de l’hôtel de ville de Bruxelles où on peut encore le voir aujourd’hui.
Je voudrais y aller le 22 juillet, jour de la sainte Marie-Madeleine, parce qu’il y a un pèlerinage nocturne à travers la forêt, qui va jusqu’à la grotte, suivi d’une messe de minuit chantée par les anges, d’après ce que disent les gens du pays…
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