Je viens de revoir Swimming Poil, de François Ozon. Ce film à suspense me semble bien fait et fait passer un bon moment.
Les actrices mènent bien la danse.
Les actrices mènent bien la danse.
Quelqu'un a-t-il vu Napoléon, que la critique malmène, mais qui a l'air d'attirer du monde ?
J'ai lu une bonne critique dans le Guardian et je suis bien décidé à aller le voir. Je ne sais pas si ce sera aussi bon que le film de Bondartchuk (Waterloo) mais ca a l'air d'etre un film à grand spectacle.
Je viens de revoir Les Petits mouchoirs, de Guillaume Canet, film plus subtil qu’il n’y parait, qui fait alterner rires et larmes.
Je viens de revoir Nous finirons ensemble, la suite des Petits mouchoirs. Malgré que scènes tirant un peu sur le cliché, c’est émouvant et ce film fait réfléchir.
J’ai profité du temps (il fait 40 degrés aujourd’hui) pour me réfugier dans une salle avec airco et voir Napoleon.
Le film est organisé de manière chronologique, et centré sur la relation avec Joséphine qui est - d’après le film - son grand amour.
C’est très bien réalisé, très bons acteurs, images spectaculaires. A part Austerlitz et Waterloo pas de grandes scènes de batailles et tant mieux. Pour Waterloo, la campagne semble trop grande par rapport au Brabant Wallon que je connais. La bataille est confuse, comme probablement dans la réalité, il faut connaître l’histoire pour suivre ce qui est montré.
La bande son est terrible, par exemple lors de la coronation de l’empereur il y a une sorte d’hymne à la Haendel
Tout dans tout j’ai bien aimé mais ça ne renouvelle pas le genre non plus
Mais quand c’est Napoleon, faut y aller, pas le choix :-)
Le film est organisé de manière chronologique, et centré sur la relation avec Joséphine qui est - d’après le film - son grand amour.
C’est très bien réalisé, très bons acteurs, images spectaculaires. A part Austerlitz et Waterloo pas de grandes scènes de batailles et tant mieux. Pour Waterloo, la campagne semble trop grande par rapport au Brabant Wallon que je connais. La bataille est confuse, comme probablement dans la réalité, il faut connaître l’histoire pour suivre ce qui est montré.
La bande son est terrible, par exemple lors de la coronation de l’empereur il y a une sorte d’hymne à la Haendel
Tout dans tout j’ai bien aimé mais ça ne renouvelle pas le genre non plus
Mais quand c’est Napoleon, faut y aller, pas le choix :-)
Où te trouves-tu pour connaître une température de 40° ?
A Sydney. Les saisons sont inversées, c'est l'été ici. En fait il n'y a pas vraiment de saisons, en tout cas pas marquées. Mais le climat est très agréable. Avec l'océan on n'a rarement une sensation de grosse chaleur (hier c'était le plus chaud depuis que je suis ici).
J'avais bien compris que tu avoisinais l'hémisphère sud, au moins la zone tropicale.
Beau séjour à toi.
Beau séjour à toi.
Je viens de revoir Mort à Venise, de Luchino Visconti, film très métaphysique et esthétisant, au-delà des clichés habituels.
Hier soir, j’ai découvert Hôtel Normandy. C’est une comédie aimable et divertissante, mais sans rien d’inoubliable.
Jai vu (sur Netflix) "Beneath the clouds" et j'ai très aimé. C'est un film indépendant Australien de 2002. Une ado, à moitié Aborigène, fugue d'une petie ville (ville que j'imagine etre au Nord Ouest de Sydney, à l'intérieur des terres) pour fuir sa famille alcoolique et essayer de trouver son père qui l'a abandonnée mais qu'elle pense etre à Sydney. Elle croise un jeu aborigène qui vient de s'évader d'un centre pour délinquant. Ils feront la route ensemble, sans argent.
Les paysages sont superbes. C'est une description un peu dure du racisme et du manque de place laissée aux aborigènes par les blancs qui ont "volé" leur pays. Mais c'est vraiment à voir pour comprendre un peu l'Australie (je ne sais pas si c'est sur Netflix Europe par contre).
J'ai aussi regardé Outback, mais c'est nettement moins bien. C'est basé sur l'histoire vraie d'un jeune coupe d'Américain qui se perd en allant dans l'outback (le désert rouge au centre du pays) et qui accumule les erreurs (s'éloigner de la voiture, pas d'eau,..). Le film vaut pour la beauté et la rudesse des paysages.
Les paysages sont superbes. C'est une description un peu dure du racisme et du manque de place laissée aux aborigènes par les blancs qui ont "volé" leur pays. Mais c'est vraiment à voir pour comprendre un peu l'Australie (je ne sais pas si c'est sur Netflix Europe par contre).
J'ai aussi regardé Outback, mais c'est nettement moins bien. C'est basé sur l'histoire vraie d'un jeune coupe d'Américain qui se perd en allant dans l'outback (le désert rouge au centre du pays) et qui accumule les erreurs (s'éloigner de la voiture, pas d'eau,..). Le film vaut pour la beauté et la rudesse des paysages.
Je sors d’une séance de Perfect days, lent film qui chez moi touche toutes les cordes sensibles. La BO est belle, mais au-delà d’elle, tout le paysage sonore du film compte vraiment.
Un excellent film sorti cette semaine, "Winter break", de drôles de vacances de Noël. Un film profondément humain...
Je ne vous parle pas très souvent de cinéma mais je ne peux pas m’abstenir après avoir vu « Le garçon et le héron » du studio Ghibli, c'est-à-dire le dernier film d’animation de Hayao Miyazaki… Une pure merveille !
Quelques tout petits éléments sur le scénario. Mahito est un jeune garçon japonais qui perd sa maman dans l’incendie de l’hôpital où elle travaille. Nous sommes à Tokyo et la scène initiale se déroule durant la Guerre du Pacifique. Le père, Shoichi, dirige une entreprise qui visiblement assemble des éléments pour construire des avions de chasse. Dernier élément constitutif de cette histoire, le père se remarie avec la jeune sœur de sa femme, ils attendent un enfant et la famille quitte Tokyo pour la campagne, dans la propriété familiale de la mère décédée…
A partir de là, on va basculer dans un parcours initiatique et fantastique qui permettra à Mahito de faire le deuil de sa mère, d’accepter le remariage de son père, d’être prêt à avoir un petit frère et reprendre la vie de façon positive… Du Miyazaki pur jus que j’ai tout simplement adoré…
Ce grand voyage dans le « monde d’en bas » est aussi une façon de construire un humanisme profond, teinté de divinité sans se laisser enfermer par les religions. Du très solide avec une présence touchante de la nature, des plantes et des animaux et même des sortes d’anges, les Warawara sorte – pour moi – d’anges gardiens qui naitront avec/dans chaque humain… Tout cela est beau, doux, poétique et parfois violent. Il ne s’agit donc pas d’un dessin animé pour les enfants mais de jeunes adolescents accompagnés de leurs parents peuvent en profiter surtout si cela provoque de belles discussions familiales…
Et le héron, me direz-vous ? Oui, mais vous ne pensiez quand même pas que j’allais tout vous raconter ? A vous d’aller le voir s’il n’est pas trop tard car j’ai du aller jusqu’à Dijon pour trouver une séance…
Quelques tout petits éléments sur le scénario. Mahito est un jeune garçon japonais qui perd sa maman dans l’incendie de l’hôpital où elle travaille. Nous sommes à Tokyo et la scène initiale se déroule durant la Guerre du Pacifique. Le père, Shoichi, dirige une entreprise qui visiblement assemble des éléments pour construire des avions de chasse. Dernier élément constitutif de cette histoire, le père se remarie avec la jeune sœur de sa femme, ils attendent un enfant et la famille quitte Tokyo pour la campagne, dans la propriété familiale de la mère décédée…
A partir de là, on va basculer dans un parcours initiatique et fantastique qui permettra à Mahito de faire le deuil de sa mère, d’accepter le remariage de son père, d’être prêt à avoir un petit frère et reprendre la vie de façon positive… Du Miyazaki pur jus que j’ai tout simplement adoré…
Ce grand voyage dans le « monde d’en bas » est aussi une façon de construire un humanisme profond, teinté de divinité sans se laisser enfermer par les religions. Du très solide avec une présence touchante de la nature, des plantes et des animaux et même des sortes d’anges, les Warawara sorte – pour moi – d’anges gardiens qui naitront avec/dans chaque humain… Tout cela est beau, doux, poétique et parfois violent. Il ne s’agit donc pas d’un dessin animé pour les enfants mais de jeunes adolescents accompagnés de leurs parents peuvent en profiter surtout si cela provoque de belles discussions familiales…
Et le héron, me direz-vous ? Oui, mais vous ne pensiez quand même pas que j’allais tout vous raconter ? A vous d’aller le voir s’il n’est pas trop tard car j’ai du aller jusqu’à Dijon pour trouver une séance…
Pour quel âge minimum ?
Mes filles adorent Miyzaki (Totoro, la petite sorcière) mais ici je comprends qu'on parle plus d'un public de 11 ans minimum ?
Mes filles adorent Miyzaki (Totoro, la petite sorcière) mais ici je comprends qu'on parle plus d'un public de 11 ans minimum ?
En dessous de 11 ans, je ne suis pas certain du résultat car certains moments sont rudes...
Hier soir, j'ai découvert La Musica, adaptation par Marguerite Duras de son propre roman, avec Delphine Seyrig et Robert Hossein. Ces deux grands acteurs incarnent bien le doute de ce couple qui se délite, ce qui rend l'oeuvre presque plus agréable que l'originelle. Enigmatique, ce film fait réfléchir.
Je viens enfin de découvrir Jane B par Agnès V. C’est charmant de naturel, de fantaisie.
Hier soir, j'ai revu Le Père Noël est une ordure. Je le connais par coeur, mais ça fait passer un bon moment;
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