Hier soir, j’ai enfin découvert Pain, amour et fantaisie, de Luigi Comencini.
C’est une aimable comédie sympathique.
C’est une aimable comédie sympathique.
Je viens de revoir Betty, de Claude Chabrol.
Ce drame familial et personnel reste évidemment assez austère mais bien mené et intriguant. Ce film adapté un roman de Simenon.
Ce drame familial et personnel reste évidemment assez austère mais bien mené et intriguant. Ce film adapté un roman de Simenon.
Je viens de découvrir Grandeur et décadence d’un petit commerce du cinéma, de Jean-Luc GOdard, avec Jean-Pierre Mocky et Jean-Pierre Léaud.
C’est assez drôle, mais brouillon et prétentieux. C’est (très) spécial.
C’est assez drôle, mais brouillon et prétentieux. C’est (très) spécial.
Hier soir, j'ai découvert Le Temps des secrets, de Christophe Barratier, d'après le Roma de Marcel Pagnol. C'est frais, mignon, rempli de beaux paysages, et fidèle à l'oeuvre originelle. Ça m'a fait du bien.
Je viens de découvrir Pzcifiction, d’Albert Serra, avec Benoît Magimel.
Le représentant de l’Etat en Polynésie mène une enquête languide et déterminée pour démêler les rumeurs de reprises d’essais nucléaires, les combines locales, son éventuelle mise à l’ecatdu processus.
Le mise en scène étiré de façon dolente une intrigue complexe qui furète entre paysages sub’iyet lieux interlopes où les menaces, cachoteries, plaisirs vont bon train. C’est bien fait, si ce n’est des lenteurs parfois un peu pesantes.
Le représentant de l’Etat en Polynésie mène une enquête languide et déterminée pour démêler les rumeurs de reprises d’essais nucléaires, les combines locales, son éventuelle mise à l’ecatdu processus.
Le mise en scène étiré de façon dolente une intrigue complexe qui furète entre paysages sub’iyet lieux interlopes où les menaces, cachoteries, plaisirs vont bon train. C’est bien fait, si ce n’est des lenteurs parfois un peu pesantes.
Pacifiction.
Pardon la faute de frappe.
Pardon la faute de frappe.
Vu "Empire of light" au ciné : dans un grand cinéma de bord de mer au sud de l'Angleterre, le patron embauche un immigré noir. Une idylle va se créer avec la directrice adjointe. Portrait en douceur d'une équipe soudée (sauf le patron) qui se heurte aux difficultés de la vie en commun et notamment du racisme. Un film qui donne du tonus !
Hier soir, j'ai revu Ridicule, de Patrice Leconte. Outre l'aspect drolatique, cela fait réfléchir sur le culte des apparences, la tendance à l'entre-soi des cercles de pouvoir, impliquant une dictature des codes.
Je viens de découvrir Compétition officielle, film argentin de Mariano Cohn et Gaston Duprat, avec Pénélope Cruz et Antonio Banderas.
Cela parle de l’ego au cinéma et de la conception d’un film. C’est à la fois assez froid et très vivant. C’est bien fait et ça fait réfléchir.
Cela parle de l’ego au cinéma et de la conception d’un film. C’est à la fois assez froid et très vivant. C’est bien fait et ça fait réfléchir.
Hier soir, j'ai revu Saint-Laurent, de Jali Lespert, avec Pierre Niney, Guillaume Gallienne, Charlotte Le Bon et Laura Smet Ce film me semble bien fait, réaliste et bien retranscrit.
Il adapte la biographie de Laurence Benaïm.
Il adapte la biographie de Laurence Benaïm.
Je viens de revoir Bullitt, de Peter Yates, avec Steve McQueen. Ce n'est pas mon style, mais c'est haletant et bien fait.
Je viens de revoir Minuit dans le jardin du bien et du mal, de Clint Eastwood. Ça fait découvrir les usages et croyances de Savannah, dans un parfum d’intrigue policière et de mystère.
Hier soir, j’ai revu Chacun chercher son chat, de Cédric Klapisch. C’est frais, mignon et divertissant.
Je viens de découvrir Pour Sacha, d’Alexandre Arcady, avec Sophie Marceau et Richard Berry.
Ça permet de comprendre l’état d’esprit d’un pays et d’une époque, au milieu de bons sentiments et de sentiments compliqués.
Ça permet de comprendre l’état d’esprit d’un pays et d’une époque, au milieu de bons sentiments et de sentiments compliqués.
Mon neveu, qui connaît ma passion pour Dumas, m'a emmené voir "D'Artagnan", le premier volet de la nouvelle adaptation des "Trois mousquetaires" au cinéma.
Je dois reconnaître que, malgré quelques libertés prises avec le roman, notamment pour le personnage d'Athos, c'est assez réussi. Chacun jugera.
Je dois reconnaître que, malgré quelques libertés prises avec le roman, notamment pour le personnage d'Athos, c'est assez réussi. Chacun jugera.
Je viens de revoir Itinéraire d’un enfant gâté, de Claude Lelouch, et c’est toujours aussi émouvant.
Je viens de revoir Le Fabuleux destin d’Amélie Poulain, je Jean-Pierre Jeunet. C’est toujours aussi frais et mignon.
Hier soir, j'ai revu Le Charme discret de la bourgeoisie, de Luis Bunuel. C'est toujours aussi drôle et intrigant.
Je viens de revoir L’Auberge espagnole, dé Cédric Klapisch, et j’apprécie toujours autant l’enthousiasme, l’humour et l’ouverture d’esprit de ce film.
Hier soir, j'ai découvert Coupez !, de Michel Hazanivicius, avec Bénéfice Béjo et Romain Duris, film qui a fait un certain battage lors du dernier festival de Cannes.
Ce tournage de film de zombis est assez drôle et passablement déjanté ; mais il devient un tantinet répétitif et lassant.
Ce tournage de film de zombis est assez drôle et passablement déjanté ; mais il devient un tantinet répétitif et lassant.
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