Cette après-midi, j’ai revu la Chartreuse de Parle, de Christian-Jaque, avec Gérard Philipe et Maria Casares.
C’est un classique ancien, rempli de rebondissements, bien fait et interprété.
C’est un classique ancien, rempli de rebondissements, bien fait et interprété.
Hier soir, j'ai revu La Femme de l'aviateur, d'Eric Rohmer, qui me semble toujours aussi fin et drôle.
Cette après-midi, j’ai revu Lz Reine Margot, de Patrice Chéreau, d’après Alexandre Dumas. C’est sanglant et riche en rebondissements, tout comme le film s’avère instructif.
Hier soir, j'ai revu Mais qui a tué Harry, d'Alfred Hitchcock. Ce polar un peu désuet est assez drôle et plaisant.
Je viens de revoir Il Postino, toujours aussi charmant.
Cette après-midi, j’ai revu Fellini Satyricon. C’est déjanté et subversif, mais ça fait rire et réfléchir, et vendredi loin d’être mal.
Hier soir, j'ai revu Ma mère est folle, de Diane Kurys. C'est drôle et divertissant, dans un genre aimablement déjanté.
Ce matin, j’ai découvert Belfagor le magnifique, ou L’Arcidiavolo, d’Ettore Scola, avec Vittorio Gassmann. C’est une comédie burlesque qui divertit bien.
Je viens de revoir Cœurs, d’Alain Resnais. Cette comédie chorale douce-amère fait réfléchir sur le couple par un humour grinçant et désabusé.
Hier soir, j'ai revu L'Hermine, de Christian Vincent, et c'est bien fait sur l'univers judiciaire. Luchini y est vraiment très bon.
Je viens de revoir Nous irons tous au paradis, d’Yves Robert. C’est une comédie facile, burlesque, divertissante qui fait toujours du bien.
Hier soir, j’ai revu L’amiur a ses raisons, dé Giovanni Veronesi. C’est une comédie à sketches sur des amours incongrues et leurs conséquences loufoques. Son caractère burlesque fait du bien.
Il y a quand même Robert De Niro, Monica Bellucci et Roberto Scarmaccio.
Il y a quand même Robert De Niro, Monica Bellucci et Roberto Scarmaccio.
Je viens de revoir Casanova 70, de Marco Monicelli, avec Marcello Mastroianni. Cette comédie est drôle et divertissante.
Hier soir, j'ai revu Mademoiselle de Joncquières, d'Emmanuel Mouret, film inspiré d'une oeuvre de Denis Diderot, avec Cécile de France, Edouard Baer et Laure Calamy. C'est fi, assez cruel et très bien joué, très dans l'air libertin du XVIIIème.
Ce matin, j’ai découvert Un héros de notre époque, d’Alberti Sordi. C’est une comédie de facture classique, agréable, bien qu’elle ait vieilli.
Je viens de revoir Cyrano de Bergerac, de Jean-Paul Rappeneau, et je trouve toujours ça aussi grandiose. Je suis un peu rétro, mais j’assume.
Hier soir, j’ai revu Le Beau mariage, d’Eroc Rohmer, et c’est toujours aussi fin.
Je viens de revoir Coup de foudre à Notting et cette comédie sentimentale est toujours aussi drôle et rafraîchissante.
Hier soir, j’ai revu Cuisine et dépendances, de Philippe Muyl, d’après une pièce de Jaoui et Bacri, où ils jouent.
C’est aussi drôle que désabusé et ça fait du bien.
C’est aussi drôle que désabusé et ça fait du bien.
Hier après-midi, j'ai revu Basic Instinct, de Paul Verhoeven. C'est assez racoleur et provocateur, mais c'est assez brillant également.
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