L'acteur Gaspard Ulliel nous a quitté ce jour, des suites d'un accident de ski. Il avait 38 ans.
Il a joué dans quels films ? Inconnu au bataillon pour moi. Qu'il repose en paix malgré cela !
Il a joué avec Xavier Dolan dans "Juste la fin du monde" et aussi il a incarné le couturier Yves Saint-Laurent. Je ne le connaissais pas avant sa mort. Triste mourir si jeune et un beau gars en plus...
Il a joué dans quels films ? Inconnu au bataillon pour moi. Qu'il repose en paix malgré cela !
Pour moi il sera toujours Henri de Guise dans la "Princesse de Montpensier" de Bertrand Tavernier.
Il a joué dans quels films ? Inconnu au bataillon pour moi. Qu'il repose en paix malgré cela !
Tout jeune, il a joué dans Embrassez qui vous voudrez, de Michel Blanc, comédie chorale de 2002 avec Carole Bouquet, Karin Viard, Jacques Dutronc, Lou Doillon, notamment, et Les Egarés, de 2003, d'André Téchiné, sur l'exode de 1940, avec Emmanuelle Béart.
Hier soir, j'ai enfin découvert L'Homme pressé, d'Edouard Molinaro, avec Alain Delon, Mireille Darc et Michel Duchaussoy. Cette comédie survoltée reste assez amusante, dans son côté quasi-burlesque, bien qu'elle donne un tantinet le tournis.
Dimanche dernier (le 23 janvier), j'ai découvert Juste avant la nuit, de Claude Chabrol. Cet étrange film sur un meurtre commis par inadvertance, le poids grandissant de la culpabilité et les conventions sociales empêchant la dénonciation par l'intéressé-même constituent une belle analyse psychologique et sociologique, le cinéaste se délectant de forer les méandres obscurs de la bourgeoisie de province.
Je viens de revoir La Double vie de Véronique, après l'avoir vu il y a fort longtemps. Ce film de Krziestof Kiezlowski, avec Irène Jacob, relate de femmes qui se ressemblent à s'y méprendre, l'une étant Polonaire, l'autre, Française. La première meurt à la fin d'un concert où elle est chanteuse soliste, la seconde ignore son existence, et une série de hasards et coïncidences, via l'intervention d'un mystérieux marionnettiste, qu'elle découvre ce mystère, après avoir évoqué l'impression tenace d'exister à deux endroits à la fois.
Déconcertant, cette oeuvre reste relativement envoutante et non dénuée de charme, malgré sa froideur et l'obscurité des décors.
Déconcertant, cette oeuvre reste relativement envoutante et non dénuée de charme, malgré sa froideur et l'obscurité des décors.
Vu 'Titane' de Ducournau. Palme d'Or à Cannes. Critiques très partagées. Perso j'ai beaucoup aimé.
Hier soir, j'ai revu Une journée particulière (Una giornata particolare), d'Rttore Scola, avec Sofia Loren et Marcello Mastroianni. Ce mélodrame à deux, entre deux personnes isolées, pour des raisons très différentes, en cette journée de visite de Hitler à Mussolini, fait naître une tension croissante dans le dialogue. Ce classique mérite, selon moi, son statut. Il est vraiment très bon.
Je viens de découvrir Léon Morin, prêtre, de Jean-Pierre Melville, avec Emmanuelle Riva et Jean-Paul Belmondo. Cette espèce de long débat sur la foi et l'existence de Dieu entre un curé et une croyante réfractaire m'a semblé intéressant, bien que, si je puis me permettre, Belmondo ne m'ait pas semblé en tous points dans le rôle, la gouaille le rendant un tantinet décalé.
Ce film fait quelque peu écho avec Ma nuit chez Maud, d'Eric Rohmer, avec Françoise Fabian, Jean-Louis Trintignant et Marie-Christine Barrault.
Ce film fait quelque peu écho avec Ma nuit chez Maud, d'Eric Rohmer, avec Françoise Fabian, Jean-Louis Trintignant et Marie-Christine Barrault.
Entre hier soir et cette après-midi, j'ai enfin fini par voir Autant en emporte le vent. C'est assez daté, tant comme film que dans les idées véhiculées ; les deux protagonistes représentent deux fortes personnalités caractérielles qui offrent une belle confrontation. Cette oeuvre tangue entre le niaiseux et le combat de coqs, mais elle reflète bien l'état d'esprit d'une époque historique et d'une certaine classe sociale.
Hier, je suis allé voir Les Jeunes amants, de Carine Tardier, d'après un projet posthume de Solveig Anspach. Le coup de foudre intergénérationnel dans celui des deux sens le moins usuel reste, à mon sens, très romantique, jusqu'au basculement dans le mélodrame. Ce film m'est apparu beau, grave et assez dur à encaisser.
Je viens de revoir Total Recall. Comme souvent chez Paul Verhoeven, ce film demeure passablement violent, et tout autant brillant par ses interrogations sur la morale, les désirs.
vu au ciné Licorice Pizza
wow, un film qui donne la pêche !
licorice = réglisse, mais il n'y a pas de pizza à la réglisse dans le film
wow, un film qui donne la pêche !
licorice = réglisse, mais il n'y a pas de pizza à la réglisse dans le film
Je viens enfin de découvrir Vol au-dessus d'un nid de coucou, de Milos Forman, avec Jack Nicholson. Il faut reconnaître que c'est bien vu et fait, mais ça reste très violent, rude à avaler.
Vu - en VOD- "Drive my car " prix du scénario au Festival de Cannes 2021, tiré d'une nouvelle de MURAKAMI.
Les critiques l'ont encensé mais moi je me suis ennuyé à mourir (3 heures de reflexion sur la mort, le mensonge, ...)
Mon Dieu, ce n'est pas ça le Cinéma !
Les critiques l'ont encensé mais moi je me suis ennuyé à mourir (3 heures de reflexion sur la mort, le mensonge, ...)
Mon Dieu, ce n'est pas ça le Cinéma !
Hier soir, j'ai revu Femmes aux bord de la crise de nerfs, de Pedro Almodovar, et cela m'a fait du bien de revoir cette comédie loufoque, afin de s'apaiser de ce climat peu réconfortant du moment.
Je viens de revoir Pauline à la plage, d'Eric Rohmer, agréable badinage fait d'entrelacs amoureux, qui permet de s'évader de la déprimante actualité.
Hier soir, sur France 3, j'ai revu Mon petit doigt m'a dit, de Benoît Jacquot, avec Catherien Frot et André Dussollier, d'après Agatha Christie, et j'ai toujours trouvé cela aussi charmant.
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