L'anglais ne sera certes pas un remède à tous nos maux.
Mais il est déjà en passe de devenir un remède dont les Belges pourraient se satisfaire.
Tu sais les Belges sont très pragmatiques et le bon peuple (ça n'a rien de péjoratif) a vraiment envie de cesser les querelles et de passer à autre chose.
Si pour s'entendre on doit parler l'anglais, on parlera l'anglais. C'est déjà la solution adoptée par beaucoup de jeunes qui doivent à tous prix travailler ensemble.
Pour moi ce serait la meilleure solution pour la Belgique (et pour l'Europe).
Chacun garde sa langue culturelle dans son intégralité ; mais pour communiquer il faut adopter une langue véhiculaire (?) - disons une langue qu'on parle dans l'autobus... ;-))
Curieusement, les politiciens n'en veulent pas. Et je me demande bien pourquoi.
J'attends toujours le sociologue ou le politologue qui m'expliquera...
A moins qu'il ne faille faire appel à un psychanalyste... ?
L'Anglais est une langue très respectable mais celle dont tu parles qu'on utilise au boulot et que les sportifs connaissent si bien (i im very happy ! i god play !) n'a rien d'une langue c'est seulement un standard de quelques centaines de mots qui permet d'échanger pour boire, manger, dormir et faire de l'informatique mais qui n'est d'aucune utilité comme véhicule culturel et pour confronter et partager des idées, des sentiments, des opinions, etc.. Gardez vos langues. Le problème lingistique en Belgique semble un faut problème qui cache des réalités beaucoup plus sensibles... vu de mon balcon et il est loin !
En ce qui me concerne, je veux bien de l'Europe mais qu'on me laisse ma langue ! J'ai assez de difficultés à l'apprendre chaque jour et beaucoup de plaisir à en jouer !
Comment écrire une recette de cuisses de grenouilles en anglais en restant crédible ?
Ce qui me frappe, à propos des langues, c'est l'erreur de perspective que l'on a commise au XIXe siècle en croyant que la langue pouvait créer une nation. Je suis convaincu, mais cela n'est que ma conviction, qu'une langue commune peut créer une solidarité mais pas une communauté et encore moins une nation. Encore faudrait-il s'entendre sur le sens que l'on donne à "nation".
Et je voudrais bien qu'on me montre ce qui, à part la langue, peut bien faire la "communauté" de la Wallonie, par exemple. Les Wallons n'ont même pas la même histoire. A ce titre, il y a plus de communauté entre les Limbourgeois et les Liégeois qui ont fait partie de la principauté de Liège pendant plus de six siècles, alors que les gens de Tournai et ceux de Liège n'ont une histoire commune que depuis 1795... Idem, du côté flamand, avec le Limbourg et la Flandre occidentale... On n'en sort pas, ce n'est pas de ce côté-là qu'il faut trouver la solution.
Et je voudrais bien qu'on me montre ce qui, à part la langue, peut bien faire la "communauté" de la Wallonie, par exemple. Les Wallons n'ont même pas la même histoire. A ce titre, il y a plus de communauté entre les Limbourgeois et les Liégeois qui ont fait partie de la principauté de Liège pendant plus de six siècles, alors que les gens de Tournai et ceux de Liège n'ont une histoire commune que depuis 1795... Idem, du côté flamand, avec le Limbourg et la Flandre occidentale... On n'en sort pas, ce n'est pas de ce côté-là qu'il faut trouver la solution.
Il n'y a pas de "communauté" en Wallonie (je l'avais déjà dit à propos de la fusion de l'aciérie de Liège et de Charleroi). Et c'est tant mieux !
"fîîr d'ès Wallon", ça n'existe que dans la chanson.
Et heureusement, car c'est idiot !
Marcher au pas derrière le drapeau en chantant un hymne national, c'est bien en temps de guerre, quand il faut défendre la patrie, ou le jour de la fête nationale ; alors, ça devient du folklore festif et c'est bien.
Mais quand c'est "pour défendre une cause" ou créer un esprit nationaliste, il n'y a rien de plus c...
Il y avait des liens entre le Limbourg et Liège parce qu'ils sont voisins et avaient les mêmes activités : les charbonnages.
Mais le fait d'avoir appartenu à la même Principauté, n'y est pour rien.
« L'esprit principautaire » n'a jamais existé pour la bonne raison qu'on n'a jamais appris l'Histoire de la Principauté de Liège dans nos manuels d'Histoire.
Je crois qu'aucun Liégeois n'est capable de donner le nom de trois Princes Évêques.
Et cette Principauté a disparu avant la diffusion de la cartographie si bien que bien rares sont ceux qui connaissent ses délimitations, même approximativement.
Je crois que la caractéristique de nos régions était de se situer aux confins du Royaume de France et de l'Empire des Habsbourg et, par conséquent, de bénéficier d'une douce anarchie.
Je crois que c'est la qu'il faut chercher l'origine de l'esprit très individualiste du Wallon.
"fîîr d'ès Wallon", ça n'existe que dans la chanson.
Et heureusement, car c'est idiot !
Marcher au pas derrière le drapeau en chantant un hymne national, c'est bien en temps de guerre, quand il faut défendre la patrie, ou le jour de la fête nationale ; alors, ça devient du folklore festif et c'est bien.
Mais quand c'est "pour défendre une cause" ou créer un esprit nationaliste, il n'y a rien de plus c...
Il y avait des liens entre le Limbourg et Liège parce qu'ils sont voisins et avaient les mêmes activités : les charbonnages.
Mais le fait d'avoir appartenu à la même Principauté, n'y est pour rien.
« L'esprit principautaire » n'a jamais existé pour la bonne raison qu'on n'a jamais appris l'Histoire de la Principauté de Liège dans nos manuels d'Histoire.
Je crois qu'aucun Liégeois n'est capable de donner le nom de trois Princes Évêques.
Et cette Principauté a disparu avant la diffusion de la cartographie si bien que bien rares sont ceux qui connaissent ses délimitations, même approximativement.
Je crois que la caractéristique de nos régions était de se situer aux confins du Royaume de France et de l'Empire des Habsbourg et, par conséquent, de bénéficier d'une douce anarchie.
Je crois que c'est la qu'il faut chercher l'origine de l'esprit très individualiste du Wallon.
Ce qui rapproche les limbourgeois des liégeois, c'est le standard.
Ce qui rapproche les limbourgeois des liégeois, c'est le standard.
He oui, le sport est un vecteur sociétal, comme disent les technosociocrates !
Il y avait des liens entre le Limbourg et Liège parce qu'ils sont voisins et avaient les mêmes activités : les charbonnages.
Mais le fait d'avoir appartenu à la même Principauté, n'y est pour rien.
« L'esprit principautaire » n'a jamais existé pour la bonne raison qu'on n'a jamais appris l'Histoire de la Principauté de Liège dans nos manuels d'Histoire.
Je crois qu'aucun Liégeois n'est capable de donner le nom de trois Princes Évêques.
Et cette Principauté a disparu avant la diffusion de la cartographie si bien que bien rares sont ceux qui connaissent ses délimitations, même approximativement.
Chic, on n'est de nouveau pas d'accord, SJB et moi !
D'abord, le comté de Looz (actuel Limbourg) faisait partie de la principauté longtemps avant qu'ont n'ait entendu parler de charbonnage puisque l'évêque de Liège y exerça la fonction comtale à partir de 1361.
Ensuite, il fut un temps où on enseignait l'histoire de la principauté dans les bonnes écoles. J'ai en ma possession un "Précis d'histoire liégeoise à l'usage de l'enseignement moyen" par Félix Magnette, professeur à l'Athénée Royal et chargé de cours à l'Université de Liége - Liége : Impr. H. Vaillant-Carmanne, 1924. Et ce n'était pas une vague petite brochure : VII-299p. (23 x 15).
Quant à savoir combien de Liégeois connaissent le nom de trois princes-évêques, ça, c'est une autre paire de manchettes en dentelle. Mais je crois pouvoir dire que Notger, Ferdinand de Bavière (à cause de l'hôpital) et Velbrück (à cause de la rue) ne sont pas des inconnus. Pour n'en citer que trois...
Pour la cartographie, j'ai sous les yeux la "Carte de la principauté de Liège et de la comté de Namur tirée des observations faites sur les lieux par le R.P. Nicolas le Clerc, avec un plan de la ville de Liège levé par le R.P. Christophe Maire D.L.C.D.J.. : dediée a Son Altesse eveque prince de Liege et a ses Etats par leur tres humble serviteur P. Maire : Andreas Silbereisen sculps. Aug. Vind.", gravée vers 1750, illustrée et armoriée ; 1034 x 825 mm. qui te contredit.
Et pour ce qui est des solidarités, il n'y a qu'à aller faire un tour à la Batte le dimanche matin.
Un détail pour pimenter le débat : les Fourons n'ont jamais fait partie de la principauté. Ils étaient partie intégrante du duché de Limbourg, lequel devint l'apanage de la maison de Louvain après la bataille de Woeringen (1288). Le slogan "retour à Liège" est donc aussi ridicule que le drapeau qui porte mi-parti à dextre les armes du comté de Looz et, à sénestre, d'or au perron de Liège de gueules (!).
Çà, c'était pour le folklore...
Maintenant, que peu de gens soient au courant de ces détails, je suis bien d'accord avec toi. Mais quand tu vois qu'ils sont déjà incapables de dire comment s'appelait le premier roi des Belges, rien ne m'étonne plus... Ce n'est pas faute d'avoir utilisé des moyens mnémotechniques : ils ont enfoncé le clou trois fois et le premier a pris comme numéro "premier" pour dire qu'il était le premier...
Léopoldine, t'es une gredine...
Ce qui rapproche les limbourgeois des liégeois, c'est le standard.
Et ce n'est vraiment pas un hasard.
Tu sais qu'il y a une vingtaine d'années la plupart des joueurs du standard étaient limbourgeois ? Personne n'a oublié Gerets dans les chaumières ! Et avant lui van Moer ! Et vandermissen, tu te souviens ? Quand je vois des drapeaux wallons dans le stade, j'ai envie de pleurer. C'est comme les drapeaux flamands à chaque étape du tour de France, c'est stupide.
"Ce qui surprend lorsqu'on pénètre dans le pays, c'est la différence extrêmement marquée des types humains, la variété des caractères et des comportements. Les trois chaînes de montagnes délimitent une série de régions isolées qui se sont développées chacune pour soi et gardent une invincible tendance à vivre selon leurs propres normes, en ignorant et refusant les gens du dehors."
Mais non il ne s'agit pas de la Belgique ! C'est simplement une image de la Colombie dressée par Ramon Chao, le père de Manu de la Mano Negra, dans "Un train de glace et de feu" que je suis en train de lire !
Mais non il ne s'agit pas de la Belgique ! C'est simplement une image de la Colombie dressée par Ramon Chao, le père de Manu de la Mano Negra, dans "Un train de glace et de feu" que je suis en train de lire !
"Mais non il ne s'agit pas de la Belgique ! !
Ouf !!
Tu sais, Charlemagne, je m'en voudrais de te décevoir, mais, sauf ton respect, je crains fort que les Fouronnais se fichent comme de colin-tampon d'avoir été l'apanage de la maison de Louvain après la bataille de Woeringen en 1288...
Ils ont voté le retour à Liège dans les années soixante, parce qu'ils étaient 96 % à vouloir parler français alors qu'on leur imposait de parler le Néérlandais...
Ce qui entre-nous, est une mesure despotique. Même en URSS la pratique des langues est restée libre, avec une bonne dizaine de langues et plusieurs alphabets.
Comme quoi l'ex URSS avait de belles leçons de tolérance à nous donner... (Ohé! Bolcho ?...)
Et si ces bons campagnards Fouronnais ne connaissent pas le nom du premier Roi des Belges c'est qu'ils n'en ont rien à f... Leurs filles savent traire les vaches et les garçons savent ferrer un cheval – ce que, entre parenthèses, nous serions bien incapables de faire, n'est-il pas ?
Mais revenons à des choses sérieuses :
Il y avait naguère au Standard, un joueur de Fourron-Saint-Pierre : Henry Sprong. Deux joueurs du village voisin, Warsage : Émile Lejeune et Roger Claessens. Un joueur de l'autre village voisin, Berneaux : Léon Semmeling.
Sauf que Émile Lejeune jouait au Royal Football Club Liégeois.
Mais ils ont tous les quatre joué ensemble dans la même équipe nationale – au temps où les Belges savaient bien jouer au football...
C'est parce qu'ils avaient été ensemble au collège de Saint Adelin à Visé où il y avait une grande cour de récréation en terre battue où les pensionnaires apprenaient à bien jouer au football.
Et puis ce petit pays, à l'Est de la Belgique, est une pépinière de vedettes, c'est bien connu...
Ils ont voté le retour à Liège dans les années soixante, parce qu'ils étaient 96 % à vouloir parler français alors qu'on leur imposait de parler le Néérlandais...
Ce qui entre-nous, est une mesure despotique. Même en URSS la pratique des langues est restée libre, avec une bonne dizaine de langues et plusieurs alphabets.
Comme quoi l'ex URSS avait de belles leçons de tolérance à nous donner... (Ohé! Bolcho ?...)
Et si ces bons campagnards Fouronnais ne connaissent pas le nom du premier Roi des Belges c'est qu'ils n'en ont rien à f... Leurs filles savent traire les vaches et les garçons savent ferrer un cheval – ce que, entre parenthèses, nous serions bien incapables de faire, n'est-il pas ?
Mais revenons à des choses sérieuses :
Il y avait naguère au Standard, un joueur de Fourron-Saint-Pierre : Henry Sprong. Deux joueurs du village voisin, Warsage : Émile Lejeune et Roger Claessens. Un joueur de l'autre village voisin, Berneaux : Léon Semmeling.
Sauf que Émile Lejeune jouait au Royal Football Club Liégeois.
Mais ils ont tous les quatre joué ensemble dans la même équipe nationale – au temps où les Belges savaient bien jouer au football...
C'est parce qu'ils avaient été ensemble au collège de Saint Adelin à Visé où il y avait une grande cour de récréation en terre battue où les pensionnaires apprenaient à bien jouer au football.
Et puis ce petit pays, à l'Est de la Belgique, est une pépinière de vedettes, c'est bien connu...
Oui tout ça est bien vrai, même colin-tampon que je ne connaissais pas !, il faut quand même dire que le problème des fourons s'est résolu tout seul grâce à l'arrivée des hollandais qui ont renversé la majorité francophone. L'immobilier est impayable en Hollande, du coup ils viennent chez nous.
Je pense qu'en Europe, et à fortiori en Belgique, il ne faut pas endiguer les mouvements de populations. Si les francophones vont vivre en périphérie bruxelloise, qu'il en soit ainsi. A l'est du pays, on reçoit bien les allemands et les hollandais..
Christian Piot est de Banneux je crois.
Je pense qu'en Europe, et à fortiori en Belgique, il ne faut pas endiguer les mouvements de populations. Si les francophones vont vivre en périphérie bruxelloise, qu'il en soit ainsi. A l'est du pays, on reçoit bien les allemands et les hollandais..
Christian Piot est de Banneux je crois.
Oui tout ça est bien vrai, même colin-tampon que je ne connaissais pas !, il faut quand même dire que le problème des fourons s'est résolu tout seul grâce à l'arrivée des hollandais qui ont renversé la majorité francophone. L'immobilier est impayable en Hollande, du coup ils viennent chez nous.
Je pense qu'en Europe, et à fortiori en Belgique, il ne faut pas endiguer les mouvements de populations. Si les francophones vont vivre en périphérie bruxelloise, qu'il en soit ainsi. A l'est du pays, on reçoit bien les allemands et les hollandais..
Christian Piot est de Banneux je crois.
Y jouait où colin-tampon ?
Les Hollandais ne s'arrêtent pas tous dans les Fourons, y en a qui poussent jusques chez nous et même un peu plus loin dans le Sud !
Tu sais, Charlemagne, je m'en voudrais de te décevoir, mais, sauf ton respect, je crains fort que les Fouronnais se fichent comme de colin-tampon d'avoir été l'apanage de la maison de Louvain après la bataille de Woeringen en 1288...
Oui, oui, d'accord ! Ce que je voulais montrer, c'est que l'argumentation pseudo-historique avec lequel les mouvements extrémistes des deux bords ont assommé les gens était une fantaisie dangereuse. Cette manipulation de l'histoire se rencontre souvent et, de temps en temps, il faut quand même remettre les cadrans solaires à l'heure... As-tu jamais entendu dire que les Fourons avaient été brabançons pendant cinq siècles. Et c'est pourtant le cas... Ce n'est pas pour cela que je réclame l'annexion des Fourons dans la région de Bruxelles-capitale.
Quoique... C'est peut-être une piste... Je plaisante, je plaisante.
Je crois qu'aucun Liégeois n'est capable de donner le nom de trois Princes Évêques.
Saint Hubert
Notger
Erard de la Marck
;-)
Christian Piot est de Banneux je crois.
Oui, mais il faudrait être sûr, hein dis !
Bon, allez, Charlemagne cette fois-ci nous sommes d'accord : laissons bien l'Histoire sommeiller dans nos manuels scolaires (à condition qu'elle ne soit pas trop traficotée...)
Si non, on en arriverait à la balkanisation de notre cher petit pays.
Mais pour en revenir aux choses sérieuses :
Au collège Saint Adelin à Visé, le comité des parents a exigé une infirmerie permanente parce que la maman du gardien de but a pleuré quand son fifi s'est écorché le genou ; il faut dire qu'il avait failli saigner...
Et puis, un jour, un joueur qui jouait pas bien a été traité de mauviette par ses camarades ; alors les parents ont exigé un suivi psychologique – permanent aussi, évidemment, parce que le cas aurait pu se représenter. Le monde des jeunes est si brutal... !
Et puis le collège a dû prendre une assurance parce que le comité des parents a pensé qu'un ballon aurait pu passer par-dessus le mur et tomber devant une voiture qui serait montée sur le trottoir au moment où une bonne dame passait avec son panier rempli d'œufs qui auraient pu se casser en tombant par terre.
Et puis un jour qu'il faisait très chaud, les bambins ont transpiré... Alors on a dû instaurer des douches et des vestiaires avec des surveillants très sûrs avec des brevets de bonne conduite.
Et, pour être plus sûr, on a engagé des surveillants pour surveiller les surveillants...
Vous savez, il pourrait se passer des choses dans les vestiaires de garçons...
Et puis les psychologues ont observé que les élèves qui shoutaient un joint étaient stressés par les élèves qui shoutaient le ballon.
Et puis les écolos sont venus mettre des fleurs sur le terrain. Et puis les grandes filles de rhétorique ont cultivé du pavot...
Aux dernières nouvelles on ne joue plus football au collège...
Comme quoi l'ex URSS avait de belles leçons de tolérance à nous donner... (Ohé! Bolcho ?...)
SJB, je ne suis pas sûr que tu vas simplifier le problème en te lançant dans une comparaison avec l'URSS... et on risque de replonger illico dans un débat usé du genre économie de marché vs économie planifiée, ce qui éloigne un peu du problème communautaire belge...
Et puis, je sens trop que tu te fous de moi : il est impoli d'appeler un ex trotskiste à la rescousse pour défendre l'URSS et le stalinisme. On risque même de lui faire de la peine.
Cela dit, ta sortie sur le collège Saint Adelin à Visé, je trouve que ça vaut le détour !
Quant aux questions communautaires elles-mêmes : lisez-vous parfois la presse néerlandophone ? Il ne s'y dit pas que des bêtises et des monstruosités. Je plonge dessus quand je trouve une traduction (pour expliquer ma méconnaissance du néerlandais, j'explique que je ne suis en Belgique que depuis 40 ans : on me prend de moins en moins au sérieux).
C'est bon ! je n'appellerai plus un ex* trotskiste pour sauver l'URSS, c'est promis.
Mais en échange, quand tu passes par ici, tu es prié de bouffer du Flamand.
Je ne lis pas la presse flamande parce que je préfère la mauvaise foi des Francophones.
Et puis, je pense que les Flamands ont toujours tort...
* Mais, pourquoi "ex" trotskiste ? Tu as trouvé mieux ?
Et puis, qui me dira ce qu'il faut faire pour que Mieke sorte du bois...
;-))
Mais en échange, quand tu passes par ici, tu es prié de bouffer du Flamand.
Je ne lis pas la presse flamande parce que je préfère la mauvaise foi des Francophones.
Et puis, je pense que les Flamands ont toujours tort...
* Mais, pourquoi "ex" trotskiste ? Tu as trouvé mieux ?
Et puis, qui me dira ce qu'il faut faire pour que Mieke sorte du bois...
;-))
J'écoute la radio en flamand le matin, mais bon le point de vue flamand est assez opposé au point de vue wallon.
J'ai un ami qui est français, quand il se présente à un job à Bruxelles et qu'on lui demande si il est bilingue, il dit oui. Et ensuite à l'interview si on lui parle en flamand, il dit qu'il est bilingue français - portugais (sa femme est brésilienne !).
J'ai un ami qui est français, quand il se présente à un job à Bruxelles et qu'on lui demande si il est bilingue, il dit oui. Et ensuite à l'interview si on lui parle en flamand, il dit qu'il est bilingue français - portugais (sa femme est brésilienne !).
* Mais, pourquoi "ex" trotskiste ? Tu as trouvé mieux ? /quote]
"Néo trotskiste" peut-être ?
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