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Une page d’amour
Une apparition étrangère, on n’avait jamais vu ZOLA écrire de cette façon ou pour préciser on ne l’avait jamais vu de ce réalisme romantique.
Le protagoniste Hélène, une femme veuve, vivant avec sa fille Jeanne, cette petite fille su laquelle s’appuie une très grande partie de ce roman. Une vie paisible, charmante, sans souci, une vie où Hélène avait la certitude que l’amour n’a aucune place, une vie où on n’a pas besoin d’autres souffrances que celles qui avaient été produites lors de la mort de son mari. Tout un mélange d’amour et de fuite de ce dernier qui causera de gros problèmes.
Voisin de Hélène, un docteur marié, avait un enfant, cet homme qui soignait Jeanne et soulageait en même temps Hélène, la petite maman aux traits pleins de tristesse et de charme. Au fur et à mesure des fréquentations de ce médecin doux, tachant à chaque fois de prouver à cette mère qu’il est fiable malgré son mariage.
ZOLA nous a montré que la mère avait cédé aussitôt, cherchant la satisfaction de son désir en pleine souffrance et en plein souci de sa fille maladive.
Le lecteur se rend compte à la fin de ce roman que ZOLA l’avait chagriné sans pitié par cette fin tragique, une fin où une maman a pris conscience qu’elle n’avait pas fait le bon choix, qu’elle avait perdu un être cher pour un désir passager et d’ailleurs ce désir qui fait partie de ses éléments.
Une page d’amour est considéré comme une réponse à ceux qui ont dit que ZOLA est un écrivain scandaleux, qui ne cherche qu’à gâter ou découvrir ce que nous essayons d’occulter.
L’auteur de ce roman voulait montrer qu’il est capable à adopter un autre style qui est le réalisme mêlé au romantisme caché habilement. ZOLA voulait dire dans son roman que la femme est une machine, qu’elle sacrifie tout face à un assouvissement d’un vil désir charnel, mais comme toujours, elle se retrouve seule, les larmes aux yeux, pleurant sa perte et son mal…
TEKIK MOHAMED
Une apparition étrangère, on n’avait jamais vu ZOLA écrire de cette façon ou pour préciser on ne l’avait jamais vu de ce réalisme romantique.
Le protagoniste Hélène, une femme veuve, vivant avec sa fille Jeanne, cette petite fille su laquelle s’appuie une très grande partie de ce roman. Une vie paisible, charmante, sans souci, une vie où Hélène avait la certitude que l’amour n’a aucune place, une vie où on n’a pas besoin d’autres souffrances que celles qui avaient été produites lors de la mort de son mari. Tout un mélange d’amour et de fuite de ce dernier qui causera de gros problèmes.
Voisin de Hélène, un docteur marié, avait un enfant, cet homme qui soignait Jeanne et soulageait en même temps Hélène, la petite maman aux traits pleins de tristesse et de charme. Au fur et à mesure des fréquentations de ce médecin doux, tachant à chaque fois de prouver à cette mère qu’il est fiable malgré son mariage.
ZOLA nous a montré que la mère avait cédé aussitôt, cherchant la satisfaction de son désir en pleine souffrance et en plein souci de sa fille maladive.
Le lecteur se rend compte à la fin de ce roman que ZOLA l’avait chagriné sans pitié par cette fin tragique, une fin où une maman a pris conscience qu’elle n’avait pas fait le bon choix, qu’elle avait perdu un être cher pour un désir passager et d’ailleurs ce désir qui fait partie de ses éléments.
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L’auteur de ce roman voulait montrer qu’il est capable à adopter un autre style qui est le réalisme mêlé au romantisme caché habilement. ZOLA voulait dire dans son roman que la femme est une machine, qu’elle sacrifie tout face à un assouvissement d’un vil désir charnel, mais comme toujours, elle se retrouve seule, les larmes aux yeux, pleurant sa perte et son mal…
TEKIK MOHAMED
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