Cr. Lib. n'a pas accepté l'ISBN de ce recueil de poésie sorti de presse, il y a une dizaine de jours aux Editions L'iroli, 10, place du Plouy Saint-Lucien, à 60000 Beauvais (France).
Ce recueil présente une anthologie trilingue de 88 haïkus écrits par 88 auteurs, la plupart des contemporains ; les illustrations sont de Line Michaud.
Le thème est "l'oiseau". Les textes ont été sélectionnés par Isabel Asûnsolo.
Rien que de la qualité, à quelques exceptions près.
Quelques exemples :
¤
Supermarché
un vol de moineaux
rayon biscottes
(Argentiane)
¤
Neige intacte
des monts jusqu'à la barrière du champ.
Tiens, une pie.
(Francis Tugaye)
¤
Avec peu de mots, décrire une ambiance, un instant éphémère. A méditer.
M.P.
Ce recueil présente une anthologie trilingue de 88 haïkus écrits par 88 auteurs, la plupart des contemporains ; les illustrations sont de Line Michaud.
Le thème est "l'oiseau". Les textes ont été sélectionnés par Isabel Asûnsolo.
Rien que de la qualité, à quelques exceptions près.
Quelques exemples :
¤
Supermarché
un vol de moineaux
rayon biscottes
(Argentiane)
¤
Neige intacte
des monts jusqu'à la barrière du champ.
Tiens, une pie.
(Francis Tugaye)
¤
Avec peu de mots, décrire une ambiance, un instant éphémère. A méditer.
M.P.
Bravo MOPP. Mais je me fais tristement la réflexion à nouveau que je ne comprends rien à la poésie en lisant ces haikus qui n'éveillent pas grand chose comme méditation chez moi. Ca finira peut-être par venir.
Pour les livres sans ISBN, vous pouvez toujours envoyer les infos complètes à moderation@critiqueslibres.org et j'encoderai les données dans la base (mais il faut donner le plus possible de données : pseudo, éditeur, date, pages, collection, titre de la critiques, étoiles, etc.)
Pour les livres sans ISBN, vous pouvez toujours envoyer les infos complètes à moderation@critiqueslibres.org et j'encoderai les données dans la base (mais il faut donner le plus possible de données : pseudo, éditeur, date, pages, collection, titre de la critiques, étoiles, etc.)
Merci MOPP!
Merci Saule pour le suivi donné.
Quelques infos complémentaires pour un public plus large :
l'ISBN est : 978-2-916616-05-6.
L'éditrice est une passionnée de la "petite" édition (petite ?), mais elle propose toujours de beaux ouvrages. Je suggère d'aller sur le site de "L'iroli" (on trouve facilement) ; elle est elle-même haïkiste.
Je comprends parfaitement ta réaction, Saule, et je la respecte.
Comme je ne suis pas repris dans la liste de 88 auteurs (on ne peut être partout), je suis d'autant plus à l'aise pour défendre ce bouquin. Les haïkistes forment une grande famille à travers le monde, à un point tel qu'une anthologie d'auteurs de l'Union européenne a été éditée (là, j'y suis) : notre point de vue est basé sur la "rencontre", "l'échange" et "l'entr'aide".
Plusieurs tendances se manifestent et un Francis Tugayé (cité), par exemple, vous parlerait pendant des heures de "détails" à propos de tel ou tel auteur ; personnellement je suis proche d'un Kerouac et de Guillevic, je suis partisan du dépouillement, du non-langage qui est langage, mais c'est cela qui est intéressant, comment amener le lecteur à relire à nouveau, à se poser des questions sur l'environnement mis plus ou moins en scène.
¤
dans l'église vide
le moineau se débarbouille
dans le bénitier
(Salim Bellen, en hommage, décédé accidentellement, il y a peu de temps)
¤
Avec ce texte, on peut se poser des questions ; on peut tenter de recréer une ambiance sienne, etc.
Autre info : 192 pages, édition en français, anglais, espagnol, il y a des auteurs allemands, belges, canadiens, français, etc.
¤
vomi frais
un pigeon festoie
- trottoir de décembre
(Daniel Py)
¤
Une adresse de contact : Association française de haïku, 10, rue Saint-Polycarpe, F-69001 Lyon.
Sur internet :
"association française" de haïku", "association pour la promotion du haïku" (Dominique Chipot), Temps libres (Serge Tome), Anthologie mondiale du haïku (André Duhaime), "Nekojita", "Point de mire", "Manteau d'étoiles", etc.
Bien à vous. M.P.
Quelques infos complémentaires pour un public plus large :
l'ISBN est : 978-2-916616-05-6.
L'éditrice est une passionnée de la "petite" édition (petite ?), mais elle propose toujours de beaux ouvrages. Je suggère d'aller sur le site de "L'iroli" (on trouve facilement) ; elle est elle-même haïkiste.
Je comprends parfaitement ta réaction, Saule, et je la respecte.
Comme je ne suis pas repris dans la liste de 88 auteurs (on ne peut être partout), je suis d'autant plus à l'aise pour défendre ce bouquin. Les haïkistes forment une grande famille à travers le monde, à un point tel qu'une anthologie d'auteurs de l'Union européenne a été éditée (là, j'y suis) : notre point de vue est basé sur la "rencontre", "l'échange" et "l'entr'aide".
Plusieurs tendances se manifestent et un Francis Tugayé (cité), par exemple, vous parlerait pendant des heures de "détails" à propos de tel ou tel auteur ; personnellement je suis proche d'un Kerouac et de Guillevic, je suis partisan du dépouillement, du non-langage qui est langage, mais c'est cela qui est intéressant, comment amener le lecteur à relire à nouveau, à se poser des questions sur l'environnement mis plus ou moins en scène.
¤
dans l'église vide
le moineau se débarbouille
dans le bénitier
(Salim Bellen, en hommage, décédé accidentellement, il y a peu de temps)
¤
Avec ce texte, on peut se poser des questions ; on peut tenter de recréer une ambiance sienne, etc.
Autre info : 192 pages, édition en français, anglais, espagnol, il y a des auteurs allemands, belges, canadiens, français, etc.
¤
vomi frais
un pigeon festoie
- trottoir de décembre
(Daniel Py)
¤
Une adresse de contact : Association française de haïku, 10, rue Saint-Polycarpe, F-69001 Lyon.
Sur internet :
"association française" de haïku", "association pour la promotion du haïku" (Dominique Chipot), Temps libres (Serge Tome), Anthologie mondiale du haïku (André Duhaime), "Nekojita", "Point de mire", "Manteau d'étoiles", etc.
Bien à vous. M.P.
Merci MOPP!
Merci également ; je sais l'intérêt que tu portes à toute écriture.
En remarque : pour lire ce recueil, il faut faire le vide dans son esprit et lire une page par jour, soit trois lignes, et y repenser toute la journée.
Je vois bien un calendrier qui porterait un seul haïku par jour.
Dans un premier temps, ne pas souhaiter comprendre ; dan,s un deuxième temps, relire, s'imprégnier du mot juste, bien à propos.
Pour les lecteurs de Crit Lib : deux de mes "senryûs du silence" (à propos des oiseaux) :
¤
Pourquoi faudrait-il parler ?
Battements d'ailes.
¤
Ne plus rien dire.
Le cri des mouettes...
¤
M.P.
Titre de la critique (première intervention) : HAÏKUS & Compagnie.
Collectif, Editions L'iroli, déc 2007; 192 pages ; coll. Haïku & co ; 4,5 étoiles.
Collectif, Editions L'iroli, déc 2007; 192 pages ; coll. Haïku & co ; 4,5 étoiles.
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Supermarché
un vol de moineaux
rayon biscottes
(Argentiane)
¤
J'ai médité celui-là quand je faisais mes courses
¤
vomi frais
un pigeon festoie
- trottoir de décembre
¤
Celui-ci est moins poétique, j'aime moins
Je mettrai la critique en-ligne demain, je n'ai pas eu un moment à moi aujourd'hui.
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Supermarché
un vol de moineaux
rayon biscottes
(Argentiane)
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J'ai médité celui-là quand je faisais mes courses
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vomi frais
un pigeon festoie
- trottoir de décembre
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Celui-ci est moins poétique, j'aime moins
Je mettrai la critique en-ligne demain, je n'ai pas eu un moment à moi aujourd'hui.
Merci, Saule. C'est gentil de tenter de s'approcher des textes proposés.
Une petite remarque :
le dertnier texte de Daniel Py ne se veut pas "poétique" ; son point de vue et le mien concordent : le haïku (terme générique (je ne fais pas les distinctions dans ce genre) ne se veut surtout pas poétique ; ce n'est pas la belle image BCBG que nous recherchons obligatoirement, mais l'image qui dérange les esprits ; cette petite mise en scène propose une contradiction : les fêtes de fin d'année, les excès opposés à la faim ; ce pigeon représente aussi les malheureux qui plongent dans les poubelles en décembre ; ce texte parle des affamés, des prostituées sur le trottoir, des sans-abris...
Le haïku transmet une image laquelle soit-elle, un instant bref, vécu par l'auteur et ce dernier demande au lecteur une réaction : la tienne est valable puisque tu es entré dans ce texte, que tu as exprimé ton point de vue, et c'est très bien ainsi.
Normalement l'auteur n'explique jamais son haïku : le haïku ne dit rien ; il est absence de langage, c'est le lecteur qui devient acteur, interprête de la mise en scène.
Grand merci pour ce suivi. Pour Saule :
¤
à genoux
- près des violettes
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M.P.
Je vois bien un calendrier qui porterait un seul haïku par jour.
Dans un premier temps, ne pas souhaiter comprendre ; dan,s un deuxième temps, relire, s'imprégnier du mot juste, bien à propos.
M.P.
J'aime bien l'idée du calendrier: à creuser d'ici la nouvelle année. On aurait toute la journée pour méditer.
Je comprends Saule quand il dit que c'est moins poétique. Il veut dire que ça inspire plutôt le dégoût et tu fais bien de rappeler l'essence du haïku qui, quand même, reste assimilé à du "joli", du "poétique". Peut-être zappons-nous les haïku qui heurtent notre idée du "bon goût" ou que nous ne sommes pas habitués à lire ce qu'on appelle des senryus, que tu connais bien, et qui, eux, sont plus axés sur les activités humaines...
Je ne savais pas, Saule, que CL était désormais sponsorisé par une marque de bière réputée. :-)
Bonjour Saule, Kinbote et MOPP
Nouvel inscrit sur Critiques Libres, j'essaierai de faire comprendre l'approche du haïku.
Je ne vais en énoncer que deux éléments (qui sont à mes yeux très importants) :
1° Le haïku est l'esquisse d'un moment éphémère déduit du constat de l'impermanence des choses et des êtres (il n'est point besoin d'avoir le moindre recours à une quelconque croyance pour faire un tel constat).
2° La poésie du haïku réside non pas dans les mots eux-mêmes mais surtout dans ce que l'on parvient à laisser imaginer au travers ou au-delà de mots bien choisis ; c'est le non-dit, le "yojô", qui prévaut.
Je n'en dit pas plus pour l'instant.
En ai-je trop dit, cher MOPP ? ;-)
Pardon, je manque de temps pour relever quelques exemples de l'ouvrage précité.
F. T.
Nouvel inscrit sur Critiques Libres, j'essaierai de faire comprendre l'approche du haïku.
Je ne vais en énoncer que deux éléments (qui sont à mes yeux très importants) :
1° Le haïku est l'esquisse d'un moment éphémère déduit du constat de l'impermanence des choses et des êtres (il n'est point besoin d'avoir le moindre recours à une quelconque croyance pour faire un tel constat).
2° La poésie du haïku réside non pas dans les mots eux-mêmes mais surtout dans ce que l'on parvient à laisser imaginer au travers ou au-delà de mots bien choisis ; c'est le non-dit, le "yojô", qui prévaut.
Je n'en dit pas plus pour l'instant.
En ai-je trop dit, cher MOPP ? ;-)
Pardon, je manque de temps pour relever quelques exemples de l'ouvrage précité.
F. T.
Je comprends Saule quand il dit que c'est moins poétique. Il veut dire que ça inspire plutôt le dégoût et tu fais bien de rappeler l'essence du haïku qui, quand même, reste assimilé à du "joli", du "poétique". Peut-être zappons-nous les haïku qui heurtent notre idée du "bon goût" ou que nous ne sommes pas habitués à lire ce qu'on appelle des senryus, que tu connais bien, et qui, eux, sont plus axés sur les activités humaines...
Le développement de MOPP me réconcilie tout à fait avec le "senryu" en question, celui avec les pigeons, c'est très intéressant de pouvoir construire sa propre signification à partir de quelques mots. De plus j'aime l'aspect méditatif de l'exercice, je suis sur qu'avec l'habitude on doit y prendre gout et s'y enrichir. D'ou l'intérêt d'en livrer de temps en temps, pourquoi pas dans un calendrier (journalier, hebdomadaire,...).
Je ne savais pas, Saule, que CL était désormais sponsorisé par une marque de bière réputée. :-)
L'avatar est un peu à l'image du haïku, en peu d'espace il évoque quelque chose, il représente une personnalité, un état d'esprit,... Celui-ci est temporaire, il a l'avantage de ne pas être trop intrusif (couleur blanche, non saturé,..). Vu que je poste beaucoup c'est mieux pour alléger la page.
Bonjour Saule, Kinbote et MOPP
Nouvel inscrit sur Critiques Libres, j'essaierai de faire comprendre l'approche du haïku.
Je ne vais en énoncer que deux éléments (qui sont à mes yeux très importants) :
1° Le haïku est l'esquisse d'un moment éphémère déduit du constat de l'impermanence des choses et des êtres (il n'est point besoin d'avoir le moindre recours à une quelconque croyance pour faire un tel constat).
2° La poésie du haïku réside non pas dans les mots eux-mêmes mais surtout dans ce que l'on parvient à laisser imaginer au travers ou au-delà de mots bien choisis ; c'est le non-dit, le "yojô", qui prévaut.
Je n'en dit pas plus pour l'instant.
En ai-je trop dit, cher MOPP ? ;-)
Pardon, je manque de temps pour relever quelques exemples de l'ouvrage précité.
F. T.
Oui, l'ami, mais, ici, il est préférable d'être très bref, de dire le minimum : c'est le lecteur qui doit comprendre par lui-même ce qu'est un haïku ; c'est lui-même qui doit se construire en haïku. La remarque de Saule est précieuse : il "entre dans l'esprit haïku" ; ne fournissons pas de "la théorie".
Que penses-tu du bouquin "le bleu du martin-pêcheur", puisque c'est le sujet ? un détail ?
c'est très intéressant de pouvoir construire sa propre signification à partir de quelques mots. De plus j'aime l'aspect méditatif de l'exercice, je suis sur qu'avec l'habitude on doit y prendre gout et s'y enrichir. D'ou l'intérêt d'en livrer de temps en temps, pourquoi pas dans un calendrier (journalier, hebdomadaire,...).
Saule, te voici prêt pour apprécier l'un ou l'autre haïku/senryû.
Quant à "lancer" pareil calendrier sur le site, je ne suis pas preneur, car cela implique une régularité et une obligation d'écriture à laquelle je ne saurais me plier. Je reste parfois plus d'un mois sans rien écrire. Il faut savoir aussi que sur 100 haïkus écrits, seuls 5% d'entre eux possèdent une qualité suffisante pour être publié. L'apparente facilité d'un texte aussi court ne représente pas la réalité des faits.
Merci pour la proposition. Si quelqu'un d'autre est intéressé par le dit projet, j'y apporterai parfois, sans engagement, l'une ou l'autre contribution.
il est préférable d'être très bref, de dire le minimum : c'est le lecteur qui doit comprendre par lui-même ce qu'est un haïku ; c'est lui-même qui doit se construire en haïku. La remarque de Saule est précieuse : il "entre dans l'esprit haïku" ; ne fournissons pas de "la théorie".C'est très bien dit MOPP.
Je me souviens d'une excellente question que tu as judicieusement posée, MOPP.
Les haïkistes écrivent-ils pour... d'autres haïkistes ? M.P.
Faut-il répondre à cette question ? F.T. ;-)
Entendons nous bien, il s'agit non pas de l'approche du senryû (nettement plus abordable en Occident) mais d'un... "minimum" pour faire comprendre l'approche du haïku.
MOPP, merci d'avoir pris en compte l'essentiel de mon propos dans ton autre article.
Faisons confiance à l'intuition des lectrices et lecteurs.
F.T.
Les haïkistes écrivent-ils pour... d'autres haïkistes ? M.P.
Faut-il répondre à cette question ? F.T. ;-)
Entendons nous bien, il s'agit non pas de l'approche du senryû (nettement plus abordable en Occident) mais d'un... "minimum" pour faire comprendre l'approche du haïku.
MOPP, merci d'avoir pris en compte l'essentiel de mon propos dans ton autre article.
Faisons confiance à l'intuition des lectrices et lecteurs.
F.T.
Je pensais qu'il fallait un certain nombre de pieds pour faire un haïku.
Sept ? non ? ou onze ?
L'idée de faire un calendrier est très séduisante.
Mais hebdomadaire ce serait déjà très bien, parce que quotidien c'est assez contraignant...
Ou bien simplement suivant l'inspiration du moment...
Sept ? non ? ou onze ?
L'idée de faire un calendrier est très séduisante.
Mais hebdomadaire ce serait déjà très bien, parce que quotidien c'est assez contraignant...
Ou bien simplement suivant l'inspiration du moment...
Les haïkistes écrivent-ils pour... d'autres haïkistes ? M.P.
Ma réponse est : pas spécialement !
Je pensais qu'il fallait un certain nombre de pieds pour faire un haïku.
Sept ? non ? ou onze ?
L'idée de faire un calendrier est très séduisante.
Mais hebdomadaire ce serait déjà très bien, parce que quotidien c'est assez contraignant...
Ou bien simplement suivant l'inspiration du moment...
Le haïku japonais (cela date) en japonais était structuré sur une ligne verticale avec 5, 7 et 5 "syllabes"...
Actuellement peu de haïkistes francophones (Patrick Blanche, par exemple) ont repris cette structure.
La durée phonique dans le haïku doit correspondre approximativement à celle d'un souffle (analogie avec l'alexandrin pourrait être faite), mais dans le senryû (haïku satirique, comique, ou autre, centré sur l'homme), nous parlerons d'un vers libre.
Ecrire chaque jour un haïku ou un senryû sur commande me serait impossible.
Merci J-B pour le suivi.
Le haïku est pour moi une forme poétique étonnante, vraiment remarquable, à la fois dense et légère, forte ou douce, mais toujours profonde quand elle est réussie..
C’est CL qui me l’a fait découvrir (mais où donc est le vieux fil sur le haïku ?), j'ai été impressionné et depuis je deviens fan !!
Un raccourci d’expression qui illustre parfaitement la puissance du langage, mais aussi sa fragilité. Quelques mots peuvent suffire pour créer une ambiance, ou plonger dans un abîme de réflexion.. Pourtant un seul mot changé, ou simplement déplacé, et tout est transformé, voire brisé..
Merci aux spécialistes ! :o)
C’est CL qui me l’a fait découvrir (mais où donc est le vieux fil sur le haïku ?), j'ai été impressionné et depuis je deviens fan !!
Un raccourci d’expression qui illustre parfaitement la puissance du langage, mais aussi sa fragilité. Quelques mots peuvent suffire pour créer une ambiance, ou plonger dans un abîme de réflexion.. Pourtant un seul mot changé, ou simplement déplacé, et tout est transformé, voire brisé..
Merci aux spécialistes ! :o)
Le haïku est pour moi une forme poétique étonnante, vraiment remarquable, à la fois dense et légère, forte ou douce, mais toujours profonde quand elle est réussie..
C’est CL qui me l’a fait découvrir (mais où donc est le vieux fil sur le haïku ?), j'ai été impressionné et depuis je deviens fan !!
Un raccourci d’expression qui illustre parfaitement la puissance du langage, mais aussi sa fragilité. Quelques mots peuvent suffire pour créer une ambiance, ou plonger dans un abîme de réflexion.. Pourtant un seul mot changé, ou simplement déplacé, et tout est transformé, voire brisé..
Merci aux spécialistes ! :o)
Merci, Provis, pour le suivi.
Une petite remarque : il n'existe pas de haïkiste "spécialiste", seulement des perpétuels apprentis, et c'est cela leur force.
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