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Ah Bolcho, tu m'as encore bien fait sourire avec ta critique. Moi je pense que les confidences de déprimée ça va me plaire, j'ai bien envie de lire ce livre. Bon d'un autre côté c'est clair que le côté "tout Paris" et gens riches ça me plaira moins. Mais les gens heureux qui écrivent un livre pour dire qu'ils sont heureux, et que la vie est belle, ça n'est pas non plus ma tasse de thé.
Justine Lévy ne raconte pas une vie de pipole mais une vie d'ado puis de jeune adulte paumée. C'est curieux que Bolcho n'ai pas su déceler sa détresse profonde.
Ca l'a plutôt desservie d'être la fille de BHL, car, d'après ce qu'elle raconte, ce n'est pas vraiment le père modèle. Sa fille manque de mourir tant elle se drogue, mais il ne voit rien de rien !
Bon, elle se venge bien de la Dame Carla Bruni qui lui a piqué son mari. Mais elle y gagne au change. Le beau Raphaël était justement trop beau et ...chacun sait que la beauté, ça ne se mange pas en salade.
Cette autofiction m'avait (je dis "m'avait", car ça fait un moment que j'ai lu ce livre) paru écrite sans chichis mais avec beaucoup de sincérité.
Ca l'a plutôt desservie d'être la fille de BHL, car, d'après ce qu'elle raconte, ce n'est pas vraiment le père modèle. Sa fille manque de mourir tant elle se drogue, mais il ne voit rien de rien !
Bon, elle se venge bien de la Dame Carla Bruni qui lui a piqué son mari. Mais elle y gagne au change. Le beau Raphaël était justement trop beau et ...chacun sait que la beauté, ça ne se mange pas en salade.
Cette autofiction m'avait (je dis "m'avait", car ça fait un moment que j'ai lu ce livre) paru écrite sans chichis mais avec beaucoup de sincérité.
C’est vrai Saule, les gens heureux qui écrivent pour nous raconter leur bonheur sont encore plus barbants que les déprimés… Déprimant, n’est-ce pas ?
Si Aria, j’ai perçu sa « détresse profonde » et l’ensemble m’a, comme à toi, donné l’impression d’être plutôt sincère, si ce n’est passionnant. Il n’empêche qu’elle est issue d’un milieu de nantis branchés qui déroule ses fastes en arrière-plan et que c’est vaguement écoeurant.
J’ai tout de même signalé les habiletés du texte, l’universalité de certains propos et encouragé ceux qui aiment le genre à s’intéresser au bouquin.
Si Aria, j’ai perçu sa « détresse profonde » et l’ensemble m’a, comme à toi, donné l’impression d’être plutôt sincère, si ce n’est passionnant. Il n’empêche qu’elle est issue d’un milieu de nantis branchés qui déroule ses fastes en arrière-plan et que c’est vaguement écoeurant.
J’ai tout de même signalé les habiletés du texte, l’universalité de certains propos et encouragé ceux qui aiment le genre à s’intéresser au bouquin.
Oui ta critique est un modèle du genre, tu expliques pourquoi tu n'as pas aimé plus que ça, tout en reconnaissant les qualités du livre et en donnant envie de le lire. Je voulais l'acheter tantôt mais j'ai pas pu aller à la librairie, j'irai demain (si il est en poche).
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