Je vois un Saint Josse (ou Judoc) le 13 décembre – Saint-Josse-sur-Mer en son honneur dans le Pas de Calais.
Mais je crois que ça n'a pas de rapport avec Joseph mais peut-être bien avec Jocelyne, Josine, Josette ?
Saint Joseph c'est le 19 mars c'est une des rare fête qui n'a pas changé.
Jo, vérifie bien comment tu t'appelles. Si c'est Josse ou Judoc alors c'est le 13/12.
Si c'est Jo, alors c'est le 19/3.
Mais ça peut être les deux...
;-))
C'est Jocelyne.
Il est dit la plus haut que le saint josse machin n'a pas de rapport avec Joseph mais bien avec JOcelyne peut-êter..
d'où ma question, les Jocelyne ( pour peu qu'on soit beaucoup avec un prénom pareil ,o), on les met où?
Ben j'en sais rien, alors je te souhaiterai la bonne fête aux deux dates...
;-))
;-))
Ce dimanche de Pâques, dès potron-minet, les cloches ont sonné à toute volée. Les lève-tôt les ont entendues. Elles revenaient de Rome avec les cocognes pour les enfants sages qui ont bien fait leur carême.
Cherchez bien, les enfants ! Les cloches ont lâché les cocognes du haut du ciel, mais elles sont d'humeur taquine, elles se sont ingéniées à les cacher un peu partout : sous les tables, dans la cheminée, derrière les meubles, dans le tiroir aux jouets... Ça vaut la peine de bien chercher sinon on en retrouvera encore aux grandes vacances.
Il faut peut-être préciser, si d'aventure il existait des pays perdus où on ignorait ce que sont les cocognes, que ce sont des œufs durs qui sont peints de toutes les couleurs. Les cloches qui étaient parties le jeudi saint, sont allées nous les chercher à Rome et elles nous les ramènent en ce jour de Pâques.
Pâques est un jour de fête et un jour de bombance un peu particulière ; on y mange des cocognes à tous les repas et des petits œufs en chocolat à toutes les heures.
Mais pour tous les chrétiens de la terre, c'est le jour de la Résurrection.
Ça vaut la peine de relire dans Saint Jean cette histoire si bien racontée (Jean-20). Jean nous raconte qu'il a fait la course avec Pierre et qu'il est arrivé le premier au tombeau vide. Et il insiste : j'ai dû l'attendre, je suis arrivé le premier... Le saint apôtre a écrit ça près de 80 ans après les faits – puisqu'à l'époque il avait 15 ou 16 ans - et il s'en souvient toujours : je suis arrivé le premier. (C'est peut-être bien ces petits détails qui nous font croire à l'authenticité de l'auteur et du récit.)
La suite on l'a connaît, c'est le début d'une longue histoire qui dure depuis deux mille ans ...et qui, s'il faut en croire les Ecritures, n'est pas près de s'achever.
Bonnes cocognes et bonne fête de Pâques à tous !
Cherchez bien, les enfants ! Les cloches ont lâché les cocognes du haut du ciel, mais elles sont d'humeur taquine, elles se sont ingéniées à les cacher un peu partout : sous les tables, dans la cheminée, derrière les meubles, dans le tiroir aux jouets... Ça vaut la peine de bien chercher sinon on en retrouvera encore aux grandes vacances.
Il faut peut-être préciser, si d'aventure il existait des pays perdus où on ignorait ce que sont les cocognes, que ce sont des œufs durs qui sont peints de toutes les couleurs. Les cloches qui étaient parties le jeudi saint, sont allées nous les chercher à Rome et elles nous les ramènent en ce jour de Pâques.
Pâques est un jour de fête et un jour de bombance un peu particulière ; on y mange des cocognes à tous les repas et des petits œufs en chocolat à toutes les heures.
Mais pour tous les chrétiens de la terre, c'est le jour de la Résurrection.
Ça vaut la peine de relire dans Saint Jean cette histoire si bien racontée (Jean-20). Jean nous raconte qu'il a fait la course avec Pierre et qu'il est arrivé le premier au tombeau vide. Et il insiste : j'ai dû l'attendre, je suis arrivé le premier... Le saint apôtre a écrit ça près de 80 ans après les faits – puisqu'à l'époque il avait 15 ou 16 ans - et il s'en souvient toujours : je suis arrivé le premier. (C'est peut-être bien ces petits détails qui nous font croire à l'authenticité de l'auteur et du récit.)
La suite on l'a connaît, c'est le début d'une longue histoire qui dure depuis deux mille ans ...et qui, s'il faut en croire les Ecritures, n'est pas près de s'achever.
Bonnes cocognes et bonne fête de Pâques à tous !
Beau post, SJB !!
En plus, en ce beau jour de Pâques, j'aurai appris ce que sont les "cocognes" (ne pas confondre avec "coucougnes", ça n'a rien à voir..)
Et hélas, malgré le vent et la pluie, pas de cocognes dans mon jardin !! :o((
En plus, en ce beau jour de Pâques, j'aurai appris ce que sont les "cocognes" (ne pas confondre avec "coucougnes", ça n'a rien à voir..)
Et hélas, malgré le vent et la pluie, pas de cocognes dans mon jardin !! :o((
Ben j'en sais rien, alors je te souhaiterai la bonne fête aux deux dates...
;-))
Ooh comme c'est gentil, Merci !
Et merci pour le post d'aujourd'hui ....
Et hélas, malgré le vent et la pluie, pas de cocognes dans mon jardin !! :o((
;-))
Nous fêtons aujourd'hui Sainte Catherine, la sainte préférée des Suédois, qu'il ne faut pas confondre avec la Sainte Catherine du 25 novembre.
Elle était la fille de Sainte Brigitte la Patronne de l'Europe, fêtée dignement, on s'en souvient, le 23 juillet.
Elle était née en Suède en 1335 et son père, comme c'était la bonne coutume de l'époque, lui avait trouvé un excellent mari : un type sérieux, bien élevé, plutôt bien de sa personne et puis surtout, Dieu soit béni ! c'était un bon chrétien.
Mais à peine marié, il rendit l'âme, laissant derrière lui une veuve éplorée d'à peine 20 ans. Tout naturellement, Catherine retourna chez sa mère qui, veuve elle aussi depuis peu, vivait à Rome.
La jeune Catherine était très belle et son veuvage précoce avait encore épanoui sa jeune beauté. Elle était blonde, comme le sont volontiers les Suédoises, et ses yeux étaient bleus. Bien qu'elle s'appliquât à adopter toujours une modestie de bon aloi, son allure était très gracieuse. Elle baissait pudiquement les yeux quand un homme lui parlait et elle rougissait sous les regards ardents des jeunes Romains sans se rendre compte à quel point ces couleurs la rendaient encore plus désirable.
Bientôt quelques Italiens s'enhardirent : après tout, n'était-ce pas un cœur à prendre ? Non pas du tout, Catherine avait résolu de se consacrer à Dieu et à Dieu seul ! Mais les Italiens n'en avaient cure. Un jour qu'elle allait à la messe de 8 heures à Saint-Sébastian, un jeune homme voulut l'enlever, mais son bon ange fit surgir un cerf d'entre deux maisons, et le jeune homme dut s'enfuir sous peine d'être encorné.
Un autre jour qu'elle allait aux vêpres à Saint-Laurent, un malotru tenta de la séduire et alerta sa pudeur ; il fallut que son bon ange fasse tomber sur lui un voile épais pour l'arrêter.
Mais rien ne pouvait décourager les jeunes hommes et son ange, las de toujours intervenir, lui conseilla d'aller en pèlerinage en terre sainte avec sa mère.
Donc elles partirent toutes les deux en pèlerinage ; mais après un an de marche à pied, la mère mourut. Sa fille dut la ramener sur son dos jusqu'en Suède.
La Suède de ce temps là était-elle plus paisible que l'Italie ? Peut-être bien, car Catherine décida d'y demeurer jusqu'à sa mort.
Elle réalisa son rêve de se consacrer à Dieu en s'enfermant dans le couvent des Brigittines, fondé par sa mère à Valdstena, où le 24 mars 1381, son bon ange vint la chercher pour la conduire en paradis.
Bonne fête aux Suédois et bonne fête aux Catherine !
Elle était la fille de Sainte Brigitte la Patronne de l'Europe, fêtée dignement, on s'en souvient, le 23 juillet.
Elle était née en Suède en 1335 et son père, comme c'était la bonne coutume de l'époque, lui avait trouvé un excellent mari : un type sérieux, bien élevé, plutôt bien de sa personne et puis surtout, Dieu soit béni ! c'était un bon chrétien.
Mais à peine marié, il rendit l'âme, laissant derrière lui une veuve éplorée d'à peine 20 ans. Tout naturellement, Catherine retourna chez sa mère qui, veuve elle aussi depuis peu, vivait à Rome.
La jeune Catherine était très belle et son veuvage précoce avait encore épanoui sa jeune beauté. Elle était blonde, comme le sont volontiers les Suédoises, et ses yeux étaient bleus. Bien qu'elle s'appliquât à adopter toujours une modestie de bon aloi, son allure était très gracieuse. Elle baissait pudiquement les yeux quand un homme lui parlait et elle rougissait sous les regards ardents des jeunes Romains sans se rendre compte à quel point ces couleurs la rendaient encore plus désirable.
Bientôt quelques Italiens s'enhardirent : après tout, n'était-ce pas un cœur à prendre ? Non pas du tout, Catherine avait résolu de se consacrer à Dieu et à Dieu seul ! Mais les Italiens n'en avaient cure. Un jour qu'elle allait à la messe de 8 heures à Saint-Sébastian, un jeune homme voulut l'enlever, mais son bon ange fit surgir un cerf d'entre deux maisons, et le jeune homme dut s'enfuir sous peine d'être encorné.
Un autre jour qu'elle allait aux vêpres à Saint-Laurent, un malotru tenta de la séduire et alerta sa pudeur ; il fallut que son bon ange fasse tomber sur lui un voile épais pour l'arrêter.
Mais rien ne pouvait décourager les jeunes hommes et son ange, las de toujours intervenir, lui conseilla d'aller en pèlerinage en terre sainte avec sa mère.
Donc elles partirent toutes les deux en pèlerinage ; mais après un an de marche à pied, la mère mourut. Sa fille dut la ramener sur son dos jusqu'en Suède.
La Suède de ce temps là était-elle plus paisible que l'Italie ? Peut-être bien, car Catherine décida d'y demeurer jusqu'à sa mort.
Elle réalisa son rêve de se consacrer à Dieu en s'enfermant dans le couvent des Brigittines, fondé par sa mère à Valdstena, où le 24 mars 1381, son bon ange vint la chercher pour la conduire en paradis.
Bonne fête aux Suédois et bonne fête aux Catherine !
à tous , joyeuse pâques !
chantons ce merveilleux chant :
O filii et filiae,
Rex coelestis, Rex gloriae
morte surrexit hodie. Alleluia
Allelúia, Allelúia, Allelúia.
Et mane prima sábbati,
Ad óstium monuménti
Accessérunt discípuli.
Allelúia.
Et Maria Magdalene,
et Iacobi, et Salome
Venerunt corpus ungere.
Alleluia
Allelúia, Allelúia, Allelúia.
Beáti qui non vidérunt,
Et fírmiter credidérunt,
Vítam ætérnam habébunt.
Allelúia.
Allelúia, Allelúia, Allelúia.
De quíbus nos humíllimas
Devótas atque débitas
Deo dicámus Grátias.
Allelúia.
et la musique (mauvais enregistrement) : http://youtube.com/watch/…
chantons ce merveilleux chant :
O filii et filiae,
Rex coelestis, Rex gloriae
morte surrexit hodie. Alleluia
Allelúia, Allelúia, Allelúia.
Et mane prima sábbati,
Ad óstium monuménti
Accessérunt discípuli.
Allelúia.
Et Maria Magdalene,
et Iacobi, et Salome
Venerunt corpus ungere.
Alleluia
Allelúia, Allelúia, Allelúia.
Beáti qui non vidérunt,
Et fírmiter credidérunt,
Vítam ætérnam habébunt.
Allelúia.
Allelúia, Allelúia, Allelúia.
De quíbus nos humíllimas
Devótas atque débitas
Deo dicámus Grátias.
Allelúia.
et la musique (mauvais enregistrement) : http://youtube.com/watch/…
Allons ! tous ensemble, Bolcho, Mieke... tous ensemble mes frères :
- Alleluia ! Alleluia ! Amen !
;-))
- Alleluia ! Alleluia ! Amen !
;-))
Saint Humbert était né à Mézières-sur-Oise en l'an 600 et sa vie avait très bien commencé. Son père l'avait mis tout jeune comme stagiaire dans un monastère et très naturellement, tout jeune, il devint moine. Et même un très bon moine.
...Jusqu'au jour où son père mourut.
Parce que ce jour là, il revint dans son village pour rendre un dernier hommage à son père et il s'aperçut que son père était très riche.
Il possédait un vaste domaine avec des bois et des étangs, des chevaux et des chasses à courre, des chasses aux canards et des chasses aux lapins. Il avait des domestiques qui fricotaient des bons petits plats, et des échansons qui lui tiraient le vin ; des gens dans les écuries astiquaient les chevaux et des esclaves cultivaient les champs et faisaient pousser les fleurs du jardin.
Il hésita à regagner son monastère, directement, comme il aurait dû.
On connaît la musique : « l'occasion, l'herbe tendre...» Il passa une première nuit au château de son défunt père dans un bon lit moelleux. Le matin il prit un bain chaud puis se fit servir un petit déjeuner : un œuf à la coque, des croissants et du bon café au lait avec un sucre...
Enfin, il remit à plus tard l'idée de reprendre la bure, il postposa de jour en jour son retour au monastère, et il finit par ne plus y rentrer du tout.
Et il se fit beaucoup d'amis ! Et il mena la vie... !
Il organisait des ribotes joyeuses où on buvait la bière debout ; et puis on chantait des chansons gaillardes, et puis on buvait, et puis on chantait... Il organisait aussi des fêtes un peu... oui, un peu chaudes, où s'invitaient des belles bacchantes et des filles lascives ; et on dansait toute la nuit, et puis on buvait, et puis on dansait, et puis au petit matin... enfin, oui, il menait la vie.
...Et il se complaisait dans son dévergondage !
Quand un beau jour, Saint Amand vint à passer par là. Saint Amand était un évêque itinérant, un bon pasteur. Il entreprit de ramener la brebis égarée dans le droit chemin. Ensemble ils firent le pèlerinage sur la tombe de Saint Martin à Tours et en chemin ils rencontrèrent Sainte Aldegonde ; alors ils unirent leurs prières et Humbert rentra dans son couvent.
Il y mena une vie de pénitence et de prière jusqu'au 25 mars 680 où il mourut, le même jour que Saint Amand et Sainte Aldegonde ; si bien que c'est ensemble qu'ils firent leur dernier pèlerinage qui les mena en paradis.
Bonne fête aux Humbert !
...Jusqu'au jour où son père mourut.
Parce que ce jour là, il revint dans son village pour rendre un dernier hommage à son père et il s'aperçut que son père était très riche.
Il possédait un vaste domaine avec des bois et des étangs, des chevaux et des chasses à courre, des chasses aux canards et des chasses aux lapins. Il avait des domestiques qui fricotaient des bons petits plats, et des échansons qui lui tiraient le vin ; des gens dans les écuries astiquaient les chevaux et des esclaves cultivaient les champs et faisaient pousser les fleurs du jardin.
Il hésita à regagner son monastère, directement, comme il aurait dû.
On connaît la musique : « l'occasion, l'herbe tendre...» Il passa une première nuit au château de son défunt père dans un bon lit moelleux. Le matin il prit un bain chaud puis se fit servir un petit déjeuner : un œuf à la coque, des croissants et du bon café au lait avec un sucre...
Enfin, il remit à plus tard l'idée de reprendre la bure, il postposa de jour en jour son retour au monastère, et il finit par ne plus y rentrer du tout.
Et il se fit beaucoup d'amis ! Et il mena la vie... !
Il organisait des ribotes joyeuses où on buvait la bière debout ; et puis on chantait des chansons gaillardes, et puis on buvait, et puis on chantait... Il organisait aussi des fêtes un peu... oui, un peu chaudes, où s'invitaient des belles bacchantes et des filles lascives ; et on dansait toute la nuit, et puis on buvait, et puis on dansait, et puis au petit matin... enfin, oui, il menait la vie.
...Et il se complaisait dans son dévergondage !
Quand un beau jour, Saint Amand vint à passer par là. Saint Amand était un évêque itinérant, un bon pasteur. Il entreprit de ramener la brebis égarée dans le droit chemin. Ensemble ils firent le pèlerinage sur la tombe de Saint Martin à Tours et en chemin ils rencontrèrent Sainte Aldegonde ; alors ils unirent leurs prières et Humbert rentra dans son couvent.
Il y mena une vie de pénitence et de prière jusqu'au 25 mars 680 où il mourut, le même jour que Saint Amand et Sainte Aldegonde ; si bien que c'est ensemble qu'ils firent leur dernier pèlerinage qui les mena en paradis.
Bonne fête aux Humbert !
Bonne fête aux Humbert !
A ne pas confondre avec Hubert, le patron des boy-scout, qui lors d'une chasse, qui avait vu un cerf avec une croix.
...patron des boys scout et Patron de la ville de Liège avec Saint Lambert, dignement célébrés : Hubert le 3 novembre et Lambert le 17 septembre.
Ohé ohé ! Shelton, Selton, Ohé ohé ! À ta plume ! Tu vas pouvoir lâcher tes chiens...
;-))
Ce mois d'avril s'annonce fastueux pour les Papes, regarde-moi ça :
- le 3 / 4 Sixte
- le 6 /4 Célestin
- le 12 / 4 Jules Premier
- le 13 / 4 Martin
- le 17 / 4 Anicet
- le 19 / 4 Léon IX
- le 22 / 4 Caïus
- le 26 / 4 Marcellin
- le 30 / 4 Pie V
(Je vérifie si je n'en ai pas oublié)
Allez ! je sens que tu vas nous régaler, Shelton ! ;-))
;-))
Ce mois d'avril s'annonce fastueux pour les Papes, regarde-moi ça :
- le 3 / 4 Sixte
- le 6 /4 Célestin
- le 12 / 4 Jules Premier
- le 13 / 4 Martin
- le 17 / 4 Anicet
- le 19 / 4 Léon IX
- le 22 / 4 Caïus
- le 26 / 4 Marcellin
- le 30 / 4 Pie V
(Je vérifie si je n'en ai pas oublié)
Allez ! je sens que tu vas nous régaler, Shelton ! ;-))
Sainte Larissa et ses 23 compagnons martyrs sont très célébrés et très honorés dans l'Église orthodoxe.
Au IVème siècle en Crimée les chrétiens n'étaient pas encore très nombreux. Ils se rassemblaient plus ou moins clandestinement, disons discrètement, pour exercer leur culte. Le plus souvent c'était sous une tente, dans un lieu retiré, à l'abri des regards. Et tout se passait plutôt bien.
Jusqu'au jour où en 375, les Goths vinrent à passer. Ils étaient conduits par leur Roi, Athanaric, de sinistre mémoire.
Sans autre forme de procès, ce Roi sauvage et brutal fit placer dans la tente, en plein office, une statue d'une idole des Goths avec ordre de sacrifier à son culte sous peine de mort. Bien entendu, les chrétiens refusèrent.
L'apostasie, en ces temps héroïques du christianisme, était la faute la plus grave, si pas la seule répertoriée par l'Église.
Alors, Athanaric mit le feu à la tente et les 23 fidèles périrent, en chantant les cantiques de leur célébration et en priant Dieu de pardonner à leurs bourreaux.
Je vous cite le nom des compagnes de Larissa pour aider les mamans à trouver un nom pour leur future petiote : Anna, Alla, Monca, Mamica, Uirka, Animaïda, Gaatha, et Duclida.
Bonne fête aux Larissa à leurs compagnes et à leurs compagnons !
Au IVème siècle en Crimée les chrétiens n'étaient pas encore très nombreux. Ils se rassemblaient plus ou moins clandestinement, disons discrètement, pour exercer leur culte. Le plus souvent c'était sous une tente, dans un lieu retiré, à l'abri des regards. Et tout se passait plutôt bien.
Jusqu'au jour où en 375, les Goths vinrent à passer. Ils étaient conduits par leur Roi, Athanaric, de sinistre mémoire.
Sans autre forme de procès, ce Roi sauvage et brutal fit placer dans la tente, en plein office, une statue d'une idole des Goths avec ordre de sacrifier à son culte sous peine de mort. Bien entendu, les chrétiens refusèrent.
L'apostasie, en ces temps héroïques du christianisme, était la faute la plus grave, si pas la seule répertoriée par l'Église.
Alors, Athanaric mit le feu à la tente et les 23 fidèles périrent, en chantant les cantiques de leur célébration et en priant Dieu de pardonner à leurs bourreaux.
Je vous cite le nom des compagnes de Larissa pour aider les mamans à trouver un nom pour leur future petiote : Anna, Alla, Monca, Mamica, Uirka, Animaïda, Gaatha, et Duclida.
Bonne fête aux Larissa à leurs compagnes et à leurs compagnons !
Saint Pèlerin vivait en Champagne, à Bologne tout près de Chaumont, quand y passa Saint François d'Assise qui revenait d'un pèlerinage en Terre Sainte.
On sait que partout où passait Saint François les gens lui demandaient de prêcher la bonne parole. C'était aux environs de 1200. Peut-être qu'aujourd'hui il n'aurait pas le même succès mais en ce temps là, les gens se pressaient pour l'entendre et criaient : encore, encore !
Pèlerin était venu l'écouter avec ses amis et ses amies.
C'était un garçon à succès, un brillant sujet. Il était de la noble famille des Fallerone y Muccia de Nobitti mais il avait des manières un peu vulgaires ; ses amis l'appelaient le don Juan des trottoirs. Mais pour les demoiselles de Bologne, quelle importance ! il était jeune, riche et beau, que souhaiter de mieux ? Alors, en 1200 les demoiselles de Bologne se pâmaient pour Pèlerin...
En fait, Pèlerin était venu écouter le Poverello pour s'amuser. Et en amuseur qu'il était, il amusait ses amis en se moquant de lui. Mais celui-ci s'en aperçut. Il lui adressa personnellement des paroles tellement belles que le brillant jeune homme décida sur-le-champ de se faire moine.
Il partit d'abord en pèlerinage en Terre Sainte, tout seul, s'interrogeant sur sa vie, sur sa raison d'être, sur sa destinée, et puis il s'enferma au couvent des Marches d'Ancône.
Il devint le plus humble des frères, parmi les humbles frères de Saint François. Il apprit le vrai bonheur du dépouillement, du partage et de la vie simple.
Il mourut - joyeux comme un Franciscain - et estimé de tous ses frères, le 27 mars 1232.
Bonne fête aux Pèlerin !
On sait que partout où passait Saint François les gens lui demandaient de prêcher la bonne parole. C'était aux environs de 1200. Peut-être qu'aujourd'hui il n'aurait pas le même succès mais en ce temps là, les gens se pressaient pour l'entendre et criaient : encore, encore !
Pèlerin était venu l'écouter avec ses amis et ses amies.
C'était un garçon à succès, un brillant sujet. Il était de la noble famille des Fallerone y Muccia de Nobitti mais il avait des manières un peu vulgaires ; ses amis l'appelaient le don Juan des trottoirs. Mais pour les demoiselles de Bologne, quelle importance ! il était jeune, riche et beau, que souhaiter de mieux ? Alors, en 1200 les demoiselles de Bologne se pâmaient pour Pèlerin...
En fait, Pèlerin était venu écouter le Poverello pour s'amuser. Et en amuseur qu'il était, il amusait ses amis en se moquant de lui. Mais celui-ci s'en aperçut. Il lui adressa personnellement des paroles tellement belles que le brillant jeune homme décida sur-le-champ de se faire moine.
Il partit d'abord en pèlerinage en Terre Sainte, tout seul, s'interrogeant sur sa vie, sur sa raison d'être, sur sa destinée, et puis il s'enferma au couvent des Marches d'Ancône.
Il devint le plus humble des frères, parmi les humbles frères de Saint François. Il apprit le vrai bonheur du dépouillement, du partage et de la vie simple.
Il mourut - joyeux comme un Franciscain - et estimé de tous ses frères, le 27 mars 1232.
Bonne fête aux Pèlerin !
Saint Pèlerin vivait en Champagne, à Bologne tout près de Chaumont, quand y passa Saint François d'Assise qui revenait d'un pèlerinage en Terre Sainte. !
Mes filles habitent dans un bled à proximité de ce Bologne, je ferai une prière la prochaine fois que je passerai par là en pensant au bon Saint Jean-Baptiste!
Saint Pèlerin vivait en Champagne, à Bologne tout près de Chaumont, quand y passa Saint François d'Assise qui revenait d'un pèlerinage en Terre Sainte. !
Mes filles habitent dans un bled à proximité de ce Bologne, je ferai une prière la prochaine fois que je passerai par là en pensant au bon Saint Jean-Baptiste!
Non Débézet, pas à SJB ...mais au bon Saint Pèlerin, ça vaudra mieux ! ;-)) ;-))
Saint Gontran est le Saint Patron des joyeux enfants de la Bourgogne qui sont fiers d'être Bourguignons.
Il était un des petits-fils de Clovis et il était Roi de la Bourgogne dans les années 550.
Les fils du Roi Clovis étaient des chenapans. Et ses petits-fils étaient encore pires : entre frères et sœurs ils s'entretuaient à tour de bras. Ils tuaient aussi à qui mieux-mieux, leurs oncles et leurs tantes, leurs cousins et leurs cousines... il tuaient tout ce qui leur tombait sous la main, y compris les curés et les évêques.
Généralement de nos jours, les fêtes de famille se terminent en chansons ; mais là, chez les Clovis, ça se terminait le plus souvent par un joyeux massacre familiale.
Autre temps, autres mœurs !
Le frère de Gontran, l'affreux Clotaire, celui qui avait épousé l'adorable Radegonde de Poitiers, avait même un jour attaché sa belle-mère par les cheveux à la queue d'un cheval et l'avait ainsi traînée dans les rues de Paris... Oh ! Dieu miséricorde ! Sa belle-mère... !
Ce sont là les joyeusetés de l'Histoire de France, qui réjouissent les petits potaches de la petite école, et qui sont destinées – probablement - à leur donner une idée assez juste des grands de ce monde...
Mais notre Gontran lui, il n'était pas comme ses frères. Lui c'était un saint homme ! Son plus grand plaisir était de pardonner. Il avait pardonné à son frère d'avoir tué tous ses enfants au berceau. Il pardonnait à sa femme de le tromper. Il avait donné son royaume de Bourgogne à son cher neveu et il lui pardonnait de vouloir l'assassiner chaque fois qu'il l'invitait à souper...
Et puis il distribuait l'argent de son royaume aux pauvres, aux moines, et aux malades.
Il priait le soir au pied de son lit, il jeûnait en carême, il rendait la justice à son bon peuple en toute équité... c'était un bon Roi ! C'était un saint homme !
Il était le Roi de la Bourgogne, il est aujourd'hui le Saint Patron des Bourguignons qui sont fiers d'être Bourguignons.
Bonne fête aux Bourguignons, bonne fête aux Gontran !
Il était un des petits-fils de Clovis et il était Roi de la Bourgogne dans les années 550.
Les fils du Roi Clovis étaient des chenapans. Et ses petits-fils étaient encore pires : entre frères et sœurs ils s'entretuaient à tour de bras. Ils tuaient aussi à qui mieux-mieux, leurs oncles et leurs tantes, leurs cousins et leurs cousines... il tuaient tout ce qui leur tombait sous la main, y compris les curés et les évêques.
Généralement de nos jours, les fêtes de famille se terminent en chansons ; mais là, chez les Clovis, ça se terminait le plus souvent par un joyeux massacre familiale.
Autre temps, autres mœurs !
Le frère de Gontran, l'affreux Clotaire, celui qui avait épousé l'adorable Radegonde de Poitiers, avait même un jour attaché sa belle-mère par les cheveux à la queue d'un cheval et l'avait ainsi traînée dans les rues de Paris... Oh ! Dieu miséricorde ! Sa belle-mère... !
Ce sont là les joyeusetés de l'Histoire de France, qui réjouissent les petits potaches de la petite école, et qui sont destinées – probablement - à leur donner une idée assez juste des grands de ce monde...
Mais notre Gontran lui, il n'était pas comme ses frères. Lui c'était un saint homme ! Son plus grand plaisir était de pardonner. Il avait pardonné à son frère d'avoir tué tous ses enfants au berceau. Il pardonnait à sa femme de le tromper. Il avait donné son royaume de Bourgogne à son cher neveu et il lui pardonnait de vouloir l'assassiner chaque fois qu'il l'invitait à souper...
Et puis il distribuait l'argent de son royaume aux pauvres, aux moines, et aux malades.
Il priait le soir au pied de son lit, il jeûnait en carême, il rendait la justice à son bon peuple en toute équité... c'était un bon Roi ! C'était un saint homme !
Il était le Roi de la Bourgogne, il est aujourd'hui le Saint Patron des Bourguignons qui sont fiers d'être Bourguignons.
Bonne fête aux Bourguignons, bonne fête aux Gontran !
Bonne fête aux Larissa à leurs compagnes et à leurs compagnons !
Ce fut une histoire épicée! (ok, je sors, mais je suis étonné que personne ne l'ait faite... :°)
Bonne fête aux Larissa à leurs compagnes et à leurs compagnons !
Ce fut une histoire épicée! (ok, je sors, mais je suis étonné que personne ne l'ait faite... :°)
Ben m... alors, j'ai pas compris ! ;-((
Mais ne le dis à personne, Benoit, et explique-moi, tu veux ?...
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