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Forums  :  Forum général  :  Le Saint du jour.

Provis

avatar 06/03/2008 @ 18:55:01
Personnellement je suis pour la diversité des cultures, celle des langues, des goûts des couleurs, et donc tout particulièrement celle des pinards..
Enfin, les bons pinards !! laissons le jaja à Saule, qui ne sait pas faire la différence entre une piquette et un cru bourgeois ! .. :o)

Débézed

avatar 06/03/2008 @ 19:03:16
Le Bourgogne est le meilleur des vins, c'est une certitude, d'ailleurs tous mes amis chalonnais le pensent... donc c'est vrai !
(Sans aucun parti pris) ;) hips ;)



Bien dit !!! Et coup de Givry !!!

Benoit
avatar 06/03/2008 @ 19:17:26
Le Bourgogne est le meilleur des vins, c'est une certitude, d'ailleurs tous mes amis chalonnais le pensent... donc c'est vrai !
(Sans aucun parti pris) ;) hips ;)

Tout à fait d'accord, Saint Shelton (et n'oublions leurs voisins, les Beaujolais!).

Provis

avatar 06/03/2008 @ 19:18:27
réponse à Provis : alors ? le Saint des Nains ?
l'é()lision...
trait d'esprit é()culé...
langue au chat ?
Un indice : le Saint des Nains est de Marseille.

A oublier si le sujet était sérieux.
Sérieux ? Non pas vraiment, je suis rarement très sérieux sur CL .. :o)

A part ça, je ne connais de Marseille que Notre-Dame de la Garde, et le savon !
Et je ne sais toujours pas ce que tu as compris, mais peu importe ..

Pour le reste, je crains le pire.. Plaisanterie qui te sert de devise sous le pal que tu portes sur ton écu ?

Benoit
avatar 06/03/2008 @ 19:19:55
On appelle les Clarisses réformées les Colettines.

D'où l'expression "se coltiner quelqu'un"? Car d'après ce que tu racontes, Colette n'était pas très sympa avec ses condisciples (genre rabat-joie).

Provis

avatar 06/03/2008 @ 19:22:04
Le Bourgogne est le meilleur des vins, c'est une certitude, d'ailleurs tous mes amis chalonnais le pensent... donc c'est vrai !
(Sans aucun parti pris) ;) hips ;)
Tout à fait d'accord, Saint Shelton (et n'oublions leurs voisins, les Beaujolais!).
Je vous trouve tout de même bien méprisants pour saint Estèphe et saint Emilion !

De toute façon, c'est moi qui tiens le haut de page, na !! :o)

Provis

avatar 06/03/2008 @ 19:23:09
BONNE FETE, COLETTE !!!

Le rat des champs
avatar 06/03/2008 @ 19:32:02
Brassens la chantait:

"Quand je pense à Fernande,
Je b...e, je b...e

Quand je pense à Colette,
Je p...e, je p...e...

Saint Jean-Baptiste 06/03/2008 @ 23:13:22
.

d'après ce que tu racontes, Colette n'était pas très sympa avec ses condisciples (genre rabat-joie).

Mais non, pas du tout ! Colette était leur idole...
;-))

Saint Jean-Baptiste 06/03/2008 @ 23:14:25
Brassens la chantait:

"Quand je pense à Fernande,
Je b...e, je b...e

Quand je pense à Colette,
Je p...e, je p...e...

M'enfin ! Le Rat...
;-))

Saint Jean-Baptiste 07/03/2008 @ 08:22:03
Nous fêtons aujourd'hui deux saintes parmi les plus vaillantes qui soient au paradis et qui portaient de charmants prénoms : Sainte Perpétue et Sainte Félicité.
Perpétue c'est peut-être un peu difficile à porter mais Félicité c'est adorable.

Elles étaient nées toutes les deux à Carthage en 283, à un moment où régnait dans cette province romaine d'Afrique du Nord qu'on appelait la Numidie, un des plus beaux moments de civilisation que le monde ait jamais connu.

La Numidie était le grenier à grains de Rome. C'était la province la plus riche de l'Empire mais surtout la plus spirituelle et la plus raffinée. Elle connaissait un épanouissement intellectuel qui rivalisait avec Athènes et elle avait été gagnée très tôt au christianisme.
C'est là, d'ailleurs, que devait naître quelques cinquante ans plus tard le grand Saint Augustin que nous avons fêté dignement le 28 août.

Perpétue et Félicité étaient de grandes amies. Pourtant Perpétue était une patricienne de haute lignée et Félicité était son esclave. Mais dans la joie d'avoir écouté ensemble les évangiles, et dans la joie d'être entrées ensemble dans la vraie foi, elles étaient devenues comme deux sœurs.

Perpétue venait d'avoir une petite fille et Félicité était la marraine ; et Félicité attendait pour un tout prochain jour et se réjouissait d'annoncer à son amie qu'elle serait la marraine de son bébé.

Mais elles étaient chrétiennes et il fallait des chrétiens pour animer les jeux du cirque, le jour de l'anniversaire du Gouverneur Viténius Gita...

Les siècles d'or ont leur zone d'hombre !

Elles furent prises dans une rafle et jetées au cachot. La nuit même Félicité mit au monde son petit garçon ...et le lendemain on les conduisait dans l'arène.

Quatre taureaux étaient là, qui piaffaient, qui écumaient ! Les jeunes mamans s'embrassaient avec leurs petits bébés ...alors le public fut pris de pitié :
- Arrêtez, mais arrêtez donc... !
Mais il était trop tard, les taureaux en furie, faisaient ce que sans doute ils croyaient devoir faire pour servir la grandeur de Rome... Et leurs cornes, s'imaginant sans doute qu'elles étaient faites pour ça, perforaient, perforaient, perforaient les corps des saintes femmes.
Alors, pour la première fois au monde, le public n'applaudit pas les bêtes fauves, il applaudit les saintes martyres.

Bonne fête aux Perpétue et aux Félicité !

Prince jean 07/03/2008 @ 21:09:46
Le Bourgogne est le meilleur des vins, c'est une certitude, d'ailleurs tous mes amis chalonnais le pensent... donc c'est vrai !
(Sans aucun parti pris) ;) hips ;)



Bien dit !!! Et coup de Givry !!!


moi aussi j'aime bien le bourgogne, le sancerre, le saumur, ect... mais je prefere le vin !

Saule

avatar 07/03/2008 @ 22:54:50
La première qualité d'un vin c'est d'être rouge disait mon grand-père.

Saint Jean-Baptiste 08/03/2008 @ 08:58:04
L'histoire de Saint Jean de Dieu est une histoire édifiante qui pourrait nous réconcilier – si besoin était – avec le monde des mauvais garçons et des délinquants juvéniles.

Jean de Dieu était né en 1495 à Evora au sud du Portugal et dés l'adolescence, il fugua. Y avait-il de quoi ? Son père lui avait dit :
- Jean, pour la dernière fois, je te dis d'aller faire tes devoirs et d'étudier tes leçons !
Eh bien ! c'en était trop... Jean prit son balluchon sur son dos et claqua la porte du foyer paternel ! Il partit pour la grande ville ; il voulait vivre sa vie, il irait la nuit dans les bars et il boirait avec les filles de mauvaise vie...
Mais il était mauvais marcheur ; arrivé à 160 kilomètres de Madrid, il souffrait des pieds, il fut recueilli par un paysan.

Ce paysan était un homme bon. Il possédait six vaches, un cheval, quarante moutons et une fille. Jean fit de son mieux pour soigner les bêtes et connut ses premiers émois amoureux. La fille était bonne fille ; elle fit tout ce que Jean lui demandait. Et puis un beau jour elle le prit par le bras et le conduisit devant son père « pour parler d'avenir »

Mais, comme il arrive hélas ! assez souvent, dés qu'on parle mariage, certains garçons sont pris de panique... Jean était de ceux-là... il s'enfuit.
Son déshonorant vagabondage - qu'il vaut mieux passer sous silence - le fit aboutir dans les armées de Charles-Quint.

Nous sommes en 1515... Et on se souvient : 1515 – Marignan – François Ier... Et bien, notre Jean y était ! Mais ça lui était bien égal que les Français emporte la victoire parce que lui, pendant ce temps là, il dévalisait le trésor des Habsbourg. Mais il fut pris la main dans le sac et condamné à être pendu. Alors, pour la première fois de sa vie il se mit en prière.
Le Très Haut l'entendit, il échappa à la corde mais fut chassé de l'armée.

Alors, espérant se consoler à bon compte, il retourna chez sa première fiancée. Mais cette bonne fille était du genre à dire : « une fois, mais pas deux ! ». Il fut chassé d'un bon coup de pied là où on pense, et, en désespoir de cause, il s'engagea comme mercenaire dans une armée qui faisait la guerre aux Turcs. Et là il perdit ses esprits : il se frappait, il parlait tout seul, il voyait des mouches... il était fou !

Cette époque, hélas ! n'avait pas de psy, il fallut le soigner avec les moyens du bord, on le fouetta ...et il guérit.

Alors il s'acoquina avec deux assassins, un bandit et une prostituée repentie et il devint un homme de bien. Avec ses nouveaux amis, il construisit un hospice pour les déséquilibrés, les demi-doux, les psychopathes et autres victimes du monde cruel.
C'est ainsi que naquit, à Grenade en 1535, la congrégation des petits Frères de Jean de Dieu.
À partir de ce jour, Jean mena une vie exemplaire et quand, le 8 mars 1550, il quitta notre vallée de larmes pour le monde meilleur, il fut immédiatement porté à la sainteté par ses compagnons.

Bonne fête aux Jean !

Benoit
avatar 08/03/2008 @ 10:59:25
Jean fit de son mieux pour soigner les bêtes et connut ses premiers émois amoureux. La fille était bonne fille ; elle fit tout ce que Jean lui demandait.

Dis donc, SJB, c'est un site tout public, il y a d'autres lieux pour cela... :o)

Saint Jean-Baptiste 08/03/2008 @ 15:59:51
Jean fit de son mieux pour soigner les bêtes et connut ses premiers émois amoureux. La fille était bonne fille ; elle fit tout ce que Jean lui demandait.

Dis donc, SJB, c'est un site tout public, il y a d'autres lieux pour cela... :o)
"Elle fit tout ce que Jean lui demandait"
;-))
Ben oui, par exemple : rentrer les moutons, dire sa prière du soir, aller à vêpres...
Benoit, n'aurais-tu pas un peu l'esprit mal tourné par hasard...?
;-)) ;-))

Saint Jean-Baptiste 09/03/2008 @ 01:30:48
Sainte Françoise la Romaine était issue d'une grande famille et toute jeune elle avait trouvé chaussure à son pied, elle avait épousé le Signor Lorenzo de Ponziani.

Ils ont vécu ensemble sans jamais se séparer pendant quarante ans ! Sans dispute, sans bouderie, sans jamais un mot plus haut que l'autre, aussi amoureux après quarante ans qu'après le premier jour...

N'est-ce pas suffisant pour entrer tout droit en paradis ?

Mais ces quarante ans de douce quiétude conjugale, étaient dus à Françoise, s'il faut en croire ce que racontaient ses amies. C'est que Françoise était bonne cuisinière, elle était ordonnée, parcimonieuse et économe, tendre mais discrète et pas trop bavarde... Enfin, c'était, toujours à en croire ses bonnes amies, une femme comme on n'en fait plus !

Après son mari, son seul amour était Saint Benoît.

Aussi quand son cher et tendre époux rendit son dernier soupir, elle se consola chez les bénédictines de Saint Benoît, mais cette congrégation n'était pas tout à fait à son goût.
Alors elle fit, ce que font la plupart des religieuses, elle fonda sa propre congrégation qu'elle appela : les oblates de Saint Benoît.

Le 9 mars 1440, Saint Benoît en personne vint la trouver pendant son sommeil et la conduisit par la main au paradis où son cher mari l'attendait.

Bonne fête aux Françoise !

Saule

avatar 09/03/2008 @ 10:00:25
C'est Sainte Françoise qu'il faut prier pour qu'elle nous envoie une épouse comme ça ?

Shelton
avatar 09/03/2008 @ 10:34:32
Pour ça, il faut juste chercher... :)

Saint Jean-Baptiste 09/03/2008 @ 11:47:05
Oui, il faut bien chercher mais, à mon avis, des comme ça, il n'y en a pas deux...
;-))

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