L'autobiographie de Thérèse d'Avila est facile à lire, c'est un livre qui déborde d'Amour. Par contre j'ai du mal avec la poésie, mais ce n'est pas spécifique à Sainte Thérèse, c'est la poésie en général.
Il y a un chanteur espagnol qui chante des poèmes de Saint Jean de la Croix : Amancio Prada (titre du CD : canciones del Alma) C'est superbe, quoique un peu triste.
Il y a un chanteur espagnol qui chante des poèmes de Saint Jean de la Croix : Amancio Prada (titre du CD : canciones del Alma) C'est superbe, quoique un peu triste.
Aujourd'hui, en ce jour bénit du 16 octobre nous fêtons les Bertrand.
Saint Bertrand était le neveu de Robert II, qui était le fils du Roi Robert le Pieux, fils de Capet, devenu roi en 996.
Il administrait le comté de Comminges en Haute-Garonne au XIème siècle.
Il paraît qu'aujourd'hui Comminges est un charmant petit patelin de la France profonde, rebaptisé Saint-Bertrand-de-Comminges, peuplé de 350 habitants vivant heureux parce que vivant cachés.
Mais au XIème siècle, Comminges était une grosse bourgade, chef lieux du comté qui commandait les routes des Pyrénées. C'était le passage obligé des envahisseurs du pays des Ibères. Au temps de Bertrand, le pays avait subi la dure loi des barbares, tout n'était plus que ruines et désolation.
Heureusement notre ami le comte Bertrand avait le caractère bien trempé des habitants de la Haute-Garonne, il n'était pas de nature à se laisser abattre. En un demi siècle il reconstruisit son comté, il l'administra avec sagesse et piété et le mit sous la protection du Très-Haut.
C'est lui qui fit construire toutes ces merveilleuses églises romanes, que nous admirons encore aujourd'hui, dans les beaux villages de cette région bénie des dieux.
Ce grand bâtisseur mourut dans sa bonne ville de Comminges le 16 octobre 1123.
Bonne fête en Haute-Garonne et bonne fête aux Bertrand !
Saint Bertrand était le neveu de Robert II, qui était le fils du Roi Robert le Pieux, fils de Capet, devenu roi en 996.
Il administrait le comté de Comminges en Haute-Garonne au XIème siècle.
Il paraît qu'aujourd'hui Comminges est un charmant petit patelin de la France profonde, rebaptisé Saint-Bertrand-de-Comminges, peuplé de 350 habitants vivant heureux parce que vivant cachés.
Mais au XIème siècle, Comminges était une grosse bourgade, chef lieux du comté qui commandait les routes des Pyrénées. C'était le passage obligé des envahisseurs du pays des Ibères. Au temps de Bertrand, le pays avait subi la dure loi des barbares, tout n'était plus que ruines et désolation.
Heureusement notre ami le comte Bertrand avait le caractère bien trempé des habitants de la Haute-Garonne, il n'était pas de nature à se laisser abattre. En un demi siècle il reconstruisit son comté, il l'administra avec sagesse et piété et le mit sous la protection du Très-Haut.
C'est lui qui fit construire toutes ces merveilleuses églises romanes, que nous admirons encore aujourd'hui, dans les beaux villages de cette région bénie des dieux.
Ce grand bâtisseur mourut dans sa bonne ville de Comminges le 16 octobre 1123.
Bonne fête en Haute-Garonne et bonne fête aux Bertrand !
Aie-aie-aie ! Je viens de lire qu'on ne pouvait plus dire : les peuples barbares mais : les peuples dits barbares. Ou les peuples prétendus barbares...
Décidément, rien n'est simple ...et tout se complique !
Bon ! je dirai prochaine fois : les Vandales, abusivement crus vandales, détruisaient, massacraient... etc, etc...
C'est bien difficile de ne vexer personne ! ;-)
Décidément, rien n'est simple ...et tout se complique !
Bon ! je dirai prochaine fois : les Vandales, abusivement crus vandales, détruisaient, massacraient... etc, etc...
C'est bien difficile de ne vexer personne ! ;-)
Aujourd'hui c'est un Saint Ignace qui n'est pas le Saint Ignace que nous avons fêté, vous vous en souvenez, très honorés lecteurs, le 31 juillet.
C'est Saint Ignace d'Antioche. Un chrétien de la première heure, ami de Saint Pierre et des apôtres et un des 72 disciples dont Saint Luc a parlé. (Luc 10).
Il était le premier évêque de la première Eglise implantée à Antioche, quand il fut enlevé par des soldats et traîné comme une bête de somme jusqu'à Rome.
Le malheureux était très âgé, il avait 80 ans. Cette marche forcée d'environs 5 000 km a été son calvaire. Et pourtant, aux étapes, à Smyrne, Troas, Durazzo, il trouvait le moyen d'écrire aux chrétiens des jeunes Eglises qu'il avait rencontrés en cours de route.
Nous avons conservé sept de ses lettres dans lesquelles, il laisse éclater sa joie d'avoir trouvé Dieu. Il encourage les jeunes Eglises à tenir le coup. Il demande qu'on prie pour ses bourreaux. Il recommande son âme à Dieu et promet de prier pour ses frères.
Arrivé à Rome pendant les jeux du cirque, sous les yeux de l'Empereur Trajan, il fut livré aux bêtes avec un lot de chrétiens. Il mourut en martyr, le 17 octobre 116, au milieu des cris d'une foule en délire et assoiffée de sang.
Au moment de rendre son âme à Dieu, comme tous ces chrétiens martyrs de Rome, il chantait des cantiques et implorait son Dieu de pardonner à ses bourreaux.
Bonne fête aux Ignace !
C'est Saint Ignace d'Antioche. Un chrétien de la première heure, ami de Saint Pierre et des apôtres et un des 72 disciples dont Saint Luc a parlé. (Luc 10).
Il était le premier évêque de la première Eglise implantée à Antioche, quand il fut enlevé par des soldats et traîné comme une bête de somme jusqu'à Rome.
Le malheureux était très âgé, il avait 80 ans. Cette marche forcée d'environs 5 000 km a été son calvaire. Et pourtant, aux étapes, à Smyrne, Troas, Durazzo, il trouvait le moyen d'écrire aux chrétiens des jeunes Eglises qu'il avait rencontrés en cours de route.
Nous avons conservé sept de ses lettres dans lesquelles, il laisse éclater sa joie d'avoir trouvé Dieu. Il encourage les jeunes Eglises à tenir le coup. Il demande qu'on prie pour ses bourreaux. Il recommande son âme à Dieu et promet de prier pour ses frères.
Arrivé à Rome pendant les jeux du cirque, sous les yeux de l'Empereur Trajan, il fut livré aux bêtes avec un lot de chrétiens. Il mourut en martyr, le 17 octobre 116, au milieu des cris d'une foule en délire et assoiffée de sang.
Au moment de rendre son âme à Dieu, comme tous ces chrétiens martyrs de Rome, il chantait des cantiques et implorait son Dieu de pardonner à ses bourreaux.
Bonne fête aux Ignace !
Désolé ! je me suis trompé, Saint Ignace d'Antioche n'était pas un des 72 disciples dont parle Saut Luc en Luc 10, puisqu'il était né en 36, donc 6 ans après la mort de Jésus.
Mais je suis sûr que mes très honorés lecteurs auront corrigé d'eux-mêmes...
Mais je suis sûr que mes très honorés lecteurs auront corrigé d'eux-mêmes...
C'est Saint Luc en personne que le monde célèbre en ce 18 octobre ! Saint Luc l'Évangéliste, un des saints les plus prestigieux du paradis.
Luc était né dans les dix premières années de notre ère à Antioche. C'était un homme supérieurement intelligent, un érudit, un homme d'une de grande culture - grecque, naturellement - et il était médecin.
Quand il vit Saint Paul arriver à Antioche en 49 les deux hommes sympathisèrent immédiatement et, à part les quelques années où Luc administra l'Eglise de Philippes, ils ne se quittèrent pratiquement plus jusqu'à la mort de Saint Paul à Rome en 67.
On a dit souvent que Luc n'a pas connu Jésus parce qu'il a interrogé les proches de Jésus, dont Marie sa mère, mais ce n'est pas une preuve. S'il avait l'intention de faire un reportage sur Jésus, c'était bien normal qu'il recueille tous les témoignages qu'il pouvait trouver.
Une autre tradition, beaucoup plus plausible, nous dit qu'il était un des deux disciples d'Emmaüs. Tout le monde connaît cet extraordinaire récit des disciples d'Emmaüs –un des plus beaux récits des Ecritures Saintes - raconté par Saint Luc dans son évangile. (Luc 24. 13-35). Un des deux disciples est nommé et pas l'autre ...probablement parce ce que cet autre, c'était Luc.
Son évangile et ses Actes des Apôtres sont des joyaux de la littérature universelle.
Son évangile s'adresse à des païens de culture grecque, c'est à dire des non Juifs. Il fallait du génie pour faire passer, dans un monde essentiellement rationaliste, des vérités révélées.
Luc s'applique à montrer que la religion est universelle. Il privilégie les récits qui mettent en scènes les personnages extérieurs au monde Juif. Dans un monde qui ne reconnaît que la Raison, il met en valeur la Foi en Dieu, la Foi qui sauve. Et puis il insiste sur le partage des richesses et sur le pardon des péchés du monde.
A tel point que Dante l'a célébré comme « le chantre de la miséricorde de Dieu ».
Ses Actes sont des récits de la « petite Histoire » parmi les plus intéressants de toute l'Antiquité. Ils sont rédigés dans un style qui en font un modèle de reportage.
Il faut relire le récit de son périple avec Paul (Actes 15-28), c'est un régal de littérature.
Indépendamment de tout contexte religieux, par son intelligence, sa spiritualité, son élévation de pensée, Saint Luc est un des grands personnages de l'humanité.
Ses qualités d'écrivain font de lui un des saints préférés de notre petit monde CLien – un monde de connaisseurs ! .
Saint Luc est le Patron des écrivains reporters. Il est recommandé de l'invoquer pour bien écrire sans faire de fautes d'orthographe.
Il est aussi le Patron des médecins. Beaucoup de cliniques portent son nom.
On le prie pour les maux de pied, les maux de dos et, pourquoi pas, pour se remettre des chutes de vélo... ;-)
Bonne fête aux écrivains, aux médecins, à ceux qui souffrent, et aux Luc !
Luc était né dans les dix premières années de notre ère à Antioche. C'était un homme supérieurement intelligent, un érudit, un homme d'une de grande culture - grecque, naturellement - et il était médecin.
Quand il vit Saint Paul arriver à Antioche en 49 les deux hommes sympathisèrent immédiatement et, à part les quelques années où Luc administra l'Eglise de Philippes, ils ne se quittèrent pratiquement plus jusqu'à la mort de Saint Paul à Rome en 67.
On a dit souvent que Luc n'a pas connu Jésus parce qu'il a interrogé les proches de Jésus, dont Marie sa mère, mais ce n'est pas une preuve. S'il avait l'intention de faire un reportage sur Jésus, c'était bien normal qu'il recueille tous les témoignages qu'il pouvait trouver.
Une autre tradition, beaucoup plus plausible, nous dit qu'il était un des deux disciples d'Emmaüs. Tout le monde connaît cet extraordinaire récit des disciples d'Emmaüs –un des plus beaux récits des Ecritures Saintes - raconté par Saint Luc dans son évangile. (Luc 24. 13-35). Un des deux disciples est nommé et pas l'autre ...probablement parce ce que cet autre, c'était Luc.
Son évangile et ses Actes des Apôtres sont des joyaux de la littérature universelle.
Son évangile s'adresse à des païens de culture grecque, c'est à dire des non Juifs. Il fallait du génie pour faire passer, dans un monde essentiellement rationaliste, des vérités révélées.
Luc s'applique à montrer que la religion est universelle. Il privilégie les récits qui mettent en scènes les personnages extérieurs au monde Juif. Dans un monde qui ne reconnaît que la Raison, il met en valeur la Foi en Dieu, la Foi qui sauve. Et puis il insiste sur le partage des richesses et sur le pardon des péchés du monde.
A tel point que Dante l'a célébré comme « le chantre de la miséricorde de Dieu ».
Ses Actes sont des récits de la « petite Histoire » parmi les plus intéressants de toute l'Antiquité. Ils sont rédigés dans un style qui en font un modèle de reportage.
Il faut relire le récit de son périple avec Paul (Actes 15-28), c'est un régal de littérature.
Indépendamment de tout contexte religieux, par son intelligence, sa spiritualité, son élévation de pensée, Saint Luc est un des grands personnages de l'humanité.
Ses qualités d'écrivain font de lui un des saints préférés de notre petit monde CLien – un monde de connaisseurs ! .
Saint Luc est le Patron des écrivains reporters. Il est recommandé de l'invoquer pour bien écrire sans faire de fautes d'orthographe.
Il est aussi le Patron des médecins. Beaucoup de cliniques portent son nom.
On le prie pour les maux de pied, les maux de dos et, pourquoi pas, pour se remettre des chutes de vélo... ;-)
Bonne fête aux écrivains, aux médecins, à ceux qui souffrent, et aux Luc !
Mais je suis sûr que mes très honorés lecteurs auront corrigé d'eux-mêmes...
Ben... oui ! Quand même... non ? :)))))
Merci SJB, allez un petit coup de Saint Luc pour bien commencer la journée :
Jésus dit ensuite à ses disciples: C'est pourquoi je vous dis: Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus. La vie est plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement. Considérez les corbeaux: ils ne sèment ni ne moissonnent, ils n'ont ni cellier ni grenier; et Dieu les nourrit. Combien ne valez-vous pas plus que les oiseaux! Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie?
[...]
Vendez ce que vous possédez, et donnez-le en aumônes. Faites-vous des bourses qui ne s'usent point, un trésor inépuisable dans les cieux, où le voleur n'approche point, et où la teigne ne détruit point. Car là où est votre trésor, là aussi sera votre coeur.
(Luc 12)
Bravo, cher SJB, une fois de plus ton Saint du jour est captivant, et ...fort bien écrit ma foi ! évidemment, pour parler de St Luc, il fallait cela. Bonne continuation !
Merci, merci, Mont Carmel, demain c'est un prénom très répandu – et très bien porté - ;-))
On pourra dire bonne fête à beaucoup de monde...
On pourra dire bonne fête à beaucoup de monde...
Bien évidemment, nul n'ignore, sur notre site favori, que saint Luc était un grand artiste peintre.
Il a peint le portrait de Marie sur un icône très célèbre.
Ce portrait a souvent servi de modèle dans la peinture religieuse. Mais pas toujours. À la Renaissance, les peintres lui donnaient plutôt les traits de leur petite amie. Et les représentations de la Vierge de Lourdes sont aussi un peu différentes – un peu !
Beaucoup de peintres ont représenté Saint Luc peignant Marie : entre autres, Raphaël qu'on peut admirer au Louvre, si je me souviens bien.
Il y a aussi un très beau Martin de Vos, sur le même sujet, avec un Saint Luc en chanoine, à la cathédrale d'Anvers.
On recommande toujours aux peintres d'invoquer Saint Luc pour faire de belles peintures.
Il a peint le portrait de Marie sur un icône très célèbre.
Ce portrait a souvent servi de modèle dans la peinture religieuse. Mais pas toujours. À la Renaissance, les peintres lui donnaient plutôt les traits de leur petite amie. Et les représentations de la Vierge de Lourdes sont aussi un peu différentes – un peu !
Beaucoup de peintres ont représenté Saint Luc peignant Marie : entre autres, Raphaël qu'on peut admirer au Louvre, si je me souviens bien.
Il y a aussi un très beau Martin de Vos, sur le même sujet, avec un Saint Luc en chanoine, à la cathédrale d'Anvers.
On recommande toujours aux peintres d'invoquer Saint Luc pour faire de belles peintures.
Aujourd'hui nous fêtons Saint Pierre, mais ce n'est pas le Grand Saint Pierre qui détient les clés du paradis. C'est le Saint Pierre d'Alcantara – Estrémadure – Espagne.
Il était né en 1499 dans la belle ville d'Alcantara sur le Tage, une ville peuplée de presque autant de cigognes que d'Espagnols.
L'Estrémadure est une région dure et austère, propice au rêve et à la méditation. Et l'Espagne à cette époque d'Isabelle la Catholique connaissait un regain de vie religieuse.
Pierre d'Alcantara était un homme réservé, porté sur la prière et sur le mysticisme. A 16 ans il entre chez les Franciscains. Mais il est déçu : cet ordre n'a plus la rayonnante simplicité des débuts. Aussi, avec quelques compagnons, il crée une dissidence tournée vers plus de prière et de partage ; on les appellera : les Franciscains déchaussés.
Il fut encouragé dans sa réforme par sa grande amie Sainte Thérèse d'Avila - que nous connaissons très bien depuis lundi dernier - et probablement aussi par Saint Jean de la Croix qui vivait à Avila à la même époque.
Saint Pierre d'Alcantara, qui en bon Franciscain était toujours joyeux, mourut en souriant le 19 octobre 1562.
Bonne fête à l'Espagne et bonne fête aux Pierre !
Il était né en 1499 dans la belle ville d'Alcantara sur le Tage, une ville peuplée de presque autant de cigognes que d'Espagnols.
L'Estrémadure est une région dure et austère, propice au rêve et à la méditation. Et l'Espagne à cette époque d'Isabelle la Catholique connaissait un regain de vie religieuse.
Pierre d'Alcantara était un homme réservé, porté sur la prière et sur le mysticisme. A 16 ans il entre chez les Franciscains. Mais il est déçu : cet ordre n'a plus la rayonnante simplicité des débuts. Aussi, avec quelques compagnons, il crée une dissidence tournée vers plus de prière et de partage ; on les appellera : les Franciscains déchaussés.
Il fut encouragé dans sa réforme par sa grande amie Sainte Thérèse d'Avila - que nous connaissons très bien depuis lundi dernier - et probablement aussi par Saint Jean de la Croix qui vivait à Avila à la même époque.
Saint Pierre d'Alcantara, qui en bon Franciscain était toujours joyeux, mourut en souriant le 19 octobre 1562.
Bonne fête à l'Espagne et bonne fête aux Pierre !
...t bonne fête aux Pierre !
Merci
Ses qualités d'écrivain font de lui un des saints préférés de notre petit monde CLien – un monde de connaisseurs !Et si on proclamait Luc saint patron de CL ??
Saint Luc est le Patron des écrivains reporters. Il est recommandé de l'invoquer pour bien écrire sans faire de fautes d'orthographe.
Il est aussi le Patron des médecins. Beaucoup de cliniques portent son nom.
Le dos de Saule, les écrivains, les fautes d'orthographe.. on peut pas rêver mieux ??
Saint Patron adjoint alors...
Parce que le grand Patron de CL c'est déjà pris : c'est Saint Germain des Prés.
;-))
Parce que le grand Patron de CL c'est déjà pris : c'est Saint Germain des Prés.
;-))
Désolé ! je me suis trompé, Saint Ignace d'Antioche n'était pas un des 72 disciples dont parle Saut Luc en Luc 10, puisqu'il était né en 36, donc 6 ans après la mort de Jésus.Evidemment, SJB ! Les saints « Ignace » on les connaît tous, même celui de la chanson de Fernandel..
Mais je suis sûr que mes très honorés lecteurs auront corrigé d'eux-mêmes...
Mais tout de même, le saint patron des chauves, c'est lequel ? .. :o).. )
Saint Patron adjoint alors...Oui, mais ne pourrait-on pas en essayer un autre qui serait plus efficace contre les fautes d'orthographe ? :o)
Parce que le grand Patron de CL c'est déjà pris : c'est Saint Germain des Prés.
;-))
Saint Patron adjoint alors...Oui, mais ne pourrait-on pas en essayer un autre qui serait plus efficace contre les fautes d'orthographe ? :o)
Parce que le grand Patron de CL c'est déjà pris : c'est Saint Germain des Prés.
;-))
;-))
On a déjà proposé Saint Tax...
Aujourd'hui le monde entier, et plus particulièrement le Portugal, se réveille tout à la joie de fêter Sainte Irène.
C'était une jeune fille très belle, elle était adorable. Elle était née au VIème siècle quelque part au Portugal à Nabancia, un patelin si petit qu'il n'est même pas dans mon atlas. Mais ce n'est pas grave, de toute façon elle n'y est plus...
Elle est au paradis où elle égaye l'éternité de tous les saints.
Donc, elle était ravissante. Et elle voulait s'instruire : un moine venait chez elle tous les jours pour lui apprendre à lire, à écrire, et tout ce qu'il faut savoir dans la vie.
Un jour qu'elle se rendait à l'église pour chanter l'Angélus, elle ne put se dérober aux regards du jeune Bertaudo qui était le fils du seigneur du village. Il était beau, il était à cheval, il vint à sa hauteur et lui sourit, avec un regard chargé de tendresse et de ...peut-être autre chose.
Bertaudo était très jeune, il devint très amoureux ; elle répondait à son amour. En tout bien tout honneur ! Il l'invitait à des promenades dans les bois, à nager dans le ruisseau, à chasser les papillons...
La vie aurait été un conte de fées pour les jeunes tourtereaux, si le maudit moine chargé d'instruire Irène, n'avait laissé le démon de la jalousie s'emparer de son cœur. Il mit au point un stratagème inspiré par le diable. Il alla raconter à Bertaudo que Irène menait une double vie. Il alla jusqu'à insinuer – Dieu lui pardonne – que Irène avait des amants...
Le jeune et ténébreux Bertaudo devint fou de rage et de douleur. Sa détresse n'avait d'égale que sa passion. Un jour qu'il vit Irène sortir de l'église, après les Complies du soir, il tira son épée et lui coupa la tête !
C'est ainsi que Sainte Irène quitta son paradis terrestre, un triste 20 octobre, pour entrer dans le paradis céleste où depuis, sa présence égaye la vie des saints pour l'éternité.
Bonne fête au Portugal et bonne fête aux Irène !
C'était une jeune fille très belle, elle était adorable. Elle était née au VIème siècle quelque part au Portugal à Nabancia, un patelin si petit qu'il n'est même pas dans mon atlas. Mais ce n'est pas grave, de toute façon elle n'y est plus...
Elle est au paradis où elle égaye l'éternité de tous les saints.
Donc, elle était ravissante. Et elle voulait s'instruire : un moine venait chez elle tous les jours pour lui apprendre à lire, à écrire, et tout ce qu'il faut savoir dans la vie.
Un jour qu'elle se rendait à l'église pour chanter l'Angélus, elle ne put se dérober aux regards du jeune Bertaudo qui était le fils du seigneur du village. Il était beau, il était à cheval, il vint à sa hauteur et lui sourit, avec un regard chargé de tendresse et de ...peut-être autre chose.
Bertaudo était très jeune, il devint très amoureux ; elle répondait à son amour. En tout bien tout honneur ! Il l'invitait à des promenades dans les bois, à nager dans le ruisseau, à chasser les papillons...
La vie aurait été un conte de fées pour les jeunes tourtereaux, si le maudit moine chargé d'instruire Irène, n'avait laissé le démon de la jalousie s'emparer de son cœur. Il mit au point un stratagème inspiré par le diable. Il alla raconter à Bertaudo que Irène menait une double vie. Il alla jusqu'à insinuer – Dieu lui pardonne – que Irène avait des amants...
Le jeune et ténébreux Bertaudo devint fou de rage et de douleur. Sa détresse n'avait d'égale que sa passion. Un jour qu'il vit Irène sortir de l'église, après les Complies du soir, il tira son épée et lui coupa la tête !
C'est ainsi que Sainte Irène quitta son paradis terrestre, un triste 20 octobre, pour entrer dans le paradis céleste où depuis, sa présence égaye la vie des saints pour l'éternité.
Bonne fête au Portugal et bonne fête aux Irène !
Elle est bien jolie et triste cette histoire mais je ne vois pas en quoi cela fait de cette fille une sainte ?
S'il suffit de se faire trucider par un amant jaloux pour le devenir, alors bien des femmes le sont... ;-)
S'il suffit de se faire trucider par un amant jaloux pour le devenir, alors bien des femmes le sont... ;-)
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