Page 1 de 1
Depuis quelques temps, nous sommes plusieurs à avoir tenté de vous présenter des bandes dessinées qui ne se contentaient pas seulement de nous raconter une super histoire, avec des super héros et des super rebondissements...
En effet, la bédé s'attaque depuis quelques années à tous les sujets, y compris les plus graves (la mort, le suicide, le sida, le syndicalisme, la dictature, la violence, la prostitution, la guerre...).
Mais vous, quen pensez-vous réellement ? Que c'est une bonne chose parce que la bédé permet des approches différentes ? Que la bédé restera toujours une sous littérature ? Qu'il faut être un gamin pour lire de tezlles foutaises ?
Dans tous les cas, je souhaite avoir votre point de vue et j'espère que vous serez nombreux à lire ces bandes dessinées un peu différentes qui tentent d'ouvrir de nouvelles voies à cet art narratif...
En effet, la bédé s'attaque depuis quelques années à tous les sujets, y compris les plus graves (la mort, le suicide, le sida, le syndicalisme, la dictature, la violence, la prostitution, la guerre...).
Mais vous, quen pensez-vous réellement ? Que c'est une bonne chose parce que la bédé permet des approches différentes ? Que la bédé restera toujours une sous littérature ? Qu'il faut être un gamin pour lire de tezlles foutaises ?
Dans tous les cas, je souhaite avoir votre point de vue et j'espère que vous serez nombreux à lire ces bandes dessinées un peu différentes qui tentent d'ouvrir de nouvelles voies à cet art narratif...
A mon humble avis, ceux qui ont lu les BD que tu évoques ("Le photographe" de Guibert, "Les mauvaises gens" de Davodeau, "Approximativement" de Trondheim ou "Maus" de Spiegelman,...) sont bien convaincu que la BD atteint là des sommets qui lui sont propres, additionnant la force de différents medias, et va plus loin que le livre non illustré ne peut aller. Est-ce mieux? Je le pense, mais je ne cherche à convaincre personne ;-)
Maintenant, il ne suffit pas de voir émerger des chefs d'oeuvre pour sauver toutes les BD, dont une immense partie (comme pour l'ensemble de l'édition d'ailleurs, tous secteurs confondus) n'est composée que de sous-produits formatés et éculés. Un excellent roman hors norme ne fait pas oublier toutes les sous-merdes, depuis les thrillers pseudo-caballistiques et les récits d'épanouissement intérieur illuminés, jusqu'aux histoires d'amour et d'avocat, d'infirmières et d'eau de rose; de la même manière, un Taniguchi ou un Tsuge ne suffit pas à rendre moins médiocres les mangas formatés et "Lapinot et les carottes de Patagonie" ne fait pas disparaître les aventures de l'Agent 212 et les albums d'Aria ;-) Oups, n'y voyez pas d'attaque ciblée, c'est juste une question de goût personnel (et de séries qui n'en finissent pas de ressasser les mêmes clichés).
Maintenant, il ne suffit pas de voir émerger des chefs d'oeuvre pour sauver toutes les BD, dont une immense partie (comme pour l'ensemble de l'édition d'ailleurs, tous secteurs confondus) n'est composée que de sous-produits formatés et éculés. Un excellent roman hors norme ne fait pas oublier toutes les sous-merdes, depuis les thrillers pseudo-caballistiques et les récits d'épanouissement intérieur illuminés, jusqu'aux histoires d'amour et d'avocat, d'infirmières et d'eau de rose; de la même manière, un Taniguchi ou un Tsuge ne suffit pas à rendre moins médiocres les mangas formatés et "Lapinot et les carottes de Patagonie" ne fait pas disparaître les aventures de l'Agent 212 et les albums d'Aria ;-) Oups, n'y voyez pas d'attaque ciblée, c'est juste une question de goût personnel (et de séries qui n'en finissent pas de ressasser les mêmes clichés).
Le Photographe, Période glaciaire, le Désespoir du singe, Blacksad, le Sourire du clown, le Petit bleu de la côte ouest, le Tour de valse, Pattes de velours, Quintett, la Malle Sanderson, l'Enragé…. et tant d'autres…
contribuent à prouver que la BD (reportage, intimiste, d'adaptation …) témoigne, incite à la réflexion et propose un loisir/plaisir de qualité par ses constructions, messages et graphismes.
Tomtom, pourquoi mettre en balance "Le Photographe" et les BD pour enfants (quelle que soit leur "qualité"), genre "Agent 212"?
Un sandwich est un sandwich, bon ou mauvais, et ne se compare pas à un bon petit plat!
contribuent à prouver que la BD (reportage, intimiste, d'adaptation …) témoigne, incite à la réflexion et propose un loisir/plaisir de qualité par ses constructions, messages et graphismes.
Tomtom, pourquoi mettre en balance "Le Photographe" et les BD pour enfants (quelle que soit leur "qualité"), genre "Agent 212"?
Un sandwich est un sandwich, bon ou mauvais, et ne se compare pas à un bon petit plat!
Je pense effectivement qu'il ne faut pas vouloir comparer toutes les bandes dessinées, comme on ne compare pas tous les livres ensemble, un Oui Oui, Germinal, Dix petits nègres ou un San Antonio...
Restons prudent, même si je ne défendrais pas l'Agent 212...
Restons prudent, même si je ne défendrais pas l'Agent 212...
Pour Tomtom, quand j'ai choisi ce pseudo, je n'avais jamais entendu parler de la BD en question. C'est Eireann, un membre de CL qui m'a charriée là-dessus et m'a envoyé à mon mail perso quelques couvertures...je n'ai pas été déçue du voyage. ;-))))
Sinon, je ne peux m'engager dans ce débat, n'ayant jamais lu d'autre BD que Tintin et Astérix. Vous voyez, ma culture est très limitée en ce domaine. ;-)
Sinon, je ne peux m'engager dans ce débat, n'ayant jamais lu d'autre BD que Tintin et Astérix. Vous voyez, ma culture est très limitée en ce domaine. ;-)
Dans ce monde de la bande dessinée, complexe et en pleine évolution, je crois que nous fonctionnons trop souvent avec de vieux clichés...
L'aventure et l'humour ont dominé pendant longtemps chez les auteurs qui écrivaient pour des garçons de 8 à 16 ans... Certes, mais cela ne signifie pas que ces albums étaient mauvais, ni qu'aujourd'hui le mécanisme de création soit identique : les femmes sont très nombreuses parmi les lectrices... mais aussi les auteures !!!
On trouve aussi parfois de remarquables séries qui ont du mal à se laisser enfermer dans des boites... alors on les oublie ! Prenons par exemple les Carnets d'Orient de Jacques Ferrandez... Huit albums sur l'histoire de l'Algérie, depuis le début de la colonisation jusqu'à aujourd'hui (pour le moment, il en est à 1958, le discours d'un certain général...). Il faut lire cette série pour comprendre comment un pied noir peut comprendre sa propre histoire avec humanité, avec ses tripes... Mais je vous reparlerai prochainement de cette série de bédé... c'est promis !
Il y a comme cela de très bonnes choses pas très connues, passionantes, que nous devrions lire avant certaines bédés d'humour... même si l'humour est aussi bon pour le moral...
En humour, on parle souvent de l'agent 212, de Cédric... mais n'oublions pas d'autres séries comme Le Gowap, Angèle er René, Profs, Croco et Fastefoude...
Oui, ce monde est plein, rempli de merveilles et il va falloir beaucoup de temps pour tout découvrir... Mais si on en a envie, on peut quand même se faire plaisir... c'est ce que je souhaite à chacun d'entre vous !
Quant à Aria, il n'est jamais trop tard pour découvri ces petits bijoux en bulles... allez, au travail !
L'aventure et l'humour ont dominé pendant longtemps chez les auteurs qui écrivaient pour des garçons de 8 à 16 ans... Certes, mais cela ne signifie pas que ces albums étaient mauvais, ni qu'aujourd'hui le mécanisme de création soit identique : les femmes sont très nombreuses parmi les lectrices... mais aussi les auteures !!!
On trouve aussi parfois de remarquables séries qui ont du mal à se laisser enfermer dans des boites... alors on les oublie ! Prenons par exemple les Carnets d'Orient de Jacques Ferrandez... Huit albums sur l'histoire de l'Algérie, depuis le début de la colonisation jusqu'à aujourd'hui (pour le moment, il en est à 1958, le discours d'un certain général...). Il faut lire cette série pour comprendre comment un pied noir peut comprendre sa propre histoire avec humanité, avec ses tripes... Mais je vous reparlerai prochainement de cette série de bédé... c'est promis !
Il y a comme cela de très bonnes choses pas très connues, passionantes, que nous devrions lire avant certaines bédés d'humour... même si l'humour est aussi bon pour le moral...
En humour, on parle souvent de l'agent 212, de Cédric... mais n'oublions pas d'autres séries comme Le Gowap, Angèle er René, Profs, Croco et Fastefoude...
Oui, ce monde est plein, rempli de merveilles et il va falloir beaucoup de temps pour tout découvrir... Mais si on en a envie, on peut quand même se faire plaisir... c'est ce que je souhaite à chacun d'entre vous !
Quant à Aria, il n'est jamais trop tard pour découvri ces petits bijoux en bulles... allez, au travail !
J'adore la bande dessinée, quant à en faire un sous genre déplacé de la littérature, c'est trop simpliste, me semble-t-il.
c'est un art à part entière, qui ne repose pas, et n'utilise pas les mêmes ressorts qu'un roman, l'imagination ne peut y prendre le pouvoir, puisqu'on y représente les héros, avec des contraintes extrêmes auxquelles n'est pas subordonnée la littérature (l'art graphique, la concision, la stylisation en une image, dire et signifier en une vignette...)
alors bien sûr toutes les bandes dessinées ne se valent pas, mais il en va de même pour tout roman, il existe autant de formes diverses de BD...
Pour ma part, je n'ai pas lu les Bd sr lesquelles Shelton, tu as pu écrire des critiques, mais je ne manquerai pas de le faire, je n'en achète pas assez hélas, il faut avouer que leur prix, hum hum..
Je pense qu'elles peuvent, au même titre que la littérature, transmettre messages et esthétique (nouvelle, qui plus est), d'autant que leur forme est plus facilement accessible (cf le nombre d'enfants qui ne lisent que ça, or maintenant, des poèmes de Rimbaud, Hugo, Baudelaire ont été mis en BD, ce qui permet d'amener des enfants réfractaires au texte à la découverte de ces poètes!!)
Quant à traiter des sujets sérieux (le sida, le racisme, les guerres), ce n'est pas nouveau (voir la collection tito "tendre banlieue", disponible en masse dans les C.D. I, et la magnifique bande dessinée "jo"de Derib sur le sida, etc.) et c'est très bien, -du moins est-ce mon opinion.
P.S: je reste cependant en Bd avec un seul dieu: GOTLIB, et doute de son intérêt pour les messages sérieux;-))
c'est un art à part entière, qui ne repose pas, et n'utilise pas les mêmes ressorts qu'un roman, l'imagination ne peut y prendre le pouvoir, puisqu'on y représente les héros, avec des contraintes extrêmes auxquelles n'est pas subordonnée la littérature (l'art graphique, la concision, la stylisation en une image, dire et signifier en une vignette...)
alors bien sûr toutes les bandes dessinées ne se valent pas, mais il en va de même pour tout roman, il existe autant de formes diverses de BD...
Pour ma part, je n'ai pas lu les Bd sr lesquelles Shelton, tu as pu écrire des critiques, mais je ne manquerai pas de le faire, je n'en achète pas assez hélas, il faut avouer que leur prix, hum hum..
Je pense qu'elles peuvent, au même titre que la littérature, transmettre messages et esthétique (nouvelle, qui plus est), d'autant que leur forme est plus facilement accessible (cf le nombre d'enfants qui ne lisent que ça, or maintenant, des poèmes de Rimbaud, Hugo, Baudelaire ont été mis en BD, ce qui permet d'amener des enfants réfractaires au texte à la découverte de ces poètes!!)
Quant à traiter des sujets sérieux (le sida, le racisme, les guerres), ce n'est pas nouveau (voir la collection tito "tendre banlieue", disponible en masse dans les C.D. I, et la magnifique bande dessinée "jo"de Derib sur le sida, etc.) et c'est très bien, -du moins est-ce mon opinion.
P.S: je reste cependant en Bd avec un seul dieu: GOTLIB, et doute de son intérêt pour les messages sérieux;-))
Plusieurs petites choses ou précisions :
- la bande dessinée est un art narratif qui utilise trois modes d'action, de récit : le texte, l'image et la bande son (même si cette dernière ne peut être mise en oeuvre que par le lecteur, avec toutes les indications de l'auteur, taille des caractères, onomatopées, pictogrammes, idéogrammes...).
- l'élipse, en bédé est remarquablement diabolique et met en oeuvre toute l'attention du lecteur. Entre deux images, deux vignettes, il se passe tellement de choses...
- le travail de l'imagination n'est peut-être pas plus difficile que dans un roman, voir plus facile pour certains, mais comme le lecteur doit animer tout l'album, il s'avère que beaucoup d'adultes n'ayant pas lu de bédés jeunes ont beaucoup de mal à en lire maintenant.
- enfin, pour animer des ateliers de lectures de bandes dessinées en collège, en France, je ne suis pas certain que les jeunes lisent bien les albums de bédé. Ils en feuillettent beaucoup, au moins pour certains, mais que lisent-ils ? Quand je vois un jeune lire un Tintin ou un Astérix en 10 minutes, je me dis, beau survol mais pas bonne lecture !
- la bande dessinée est un art narratif qui utilise trois modes d'action, de récit : le texte, l'image et la bande son (même si cette dernière ne peut être mise en oeuvre que par le lecteur, avec toutes les indications de l'auteur, taille des caractères, onomatopées, pictogrammes, idéogrammes...).
- l'élipse, en bédé est remarquablement diabolique et met en oeuvre toute l'attention du lecteur. Entre deux images, deux vignettes, il se passe tellement de choses...
- le travail de l'imagination n'est peut-être pas plus difficile que dans un roman, voir plus facile pour certains, mais comme le lecteur doit animer tout l'album, il s'avère que beaucoup d'adultes n'ayant pas lu de bédés jeunes ont beaucoup de mal à en lire maintenant.
- enfin, pour animer des ateliers de lectures de bandes dessinées en collège, en France, je ne suis pas certain que les jeunes lisent bien les albums de bédé. Ils en feuillettent beaucoup, au moins pour certains, mais que lisent-ils ? Quand je vois un jeune lire un Tintin ou un Astérix en 10 minutes, je me dis, beau survol mais pas bonne lecture !
petites précisions également :
d'abord tu prêches une convaincue, or il me semble voir dans tes précisions les foudres d'un afficionado qui remet gentiment en place une néophyte ayant simplifié l'art de la bd, ce qui ne saurait être mon propos, et je m'en excuse si mon post est passé pour tel.
il s'avère que beaucoup d'adultes n'ayant pas lu de bédés jeunes ont beaucoup de mal à en lire maintenant.
je ne suis pas d'accord, pour justement, avoir lu peu de bande dessinée enfant-hum, en même temps, j'ai lu le journal de mickey..- ensuite tout s'apprend, même adulte on peut s'intéresser et s'imprégner de l'art de la bande dessinée, et non seulement en lire pour se détendre sans en saisir tous les mécanismes.
je ne suis pas certain que les jeunes lisent bien les albums de bédé. Ils en feuillettent beaucoup, au moins pour certains, mais que lisent-ils ? Quand je vois un jeune lire un Tintin ou un Astérix en 10 minutes, je me dis, beau survol mais pas bonne lecture !
Je ne prétends pas qu'ils les lisent bien. Je pense simplement à l'utilité qu'on peut en faire-et je ne dis pas par là qu'il faut en faire lire pour en tirer un usage autre que la bd elle -même!!!- je pense au tremplin qu'elle représente, tout en étant elle -même un pallier littéraire à part entière.
Enfin puisque tu animes des ateliers de bande dessinée, je pense qu'on s'accordera sur le principe qu'on peut enseigner à un enfant à lire bande dessinée ou roman, ou poésie, etc, etc.
Je ne sais pas, peut-être est ce un idéalisme juvénile, mais je ne crois pas au traditionnel : "les enfants n'aiment pas lire. rien n'y fera. De toute façon ils lisent mal, autant qu'ils ne lisent pas." On peut apprendre à aimer lire à un enfant (ça ce n'est pas de l'idéalisme, c'est la parole d'un ancien élève). On peut lui apprendre à bien lire. Suffit de s'en donner temps, et moyens, mais ceci est un autre débat...
d'abord tu prêches une convaincue, or il me semble voir dans tes précisions les foudres d'un afficionado qui remet gentiment en place une néophyte ayant simplifié l'art de la bd, ce qui ne saurait être mon propos, et je m'en excuse si mon post est passé pour tel.
il s'avère que beaucoup d'adultes n'ayant pas lu de bédés jeunes ont beaucoup de mal à en lire maintenant.
je ne suis pas d'accord, pour justement, avoir lu peu de bande dessinée enfant-hum, en même temps, j'ai lu le journal de mickey..- ensuite tout s'apprend, même adulte on peut s'intéresser et s'imprégner de l'art de la bande dessinée, et non seulement en lire pour se détendre sans en saisir tous les mécanismes.
je ne suis pas certain que les jeunes lisent bien les albums de bédé. Ils en feuillettent beaucoup, au moins pour certains, mais que lisent-ils ? Quand je vois un jeune lire un Tintin ou un Astérix en 10 minutes, je me dis, beau survol mais pas bonne lecture !
Je ne prétends pas qu'ils les lisent bien. Je pense simplement à l'utilité qu'on peut en faire-et je ne dis pas par là qu'il faut en faire lire pour en tirer un usage autre que la bd elle -même!!!- je pense au tremplin qu'elle représente, tout en étant elle -même un pallier littéraire à part entière.
Enfin puisque tu animes des ateliers de bande dessinée, je pense qu'on s'accordera sur le principe qu'on peut enseigner à un enfant à lire bande dessinée ou roman, ou poésie, etc, etc.
Je ne sais pas, peut-être est ce un idéalisme juvénile, mais je ne crois pas au traditionnel : "les enfants n'aiment pas lire. rien n'y fera. De toute façon ils lisent mal, autant qu'ils ne lisent pas." On peut apprendre à aimer lire à un enfant (ça ce n'est pas de l'idéalisme, c'est la parole d'un ancien élève). On peut lui apprendre à bien lire. Suffit de s'en donner temps, et moyens, mais ceci est un autre débat...
Je ne mettais rien de méchant dans mon texte, seulement mes convictions profondes... ;)
Je ne mettais rien de méchant dans mon texte, seulement mes convictions profondes... ;)
ceux qui aiment la bd se retrouvent, et s'y retrouvent, tant mieux, merci pour l'éclairage Shelton, ;-)
Quand je vois un jeune lire un Tintin ou un Astérix en 10 minutes, je me dis, beau survol mais pas bonne lecture !
Ils ont devant eux le plaisir de découvertes lors de "relectures"!
C'est une bonne remarque, indiscutablement... Mais le pédagogue, l'animateur d'atelier, le prescripteur, souhaiterait faire mieux que de permettre des relectures hypothétiques... C'est ainsi... mais c'est aussi une façon de se consoler que de dire que tout prendra forme lors de cette relecture... ;)
Mais le pédagogue, l'animateur d'atelier, le prescripteur, souhaiterait faire mieux que de permettre des relectures hypothétiques...
Ils font mieux, très souvent!
Je ne doute pas un seul instant que la passion sert la transmission et laisse une empreinte ...
Ils font mieux, très souvent!
Je ne doute pas un seul instant que la passion sert la transmission et laisse une empreinte ...
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre