J'ai fait du vide dans ma pile :
Mix ô ma prose France Tout est provisoire même ce titre (aphorismes) - lu
Pierre Lorrain France L'Ukraine - Une histoire entre deux destins (Un gros pavé : toute l'histoire de l'Ukraine) - lu
Julie Bonnie France Lalala est là ! (livre disque pour les petits) - écouté et lu
Sylvie Dazy France L'embâcle (roman) - lu
Jean-François Pigeat France L'ordre des choses (roman) - lu
Zijian Chi Chine A la cime des montagnes (roman) - lu
Carino Bucciarelli Belgique Mon hôte s'appelait Mal Waldron (roman)
Evelyne Wilwerth Belgique Tignasse étoile (roman)
Anne Duvivier Belgique Un amour de psy (roman) - lu
Françoise Pirart Belgique Beau comme l'éclipse (roman) - lu
Daniel Simon Belgique Au prochain je descends (poésie) - lu
Eva Kavian Belgique L'homme que j'aime (poésie) - lu
Daniel Fano Belgique Bientôt la convention des cannibales
Si je compte bien, plus que trois à lire, mais j'en ai reçu d'autres sans compter ce que j'ai ramené du salon du livre :
Anca Visdei - Roumanie - Alberto Giacometti - Ascèse et passion
Louis Dubost - France - Diogène ou la tête entre les genoux
Salvatore Guciardo - Italie/Belgique - Le voyageur intemporel
Tsering Dondrup - Tibet - Tempête rouge
Aurélien Dony - Belgique - Du feu dans les brindilles
Frédérique-Sophie - Braize - France - Lily sans logis
Carine-Laure Desguin - Belgique - Le transfert
Mix ô ma prose France Tout est provisoire même ce titre (aphorismes) - lu
Pierre Lorrain France L'Ukraine - Une histoire entre deux destins (Un gros pavé : toute l'histoire de l'Ukraine) - lu
Julie Bonnie France Lalala est là ! (livre disque pour les petits) - écouté et lu
Sylvie Dazy France L'embâcle (roman) - lu
Jean-François Pigeat France L'ordre des choses (roman) - lu
Zijian Chi Chine A la cime des montagnes (roman) - lu
Carino Bucciarelli Belgique Mon hôte s'appelait Mal Waldron (roman)
Evelyne Wilwerth Belgique Tignasse étoile (roman)
Anne Duvivier Belgique Un amour de psy (roman) - lu
Françoise Pirart Belgique Beau comme l'éclipse (roman) - lu
Daniel Simon Belgique Au prochain je descends (poésie) - lu
Eva Kavian Belgique L'homme que j'aime (poésie) - lu
Daniel Fano Belgique Bientôt la convention des cannibales
Si je compte bien, plus que trois à lire, mais j'en ai reçu d'autres sans compter ce que j'ai ramené du salon du livre :
Anca Visdei - Roumanie - Alberto Giacometti - Ascèse et passion
Louis Dubost - France - Diogène ou la tête entre les genoux
Salvatore Guciardo - Italie/Belgique - Le voyageur intemporel
Tsering Dondrup - Tibet - Tempête rouge
Aurélien Dony - Belgique - Du feu dans les brindilles
Frédérique-Sophie - Braize - France - Lily sans logis
Carine-Laure Desguin - Belgique - Le transfert
Au Livre Paris, nous, c'est surtout ma femme, avons acheté :
Russel Soaba - Papouasie Nouvelle Guinée - Maiba
Kow shih-Li - Malaisie - La somme de nos folies
Leïla Sebbar -France/Algérie - Les femmes au bain
Léonor de Recondo - France - Pietra viva
Véronique Bruez - France - Une jatte de fraise
Enis Batur - Turquie - Le facteur d'üskûdar
Albert Wendt - Samo Occidentales - Ces liens que l'on brise
Claire Keegan - Irlande - A travers les champs bleus
Avec deux doigts d'exotisme !
Russel Soaba - Papouasie Nouvelle Guinée - Maiba
Kow shih-Li - Malaisie - La somme de nos folies
Leïla Sebbar -France/Algérie - Les femmes au bain
Léonor de Recondo - France - Pietra viva
Véronique Bruez - France - Une jatte de fraise
Enis Batur - Turquie - Le facteur d'üskûdar
Albert Wendt - Samo Occidentales - Ces liens que l'on brise
Claire Keegan - Irlande - A travers les champs bleus
Avec deux doigts d'exotisme !
Alors, Rodrigue a-t-il du cœur ?
Je suis très content d'avoir lu Le Cid, que je n'avais jusque là pas eu l'occasion d'aborder (je suis plutôt de culture racinienne en matière de théâtre classique) ! Quelques passages m'ont paru forcé je dois dire, mais le style de l'époque qui veut ça !
Alors, Rodrigue a-t-il du cœur ?
Je suis très content d'avoir lu Le Cid, que je n'avais jusque là pas eu l'occasion d'aborder (je suis plutôt de culture racinienne en matière de théâtre classique) ! Quelques passages m'ont paru forcé je dois dire, mais le style de l'époque qui veut ça !
Pour moi, c'est très loin, je ne sais même plus si je l'ai en entier ou simplement des extraits au lycée.
Je lis l'Action, de Maurice Blondel. Un des meilleurs livres de philo que j'aie jamais ouvert, mais il faut goûter le style et persévérer car la lecture est ardue.
Je vous laisse ici un aperçu du style littéraire qui chez Blondel touche à la quasi-perfection (à mon humble avis). J'espère que cela éveillera votre curiosité :
Sujet : l'impuissance de la volonté.
« Il est vrai que certains obstacles peuvent être surmontés ; certaines résistances, vaincues ; certaines douleurs, comprises, acceptées et employées comme le stimulant salutaire d’une activité qui réussit à les faire entrer dans le plan volontaire d’une vie heureuse. Mais que de fois la douleur s’emporte au point de forcer l’homme à regretter d’être né ! De cette souffrance-là qui brise une vie sans la tuer, ou qui la tue sans l’avoir dépouillée de son prestige, point d’explication suffisante ni de déduction possible : c’est le scandale de la raison. Qu’importent les formules abstraites dont on se leurre, ou les théories générales dont on s’arme. Quelle inconnaissable différence entre ce qu’on sait et ce qu’on sent ! On a beau accepter et prévoir les fatigues, les dégoûts du travail, les revers de la fortune, les trahisons de la vie ; on en demeure toujours surpris et accablé, parce qu’elles frappent ailleurs qu’on ne l’avait redouté, autrement qu’on ne s’y attendait. Et ce n’est rien encore de les connaître par l’esprit ; le cruel c’est d’éprouver la déception et comme la meurtrissure de la volonté impuissante : « C’est donc impossible ; on n’y changera rien. »
« Où cette sujétion se marque peut-être plus cruellement encore, c’est dans l’impossibilité de remédier à nos actes et d’en laver les inévitables souillures. "Quoi ! ce que j’ai été assez fort pour faire, je ne suis pas assez fort pour le défaire ?" Non. "Quoi ! Ce que j’ai été assez faible pour ne pouvoir m’empêcher de commettre, je demeurerai incapable de l’effacer entièrement ?" Oui.
Il serait bien commode en vérité de désavouer par un décret ce qu’un acte a produit, comme si, après en avoir goûté les avantages, l’on n’avait plus qu’à cracher la pulpe sèche. Ce ne serait pas seulement injuste ; c’est impossible. Ce que j’ai fait, je ne l’ai jamais fait seul ; au dehors, et au-dedans de moi, le passé est à jamais. »
« Au dehors, en effet, nos œuvres, ainsi que des enfants détachés de nous, agissent à leur tour sans notre gré. Les enfants, eux, meurent ; les actes vivent, ils sont indestructibles. L’action est indélébile ; nul dédommagement n’est jamais une absolue réparation ; nulle expiation, nulle peine accumulée d’un côté de la balance ne relève l’autre plateau.
Le pire n’est pas de ne pouvoir changer nos actes, c’est que nos actes nous changent, au point que nous ne pouvons plus nous changer nous-mêmes.
L’homme a beau chercher en lui ou hors de lui, dans l’infini de la science ou de l’univers ; il est encore seul, et il ne peut rester seul. Cette impuissance n’est pas l’effet de son ignorance ; tout au contraire, plus il sait, plus il a, plus il est, et plus aussi s’avive la conscience qu’il n’a point, qu’il n’est pas ce qu’il veut."
Quasiment tout le livre est de ce niveau de réflexion et d'habillage littéraire. Dans la suite l'auteur tente de trouver un échappatoire à ce pessimisme apparent dans l'extrait.
Je vous laisse ici un aperçu du style littéraire qui chez Blondel touche à la quasi-perfection (à mon humble avis). J'espère que cela éveillera votre curiosité :
Sujet : l'impuissance de la volonté.
« Il est vrai que certains obstacles peuvent être surmontés ; certaines résistances, vaincues ; certaines douleurs, comprises, acceptées et employées comme le stimulant salutaire d’une activité qui réussit à les faire entrer dans le plan volontaire d’une vie heureuse. Mais que de fois la douleur s’emporte au point de forcer l’homme à regretter d’être né ! De cette souffrance-là qui brise une vie sans la tuer, ou qui la tue sans l’avoir dépouillée de son prestige, point d’explication suffisante ni de déduction possible : c’est le scandale de la raison. Qu’importent les formules abstraites dont on se leurre, ou les théories générales dont on s’arme. Quelle inconnaissable différence entre ce qu’on sait et ce qu’on sent ! On a beau accepter et prévoir les fatigues, les dégoûts du travail, les revers de la fortune, les trahisons de la vie ; on en demeure toujours surpris et accablé, parce qu’elles frappent ailleurs qu’on ne l’avait redouté, autrement qu’on ne s’y attendait. Et ce n’est rien encore de les connaître par l’esprit ; le cruel c’est d’éprouver la déception et comme la meurtrissure de la volonté impuissante : « C’est donc impossible ; on n’y changera rien. »
« Où cette sujétion se marque peut-être plus cruellement encore, c’est dans l’impossibilité de remédier à nos actes et d’en laver les inévitables souillures. "Quoi ! ce que j’ai été assez fort pour faire, je ne suis pas assez fort pour le défaire ?" Non. "Quoi ! Ce que j’ai été assez faible pour ne pouvoir m’empêcher de commettre, je demeurerai incapable de l’effacer entièrement ?" Oui.
Il serait bien commode en vérité de désavouer par un décret ce qu’un acte a produit, comme si, après en avoir goûté les avantages, l’on n’avait plus qu’à cracher la pulpe sèche. Ce ne serait pas seulement injuste ; c’est impossible. Ce que j’ai fait, je ne l’ai jamais fait seul ; au dehors, et au-dedans de moi, le passé est à jamais. »
« Au dehors, en effet, nos œuvres, ainsi que des enfants détachés de nous, agissent à leur tour sans notre gré. Les enfants, eux, meurent ; les actes vivent, ils sont indestructibles. L’action est indélébile ; nul dédommagement n’est jamais une absolue réparation ; nulle expiation, nulle peine accumulée d’un côté de la balance ne relève l’autre plateau.
Le pire n’est pas de ne pouvoir changer nos actes, c’est que nos actes nous changent, au point que nous ne pouvons plus nous changer nous-mêmes.
L’homme a beau chercher en lui ou hors de lui, dans l’infini de la science ou de l’univers ; il est encore seul, et il ne peut rester seul. Cette impuissance n’est pas l’effet de son ignorance ; tout au contraire, plus il sait, plus il a, plus il est, et plus aussi s’avive la conscience qu’il n’a point, qu’il n’est pas ce qu’il veut."
Quasiment tout le livre est de ce niveau de réflexion et d'habillage littéraire. Dans la suite l'auteur tente de trouver un échappatoire à ce pessimisme apparent dans l'extrait.
J'ai commencé à lire "Précis républicain à l'usage des québécois", un essai politique écrit par Danic Parenteau.
Dans les forêts de Sibérie. Il me vient soudain des idées...
C'est le livre de l'aventurier Français, Sylvain Tesson ? Ca donne envie ? Le froid, la solitude ? Dur quand même non ?
Je viens de commencer un livre pour le prix CL, catégorie franco (j'ai oublié le titre). Je lis aussi un essai scientifique (vulgarisé) sur le sommeil, très intéressant. Un essai sur Malègue, aussi très intéressant. Et j'aborde un livre de poésie, "La quête de la joie" de la Tour du Pin avec beaucoup de respect et de crainte (je n'avais jamais lu de poésie auparavant).
Je viens de commencer un livre pour le prix CL, catégorie franco (j'ai oublié le titre). Je lis aussi un essai scientifique (vulgarisé) sur le sommeil, très intéressant. Un essai sur Malègue, aussi très intéressant. Et j'aborde un livre de poésie, "La quête de la joie" de la Tour du Pin avec beaucoup de respect et de crainte (je n'avais jamais lu de poésie auparavant).
C'est le livre de l'aventurier Français, Sylvain Tesson ? Ca donne envie ? Le froid, la solitude ? Dur quand même non ?
C'est ça, effectivement!
Oh trop dur la solitude...! Je suis dans ma phase misanthrope, je rêve d'une pleine semaine (je ne suis pas gourmand, pas 6 mois comme Sylvain Tesson) tout seul en ermite.
C'est un personnage hors norme ce Sylvain Tesson, je l'avais écouter à une conférence et il était vraiment passionnant.
Une pleine semaine à l'écart, c'est l'idéal. Il m'arrive de prendre quelques jours pour moi, ça fait un bien fou.
Une pleine semaine à l'écart, c'est l'idéal. Il m'arrive de prendre quelques jours pour moi, ça fait un bien fou.
C'est un personnage hors norme ce Sylvain Tesson, je l'avais écouter à une conférence et il était vraiment passionnant.
Une pleine semaine à l'écart, c'est l'idéal. Il m'arrive de prendre quelques jours pour moi, ça fait un bien fou.
100% d'accord avec toi Saule.
Sylvain Tesson fait partie des "écrivains-aventurier" qui SAIT de quoi il parle car il l'a vécu.
Un style incroyable, une ironie corrosive, une intelligence hors norme et une érudition en béton armé....
N'en jetez plus, je suis fan !
Sylvain Tesson fait partie des "écrivains-aventurier" qui SAIT de quoi il parle car il l'a vécu.
Un style incroyable, une ironie corrosive, une intelligence hors norme et une érudition en béton armé....
N'en jetez plus, je suis fan !
Perso j'avais été déçu de ma lecture de "l"Axe du Loup". Je regrette l'équipe qu'il faisait avec Alexandre Poussin dans "La Marche dans le ciel" que j'avais adoré.
Je viens de finir "les Déraisons" d'Odile d'Oultremont: je n'ai pas du tout accroché.
Je feuillette une énorme monographie-catalogue consacré au peintre Benjamin-Constant: je regarde surtout les images.., certains de ses tableaux sont magnifiques.
Je vais attaquer je pense "Le Songe d'une nuit d'été"
Je feuillette une énorme monographie-catalogue consacré au peintre Benjamin-Constant: je regarde surtout les images.., certains de ses tableaux sont magnifiques.
Je vais attaquer je pense "Le Songe d'une nuit d'été"
C'est un personnage hors norme ce Sylvain Tesson, je l'avais écouter à une conférence et il était vraiment passionnant.
Une pleine semaine à l'écart, c'est l'idéal. Il m'arrive de prendre quelques jours pour moi, ça fait un bien fou.
100% d'accord avec toi Saule.
Sylvain Tesson fait partie des "écrivains-aventurier" qui SAIT de quoi il parle car il l'a vécu.
Un style incroyable, une ironie corrosive, une intelligence hors norme et une érudition en béton armé....
N'en jetez plus, je suis fan !
Je viens de terminer "Un été avec Homère", et je partage complètement ton enthousiasme !
Sylvain Tesson fait partie des "écrivains-aventurier" qui SAIT de quoi il parle car il l'a vécu.
Un style incroyable, une ironie corrosive, une intelligence hors norme et une érudition en béton armé....
N'en jetez plus, je suis fan !
Perso j'avais été déçu de ma lecture de "l"Axe du Loup". Je regrette l'équipe qu'il faisait avec Alexandre Poussin dans "La Marche dans le ciel" que j'avais adoré.
J'avais adoré l'axe du loup...Tesson en nouvelliste est moins convaincant en revanche.
Panne de lecture pour moi.
Que c’est intéressant ! Vos commentaires sur Tesson. J’avoue être allergique à sa voix lorsque je l’entends à la radio. A chaque fois, je l’ai trouvé hautain, sûr de lui, qui se prenait trop au sérieux (j’avoue j’aime les gens qui savent manier l’autodérision), et nullement modeste. J’avais commencé Homère et je n’ai pu rentrer dedans.
Je vais donc tâcher de lire son excursion en Sibérie. Et peut-être deviendrais-je une inconditionnelle de cet écrivain.
Que c’est intéressant ! Vos commentaires sur Tesson. J’avoue être allergique à sa voix lorsque je l’entends à la radio. A chaque fois, je l’ai trouvé hautain, sûr de lui, qui se prenait trop au sérieux (j’avoue j’aime les gens qui savent manier l’autodérision), et nullement modeste. J’avais commencé Homère et je n’ai pu rentrer dedans.
Je vais donc tâcher de lire son excursion en Sibérie. Et peut-être deviendrais-je une inconditionnelle de cet écrivain.
Je croule sous les arrivages, je lis dès que j'i un bout de temps mais je reçois des livres tous les jours. au moins quinze en attente sur la pile !
Panne de lecture pour moi.
Que c’est intéressant ! Vos commentaires sur Tesson. J’avoue être allergique à sa voix lorsque je l’entends à la radio. A chaque fois, je l’ai trouvé hautain, sûr de lui, qui se prenait trop au sérieux (j’avoue j’aime les gens qui savent manier l’autodérision), et nullement modeste. J’avais commencé Homère et je n’ai pu rentrer dedans.
Je vais donc tâcher de lire son excursion en Sibérie. Et peut-être deviendrais-je une inconditionnelle de cet écrivain.
Tu as en partie raison sur "Tesson à l'oral", il est parfois un peu pédant mais tellement intéressant.
Je suis un grand fan de ses livres d'aventure.
Bonne lecture !
Panne de lecture pour moi.
Que c’est intéressant ! Vos commentaires sur Tesson. J’avoue être allergique à sa voix lorsque je l’entends à la radio. A chaque fois, je l’ai trouvé hautain, sûr de lui, qui se prenait trop au sérieux (j’avoue j’aime les gens qui savent manier l’autodérision), et nullement modeste. J’avais commencé Homère et je n’ai pu rentrer dedans.
Je vais donc tâcher de lire son excursion en Sibérie. Et peut-être deviendrais-je une inconditionnelle de cet écrivain.
Tu as en partie raison sur "Tesson à l'oral", il est parfois un peu pédant mais tellement intéressant.
Je suis un grand fan de ses livres d'aventure.
Bonne lecture !
Quel hasard! je viens d’entamer « l’axe du loup » dudit Tesson que je ne connaissais que de nom; je ne l’ai jamais vu ni entendu, et ne peux donc pas me faire une opinion du personnage. Par contre le gaillard a du cran! Il me rappelle un peu Sophie dans « les compagnons du coquelicot » de Troyat que j’ai lu il y a vingt ans, quand elle traverse l’hiver russe, jusqu’au lac Baikal pour y rejoindre son mari Nicolas, emprisonné. S’il me convainc j’en lirai d’autres. Mais s’il est pédant je ne chercherai pas à l’ecouter.
Je suis dans les "Trois Mousquetaires", je n'arrive plus à me souvenir si je l'ai lu...Il serait temps en tout cas ! Mon seul souvenir certain des "Trois mousquetaires" c'est d'avoir vu, et revu, enfant, son inénarrable adaptation comique avec Les Charlots...
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre