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Dans sa critique, Thomas Fors parle d'une dualité entre satanisme et idéal.
Les dessins de Matisse dans l'édition de Jules doivent joliment illustrer le côté "idéal".
Moi, je possède une belle édition illustrée par des gravures de Félicien Rops, qui résonnent parfaitement avec l'aspect satanique.
Il faudrait avoir les deux, selon l'humeur du moment.
Un de mes livres fétiches en tout cas!
Les dessins de Matisse dans l'édition de Jules doivent joliment illustrer le côté "idéal".
Moi, je possède une belle édition illustrée par des gravures de Félicien Rops, qui résonnent parfaitement avec l'aspect satanique.
Il faudrait avoir les deux, selon l'humeur du moment.
Un de mes livres fétiches en tout cas!
Ras le bol de la cuistrerie. Une critique éclair lapidaire "Palais fécal", 2 étoiles et demi pour ce monument de la littérature, ça coince. Le site s'appelle "critiques libres" ce qui signifie que nous venons librement y déposer ce que nous voulons. pour certains c'est une réflexion sur le livre, un commentaire intéressant, pour d'autres, c'est un caca. Fait-il supporter ce dernier? Je vous l'avoue j'ai du mal.
Je suppose que ce "Froide" qui s'estime bien au-dessus de Baudelaire doit adorer Hervé Vilard. Qu'en penses-tu Clamence?
Je suppose que ce "Froide" qui s'estime bien au-dessus de Baudelaire doit adorer Hervé Vilard. Qu'en penses-tu Clamence?
Je suppose que ce "Froide" qui s'estime bien au-dessus de Baudelaire doit adorer Hervé Vilard. Qu'en penses-tu Clamence?
ahhhhh!!!
"palais fécal ", Les Fleurs du mal? Froide n'aurait pas confondu avec les tragiques "fleurs du bien", de notre inestimable auteur pascal Obispo?
Cette oeuvre (Charles, bien sûr), découverte en seconde, fut un bouleversement esthétique complet, le premier pour l'adolescente que j'étais. Sans développer par manque de temps, on peut ne pas apprécier cet esthétique du laid, ou bien plutôt de la beauté dans la laideur, la fange, le stupre, l'évanescent, l'éphémère, et que sais -je encore. Sachez Froide, que nier -objectivement parlant- la grandeur d'une telle oeuvre, c'est aussi cracher sur tant d'auteurs qui ont adjuré le roman, le théâtre- bref le style - classique, souvent emprunté de valeurs héroïques, positives, pour découper, charcuter, dépecer avec virulence la boue du monde (entre autre, et je ne citerai que lui, Voyage au bout de la nuit, LF Céline)
On peut, on a le droit de détester Baudelaire, on dit alors, "je trouve que" .Nier sa subjectivité c'est s'ériger en juge(ment) de valeur. Et ça n'a rien de constructif.
P.S: je ne prétends pas non plus faire un cours de littérature classique vs moderne, je ne jette que des bribes infimes de raccourcis sur le sujet..
tant d'auteurs qui ont adjuré le roman, le théâtre- bref le style - classique
bien sûr, j'ai encore abusé du jus de pomme, rien à voir avec adjurer, abjurer ne convient pas vraiment non plus, disons, qui abhorrent, qui ont renoncé, rejeté, etc.
mea maxima culpa
ah, j'oubliais, pour relayer Zaphod: Rops. définitivement.
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