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Un subtil appel aux dons d’organes.
Après avoir parcouru la critique-éclair de Rotko à propos du livre "J'abandonne" de Philippe Claudel, j’ai voulu le relire car il ne m’avait pas du tout laissé ce sentiment d'entériner les préjugés hostiles aux dons d'organes.
Ainsi, après relecture, et au risque de m’opposer fondamentalement à ses conclusions, ce livre demeure, pour moi, un admirable appel aux dons d’organes mené par la plume subtile de Philippe Claudel.
Même si l’ensemble du livre peut laisser supposer l’inverse, la scène finale ne conduit-elle pas le personnage principal à une indéniable renaissance ? Lui qui nous avait entraîné tout au long du texte aux portes de l’abandon total. Et c’est cette femme éplorée qui vient de perdre sa fille de 17 ans, qui, par ses “actes”, va lui permettre de redevenir un être humain dans le monde des vivants. Elle lui fait don de cet espoir qui va les mener, lui et sa fille, dans la beauté de la vie.
Après avoir parcouru la critique-éclair de Rotko à propos du livre "J'abandonne" de Philippe Claudel, j’ai voulu le relire car il ne m’avait pas du tout laissé ce sentiment d'entériner les préjugés hostiles aux dons d'organes.
Ainsi, après relecture, et au risque de m’opposer fondamentalement à ses conclusions, ce livre demeure, pour moi, un admirable appel aux dons d’organes mené par la plume subtile de Philippe Claudel.
Même si l’ensemble du livre peut laisser supposer l’inverse, la scène finale ne conduit-elle pas le personnage principal à une indéniable renaissance ? Lui qui nous avait entraîné tout au long du texte aux portes de l’abandon total. Et c’est cette femme éplorée qui vient de perdre sa fille de 17 ans, qui, par ses “actes”, va lui permettre de redevenir un être humain dans le monde des vivants. Elle lui fait don de cet espoir qui va les mener, lui et sa fille, dans la beauté de la vie.
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