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Amazon.fr ne propose pas ce dernier ouvrage de Bruno Hébert, édité chez Leméac, et je ne peux donc pas entrer ma critique.
Je profite donc du forum livres pour parler de :
Le jeu de l'épave 134 p.
Ce n'est certainement pas le bon livre pour faire connaissance avec Bruno Hébert : Je suis bien incapable de démêler la part d'autofiction, le but recherché si c'est le personnage de Bruno Hébert qu'il met en scène, ou le but tout court, d'ailleurs...
Par contre le thème est lui très clair, l'incapacité d'écrire d'un auteur, prêt à tout pour gagner un peu d'argent avec ce qu'il n'écrit pas, sous le coup d'une peine de coeur et en rupture familiale et sociale.
Si mes propos sont un peu sévères, c'est que j'ai trouvé de fort jolies choses malgré tout dans ces 134 pages rassemblées, et je suis un peu frustrée au "clic. Envoyé." final.
C'est comme une sorte de roman-apéritif; on est alléchés, mis en appétit mais on nécessite le repas derrière...
Alors j'attends le prochain roman...
3,5/5
p. 47 : "Si vous écrivez directement à la machine, vous n'êtes pas un écrivain, vous êtes un dactylographe, un scénariste ou un journaliste. Ce n'est pas un péché. Seulement ce n'est pas le même métier. Ecrire, cela veut dire écrire. C'est un rapport concret et soutenu entre la plume, l'encre et le papier. Tout autre accessoire est une illusion, pire encore, une vanité."
p. 90 "C'est horrible, mais c'est la vérité; pas la seule, heureusement, mais une vérité quand même. C'est souvent par dégoût de soi-même qu'on choisit d'être vertueux."
Je profite donc du forum livres pour parler de :
Le jeu de l'épave 134 p.
Ce n'est certainement pas le bon livre pour faire connaissance avec Bruno Hébert : Je suis bien incapable de démêler la part d'autofiction, le but recherché si c'est le personnage de Bruno Hébert qu'il met en scène, ou le but tout court, d'ailleurs...
Par contre le thème est lui très clair, l'incapacité d'écrire d'un auteur, prêt à tout pour gagner un peu d'argent avec ce qu'il n'écrit pas, sous le coup d'une peine de coeur et en rupture familiale et sociale.
Si mes propos sont un peu sévères, c'est que j'ai trouvé de fort jolies choses malgré tout dans ces 134 pages rassemblées, et je suis un peu frustrée au "clic. Envoyé." final.
C'est comme une sorte de roman-apéritif; on est alléchés, mis en appétit mais on nécessite le repas derrière...
Alors j'attends le prochain roman...
3,5/5
p. 47 : "Si vous écrivez directement à la machine, vous n'êtes pas un écrivain, vous êtes un dactylographe, un scénariste ou un journaliste. Ce n'est pas un péché. Seulement ce n'est pas le même métier. Ecrire, cela veut dire écrire. C'est un rapport concret et soutenu entre la plume, l'encre et le papier. Tout autre accessoire est une illusion, pire encore, une vanité."
p. 90 "C'est horrible, mais c'est la vérité; pas la seule, heureusement, mais une vérité quand même. C'est souvent par dégoût de soi-même qu'on choisit d'être vertueux."
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