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Forums  :  Vos écrits  :  ESSOUFFLEMENTS, Roman

Saint Jean-Baptiste 12/06/2005 @ 19:21:51
L'homme est seul sur scène et il rit !
Enfin, rit-il ? Non pas vraiment : il montre ses dents.
L'homme est habillé tout en noir, le décor est tout noir, une voix parle :
- Regardez cet homme, Mesdames et Messieurs, regardez-le bien, il va se disparaître lui-même !
La salle fait :
- Ohhhh !!
La voix reprend :
- Maintenant, fermez les yeux et comptez tout bas jusqu'à dix !
Pour contrecarrer un tricheur éventuel on éteint les lampes pendant dix secondes.
Et puis on les rallume.. .. L'homme qui se disparaît lui-même, a disparu !
La salle saisie de stupeur, pour ne pas dire d'effroi, fait :
- Ohhhh !!
Et la voix annonce :
- Mesdames et Messieurs n'oubliez pas le service, le spectacle est terminé.

Le second tome aussi !
(Un volontaire est demandé pour écrire le troisième.)
:o)

Kadri.md 12/06/2005 @ 20:23:23
Tome 1 "FADNOUN"

"Entre le plateau du Tinhert et Tassili N' Ajjers...au-delà de l' erg Issaouane...vers là où le soleil se couche, disaient les anciens... s' étend une terre aride, farouche, hostile, ténébreuse, redoutable...c' est le royaume du Fadnoun.".

--Terrible que cet endroit-là, leur dit l' adjudant-chef...

----------------
CHAPITRE PREMIER

Tewfiq Baali écarte le rideau de sa mansarde plongée dans la pénombre.Reflété par le revêtement aluminuium de l' immeuble d' en-face, l' aveuglant éclat du soleil au zenith pénètre fulgureusement, en lui flashant la rétine, au plus profond de son cerveau, le privant momentanément de la vue.
Ebloui, il tente de se proteger les yeux avec le revers des doigts.En vain.Il a le vertige.Sa tête veut éclater.
L' empreinte phosphorescente du rayon persiste fébrilement dans le noir de l' humeur aqueuse.Titubant en aveugle jusqu' à la porte, il attend, le dos raide appuyé au mur adjaçant, que la torpeur qui le paralyse se dissipe, avant de descendre.Il aurait donné n' importe quoi s' il avait pu trouver le sommeil profond et réparateur qui lui aurait épargné cette sortie indésirée.Toute la matinée, il a dû se contenter d' une somnolence pénible, le corps nu ruisselant de sueur et l' estomac agité de crampes douloureuses.Il aurait tant voulu attendre l' obscurité pour décrocher.L' idée de partir ne le quitte pas.En réalité, il peut rester plus longtemps à Alger.Il n' a plus rien à y faire.Il y a joué toutes ses cartes.La passion qui 'il cru demeurée vibrante en son coeur s' estompe graduellement.Qu' a-t-il fait sinon que de chercher à faire durer l' espoir de l' attente.Une attente devenue trop longue, trop incertaine.Une attente qui a marié trop facilement prétextes et illusions, qui a refusé la séduisante interference de forces occultes.
Peu à peu, il recouvre ses sens et peut avancer vers les escaliers.
Bizarrement, aujourd'hui, il a l' impression que chaque marche qu' il descend l' éloigne d' un cran de l' objectif qu' il a vainement tenté d' atteindre jurqu' ici, et qu' un ennemi inisible n' a cessé de lui ravir.
Assurément, cette cage d' escaliers à la peinture fauve défraîchie, ne peut que faire déboucher sur les cruelles réalité de la vie que son la méchanceté, l' hypocrisie, l' égoïsme, la trahison, la cupidité.
Dehors, les rues sont désertes et chaudes.Ramandhan emprisonne encore les gens chez eux.Seuls quelques rodeurs ivre-affamés tanguent sur la largeur des trottoirs.
L' air est empli d' une sorte de poussière brumeuse en suspension, à l' aspect apocalyptique.Les façades des immeubles semblent vasciller sous le poids de la chaleur.Le bitume de la chaussée atteint à certains endroits le degré de liquéfaction.
Tewfiq sort du batiment.Un souffle brûlant lui lèche le visage au seuil.Il recherche l' ombre, en rasant les murs.Il cligne sans cesse des yeux.Sa langue est pâteuse.Il avale difficillement la salive.Il se dirige résolument vers les boulevards du centre.
En marchant, il pense qu' une autre vie aurait pu exister pour lui ailleurs.Une vie différente de celle qu' il a mené à tambours battants depuis son enfance.Seul.Singulièrement seul.
Chaque année, une baie vitrée donnant sur un paysage immuable.Et chaque jour, à chaque heure, un oracle dictant un code moral et civique idéal, ainsi que quelques rudiments de la connaissance universelle.
Une vie dans un monde neuf, qui ne serait pas en vase-clos, fait pour lui seul, à sa mesure, douloureusement seul.
-------------
Remarque de l' auteur:

Maintenant que les faux critiques ont épuisé leur venin , j' espère qu' ils vont rester muets et écouter de véritables échanges littéraires.Si le texte plait aux lecteurs, la suite arrive!

Djamel Kadri.

Sibylline 12/06/2005 @ 20:30:10

Remarque de l' auteur:

Maintenant que les faux critiques ont épuisé leur venin , j' espère qu' ils vont rester muets et écouter de véritables échanges littéraires.Si le texte plait aux lecteurs, la suite arrive!

Djamel Kadri.

Ce style me rappelle quelqu'un... ;-)

Spirit
avatar 12/06/2005 @ 20:39:32
Remarque de l' auteur:

Maintenant que les faux critiques ont épuisé leur venin , j' espère qu' ils vont rester muets et écouter de véritables échanges littéraires.Si le texte plait aux lecteurs, la suite arrive!

Djamel Kadri.






Il ne m'a semblé lire que des interventions d'humour mais si l'AUTEUR pense que son oeuvre ne mérite ni nos yeux,ni nos cerveaux de vils gueux,je pense que Gallimard est encore ouvert et attend avec impatience ce livre qui sera très certainement celui du siécle.
Pour faire simple si il y a une chose que je n'aime pas s'est être pris pour une merde par quelqu'un que je ne connais pas(d'ailleurs si je le connais c'est pareil).
J'espére que ce n'est,de la part le l'AUTEUR,qu'une manifestation d'un humour "pince-sans-rire" que l'on pratique dans les salons bien fréquentés.

Mentor 12/06/2005 @ 21:44:33
Remarque de l' auteur:
Maintenant que les faux critiques ont épuisé leur venin , j' espère qu' ils vont rester muets et écouter de véritables échanges littéraires.Si le texte plait aux lecteurs, la suite arrive!
Djamel Kadri.
Maladroit Djamel, très maladroit si tu as vraiment envie qu'on te lise. Pourquoi donc n'as-tu pas fait une intervention plus rapide lorsque tu as vu les réactions humoristiques après ton premier post raté?! Cela sans doute aurait évité de faire penser aux "vrais" critiqueurs habituels que tu les considères comme inaptes à te lire et déposer leurs avis.Très dommage je crois.
Mais après tout ça te regarde.
Pour ma part je t'ai lu. Je trouve qu'il y a trop d'adjectifs et d'adverbes "inutiles" qui alourdissent le propos. Bien sûr ça fait très littéraire. Ca fait vocabulaire riche. Mais je trouve ça encombrant car tes descriptions pour rendre l'atmosphère étouffante de chaleur des rues d'Alger sont belles.
Et puis, pour une intro, je trouve que tu n'en dis pas tout à fait assez sur ton personnage principal pour donner vraiment envie de lire la suite.
A toi de voir.
A la prochaine peut-être et essaie d'être un tout petit peu plus "humble", conseil d'un non-écrivain amateur qui adore lire et aime bien critiquer ceux qui supportent la critique d'où qu'elle vienne. ;-)

Sahkti
avatar 12/06/2005 @ 21:50:08
Entre les fautes d'orthographe et la ponctuation qui se met en grève comme la SNCF, faut débroussailler pas mal pour trouver un peu d'air. De bleu, que c'est dense! Beaucoup trop à mes yeux, on n'a pas le temps de respirer ou d'y voir clair, ça étouffe complètement mon plaisir de lectrice.
De surcroît, je n'ai ressenti aucune âme dans ce texte alors que tu abordes un sujet qui en regorge. Rien ne vit, rien ne bouge, j'ai trouvé cela un peu trop terne et narratif.
Pas aimé, pas du tout. L'Alger que je connais a du sang chaud qui lui brûle les veines. Ici, c'est froid, calculé et triste. Oui, triste. Désolée, je ne trouve pas ça bon.

Tistou 13/06/2005 @ 10:26:44
Kadri.md, bonjour.
Je ne sais pas si la façon dont tu as procédé était volontaire. Si c'est le cas, c'cest maladroit, indisposant. C'était t'exposer aux posts que tu as reçus, qui n'étaient là que pour en savoir plus. Te lancer une bouée quoi.
Imagine. Je fais pareil.

Essouflements. Critique détaillée en 3 paragraphes.

Tistou 13/06/2005 @ 10:27:19
...

Tistou 13/06/2005 @ 10:28:00
Et pas de nouvelles pendant 4 jours.
Ca fait con, non ?

Tistou 13/06/2005 @ 10:37:40
Alors comme on n'est pas des mauvais bougres, je vais quand même, comme l'ont déja fait 2 critiqueurs, te dire ce que je ressens.
Un peu comme Sahkti. Trop grande densité, étouffante (pas de chaleur, mais à la lecture). Des fautes qui me font sursauter quand je vois la richesse du vocabulaire employé, les 2 ne collent pas ensemble. Et un début qui ne dit pas grand chose puisqu'il ne permet pas d'appréhender la problématique de Baali. Il aurait peut être fallu en mettre plus ?

Par ailleurs, qualifier ceux qui t'ont mis des posts de faux critiqueurs, c'est embêtant vu que ce sont les plus actifs dans le domaine de la critique sur ce site ! Qui vaut ce qu'elle vaut, mais c'est toi qui est venu sur C.L. (Bon choix à mon avis).
Si tu veux rattraper ta mauvaise entame sur C.L., il vaut mieux prendre à la rigolade ce qui t'avait été écrit. Sans humour, ça va être dur sinon. Alors bienvenue à toi si tu es capable de dépasser ce premier mauvais contact.

Saint Jean-Baptiste 13/06/2005 @ 14:43:50
"Les faux critiques ont épuisé leur venin ?"
Mais qu'est-ce que tu racontes ! Ils ne l'ont même pas entamé !
Si tu savais de quoi ils sont capables quand ils s'y mettent ! :o))

Bon de faux critique je me mue en critique (je vais essayer, c'est plus difficile).
Je trouve que l'action commence bien, mais que le personnage est plutôt mal typé. On ne voit pas ses raisons, on ne voit pas qui il est.
On ne voit pas bien ce qu'il abandonne, alors qu'on le voit déjà partir (c'est peut-être seulement une mauvaise coupure de l'extrait ?).
Sinon, quelques maladresses et fautes bénignes, évitables moyennant une relecture attentive.

Encore bravo pour le suspens du départ ! :o)
Jusqu'ici, pas d'essoufflement, alors, tu continues ?

Kadri.md 13/06/2005 @ 18:21:51
Je vais répondre aux critiques qui sont entrés dans le débat littéraire:

Sibylline:

M' accuseriez déjà d' être un plagieur,
après quelques lignes de lecture?Si oui, apportez-en les preuves et ne laissez pas planer le doute.

Spirit:

Vous auriez subi un affront de ma part, alors que je ne vous ai pas cité nommément?
J' ai parlé des "faux critiques ", qui disent n' importe quoi, à tout bout de champs.Si cette tribune est faite pour cela, alors je me serais trompé de site d' hébergement.

Mentor:

-Je ne comprends pas qu' un critique puisse arriver à doser les qualificatifs d' un texte, alors que le narrateur lui-même n' y parvient jamais.

- Si vous m' avez demandé d' être humble, c' est que vous avez trouvé, quelque part, de la prétention dans le texte.A moins que vous n' ayiez decelé un zeste de talent?
Attendez, SVP, de lire la suite avant de faire cette affirmation gratuite.

Sakhti:

-Si vous vous interessez à mon orthographe,
et à la ponctuation, rien ne me ferait plus plaisir que de vous donner le texte à corriger.J' ai appris le mien il y a fort longtemps, et j' ai dû oublier...Aujourd' hui, les logiciels permettent de tromper les correcteurs que vous êtes.En écrivant, j' avais "oublié" de passer par là.Lorsque j' avais six ans, j' avais en tous cas 10 sur 10 en dictée!Parole d' honneur!

-Vous n' avez pas trouvé d' âme à mon écriture?Mensonge?Envie?
Au contraire, toute mon énergie a tendu à donner une âme à cette oeuvre.Et je ne prétends pas y être parvenu.Il ne s' agissait pas d' arriver à une création déiste, détrompez-vous. Ce n' est pas vers cette quête que je me suis dirigé initialement, mais plutôt pour dépeindre une condition humaine donnée.Si Alger la Blanche a été dépeinte dans une torpeur brumeuse à un moment donné, cela arrive dans toutes les villes du monde.Si le bleu de son ciel vous plait, moi-aussi, mais pas la saleté des rues de toutes les capitales du monde que j' ai visitées.

Tiston:

-Vous trouvez le texte trop dense?Moi aussi.
Tant mieux!

-Le texte aurait "pêché" par les fautes d' orthographe, malgré "sa richesse", c 'est là votre expression?C' est le contraire qui aurait été lamentable, n' est-ce pas?

Jean-baptiste:

La plus pertinente des critiques, de mon point de vue.Oui, vous avez raison, il faut attendre la suite, qui arrive incessement.

Merci à tous pour votre patience!

Djamel Kadri.

Kilis 13/06/2005 @ 18:31:33
Dis, Djamel Kadri, si tu demandes à être commenté et que tu n'acceptes aucun des points de vue des personnes qui ont pris la peine de lire et de commenter ton texte... alors ce n'est vraiment pas la peine que tu nous en resserves.
Si c'est uniquement des flatteries que tu cherches, ce n'est pas la bonne adresse. Nous avons l'habitude ici de dire ce que nous pensons sincèrement.

Sibylline 13/06/2005 @ 18:46:03
Sibylline:

M' accuseriez déjà d' être un plagieur,
après quelques lignes de lecture?Si oui, apportez-en les preuves et ne laissez pas planer le doute.
.

Qui a parlé de plagiat, cher Ludico?? ?

Sahkti
avatar 13/06/2005 @ 18:58:17
Vous n' avez pas trouvé d' âme à mon écriture?Mensonge?Envie?

Envie d'écrire de cette manière? Que le ciel m'en préserve!
Mensonge? Aucun intérêt à mentir à un clone, y a que George Lucas qui perd son temps à jouer à ça.

Il ne s' agissait pas d' arriver à une création déiste, détrompez-vous.

J'ai parlé de Dieu? Ha oui??!! Moi? Bigre...

Ce n' est pas vers cette quête que je me suis dirigé initialement, mais plutôt pour dépeindre une condition humaine donnée.

Permettez-moi de vous le redire: c'est dès lors complètement raté. Aucune condition humaine dans ce dont vous parlez.

Si le bleu de son ciel vous plait, moi-aussi, mais pas la saleté des rues de toutes les capitales du monde que j' ai visitées.
Z'avez pas dû visiter Noumea et Dublin, c'est pour ça... Et ce qui me plaît à Alger n'est pas le bleu de son ciel mais le rouge de son sang que vous ne semblez point connaître.

Je vous informe de suite que je ne lirai pas la suite de votre texte. Non pas parce qu'il est mauvais, il faut donner sa chance à tout le monde, mais parce que vous n'êtes pas prêt à essuyer la critique et que j'ai horreur qu'on se foute de ma fiole. Je suis du genre "killeuse", ça ferait tache.

Mentor 13/06/2005 @ 22:27:39
Je vais répondre aux critiques qui sont entrés dans le débat littéraire:
Mentor:
-Je ne comprends pas qu' un critique puisse arriver à doser les qualificatifs d' un texte, alors que le narrateur lui-même n' y parvient jamais.
- Si vous m' avez demandé d' être humble, c' est que vous avez trouvé, quelque part, de la prétention dans le texte.A moins que vous n' ayiez decelé un zeste de talent?
Attendez, SVP, de lire la suite avant de faire cette affirmation gratuite.
Djamel Kadri.
Djamel,
1 - je dis que je trouve trop de qualificatifs inutiles dans ton texte. Je le re-dis. C'est MON sentiment, pas forcément LA VERITE. Si tu n'es pas d'accord, surtout ne change rien! ;-))
2 - Essaye de rester humble. Rien à voir avec ton texte. Mais avec ton attitude par rapport aux remarques humoristiques qui sont tombées drues avant que tu ne daignes refaire une apparition.
Mais je vois que l'humilité n'est pas ton fort. Tu as sans doute d'autres qualités. Il faudrait les utiliser à te présenter correctement puis à répondre tout aussi correctement à ceux qui ont bien voulu lire l'extrait que tu as condescendu à leur soumettre pour critique. Si ce que tu cherchais était uniquement une ovation avec des pancartes réclamant la suite, je pense que tu as tout faux.
Sans rancune Djamel!
;-))

Kadri.md 14/06/2005 @ 18:07:30
Vous n' avez pas trouvé d' âme à mon écriture?Mensonge?Envie?

Envie d'écrire de cette manière? Que le ciel m'en préserve!
Mensonge? Aucun intérêt à mentir à un clone, y a que George Lucas qui perd son temps à jouer à ça.

Il ne s' agissait pas d' arriver à une création déiste, détrompez-vous.

J'ai parlé de Dieu? Ha oui??!! Moi? Bigre...

Ce n' est pas vers cette quête que je me suis dirigé initialement, mais plutôt pour dépeindre une condition humaine donnée.

Permettez-moi de vous le redire: c'est dès lors complètement raté. Aucune condition humaine dans ce dont vous parlez.

Si le bleu de son ciel vous plait, moi-aussi, mais pas la saleté des rues de toutes les capitales du monde que j' ai visitées.
Z'avez pas dû visiter Noumea et Dublin, c'est pour ça... Et ce qui me plaît à Alger n'est pas le bleu de son ciel mais le rouge de son sang que vous ne semblez point connaître.

Je vous informe de suite que je ne lirai pas la suite de votre texte. Non pas parce qu'il est mauvais, il faut donner sa chance à tout le monde, mais parce que vous n'êtes pas prêt à essuyer la critique et que j'ai horreur qu'on se foute de ma fiole. Je suis du genre "killeuse", ça ferait tache.


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Haaaa!...au secours!...braves gens, à l' aide!Je suis menacé!Je suis épouvanté.Je n' en dors pas la nuit!
Chère miss ou M' dame...Voyez-vous, l' électronique a quelque chose de confortable...c' est qu' on peut prétendre à n' importe quelle menace...

Prétendre ne plus lire quelqu'un à ces forums est une gageure.Qui vous croirait?
Je suis persuadé que vous allez continué à lire mon texte.Mais vous avez, à compter d' aujourd' hui, en ma personne un redoutable adversaire...littéraire seulement.

Dire que mon texte n' a pas d' âme et penser le contraire, n' est-ce pas?Lisez la suite, vous verrez.C' est gratuit.

Sans rancune...

Bluewitch
avatar 14/06/2005 @ 18:19:19
Et bien, vive la liberté d'expression, les amis.
Et vive l'ouverture d'esprit.
Pfff, d'abord on manque d'humour et puis on manque de modestie. Quel chagrin!

Kadri.md 14/06/2005 @ 18:20:44
Je vais répondre aux critiques qui sont entrés dans le débat littéraire:
Mentor:
-Je ne comprends pas qu' un critique puisse arriver à doser les qualificatifs d' un texte, alors que le narrateur lui-même n' y parvient jamais.
- Si vous m' avez demandé d' être humble, c' est que vous avez trouvé, quelque part, de la prétention dans le texte.A moins que vous n' ayiez decelé un zeste de talent?
Attendez, SVP, de lire la suite avant de faire cette affirmation gratuite.
Djamel Kadri.
Djamel,
1 - je dis que je trouve trop de qualificatifs inutiles dans ton texte. Je le re-dis. C'est MON sentiment, pas forcément LA VERITE. Si tu n'es pas d'accord, surtout ne change rien! ;-))
2 - Essaye de rester humble. Rien à voir avec ton texte. Mais avec ton attitude par rapport aux remarques humoristiques qui sont tombées drues avant que tu ne daignes refaire une apparition.
Mais je vois que l'humilité n'est pas ton fort. Tu as sans doute d'autres qualités. Il faudrait les utiliser à te présenter correctement puis à répondre tout aussi correctement à ceux qui ont bien voulu lire l'extrait que tu as condescendu à leur soumettre pour critique. Si ce que tu cherchais était uniquement une ovation avec des pancartes réclamant la suite, je pense que tu as tout faux.
Sans rancune Djamel!
;-))


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Parlons un peu de l' humilité chez un auteur, en littérature, si vous le permettez...

Le manuscrit que vous avez commencé à lire est inédit.Un écrivain qui n' a pas d' ambition littéraire dans sa quête d' écriture est condamné à pondre un navet.Mais cette ambition, contrairement à ce que beaucoup de lecteurs pensent, ce n' est pas d' atteindre les cimes de la célebrité, mais...(soyez persuadé que je le dis avec beaucoup de pudeur)...les degrés élevés de l'art.La célebrité est un résultat, souvent médiatique, commercial...et "élitiste".

Je profite de l' hospitalité de votre compte pour dire à tous ceux qui m' ont lu et ont pensé que j' ai heurté quelque part leur sensibilité, ou leur orgueil( j' en ai moi-aussi...ça fait partie de la nature humaine), je fais amende honorable.
Toutes vos critiques sont bienvenues, mais de grâce, qu' elles soient littéraires.Si j' avais voulu blaguer, j' aurai choisi un site humouristique!

Sibylline 14/06/2005 @ 18:27:16
[Je suis persuadé que vous allez continué à lire mon texte.
...

;-))))))))))))))))
Inimitable, moi je vous dis.
;-))))))))))))))
et drôle, avec ça!

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