Maxima 13/05/2005 @ 19:33:51
Franchement j'ouvre des yeux comme des soucoupes en démarrant ce livre... Je me demande où je suis tombée... j'ai lu une vingtaine de pages et je n'arrive pas à continuer tant le style me déroute...

Tina 13/05/2005 @ 21:13:04
desolée, je ne réponds pas à ta demande mais j'ai eu exactement le même problème, la mauvaise conscience en plus car il m'avait chaudement été recommandé... j'ai tenu un peu plus longtemps mais jamais fini, ni accroché.... j'attends avec toi les messages qui nous feront peut être changer d'avis???!!!

Patman
avatar 14/05/2005 @ 13:42:22
Franchement j'ouvre des yeux comme des soucoupes en démarrant ce livre... Je me demande où je suis tombée... j'ai lu une vingtaine de pages et je n'arrive pas à continuer tant le style me déroute...


Difficile de se faire une idée réelle de "Garp" après 20 pages seulement ! Persévère et tu ne le regretteras pas !... mais le monde d'Irving, il est parfois difficile d'y entrer c'est vrai. Il se mérite !
Si tu n'y arrives toujours pas, il te reste la solution "cinéma"... le film (avec Robin Williams, mon chouchou !) est pour une fois très fidèle au livre... Tu verras, les personnages sont très attachants...une fois qu'ils T'ont adopté ! Good Luck !

Libris québécis
avatar 14/05/2005 @ 15:32:27
Réactions tout à fait normales. John Irving écrit des romans qui vont dans toutes les directions. C'est dans le dernier tiers que l'on comprend où il nous emmène. Il veut couvrir de larges pans de la culture américaine à l'intérieur d'une seule oeuvre. Et il ne faut pas oublier que les éditeurs étatsuniens ne publient pas de plaquettes. Par conséquent, les écrivains se doivent de présenter des oeuvres d'au moins 400 pages s'ils veulent être édités. On sent le remplissage de pages en lisant leurs romans. En passant, John Irving n'est pas un écrivain exceptionnel quoique je le trouve intéressant parce qu'il charrie la culture de la Nouvelle-Angleterre qui borne le Québec. À certains égards, les habitants de ces états nous ressemblent. On peut comprendre alors pourquoi John Irving vit au Canada depuis de nombreuses années. C'est un écrivain qui a été beaucoup médiatisé, d'où l'engouement pour cet auteur. Je remarque qu'en général, on ne lit que ce que l'on nous propose.

Dranac
avatar 04/12/2011 @ 10:39:48
Et il ne faut pas oublier que les éditeurs étatsuniens ne publient pas de plaquettes. Par conséquent, les écrivains se doivent de présenter des oeuvres d'au moins 400 pages s'ils veulent être édités. On sent le remplissage de pages en lisant leurs romans.


Je remonte ce fil, parce que c’est intéressant à savoir — moi je ne savais pas — et ceci explique cela, à savoir que, j'avais remarquer souvent que les livres américains étaient souvent pleins de longueurs.

Nymphette

avatar 04/12/2011 @ 11:59:06
Je l'ai lu il y a longtemps. J'avais à peine 20 ans.

Je me souviens avoir été dérangée par cette lecture qui tirait à boulets rouges sur la culture populaire américaine et l'American Way Of Life... et par certaines obsessions d'IRVING, retrouvées à l'identique dans "Une prière pour Owen".


En revanche, inciter quelqu'un à poursuivre un roman qui ne l'intéresse pas, désolée, mais je ne sais pas faire!

Débézed

avatar 04/12/2011 @ 12:34:32
Je l'ai lu il y a longtemps. J'avais à peine 20 ans.



Il n'y a donc pas si longtemps !

Nymphette

avatar 04/12/2011 @ 21:40:57
Je l'ai lu il y a longtemps. J'avais à peine 20 ans.

Il n'y a donc pas si longtemps !



Ben si pour moi, ça fait un tiers de ma vie, c'est long :-)

Débézed

avatar 05/12/2011 @ 00:49:13
Je l'ai lu il y a longtemps. J'avais à peine 20 ans.

Il n'y a donc pas si longtemps !



Ben si pour moi, ça fait un tiers de ma vie, c'est long :-)


Tout est relatif !

Aria
avatar 05/12/2011 @ 01:01:53
Ce livre est mon préféré de John Irving, sans doute parce que c'est le premier que j'ai lu, mais aussi parce qu'il était si différent de tous les livres que j'avais pu lire avant.

Je l'ai passé à mon fils, quand il avait 20 ans, je crois. Cela ne l'a pas intéressé. Il a lâché en cours de route.

Franchement, c'est un livre si singulier que soit on adore (ce qui a été mon cas, j'étais subjuguée), soit on dit : mais qu'est-ce que cet OVNI ?

Je ne pousse jamais personne à lire un livre sauf si je me souviens avoir eu des difficultés jusqu'à la page 50, par exemple, et être complètement entrée dedans ensuite.

Sissi

avatar 05/12/2011 @ 08:21:44

Franchement, c'est un livre si singulier que soit on adore (ce qui a été mon cas, j'étais subjuguée), soit on dit : mais qu'est-ce que cet OVNI ?
.


Oui c'est exactement ça.
Je l'ai lu à 20 ans, j'ai été fascinée, complètement déroutée, et je ne l'ai jamais oublié.
Comment en parler, ça je ne sais pas, par contre....et encore moins "convaincre de".

AmauryWatremez

avatar 05/12/2011 @ 09:07:52
Ce livre a des ambitions multiples : d'imagination, de style et de raconter l'histoire des Etats Unis à travers Garp d'une manière très originale qui demande de perdre ses habitudes de lecteur français docile. Personnellement, de John Irving, je préfère encore "L'Hotel New Hampshire", qui va plus loin.

Dranac
avatar 05/12/2011 @ 12:02:49
Merci à tous pour votre participation, à savoir lirais-je ce livre, ou pas ? De nouveaux avis ne nuisent pas. …
Mais le but de mon intervention sur ce fil était :

Et il ne faut pas oublier que les éditeurs étatsuniens ne publient pas de plaquettes. Par conséquent, les écrivains se doivent de présenter des oeuvres d'au moins 400 pages s'ils veulent être édités. On sent le remplissage de pages en lisant leurs romans.


Je remonte ce fil, parce que c’est intéressant à savoir — moi je ne savais pas — et ceci explique cela, à savoir que, j'avais remarquer souvent que les livres américains étaient souvent pleins de longueurs.


… car souvent je me suis interrogée sur les longueurs de certains livres américains, désinscriptions à n'en plus finir des rues des magasins (souvent de luxes) des compositions alimentaires, etc. barbantes, il faut le dire.
Et là, j'en comprends la nécessité.

DE GOUGE
avatar 05/12/2011 @ 20:51:33
J'ai lu ce livre, il ya déjà quelques années : déconcertant, plutôt ébouriffant : c'était mon premier Irving !
J'ai le souvenir d'avoir adoré, justement pour cette approche délirante avec souvent plein de questions qui se posaient au lecteur : famille, société, sens de la vie !

Après, je me suis un peu lassée du style de cet auteur, mais ce premier ouvrage (pour moi) fut un vrai bonheur !

Et puis, à chacun de trouver son plaisir !
Maxima, ne le lis pas par contrainte, ce serait trop bête, mais garde le ! Peut être dans 2 ou 3 ans, tu auras une autre approche, ou peut être jamais ....

Il reste par ailleurs, tant à découvrir !

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