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Je n'ai pas encore eu l'occasion de lire ce roman, mais je le ferai certainement, en inconditionnel d'Eco que je suis.
Jules, une petite précision peut-être, j'ai entendu une interview d'Umberto Eco il y a peu et il disait qu'au départ il ne voulait pas publier son livre en dehors des frontières de l'Italie parce qu'il avait bien conscience que cela n'intéresserait pas un "non-italien" à cause de toutes ces références qui ne nous disent rien. Comme de juste, son éditeur a insisté et cela s'est fait.
Umberto Eco précisait aussi que ce livre était pour lui comme une espèce de témoignage de sa jeunesse, des bruits, des odeurs, des couleurs qui ont bercé sa tendre enfance et qu'il avait écrit ce livre, finalement, bien plus pour lui que pour les autres... si ce n'est pour les aficionados des détails historiques précis, à une époque précise et dans un lieu précis...
Je ne pense donc pas qu’il faille le lire comme un roman traditionnel ou en tout cas avec deux-trois petites nuances en tête…
P.
Jules, une petite précision peut-être, j'ai entendu une interview d'Umberto Eco il y a peu et il disait qu'au départ il ne voulait pas publier son livre en dehors des frontières de l'Italie parce qu'il avait bien conscience que cela n'intéresserait pas un "non-italien" à cause de toutes ces références qui ne nous disent rien. Comme de juste, son éditeur a insisté et cela s'est fait.
Umberto Eco précisait aussi que ce livre était pour lui comme une espèce de témoignage de sa jeunesse, des bruits, des odeurs, des couleurs qui ont bercé sa tendre enfance et qu'il avait écrit ce livre, finalement, bien plus pour lui que pour les autres... si ce n'est pour les aficionados des détails historiques précis, à une époque précise et dans un lieu précis...
Je ne pense donc pas qu’il faille le lire comme un roman traditionnel ou en tout cas avec deux-trois petites nuances en tête…
P.
Umberto Eco, dans une interview, a dit également que ce livre était son plus personnel, le plus autobiographique, alors que "Le nom de la rose", "Baudolino", "L'île du jour d'avant", "Le pendule de foucault", sublimes machines romanesques, mais de pures fictions. Il a dit également que c'est celuiqu est venu le plus naturellement, que pour "Le pendule" il avait mis 8 ans, et que pour celui-ci, 2 ans lui a suffit...
Quand à moi, je compte le lire d'ici peu... En tout cas , je l'ai feuilleté, l'édition est superbe...
Quand à moi, je compte le lire d'ici peu... En tout cas , je l'ai feuilleté, l'édition est superbe...
Je ne comprends pas que Jules se soit accaparé la critique principale alors qu'il n'a pas terminé le livre!!!:-(
Mis-à-part celà, je l'ai acheté et c'est ma prochaine lecture.
Mis-à-part celà, je l'ai acheté et c'est ma prochaine lecture.
Oh lala.... Désolé pour les fautes d'orthographes. Le francais n'étant pas ma langue matérnelle...
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