Peut-être préfère-t-il l'écartèlement...
Bon Dieu seigneur qu'ais-je déclenché là sans le vouloir !... Et en plus, je n'étais au courant de rien. C'est Sophi qui, très gentiment, m'a demandé ce que je pensais de ce débat. J'ai donc été voir et j'ai lu...
Là, je me suis fait traité un peu de tout, y compris presque de rasciste... Même la torture a été proposée...
Mon point de vue ?... Il est très simple et a été évoqué par quelqu'un d'autre: je manque de place. J'ai déjà dû enlever des paquets de bouquins d'histoire, de romans historiques (et des bons), des livres de politique et d'économie de ma bibliothèque pour que ces livres cèdent la place à d'autres. Moi aussi, dans une autre bibliothèque j'ai des BD et pas un peu. Je viens d'ailleurs d'en revendre un paquet.
Oui, ma critique sur le Fred Vargas me semblait positive et celle sur "Le vent de Neptune" me semblait encore meilleure et j'en lirai certainement encore d'autres de Fred Vargas. Mais je ne vais quand même pas acheter des livres que je sais que je ne garderai pas !... Pour tout vous dire, c'est ma femme qui les achète, me les prête puis ne les garde pas car elle, elle n'en conserve aucun.
Michael Collins j'adore et deux des trois livres que j'ai critiqué de lui sont des policiers que j'estime vraiment être très très bons.
Pourquoi un bon nombre d'étoiles aux romans de Sulitzer que j'ai critiqués ? Parce que je trouvais les sujets intéressants et qu'en même temps j'ai eu beaucoup de plaisir à les lire (surtout les trois bouquins sur la presse)
Quand j'ai eu du plaisir à lire un livre je ne vais quand-même pas lui coller deux étoiles !... Ni à Fred Vargas que j'ai beaucoup apprécié au même titre que Simenon ou Agatha Christie.
Toujours contestable ce système des étoiles: au plus on lit, au plus on changerait certaines notes données auparavant.
Je devais me justifier ?... Non ! ... Quant à la notion de subjectivité elle me paraît évidente mais il est tout aussi évident que je penche davantage vers les lectures de Saule. Sur l'ensemble des critiques que j'ai faites il me paraîtrait de très mauvais goût de prétendre le contraire. Mais à chacun ses goûts et ses choix.
Voilà, j'aurais trouvé un rien méprisant que de ne pas donner mon point de vue et mes raisons. C'est la seule raison de ce qui précède.
Là, je me suis fait traité un peu de tout, y compris presque de rasciste... Même la torture a été proposée...
Mon point de vue ?... Il est très simple et a été évoqué par quelqu'un d'autre: je manque de place. J'ai déjà dû enlever des paquets de bouquins d'histoire, de romans historiques (et des bons), des livres de politique et d'économie de ma bibliothèque pour que ces livres cèdent la place à d'autres. Moi aussi, dans une autre bibliothèque j'ai des BD et pas un peu. Je viens d'ailleurs d'en revendre un paquet.
Oui, ma critique sur le Fred Vargas me semblait positive et celle sur "Le vent de Neptune" me semblait encore meilleure et j'en lirai certainement encore d'autres de Fred Vargas. Mais je ne vais quand même pas acheter des livres que je sais que je ne garderai pas !... Pour tout vous dire, c'est ma femme qui les achète, me les prête puis ne les garde pas car elle, elle n'en conserve aucun.
Michael Collins j'adore et deux des trois livres que j'ai critiqué de lui sont des policiers que j'estime vraiment être très très bons.
Pourquoi un bon nombre d'étoiles aux romans de Sulitzer que j'ai critiqués ? Parce que je trouvais les sujets intéressants et qu'en même temps j'ai eu beaucoup de plaisir à les lire (surtout les trois bouquins sur la presse)
Quand j'ai eu du plaisir à lire un livre je ne vais quand-même pas lui coller deux étoiles !... Ni à Fred Vargas que j'ai beaucoup apprécié au même titre que Simenon ou Agatha Christie.
Toujours contestable ce système des étoiles: au plus on lit, au plus on changerait certaines notes données auparavant.
Je devais me justifier ?... Non ! ... Quant à la notion de subjectivité elle me paraît évidente mais il est tout aussi évident que je penche davantage vers les lectures de Saule. Sur l'ensemble des critiques que j'ai faites il me paraîtrait de très mauvais goût de prétendre le contraire. Mais à chacun ses goûts et ses choix.
Voilà, j'aurais trouvé un rien méprisant que de ne pas donner mon point de vue et mes raisons. C'est la seule raison de ce qui précède.
Un hasard: j'écrivais pendant que Saint-Jean-Baptiste le faisait de son côté...
Heu... je pourrais garder l'écartèlement ?...
Ouh là, là, je ne pensais pas déclencher une telle ire de Jules... Je suis désolé si tu t'es senti insulté par un tel ou un autre.
Je réagissais juste à ta phrase qui me paraît tout de même ambigüe et demandais juste quelques éclaircissements.
Et puis le charme de CL ce sont ces petits coups de sang de la part de ses critiqueurs! ;o)))))))
Je réagissais juste à ta phrase qui me paraît tout de même ambigüe et demandais juste quelques éclaircissements.
Et puis le charme de CL ce sont ces petits coups de sang de la part de ses critiqueurs! ;o)))))))
Jules, je ne t'ai pas traité de raciste, j'ai dit que tu fais une grossière erreur en mettant tous les polars dans le même sac, et que les généralités sont le DEBUT du racisme.
Et je ne vois pas pourquoi on devrait faire plus de place pour un roman que pour un polar ! Les deux sont des livres ! Pas de différence !...
Et je ne vois pas pourquoi on devrait faire plus de place pour un roman que pour un polar ! Les deux sont des livres ! Pas de différence !...
Michael Collins j'adore et deux des trois livres que j'ai critiqué de lui sont des policiers que j'estime vraiment être très très bons.
Jules,
Effectivement, dans l'un de ses 4 romans, une intrigue policière se déroule, mais le très grand (et jeune et irlandais) écrivain, du superbe "les profanateurs", n'est pas un auteur de romans policier.
Dans tes critiques, tu as confondu deux Michael Collins.
Dan Fortune est le héros récurrent du Collins américain de naissance et né en 1924.
Tout ça me fait penser à une phrase que citait Jeffrey Kahane (il dirigeait l'orchestre de Toronto dans le concert auquel j'ai assisté samedi), dans son petit discours d'introduction au concert: il n'y a que deux genres de musique, la bonne et l'autre... Ceci à propos de la musique de Gershwin qui a fait scandale en son temps parce qu'elle mêlait le jazz et la musique classique... Jazz, classique, rock... il y a dans chacun de ces genres de bonnes musiques et de moins bonnes, et la même chose vaut pour les polars, comme le disait justement Benoit, certains ont du style, ils nous font réfléchir sur certains travers de notre société, somme toute on peut dire qu'ils sont de la "bonne" littérature...
Et à partir d'ici, on est reparti pour un tour à essayer de définir cette "bonne" littérature ;-).
Sur ce, je vous laisse... Bon amusement;-)!
Et à partir d'ici, on est reparti pour un tour à essayer de définir cette "bonne" littérature ;-).
Sur ce, je vous laisse... Bon amusement;-)!
Allez, Jules, il te sera beaucoup pardonné, tu n'aimes pas Proust, et tu l'as dit !
Je ne suis pas d'accord avec toi, Killgrieg. Je ne confonds pas du tout avec l'autre Collins et son héros Dan Fortune (est-ce que je commencerais à m'y connaître un rien en roman policier ?)
Mon Michael Collins à moi, celui dont je parlais plus haut, a même écrit trois romans que j'appelle "policier" parce que l'ensemble de l'histoire repose sur un crime qui aurait été commis et pour lequel on cherche le coupable.
Il s'agit de:
- "Les profanateurs"
- "Les âmes perdues"
- "Les gardiens de la vérité"
J'aime beaucoup ces livres pour le regard acéré que lance Collins sur la société américaine.
Mon Michael Collins à moi, celui dont je parlais plus haut, a même écrit trois romans que j'appelle "policier" parce que l'ensemble de l'histoire repose sur un crime qui aurait été commis et pour lequel on cherche le coupable.
Il s'agit de:
- "Les profanateurs"
- "Les âmes perdues"
- "Les gardiens de la vérité"
J'aime beaucoup ces livres pour le regard acéré que lance Collins sur la société américaine.
Merci pour ces trois titres. Je vais peut-être découvrir de bons romans policiers finalement...
Bah, je comprends pas cet acharnement a vouloir imposer sa vision des choses aux autres. Si une personne n'achete pas de polars, et ne les considere pas comme de la littérature, libre à lui ! A chacun sa bibliothèque, et à chacun ses gouts non ? Je n'aime pas la poésie, je n'achete jamais de poésie, je n'en n'ais pas dans ma bibliothèque, et ce que j'en pense... Mais j'ai aucune envie qu'on me saute dessus en criant à l'hérésie !
Je ne suis pas d'accord avec toi, Killgrieg. Je ne confonds pas du tout avec l'autre Collins et son héros Dan Fortune (est-ce que je commencerais à m'y connaître un rien en roman policier ?)
Mon Michael Collins à moi, celui dont je parlais plus haut, a même écrit trois romans que j'appelle "policier" parce que l'ensemble de l'histoire repose sur un crime qui aurait été commis et pour lequel on cherche le coupable.
Il s'agit de:
- "Les profanateurs"
- "Les âmes perdues"
- "Les gardiens de la vérité"
J'aime beaucoup ces livres pour le regard acéré que lance Collins sur la société américaine.
Je faisais référence à ta critique du 29/08/04, dans laquelle tu as effectivement confondu les deux auteurs.
si j'avais lu plus bas, j'aurai vu que Eireann avait déjà remis les pendules à l'heure. Et de manière beaucoup plus sympa que la mienne!
La façon dont j'ai signalé cette légère erreur a un côté péteux qui m'agace aussi. Je m'en excuse.
Mais si, grâce à toi Jules, quelques lecteurs peuvent se plonger dans "les profanateurs" et prendre du plaisir avec ce roman intelligent, drôle, distrayant et fin, formidablement bien écrit et incroyablement fort... Tu auras fait oeuvre utile.
Si la polémique autour du fait que tu n'achètes pas de romans policiers, peut amener certains à lire Ellroy ou willeford... Bravo
Bonne lecture Dirlandaise.
Roman policier ou pas lisez Michael Collins, l'irlandais, j'ai beaucoup aimé "Les Profanateurs"(et le reste de son œuvre) "Combats de coq" de Charles Willeford est aussi très bien. Ne nous plaignons pas, il existe en ce moment de très bons auteurs de roman policiers, et qui je pense écrivent très bien. Parmi mes favoris John Connolly(irlandais aussi), James Lee Burke (Sud des Etats-Unis),Julie Parson (Noir Dessein) etc. Par contre j'accroche moins avec les auteurs anglais John Harvey, Ian Rankin (sauf le jardin des pendus) P.D.James et Minette Walters.
En tout manque d'objectivité. évidemment.
En tout manque d'objectivité. évidemment.
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