Oui, c'est vrai l'écart entre les plus riches et les autres devient un gouffre et c'est inquiétant, d'un point de vue social ca risque d'exploser un jour :-( Comme le dit le journaliste, ce n'était pas le but de la politique de la BCE et elle n'en était pas moins nécessaire. Je crois que le point c'est d'avoir vaincu la résistance allemande à la création monétaire envers le sacro-saint principe de l'Allemagne de zéro inflation.
Il nous paraît inconcevable de devoir renoncer aux avancées technologiques d’aujourd’hui mais les exemples abondent dans l’histoire, en voici un : en ville de Genève les romains avaient créé un système de distribution d’eau courante généralisée, 200 ans plus tard on cesse de l’entretenir et on voit réapparaître les porteurs d’eau ! Il faudra attendre plus de 1000 ans pour avoir à nouveau la possibilité de disposer chez soi d’un bien aussi précieux !
Oui il faut entendre Jancovici ! Mais je doute fort que des centrales nucléaires puissent y changer grand chose : 20 ans pour les construire et personne qui en voudrait dans son jardin…
Oui il faut entendre Jancovici ! Mais je doute fort que des centrales nucléaires puissent y changer grand chose : 20 ans pour les construire et personne qui en voudrait dans son jardin…
Il nous paraît inconcevable de devoir renoncer aux avancées technologiques d’aujourd’hui mais les exemples abondent dans l’histoire, en voici un : en ville de Genève les romains avaient créé un système de distribution d’eau courante généralisée, 200 ans plus tard on cesse de l’entretenir et on voit réapparaître les porteurs d’eau ! Il faudra attendre plus de 1000 ans pour avoir à nouveau la possibilité de disposer chez soi d’un bien aussi précieux !
Oui il faut entendre Jancovici ! Mais je doute fort que des centrales nucléaires puissent y changer grand chose : 20 ans pour les construire et personne qui en voudrait dans son jardin…
Le souci n'est pas de renoncer a cette technologie mais ne pas soumettre les hommes aux rythmes des machine, et de ne pas privé de revenu ceux qui sont privé d'emploi remplacés par ses machines !
Il nous paraît inconcevable de devoir renoncer aux avancées technologiques d’aujourd’hui mais les exemples abondent dans l’histoire, en voici un : en ville de Genève les romains avaient créé un système de distribution d’eau courante généralisée, 200 ans plus tard on cesse de l’entretenir et on voit réapparaître les porteurs d’eau ! Il faudra attendre plus de 1000 ans pour avoir à nouveau la possibilité de disposer chez soi d’un bien aussi précieux !
Oui il faut entendre Jancovici ! Mais je doute fort que des centrales nucléaires puissent y changer grand chose : 20 ans pour les construire et personne qui en voudrait dans son jardin…
Le nucléaire, pilotable, est là afin de compenser les périodes où l'éolien et le solaire ne peuvent pas produire (pas de vent, pas de soleil) ; à la marge on a la géothermie et c'est mieux si on a un bon gradient, notamment si on a des volcans sous la main (même "éteints").
Quant à renoncer aux avancées, il faudra bien le faire en partie, puisque les "avancées" ont pu être réalisées avec une énergie et des matières premières facilement disponibles...ce qui ne sera plus le cas dans un avenir pas très éloigné.
Donc il s'agit de faire des choix et vite.
Les stratégies de survie collective impliquent que tout le monde devra y mettre du sien et que moins on subira d'injustice, plus on sera enclin à se serrer la ceinture.
Il est patent que les modèles socioéconomiques actuels sont hors des clous.
Mais ce n'est pas le discours politique dominant, pas plus à la COP, laquelle produit surtout des discours et des déclarations d'intention qui font hurler de rire les lobbyistes.
: en ville de Genève les romains avaient créé un système de distribution d’eau courante généralisée, 200 ans plus tard on cesse de l’entretenir et on voit réapparaître les porteurs d’eau !Bienvenue parmi nous, Perche Sot.
! Mais je doute fort que des centrales nucléaires puissent y changer grand chose : 20 ans pour les construire et personne qui en voudrait dans son jardin…
Ton exemple de la ville de Genève est intéressant.
Mais si on doit renoncer aux progrès technologiques, ce sera toujours forcé et contraint.
Par ailleurs, je crois que ça a été une énorme erreur – et même une énorme faute – des politiciens écolo d’avoir lutté contre le nucléaire. En Belgique on a abandonné le nucléaire sous la pression des écolo. Maintenant on se rend compte que les énergies renouvelables ne suffiront pas. On va ranimer deux centrales nucléaires à coup de milliards et on va remplacer les autres par des usines au gaz. C’est une catastrophe écologique : ces usines vont déverser dans l’atmosphère des tonnes de CO2 pendant des dizaines d’années. C’est aussi une catastrophe économique : la construction de ces usines au gaz vont coûter des milliards et la Belgique va payer des milliards aux Russes pour avoir leur gaz.
Tout ça avait été prévu par les experts, les scientifiques, ceux qui étudient les problèmes mais les écolo n’ont rien voulu entendre ! Ils n’ont rien appris et ils savent tout, ils ont la science infuse ! Ce sont des dogmatiques, pour eux la suppression de nucléaire c’est un dogme, ça les dispense de réfléchir. Les écolo en politique c’est une catastrophe climatique et planétaire.
Le sujet de base, c'est un peut les ouvriers soumis au rythmes infernale des machines, mais c'est pas grave, juste que les vois que Ouvrier rimera toujours avec Oublier
: en ville de Genève les romains avaient créé un système de distribution d’eau courante généralisée, 200 ans plus tard on cesse de l’entretenir et on voit réapparaître les porteurs d’eau !
! Mais je doute fort que des centrales nucléaires puissent y changer grand chose : 20 ans pour les construire et personne qui en voudrait dans son jardin…
Bienvenue parmi nous, Perche Sot.
Ton exemple de la ville de Genève est intéressant.
Mais si on doit renoncer aux progrès technologiques, ce sera toujours forcé et contraint.
Par ailleurs, je crois que ça a été une énorme erreur – et même une énorme faute – des politiciens écolo d’avoir lutté contre le nucléaire. En Belgique on a abandonné le nucléaire sous la pression des écolo. Maintenant on se rend compte que les énergies renouvelables ne suffiront pas. On va ranimer deux centrales nucléaires à coup de milliards et on va remplacer les autres par des usines au gaz. C’est une catastrophe écologique : ces usines vont déverser dans l’atmosphère des tonnes de CO2 pendant des dizaines d’années. C’est aussi une catastrophe économique : la construction de ces usines au gaz vont coûter des milliards et la Belgique va payer des milliards aux Russes pour avoir leur gaz.
Tout ça avait été prévu par les experts, les scientifiques, ceux qui étudient les problèmes mais les écolo n’ont rien voulu entendre ! Ils n’ont rien appris et ils savent tout, ils ont la science infuse ! Ce sont des dogmatiques, pour eux la suppression de nucléaire c’est un dogme, ça les dispense de réfléchir. Les écolo en politique c’est une catastrophe climatique et planétaire.
Tu n'as pas l'impression quand même SJB que les écologistes ont été les premiers à clamer dans le désert ce qui nous menaçait. Les premiers à en parler ? Sont-ce des allumés et des fanatiques pour ça ? Moi je dirais plutôt trop en avance sur leur temps.
Et puis le nucléaire, c'est peut-être une (la ?) solution, mais comment oublier Tchernobyl et Fukushima ? Un phénomène type Tchernobyl à Nogent sur Seine et ce sont des millions de Français à déplacer, notamment Paris et son agglo, où comment ... ? Il est des solutions qui contiennent des menaces ... refroidissantes.
Taper sur les écologistes me parait des plus tendances ! Chasseurs, politiciens professionnels, tout le monde y va gaiement, but ... ?
Le sujet de base, c'est un peut les ouvriers soumis au rythmes infernale des machines, mais c'est pas grave, juste que les vois que Ouvrier rimera toujours avec Oublier
Tu caricatures un peu là, XooHooX. Par nos contrées le rythme infernal n'est plus ce qu'il fut, par exemple fin XIXème siècle. Mais ça reste certainement vrai dans "l'usine du monde", je veux dire l'Asie et plus encore la Chine. Et je ne parle même pas des travaux forcés !
Maintenant se délivrer des rythmes répétitifs, et plus généralement tenter de redonner du sens au travail me parait effectivement important.
Maintenant se délivrer des rythmes répétitifs, et plus généralement tenter de redonner du sens au travail me parait effectivement important.
Libre a toi d croire au propagande, même si c'est bien vrai que c'est pire ailleurs.
Tout cela me fait penser au roman d'Herbert George Wells, La machine à explorer le temps. Dans un futur plus ou moins lointain, la technologie aura remplacé l'homme qui deviendra oisif, en parti, et brutal, en autre partie. Ce qui amènera à des conflits à la fois préhistorique et technologique. Albert Einstein a dit : « Je ne sais pas comment sera la troisième guerre mondiale, mais ce dont je suis sûr, c´est que la quatrième guerre mondiale se résoudra à coups de bâtons et de silex. »
Pour nos amis Français qui ne seraient pas au courant des subtilités de la politique belge :
La décision de sortir du nucléaire à l'horizon 2025 a été prise par la Belgique lors des accords de gouvernement de 1999. A cette époque, la famille sociale chrétienne, pivot de la politique nationale depuis l'après-guerre fut discréditée par un scandale sanitaire et perdit le quart de son électorat alors que les écologistes doublaient le leur.
Pour entrer au gouvernement et lui assurer une stabilité, le prix à payer fixé par les écologistes fut donc un programme de sortie du nucléaire à l'horizon 2022. Programme auquel ont souscrit les deux autres familles, socialiste et libérale, en signant la loi du 31 janvier 2003. C'est bien connu : les écolos, c'est comme les communistes, ils ont un couteau entre les dents. C'est gênant pour manger les épinards, mais c'est pratique pour forcer leurs victimes à accepter les pires avanies.
La famille écologiste fut débarquée lors des élections de 2003, et ne revint plus au pouvoir avant 2020.
Durant ces 20 années d'opposition, ils ont conservé leurs convictions --ce que d'aucuns appellent des dogmes-- : le nucléaire n'est pas une solution.
Durant ces mêmes 20 années, les gouvernements successifs n'ont rien fait, ni pour faire appliquer la loi, ni pour l'abroger. Je cherche mes mots... pusillanimité ? roublardise ? manque --précisément-- de convictions ? de vision ? En tout cas, ils n'ont pas suivi dogmatiquement les accords auxquels ils avaient pourtant souscrit. Ça en fera au moins un de content.
Un qui ne revendique sans doute pas la science infuse (pourtant, les tisanes, ça a du bon), mais semble savoir ce qu'on aurait dû ou pas dû faire ou savoir in illo tempore.
L'article qui suit date d'avant le covid et la crise du gaz russe, mais rappelle certaines étapes intéressantes de cette mainmise dogmatique écologiste sur notre indépendance énergétique : https://cairn.info/revue-nouvelle-2016-5-page-10.h…
La décision de sortir du nucléaire à l'horizon 2025 a été prise par la Belgique lors des accords de gouvernement de 1999. A cette époque, la famille sociale chrétienne, pivot de la politique nationale depuis l'après-guerre fut discréditée par un scandale sanitaire et perdit le quart de son électorat alors que les écologistes doublaient le leur.
Pour entrer au gouvernement et lui assurer une stabilité, le prix à payer fixé par les écologistes fut donc un programme de sortie du nucléaire à l'horizon 2022. Programme auquel ont souscrit les deux autres familles, socialiste et libérale, en signant la loi du 31 janvier 2003. C'est bien connu : les écolos, c'est comme les communistes, ils ont un couteau entre les dents. C'est gênant pour manger les épinards, mais c'est pratique pour forcer leurs victimes à accepter les pires avanies.
La famille écologiste fut débarquée lors des élections de 2003, et ne revint plus au pouvoir avant 2020.
Durant ces 20 années d'opposition, ils ont conservé leurs convictions --ce que d'aucuns appellent des dogmes-- : le nucléaire n'est pas une solution.
Durant ces mêmes 20 années, les gouvernements successifs n'ont rien fait, ni pour faire appliquer la loi, ni pour l'abroger. Je cherche mes mots... pusillanimité ? roublardise ? manque --précisément-- de convictions ? de vision ? En tout cas, ils n'ont pas suivi dogmatiquement les accords auxquels ils avaient pourtant souscrit. Ça en fera au moins un de content.
Un qui ne revendique sans doute pas la science infuse (pourtant, les tisanes, ça a du bon), mais semble savoir ce qu'on aurait dû ou pas dû faire ou savoir in illo tempore.
L'article qui suit date d'avant le covid et la crise du gaz russe, mais rappelle certaines étapes intéressantes de cette mainmise dogmatique écologiste sur notre indépendance énergétique : https://cairn.info/revue-nouvelle-2016-5-page-10.h…
Maintenant se délivrer des rythmes répétitifs, et plus généralement tenter de redonner du sens au travail me parait effectivement important.
Libre a toi d croire au propagande, même si c'est bien vrai que c'est pire ailleurs.
Je ne dis pas que c'est le cas. Je dis que c'est ce vers quoi il faut tendre.
Et puis le nucléaire, c'est peut-être une (la ?) solution, mais comment oublier Tchernobyl et Fukushima ?
Je ne comprends jamais trop ce qu'on entend par "Fukushima"
Fukushima c'est avant tout le tsunami qui fut la catastrophe, les noyades, les évacuations... L'accident nucléaire en lui-même c'est surtout un immense gâchis de matériel, la fusion du coeur d'un réacteur en particulier et des opérations terriblement risquées pour stabiliser la situation.
Tchernobyl fut une vraie catastrophe mais les normes de sécurité de l'époque et d'aujourd'hui n'ont rien à voir.
Je pense que dans l'ensemble, la balance bénéfices - risques est sans appel sur le sujet, et je le dis d'autant plus tranquillement que beaucoup d'écologistes sont d'accord sur ce sujet, à commencer par Jancovici.
Bah oui, une bagatelle !
Et puis la question de la gestion des déchets, au sens large, ensemble des équipements et matériels contaminés, n'est pas réglée. Bagatelle me diras-tu ? Sauf que là on parle de durée de vie en terme de milliers d'années (pour être gentil) et qu'on se fait fort de trouver des solutions depuis le début (ah les certitudes du scientisme !), sauf que ...
Tout miser sur le nucléaire c'est un peu faire le pari qu'on distribue des armes au pays d'à côté mais que, sûr et certain, jamais il ne s'en servira ...
Et puis la question de la gestion des déchets, au sens large, ensemble des équipements et matériels contaminés, n'est pas réglée. Bagatelle me diras-tu ? Sauf que là on parle de durée de vie en terme de milliers d'années (pour être gentil) et qu'on se fait fort de trouver des solutions depuis le début (ah les certitudes du scientisme !), sauf que ...
Tout miser sur le nucléaire c'est un peu faire le pari qu'on distribue des armes au pays d'à côté mais que, sûr et certain, jamais il ne s'en servira ...
Le sujet de base, c'est un peut les ouvriers soumis au rythmes infernale des machines, mais c'est pas grave, juste que les vois que Ouvrier rimera toujours avec Oublier
Non, on n'oublie pas ! Les machines sont en train de supplanter le travailleur un peu partout. Il y aura cependant des gens pour gérer ou réparer les machines...en principe et dans des proportions encore inconnues, sachant qu'avec IA et autres on mettra aussi des robots (des machines donc) pour s'occuper des autres machines.
Quoi faire des travailleurs en surnombre ? On ne sait pas.
C'est une sorte de serpent qui se mange la queue.
Mais à moins de changer tout le système et d'envoyer Taylor aux oubliettes, je crais que les "maîtres" des machines n'inventent un truc afin de garder un pouvoir sur ceux "d'en bas"...
Aménageons le maquis en prévision....
Au début des années 2000 je travaillais dans le textile : il y avait trois usines en Belgique mais elles ont été délocalisées. D'abords en Espagne, puis au Portugal et ensuite dans les pays de l'est et en Asie. Les ouvriers Belges étaient bien payés. Et le travail répétitif ca peut etre un avantage, ca libère l'esprit.
J'avais une connaissance qui travaillait sur les chaines de montage de Volkswagen à Bruxelles et c'était un très bon travail : bien payé et possibilité de faire des heures supplémentaires.
Mais la plupart des usines ont délocalisé la production pour optimiser les couts.
Bill Gates a dit que bientot ce sera la semaine de trois jour, le reste du temps on ira à la plage. J'espère qu'il a raison, Mais il y aura des changements, de l'incertitude, des gagnants et des perdants. Les milliardaires partiront sur mars une fois que la terre sera foutue.
J'avais une connaissance qui travaillait sur les chaines de montage de Volkswagen à Bruxelles et c'était un très bon travail : bien payé et possibilité de faire des heures supplémentaires.
Mais la plupart des usines ont délocalisé la production pour optimiser les couts.
Bill Gates a dit que bientot ce sera la semaine de trois jour, le reste du temps on ira à la plage. J'espère qu'il a raison, Mais il y aura des changements, de l'incertitude, des gagnants et des perdants. Les milliardaires partiront sur mars une fois que la terre sera foutue.
Et le travail répétitif ca peut etre un avantage, ca libère l'esprit.
Si on est correctement payé, bien considéré, et que les horaires sont raisonnables, peut-être.
Sinon, comme l'a expérimenté Simone Weil, ça a l'effet inverse :
« L’épuisement finit par me faire oublier les raisons véritables de mon séjour en usine, rend presque invincible pour moi la tentation la plus forte que comporte cette vie : ne plus penser, seul et unique moyen de ne pas en souffrir.
Le Journal d’usine, op. cit., p. 103. »
Et le travail répétitif ca peut etre un avantage, ca libère l'esprit.
Si on est correctement payé, bien considéré, et que les horaires sont raisonnables, peut-être.
Sinon, comme l'a expérimenté Simone Weil, ça a l'effet inverse :
« L’épuisement finit par me faire oublier les raisons véritables de mon séjour en usine, rend presque invincible pour moi la tentation la plus forte que comporte cette vie : ne plus penser, seul et unique moyen de ne pas en souffrir.
Le Journal d’usine, op. cit., p. 103. »
Merci pour cette réference au journal de Simone Weil ...
D’accord, Tistou, ils ont été les premiers à pousser des cris d’alarme. Accordons leurs au moins ça ! Mais fallait-il entrer en politique pour ça ? Brigitte Bardot a fait plus qu’eux pour le bien être animal et les Miss France et Gréta Thunberg et en Belgique Adélaïde Charlier et encore tant d’autres, poussent des cris d’alarme et sont plus écoutés que tous les politiciens écolo réunis.
Tu n'as pas l'impression quand même SJB que les écologistes ont été les premiers à clamer dans le désert ce qui nous menaçait.
En Belgique les écolos n’ont rien fait pour le bien-être animal, ni pour le climat, ni pour l’environnement. Au contraire, ils ont gâché beaucoup de choses et ils nous coûtent beaucoup d’argent.
@Tistou
Un phénomène type Tchernobyl à Nogent sur Seine et ce sont des millions de Français à déplacer, notamment Paris et son agglo, où comment ... ? Il est des solutions qui contiennent des menaces ... refroidissantes.
Un accident peut toujours arriver. Mais on peut penser que nous n’aurons pas de volcan, de tsunami ou d’astéroïde qui nous tombe sur la tête. Si nous avons un accident ce sera par négligence ou par manque de précaution, comme à Tchernobyl. Ce sera de notre faute et c’est nous qui en payerions les conséquences. Tandis que les écolos disent, avec les usines au gaz, nous sommes tranquilles pour 50/60 ans et… après nous les mouches !
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