Si je peux me permettre, je ne vois pas l'intérêt de regrouper, au contraire. On peut par exemple s'intéresser à la seconde guerre mondiale sans pour autant s'intéresser aux guerres napoléoniennes.
A vrai dire je pensais plutôt a ouvrir un nouveau forum, regroupant tous les livres ayant un rapport, - plus ou moins direct ou pas -, avec ce thème...
Mais bon, il est vrai que l'on peut aussi relancer ceux existants!..
Si je peux me permettre, je ne vois pas l'intérêt de regrouper, au contraire. On peut par exemple s'intéresser à la seconde guerre mondiale sans pour autant s'intéresser aux guerres napoléoniennes.
D'autant que, les messages des forums étant affichés chronologiquement, le résultat pourrait être surprenant....
Il peut y avoir des raccourcis intéressants aussi ... par exemple Borodino, bataille qui opposa Russes et Français en septembre 1812 (en France on l'appelle la Moskova) fut le théâtre d'une autre bataille tout aussi meurtrière en octobre 1941 entre Soviétiques et Allemands !
Il y a aussi Craonne (dans l'Aisne) qui vit Napoléon s'imposer en mars 1814 face aux Russes et Prussiens et qui fut le théâtre de 3 batailles en septembre 1914, en avril-mai 1917 et finalement en octobre 1918 !!!
et en cherchant bien il y a sûrement d'autres exemples ;-)
D'autant que, les messages des forums étant affichés chronologiquement, le résultat pourrait être surprenant....
Même réponse que juste au-dessus...
Si je peux me permettre, je ne vois pas l'intérêt de regrouper, au contraire. On peut par exemple s'intéresser à la seconde guerre mondiale sans pour autant s'intéresser aux guerres napoléoniennes.
euh...comment peut-on ne pas s'interesser aux guerres napoleoniennes?
:)
... En cherchant bien... ? Il faudrait alors un historien sur le site.
et en cherchant bien il y a sûrement d'autres exemples ;-)
C’est bien dommage que notre ami Micharlemagne ne soit plus là.
https://critiqueslibres.com/i.php/vcrit/40511
Ayant acheté l’autre jour pour la première fois la revue « DSI » (Défense et Sécurité Internationale) pour lire dans le train, je signale l’article « Connaître la guerre : témoignages et expériences vécues », qui cite justement Ernst Jünger en des termes élogieux : « L’ancien combattant de la Première Guerre mondiale qui poussera peut-être le plus loin l’expression vécue telle qu’on l’entend est Ernst Jünger, dans un petit ouvrage au titre parfait : La Guerre comme expérience intérieure. Le texte n’est pas exempt d’idéologie et de maniérisme littéraire, mais Jünger y traite de son sujet, la violence guerrière, en tant qu’expérience intérieure vécue, comme peu d’écrivains anciens combattants : sensations, pulsions, pensées, sentiments, idées... »
L’article m’a fait découvrir également un certain Jean Norton Cru, « écrivain-historiographe », qui a eu un jugement plutôt sévère vis-à-vis justement des auteurs de témoignages « littéraires » de la Première Guerre mondiale en particulier. Jugez plutôt : « Jean Norton Cru refuse de reconnaître aux romans pourtant célébrés d’Henri Barbusse, de Roland Dorgelès ou de Jacques Péricard leur caractère réaliste revendiqué, ce qui a déclenché une violente polémique, dont les ramifications se poursuivent encore aujourd’hui [...] Pour Jean Norton Cru le problème n’est pas la fiction ; le problème est la fiction qui se présente comme un tableau du réel. Lorsque Dorgelès répond aux critiques de Cru en lançant que s’il suffisait d’avoir vécu un drame pour bien le conter, ce n’est pas Flaubert qui aurait Madame Bovary, c’eût été le pharmacien, il prouve qu’il ne comprend pas l’enjeu du débat »
J’ai trouvé ce Jean Norton Cru bien rude avec ces célèbres écrivains ! Connaissiez-vous ce personnage ?
L’article m’a fait découvrir également un certain Jean Norton Cru, « écrivain-historiographe », qui a eu un jugement plutôt sévère vis-à-vis justement des auteurs de témoignages « littéraires » de la Première Guerre mondiale en particulier. Jugez plutôt : « Jean Norton Cru refuse de reconnaître aux romans pourtant célébrés d’Henri Barbusse, de Roland Dorgelès ou de Jacques Péricard leur caractère réaliste revendiqué, ce qui a déclenché une violente polémique, dont les ramifications se poursuivent encore aujourd’hui [...] Pour Jean Norton Cru le problème n’est pas la fiction ; le problème est la fiction qui se présente comme un tableau du réel. Lorsque Dorgelès répond aux critiques de Cru en lançant que s’il suffisait d’avoir vécu un drame pour bien le conter, ce n’est pas Flaubert qui aurait Madame Bovary, c’eût été le pharmacien, il prouve qu’il ne comprend pas l’enjeu du débat »
J’ai trouvé ce Jean Norton Cru bien rude avec ces célèbres écrivains ! Connaissiez-vous ce personnage ?
...jamais entendu parler pour ma part...
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