Amouragan 13/09/2004 @ 21:11:11
Note de présentation : j'ai déjà publié ce texte et n'ai pas reçu de commentaire. Un essai de prose que je soumets à votre critique que je souhaiterai directe et sans ménagement. Merci.
---------------------------------

Hermégénie (I)

Chaque matin, à l'heure où le rêve s'apprête à descendre de son piédestal, Iné Ravic ouvre l'oeil, se gave des lumières matinales avant de se diriger d'un pas noctambulesque là où l'Adonis des Oiseaux l'attend. Ce rituel d'apparence machinale, devenu depuis sa raison d'être, n'était pas sans raison. La vie d'Iné, en effet, n'est plus que ruines après avoir été bel édifice. Les caprices cruels du temps avaient brisé en deux le cours de sa vie. Un envol, un malheureux jour, de tout ce qui peut faire le confort social d'un être humain : parents, famille, amis, argent, maison, boulot,... Une plongée abrupte dans un bain de solitude moussé de fraîches traces, mais profondes, d'amertume et de rancoeur. Heureusement, pour Iné, qu'il y eut cette rencontre miracle avec ce qui allait devenir son unique passion et sa seule motivation de s'accrocher à la vie : un pigeon - bec, plumage, pattes - oui, un vrai pigeon. Tombé, peut-être d'un ciel courroucé ou d'un chêne turbulent, un soir de mai. Parfois, le destin a ses calculs que le calcul n'imagine même pas.

Il avait cessé de pleuvoir ce magique soir de mai. La terre était gorgée d'eau, exhalant cette fameuse odeur d'un sol sec violemment et abondamment arrosé : une senteur à faire rêver un paysan du Sahel. Fuyant vraisemblablement (Iné n'en sait rien, c'est moi qui vous le dit) cet aride désert, un malheureux pigeon voyageur se débattait alors dans une flaque vaseuse. Épuisé, il éprouvait du mal à se remettre sur ses pattes. Ses battements d'ailes étaient vains, désespérément vains, tant la vase était gluante.

Ce fut précisément ce battement d'ailes qui fit sortir Iné de son logis : un amas de tôles, de panneaux de bois, de branches, de cordes, de ficelles; le tout assemblé et soudé par ces graines de génie architectural qui sommeillent en chacun de nous et que la dure nécessité du toit fait ressurgir brillantes et utiles. C'était ça son logis et il n'en sortait que très rarement. Un ermite dans un mitard.

Il était happé par la lecture, l'estomac rudement torturé par la faim. Lire à voix haute ça distrait les tripes, aimait-il à se dire. Lecture, tripes... personne ne voyait ou ne pouvait y voir de lien, sauf lui. À rendre fou un docteur rigoureux et discipliné. La faim, si elle aiguise l'odorat, ne saurait cependant aveugler l'ouïe. Il l'entendit! Ce bruit inhabituel le fit sursauter quoiqu'il n'eut aucun doute quant à sa nature. Mystique, il pressentait, suite à un rêve prophétique - de son point de vue - que sa vie allait encore une fois changer de cours. Pour une fois, les nébuleuses circonvolutions du temps allaient lui donner raison. Quand il délivra, d'un geste attentionné, le pigeon de la boue et qu'il le débarassa de son manteau gangué, il ne fut aucunement surpris de découvrir un pigeon au plumage blanc et brillant d'où se détachaient, très nettement, de mystérieuses taches; de noires écritures - idéographiques soupçonna-t-il dans un premier temps - calligraphies d'un temps où écriture et peinture s'aimaient d'amour tendre, ne faisant qu'un. L'émotion passée, attendri par une si belle créature, très vite il associa sa faim à celle du pigeon. Peut-être a-t-il faim? se questionna-t-il, d'un air songeur.

Il se souvint soudain de sa culture. La honte l'envahissait : il n'avait rien à offrir de comestible à cet étrange hôte venu du ciel. Le sens de l'hospitalité, hérité de ses parents, de son clan, de sa tribu était un devoir sacré. L'idée de partager sa faim avec le pigeon lui fut insupportable. Quand soudain une idée jaillit de son esprit : il avait de vieux livres!!! Et qui dit livres, dit papier et qui dit papier dit cellulose, sucre .... Sautillant d'idée en idée, il entreprit avec grand scepticisme - mais que vaut le scepticisme face à l'honneur? et il faut coûte que coûte sauver l'honneur! rageait-il - de mettre à exécution sa petite idée : laver, broyer et sécher un premier livre; un lourd sacrifice pour un fou des livres.

Sans hésiter un instant, il choisit un livre dont il connaissait par coeur les moindres lignes. En moins de 15 minutes, l'ardeur aidant, le dîner était prêt. Il suffisait de dresser la table. La table? Iné rougit suant à se poser la question. Il n'avait même pas de table!!! La honte céda vite le pas au réalisme. Quelques bouquins bien disposés et recouverts d'un journal bien lisse feraient office de table. Il en décida ainsi non sans proférer quelques jurons à voix basse : l'invité ne devait rien en savoir. De toute façon, pensait-il, l'oiseau devait probablement tout ignorer de ces contraintes de "savoir-vivre" et de ces absurdes rituels. Les civilités de la culture sont si enracinées en nous que la pensée consciente et objective s'y plie sans broncher quoiqu'on dise. Manger avec ses doigts bien lavés est-il moins civilisé que de manger avec une fourchette et un couteau!!! Iné se livrait intérieurement à un combat incessant contre ces faits de culture si insensés à ses yeux; mais le faire-comme-les-autres s'impose souvent. Il planta, pestant, l'assiette au centre de la table y plaçant de chaque côté la fourchette, le couteau et la cuillère. Iné avait pris soin d'envelopper son invité dans sa propre couette qui était loin d'être propre et puait de loin le moisi. Le pigeon avait déjà le plumage sec et son regard d'afficher une meilleure mine : libéré, propre, bien au chaud et en bonne compagnie, le pigeon se sentait tout aise et ne semblait guère tourmenté par la faim ni même dérangé par le manège ridicule du maître de céans. Craignant de décevoir son honorable invité et de manière à le rassurer, Iné, sans se soucier des règles, avala, le sourire aux lèvres, une première bouchée de ce dîner insolite. Bizarrement satisfait de sa découverte culinaire, il commença à gaver le pigeon qui, applaudissant de ses frêles ailes, avait l'air d'apprécier cette délicatesse et roucoulait de plaisir. Iné, une larme à l'oeil, ressentit une onde de bonheur draper de ses spires l'intérieur de sa chambre, les parois de son coeur. La flamme de la bougie lui paraissait plus vive, les livres dépoussiérés, les draps plus propres... et surtout cette rayonnante présence. Oui. La présence de quelqu'un d'autre. Pas n'importe quel hôte. Un être vivant avec lequel un échange émotif était désormais possible. Il ne se sentait plus seul. Il devait rapidement trouver un nom à ce bel oiseau. Le baptiser dirait l'église. Quoi??? l'église? que me racontez-vous là? le nom est bien antérieur au christianisme! ( Je parlais pourtant à voix basse. Ine a dû m'entendre parler d'église, un mot qui l'irrite. Pardonnez-moi, monsieur Iné, cette maladresse). Le baptiser, c'était lui donner le droit de faire partie d'une communauté, bien que réduite à deux. Il prit un crayon, une feuille blanche et y inscrivit trois mots : air, mai, génie. De son imaginaire surgirent ces trois mots magiques. Et inconsciemment, il répéta à voix haute sous l'oeil légèrement amusé du pigeon : l'oiseau.. venait des airs...air...nous sommes au mois de mai...mai... et.. et.. peut-être est-ce un génie...génie... air... mai...génie... Hermégénie!!! s'écria-t-il comme un gamin qui, après plusieurs tentatives infructueuses, répond fou de joie à une charade. Le pigeon avait désormais un nom et devait s'y accoutumer.

----------------------

À suivre.......

Balamento 13/09/2004 @ 21:30:49
Juste une question : est ce que tu écris pour toi ?

Amouragan 13/09/2004 @ 21:35:56
Entre autres...
Tu serais plus explicite, cela me serait un peu plus utile.
Mais là, je demeure interrogatif.

Balamento 13/09/2004 @ 21:46:25
Plus explicite : ce texte a t il été écrit dans le but de ton seul plaisir d'écrire où dans l'idée d'être lu ? (je suis le roi des questions cons des fois... ;-) ;-))

Amouragan 13/09/2004 @ 22:02:01
Une question directe et claire mériterait réponse.
Telle n'est malheureusement pas le cas. Ce n"est pas à coups de "charaderie" qu'il peut y avoir échange constructif.
Toute personne qui écrit sur un site le fait pour être lu. Écrire par déplaisir me semble être une tâche de bureaucrate ou de mercenaire de la plume. Tel n'est pas mon cas.

Balamento 13/09/2004 @ 22:11:00
Alors... pour être plus terre à terre... Lors de l'écriture de ce texte y avait il idée de l'exposer à lecture public (une personne ne comptant pas) ou n'y avait il que le plaisir d'écrire sans l'idée d'être lu ? je veux bien comprendre sembler être là un peu intrusif (auquel cas ma question n'appelle pas réponse), mais paraïtre simplement obscure me gène un tantinet ;-)

Amouragan 13/09/2004 @ 22:22:56
Au départ, l'idée à la base de ce texte était destinée à l'écriture d'un poème. Par la suite et sous pression, j'ai opté pour un texte en prose. Entre nous, j'ai du mal à la prose. Et j'en connais les causes.
Ce fut un essai sous "contrainte" et pour répondre à ta question qui est maintenant un peu plus précise, je dirai : plus pour être lu.
J'espère avoir été clair.

Yali 13/09/2004 @ 22:27:38
Pour ma part, j’aime.
Au delà de l’écriture se niche une âme, un monde à soi, d’autres appelleraient ça un univers, moi j’appelle ça comme ça, et c’est avant tout ce que je cherche en lisant : cette particularité de l’humain : l’autre. Chacun sait ici que je ne suis pas un amoureux des historiettes, celle ci n’en est pas une, non, elle ouvre la porte sur autre chose : c’est-à-dire un autre soi. En réalité, elle ne l’ouvre pas tout à fait mais l’entrouvre. C’est la réserve dont parlait Bal, j’imagine. Ensuite, il faudrait parler structure de texte, mécanisme de narration, parler de choses que les poètes ont en horreur.

Monique 13/09/2004 @ 22:31:49
Ensuite, il faudrait parler structure de texte, mécanisme de narration, parler de choses que les poètes ont en horreur.
Je dois sortir du bois ?...

Yali 13/09/2004 @ 22:33:52
Oui, en effet Mo, c'est le moment.

Monique 13/09/2004 @ 22:42:07
Eh bien j'ai adoré ce texte. Et peu importe sa structure, il est beau en tant que tel ! Le pauvre Iné est d'emblée attachant et cette jolie histoire est magique. Bien sûr que cela pourrait être peaufiné, mais le décor est là, unité de temps, unité de lieu, tout est en place. C'est joliment raconté. Ca m'a fait très vite penser à une nouvelle de Marcel Aymé "La bonne peinture", pour ceux qui l'ont lue, un peintre inconnu qui a sans le savoir le don de faire une peinture nourrissante, ce dont s'aperçoit un pauvre hère qui alerte ses amis clochards, pour finalement semer un bocson pas possible dans tout le pays... Bon, on n'en est pas là avec ces livres qui semblent nourrir le pauvre lecteur assidu qui sacrifie un ouvrage pour en nourrir son nouveau compagnon avec amour. Je n'ai presque pas envie de lire une suite de peur de voir repartir le pigeon vers dautres horizons !
Bravo pour cette prose poétique, moi ça me va à merveille.

Monique 13/09/2004 @ 22:50:20
De plus, quand j'aurai ajouté que je n'ai trouvé que deux fautes d'orthographe et que les quelques néologismes sont de bon aloi, j'aurai tout dit...

Amouragan 13/09/2004 @ 23:01:06
Le pigeon est symbole de l'imaginaire. Et la suite est claire dans mon esprit.

Le pigeon ne se nourira que de vieux livres et apprendra à parler. Il rapportera au cours de chacun de ses retours une histoire sur ce qui se passe dans le monde. Le poète dont le nom et le prénom ne sont qu'un anagramme du mot écrivain en sera bouleversé et finira par tuer le pigeon, abandonner l'écriture et se consacrer à la préservation de son environnement naturel.
Voilà en bref et de manière très provisoire la suite.
Et je sais que je n'aurai pas assez d'énergie pour finir l'histoire. Ça peut faire l'objet d'un long roman en y introduisant des rebondissements etc....
Je m'attendais à une critique plutôt technique du texte. Un peu chagriné quant à cet aspect.

Merci beaucoup pour tous les commentaires.
Content que le texte ait plu.

Monique 13/09/2004 @ 23:06:15
Je m'attendais à une critique plutôt technique du texte. Un peu chagriné quant à cet aspect.
Voir Yali... (Insiste !)

Monique 13/09/2004 @ 23:08:22
Et je sais que je n'aurai pas assez d'énergie pour finir l'histoire. Ça peut faire l'objet d'un long roman en y introduisant des rebondissements etc...
Et c'est bien dommage !

Yali 14/09/2004 @ 00:09:13
Je m'attendais à une critique plutôt technique du texte. Un peu chagriné quant à cet aspect.

À quoi exactement ?
Je fais un essai, je suis pas sûr que tu apprécies ?
Sur un long roman comme tu dis, rien ne fonctionnera, car comme un poète tu places tes billes d’avance. La structure comporte le même défaut, elle est tangible parce que solide, outil mécanique, échafaudage costaud certes, mais visible, apparente, elle couvre la façade, la forme couvre le fond, par exemple : l’anagramme est d’emblée dénoncé, ce qui fait que je souri, ce qui fait que tu m’as gâché l’attente. Le pigeon, symbole d’imaginaire, sans blague ?! Colombe = liberté. Occupation = topinambour. Histoire = tragédie Grecque. Pigeon mangeur de livres = trop d’évidence, trop d’absolu énoncé, mais ici rien n’est raconté. En prose le temps s’étire, et cette élastique tendu doit être lisible, pire : intéressant, un rien doit être un tout, mais sans avoir l’air d’être rien ni tout. En prose, j’aurais tendance à dire qu’on énonce pas, on entraîne à saisir.
Je continue ?

Amouragan 14/09/2004 @ 00:38:01
"À quoi exactement ?
Je fais un essai, je suis pas sûr que tu apprécies ?"
---------------
Sur ce point, sois rassuré quant à mon souci premier qui est d'être critiqué sans aucun ménagement. Je ne suis pas du genre à se vexer sauf quand c'est de la critique sans arguments. On peut me dire que mon texte est nul ou même ordurier. Je n'ai rien contre tant qu'on le prouve arguments à l'appui. Avec moi, ne te gênes pas du tout. Libére-toi de toute contrainte, je serai à l'écoute.
--------------------
"La structure comporte le même défaut, elle est tangible parce que solide, outil mécanique, échafaudage costaud certes, mais visible, apparente, elle couvre la façade, la forme couvre le fond, par exemple : l’anagramme est d’emblée dénoncé, ce qui fait que je souri, ce qui fait que tu m’as gâché l’attente. Le pigeon, symbole d’imaginaire, sans blague ?! Colombe = liberté. Occupation = topinambour. Histoire = tragédie Grecque. Pigeon mangeur de livres = trop d’évidence, trop d’absolu énoncé, mais ici rien n’est raconté. En prose le temps s’étire, et cette élastique tendu doit être lisible, pire : intéressant, un rien doit être un tout, mais sans avoir l’air d’être rien ni tout. En prose, j’aurais tendance à dire qu’on énonce pas, on entraîne à saisir.
Je continue ?"
-----------------------

Parfaitement d'accord avec ce que tu dis. Sauf que comme je l'ai expliqué précédemment. De poéme c'est devenu un conte.
Et quand j'ai énoncé l'idée de roman il me semble évident que le texte devrait être réaménagé.
Je ne demande quant à ce texte inachevé que deux choses importantes à mes yeux :
- ce texte est-il lisible? sans accroc, pas ennuyant, etc...
- ce texte est-il techniquement bien écrit?

C'est tout ce que je demande.
Les techniques de la narration me sont totalement inconnues tant en théorie qu'en pratique. La narration, en tant que telle, ne m'a jamais intéressée.
Et ce que tu dis n'est pas faux. J'en ai parfaitement conscience.

Et tu peux continuer sans gêne aucune.

Amouragan 14/09/2004 @ 05:15:14
Monsieur Yali,

Je viens de relire tes commentaires et je me dois d'y apporter quelques nuances au sujet de la symbolique. Le symbole de la liberté dans ma culture de berbère (du Sud marocain) est le faucon et non la colombe. En revanche, la colombe est symbole de bien-aimée etc....
La question de toute manière n'est pas là, à mon avis. Chacun est libre de choisir ses symboles. J'use du mot doigt comme symbole phallique comme j'aurai pu user de navet, banane, radis ou etc.... pour le phallus. L'essentiel est que je me fasse comprendre par un lecteur qui s'efforce en me lisant de reconstituer mon propre alphabet symbolique. Pourquoi serai-je contraint d'adopter une image cliché (colombe = paix ou liberté ou .....).

Ce texte est un essai. Certains internautes, sur un autre site, m'ont implicitement demandé d'écrire un texte en prose. Je l'ai fait et je n'en fus pas très satisfait. Narrer ne m'a jamais intéressé et je le répète encore une fois. Non que je méprise les conteurs d'histoires mais plus parce que je suis d'une indiscipline et d'une paresse telles que je brûlerai tout dès que je me sentirai comme entraîné par un enchaînement contraignant. Commencer à raconter est une histoire est chose aisée, mais la finir! un immense problème pour moi. Mon imagination risquerait de m'emmener bien loin. Et cela ne m'intéresse pas d'entrer dans ce cycle infernal.
En poésie, c'est plus simple. Je travaille à l'humeur. Une idée ...un court texte. Mon humeur est un cheval bien trop sauvage pour se soumettre à une quelconque domestication. Il m'arrive de me révolter contre moi-même. Pas d'agenda, pas de montre, pas d'engagement trop contraignant.

Monique 14/09/2004 @ 07:44:20
Je ne demande quant à ce texte inachevé que deux choses importantes à mes yeux :
- ce texte est-il lisible? sans accroc, pas ennuyeux, etc...
- ce texte est-il techniquement bien écrit ?
C'est tout ce que je demande.
Bsalama-aleïkoum a chrouia, labèss aalik ?
Première question : lisible et sans accroc : oui
ennuyeux : non
Dexième question : oui

Yali 14/09/2004 @ 08:00:31
deux choses importantes à mes yeux :
- ce texte est-il lisible? sans accroc, pas ennuyeux, etc...
- ce texte est-il techniquement bien écrit ?
C'est tout ce que je demande.

Suis incapable de répondre à ces questions, incapable, il faudrait que je sépare la forme du fond. C’est un peu comme si tu demandais si tel bâtiment plait, mais qu’a aucun moment nous parlions espace de vie, architecture. Je peux te répondre sur la façade voilà tout. Seulement, la façade n’est pas le bâtiment C’est ce qu’hier j’essayais de te répondre…

Page 1 de 4 Suivante Fin
 
Vous devez être connecté pour poster des messages : S'identifier ou Devenir membre

Vous devez être membre pour poster des messages Devenir membre ou S'identifier