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Forums  :  Forum des livres  :  Neige  :  Mr Fermine à la TV

Echemane
avatar 02/10/2005 @ 23:34:27
sert plus à rien.

Trisopathe 03/10/2005 @ 09:21:27
C'est très épuisant !


Non ce n'est pas une affirmation... mais une proposition.

;o)

Trisopathe 03/10/2005 @ 09:32:01
A purée ! je me suis trompé en recopiant les lettres...

Ca ne peut pas être "très épuisant"...
Je suis mauvais !

Saule

avatar 03/10/2005 @ 10:08:19
Tu ne relis pas

Shelton
avatar 03/10/2005 @ 11:03:48
si tu en parles !

Guigomas
avatar 03/10/2005 @ 11:15:22
R lapin est rusé
Les paris en rut
Un esprit est là
Ne plus se tarir
Pal, t'es sur rien
Je sens que je brule

Echemane
avatar 04/10/2005 @ 12:02:32

Septularisen

avatar 13/10/2005 @ 00:08:53
R lapin est rusé
Les paris en rut
Un esprit est là
Ne plus se tarir
Pal, t'es sur rien
Je sens que je brule


Et bien bravo pour les anagrammes en 4 mots, mais tu n'a toujours pas trouvé le bon...

Pas contre comme tu liras plus bas, le concours est fini...

Merci de ta participation et j'éspere que tu t'est bien amusé(e).

A une prochaine fois...

Septularisen

avatar 13/10/2005 @ 00:12:01
Tu ne relis pas


Déjà proposé + haut... et non...

Le concours étant fini, je te remercie de ta participation et à une prochaine fois...

Septularisen

avatar 13/10/2005 @ 00:13:49
si tu en parles !


Toujours pas...

Tu liras la réponse correcte plus bas... merci de ta participation...

A bientôt...

Septularisen

avatar 13/10/2005 @ 00:23:45
Pour vous aider:
http://www.barbery.net/anagram/index2.htm


BRAVO .chémane...

SEPTULARISEN + la lettre R est en effet l'anagramme de la phrase SERT PLUS A RIEN et comme dit l'anagramme est presque déjà écrite, notamment le mot "rien" à la fin.

Toutes mes félicitations... bien que je te soupçonne de t'être largement servi(e) du site dont tu parles + haut... :-)))

Merci à toi et à tous de votre partcipation, je suis heureux d'avoir réussi à vous "tenir en haleine" depuis le mois d'août...

A bientôt sur le net... et sur ce site en particulier...

SEPTULARISEN

Serguei 14/11/2005 @ 13:34:40
Critiquer les critiques...
Après cet intervalle anagrammique du mois dernier, je reviens à la charge pour répondre au message scandalisé posté le 4 septembre par Septularisen.
Je reviens plus particulièrement sur cette phrase : « tu veux critiquer le livre et bien fais le... tu veux critiquer les gens qui aiment ce livre... et bien NON ! ».
Parlons-en justement. Au nom de quel tabou social devrais-je obéir sans broncher à ce onzième commandement : les goûts des autres tu ne critiqueras pas ? Il me semble au contraire que remettre en cause le choix d'autrui peut être source de débat et d’enrichissement pour peu qu'on agisse sincèrement. La voie est dangereuse, je le sais, elle n’est pas populaire mais cela vaut le coup d’emprunter quelque temps ce chemin escarpé et ronceux.
En préliminaire, je précise qu’en stigmatisant les lecteurs de Maxence Fermine, je ne critique pas « les gens qui aiment ce livre » mais je critique leur goût pour ce livre. A aucun moment je ne réduis les admirateurs de MF à leur seule qualité de lecteur et si mes propos peuvent le laisser croire c’est une carence d’expression de ma part. J’admets cependant que "ignorant" peut être reçu comme insultant, je me suis laissé entraîné par mon élan. J’ai changé par la suite " ignorant " en " inexigeant ", adjectif qui n’existe pas dans les dictionnaires usuels mais qui répond à mes besoins.
Je persiste donc à dire que lire Maxence Fermine c’est se fourvoyer, c’est corrompre son goût et c’est prendre de la verroterie pour des pierres précieuses. Maxence Fermine est, d’un point de vue littéraire, du niveau d’un auteur Harlequin et comme ces honorables et précaires mercenaires de l’écriture il a peut-être le droit d’exister et d’écrire mais, à mon goût, il prend un peu trop de place dans le paysage littéraire français en regard de ce qu’il apporte. L’argument massue qu’on m’oppose est généralement celui du plaisir : si on a du plaisir à lire un auteur, que nous importe sa prétendue pauvreté littéraire ou son inauthenticité ? Lire un Fermine ou un Nothomb, c’est trois quarts d’heure de plaisir arrachés à ce monde de brutes alors pourquoi se priver ? Je réponds qu’il s’agit là sûrement d’une opposition peut-être irréconciliable de critères mais surtout d’un manque flagrant d’exigence. En d’autres termes, c’est un abandon total au principe de facilité. Demander du plaisir à un livre est la moindre des choses, il faut en exiger bien davantage, par exemple la capacité de nous changer. Si je sors intact d’une lecture alors à quoi bon lire ? Et c’est une évidence que les livres de Fermine traversent leurs lecteurs sans laisser de traces. Elever son goût, affiner ses lectures, demander l’impossible aux livres c’est accepter de se mettre enfin en quête de soi-même mais c’est aussi s’ouvrir aux autres, c’est se laisser absorber par l’universel et c’est se réconcilier avec l’éternité, toutes choses bien éloignées des capacités (et des ambitions) de Maxence Fermine.
Me suis-je trompé, aveuglé par les préjugés ? Qu’on me le dise, qu’on me le montre, qu’on m’envoie une phrase forte de ce monsieur, une phrase unique, qui n’appartienne qu’à lui, une phrase brûlante et j’avouerai publiquement ma vanité. Mais par pitié, pas des « Cette nuit-là ils firent l’amour pour la première fois » et autres tartes à la crème du même acabit.

Septularisen

avatar 20/11/2005 @ 23:40:16
Critiquer les critiques...
Après cet intervalle anagrammique du mois dernier, je reviens à la charge pour répondre au message scandalisé posté le 4 septembre par Septularisen.
Je reviens plus particulièrement sur cette phrase : « tu veux critiquer le livre et bien fais le... tu veux critiquer les gens qui aiment ce livre... et bien NON ! ».
Parlons-en justement. Au nom de quel tabou social devrais-je obéir sans broncher à ce onzième commandement : les goûts des autres tu ne critiqueras pas ? Il me semble au contraire que remettre en cause le choix d'autrui peut être source de débat et d’enrichissement pour peu qu'on agisse sincèrement. La voie est dangereuse, je le sais, elle n’est pas populaire mais cela vaut le coup d’emprunter quelque temps ce chemin escarpé et ronceux.
En préliminaire, je précise qu’en stigmatisant les lecteurs de Maxence Fermine, je ne critique pas « les gens qui aiment ce livre » mais je critique leur goût pour ce livre. A aucun moment je ne réduis les admirateurs de MF à leur seule qualité de lecteur et si mes propos peuvent le laisser croire c’est une carence d’expression de ma part. J’admets cependant que "ignorant" peut être reçu comme insultant, je me suis laissé entraîné par mon élan. J’ai changé par la suite " ignorant " en " inexigeant ", adjectif qui n’existe pas dans les dictionnaires usuels mais qui répond à mes besoins.
Je persiste donc à dire que lire Maxence Fermine c’est se fourvoyer, c’est corrompre son goût et c’est prendre de la verroterie pour des pierres précieuses. Maxence Fermine est, d’un point de vue littéraire, du niveau d’un auteur Harlequin et comme ces honorables et précaires mercenaires de l’écriture il a peut-être le droit d’exister et d’écrire mais, à mon goût, il prend un peu trop de place dans le paysage littéraire français en regard de ce qu’il apporte. L’argument massue qu’on m’oppose est généralement celui du plaisir : si on a du plaisir à lire un auteur, que nous importe sa prétendue pauvreté littéraire ou son inauthenticité ? Lire un Fermine ou un Nothomb, c’est trois quarts d’heure de plaisir arrachés à ce monde de brutes alors pourquoi se priver ? Je réponds qu’il s’agit là sûrement d’une opposition peut-être irréconciliable de critères mais surtout d’un manque flagrant d’exigence. En d’autres termes, c’est un abandon total au principe de facilité. Demander du plaisir à un livre est la moindre des choses, il faut en exiger bien davantage, par exemple la capacité de nous changer. Si je sors intact d’une lecture alors à quoi bon lire ? Et c’est une évidence que les livres de Fermine traversent leurs lecteurs sans laisser de traces. Elever son goût, affiner ses lectures, demander l’impossible aux livres c’est accepter de se mettre enfin en quête de soi-même mais c’est aussi s’ouvrir aux autres, c’est se laisser absorber par l’universel et c’est se réconcilier avec l’éternité, toutes choses bien éloignées des capacités (et des ambitions) de Maxence Fermine.
Me suis-je trompé, aveuglé par les préjugés ? Qu’on me le dise, qu’on me le montre, qu’on m’envoie une phrase forte de ce monsieur, une phrase unique, qui n’appartienne qu’à lui, une phrase brûlante et j’avouerai publiquement ma vanité. Mais par pitié, pas des « Cette nuit-là ils firent l’amour pour la première fois » et autres tartes à la crème du même acabit.


Hello, j'ai juste quelques questions sur tes réflexions... où quelques réflexions sur tes questions...

1) Je persiste et je signe Maxence FERMINE est un très grand écrivain... à des années lumière de NOTHOMB...

2) Je suis sorti "différent" après la lecture de ce livre... car je n'ai plus jamais regardé la neige qui tombe de la même façon...

3) Heureux de te voir recconnaître que de traiter les gens d'ignorants... c'est les insulter!...

4) Si tu as tellement detesté ce livre... pourquoi l'avoir lu? ou du moins pourquoi l'avoir lu jusqu'à la fin?? Si tu trouve Maxence FERMINE si nul... pourquoi en parler encore et toujours?... tu n'arrête pas de lui faire de la publicité!.. encore et... encore!!

Enfin, je te conseille la lecture du livre "Le violon noir" toujours de Maxence FERMINE... tu changeras peut-être d'avis...

Serguei 07/12/2005 @ 13:57:32
Bonjour Septularisen,
Il y a neige et neige... Les canons à neige employés par ce monsieur pour couvrir son inécriture d’une blancheur artificielle laissent indifférents les amoureux de la beauté.
Un jour, un ami connaissant mes goûts, m’a tendu par dérision ce petit livre de Fermine, j’en ai fait depuis ma tête de turc préférée... Et que je lui fasse ou non de la publicité ne l’empêchera pas de sombrer d’ici peu dans un oubli total.
Nothomb a du talent mais le cœur sec. Fermine a le cœur d’une midinette mais aucun talent.
Mon agressivité contre lui a sans doute bloqué momentanément ton jugement mais quand tu parviendras à l’oublier ou à la dépasser, alors la supercherie t'apparaîtra à ton tour.
Je te souhaite de la lucidité dans les années à venir.

Serguei 08/07/2006 @ 15:24:09
Ma chère Fée Carabine
Je n'avais pas vu votre critique éclair à l'époque, ce qui explique cette réponse tardive.
Vous tentez de retourner contre moi l'accusation d'ignorance. Et pour cela vous osez qualifier le livre de ce pauvre Fermine d'oeuvre d'imagination pure. IMAGINATION PURE !!! Vous êtes sérieuse ? Alors que ce texticule n'est qu'un assemblage branlant des pires banalités sur le Japon, vous y voyez vous de l'imagination pure... Misère...Bien sûr que je ne reproche pas à l'auteur de n'avoir jamais mis les pieds au Japon (comme vous voudriez le faire croire), non, ce que je dénonce, c'est la mollesse de son écriture, la pauvreté de son imaginaire et surtout le dévoyage poétique qu'il a érigé en système. Il est encore pire que Maurice Carême.
Et vous, vous n'avez rien vu. Je vais vous dire, vous devriez troquer votre carabine contre un fusil à lunette.

Cemavi 19/07/2006 @ 12:13:13
Serguei, je ne comprends pas l'énergie que tu mets à descendre un auteur et les gens qui le lisent ainsi.
Il en faut pour tous les gouts et du moment qu'un livre procure du plaisir à certains, c'est déjà qu'il vaut le coup d'avoir été écrit....non ?
Un peu de tolérance que diable !

Septularisen

avatar 19/07/2006 @ 22:51:13
Ma chère Fée Carabine
Je n'avais pas vu votre critique éclair à l'époque, ce qui explique cette réponse tardive.
Vous tentez de retourner contre moi l'accusation d'ignorance. Et pour cela vous osez qualifier le livre de ce pauvre Fermine d'oeuvre d'imagination pure. IMAGINATION PURE !!! Vous êtes sérieuse ? Alors que ce texticule n'est qu'un assemblage branlant des pires banalités sur le Japon, vous y voyez vous de l'imagination pure... Misère...Bien sûr que je ne reproche pas à l'auteur de n'avoir jamais mis les pieds au Japon (comme vous voudriez le faire croire), non, ce que je dénonce, c'est la mollesse de son écriture, la pauvreté de son imaginaire et surtout le dévoyage poétique qu'il a érigé en système. Il est encore pire que Maurice Carême.
Et vous, vous n'avez rien vu. Je vais vous dire, vous devriez troquer votre carabine contre un fusil à lunette.


PLANQUEZ VOUS LE REVOILÀ QUI REVIENT À LA CHARGE!!!

Mieke Maaike
avatar 20/07/2006 @ 14:17:59
Je ne comprends pas non plus l'acharnement de Serquei contre cet auteur. Mais mieux vaut être haï que laisser indifférent... :-)

Serguei 29/07/2006 @ 02:10:28
Il s’agit d’un forum, en d'autres termes d’un lieu de débat. Il n’est donc pas question d’acharnement de ma part mais de véhémence, ce qui n’est pas pareil. Et si je donne l’impression de me répéter c’est simplement parce que personne ne me répond : j’ai dit pourquoi la littérature selon Fermine m’indispose et les seules réponses auxquelles j’ai eu droit sont du type : on aime Maxence Fermine parce que cela nous plaît. C’est un peu court vous ne trouvez pas ? (Septularisen, lui, à bout d’arguments s’est réfugié dans la raillerie infantile). Je le répète donc : à mes yeux, « qu'un livre procure du plaisir à certains » n’est pas signifiant donc a fortiori pas suffisant, c’est un critère d’une faiblesse disqualifiante, la mort du débat.
Quant à l’argument bien-pensant « un peu de tolérance », il sonne comme « un peu d’indifférence ». C’est parce que j’ai du respect pour mes frères humains que je me permets de les contredire et de remettre en cause leurs goûts littéraires.
Pour finir, vous vous méprenez sur le sens de ma démarche : à vrai dire Fermine m’indiffère, il ne mobilise pas mon énergie qui est majoritairement occupée à des choses plus positives. J’ai choisi son petit livre comme bouquin émissaire car il symbolise parfaitement à mes yeux la vacuité de l’envahissante industrie éditoriale (il n’est pas le seul, il y en a d’autres, vous voulez des noms ?), c'est l'œuvre d’un auteur qui singe les écrivains majeurs (il est d’ailleurs probablement de bonne foi), en bref ce livre représente tout ce que je déteste en matière de littérature. Et venant sur ce forum, c’est de cela que j’ai souhaité débattre : confronter ma vision de la littérature avec celle des autres. Je ne suis pas monomaniaque, si la discussion « prenait », je pourrais tout aussi bien m’exprimer sur ce que j’aime et ranger définitivement MF dans son placard.
Une question : suis-je le seul visiteur de ce site à ne pouvoir souffrir les livres de ce monsieur ?

Saule

avatar 29/07/2006 @ 10:33:13
J'ai lu deux livres de Fermence, si j'ai été déçu c'est parce que chaque fois on m'en avait dit trop de bien avant. Sinon, sans crier au chef-d'oeuvre, je trouve ça pas mal.

Contrairement à ce que tu penses, je crois moi que le plaisir qu'un livre procure est un argument valable. Evidemment toute la difficulté est d'expliquer et analyser pourquoi ce livre apporte du plaisir, c'est ce qu'on essaye tous de faire tant bien que mal mais c'est clair que parfois ça se limite à "c'est beau".

Si toi tu n'aimes pas Fermence, tu le dis (et même très bien, avec véhémence et humour) et je trouve ça parfait. On est ici pour débattre et c'est plus enrichissant quand on est pas tous d'accord.

Bon w-e à tous

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